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nom prénom(s)  » Rashford, une famille de sang-mêlés sans trop d’histoire, jusqu’à la brillante idée de son frère, Anthony. Olivia est la cadette et a bien dû trouver un moyen de sortir de l’ombre de son (défunt) frangin.
surnom(s)  » Surnommée Liv quand elle était mioche, elle a gagné d’autres surnoms, plus ou moins laudatifs avec les années : Lo, Low, Slow sont ainsi des termes avec lesquels on peut s’adresser à elle. On lui donne aussi du « Ma’am », mais ça, c’est dans une autre structure que l’officielle à laquelle elle appartient.
date de naissance » 25 octobre 1952, scorpion. On ne s’étalera pas, vous vous ferez votre propre opinion, hein.
origines & nationalité  » britannique, avec des ancêtres américains du côté paternel, et des racines qui remontent donc sans doute jusqu’à l’Afrique de l’Ouest si on précise les choses, mais aucun des Rashford n’a vraiment pris le temps de remonter l’arbre généalogique.
pureté du sang  » sang mêlé.
métier/études  » Ravenclaw à Poudlard, pendant la promo 1964-1971, s’est illustrée en étant préfète mais n’a pas transformé l’essai à son grand dam. + Après un passage dans le service des Archives du Ministère, elle a rejoint la BPM et en est une brigadière à peu près efficace depuis une quinzaine d’années. + En parallèle, elle est devenue sous le patronat des Mangemorts la cheffe du service spécial d’infiltration clandestine à des fins de renseignement (Undercover Intelligence Collection Service, ou UICS, qu’on abrège souvent en UIC (« You, I see ») pour se simplifier la vie). L’existence de ce service est bien sûr dissimulée et aucun papier officiel ni discours, ni circulaire n’en parle. Seuls les initiés (c’est-à-dire les chefs des Brigades et leurs adjoints) sont dans la confidence ; le reste pense qu’Olivia a l’intelligence d’une moule et fait très bien la plante verte dans la BPM.
orientation & état civil  » hétérosexuelle sans aucun doute. Célibataire de surcroît. Génitrice d’un enfant qu’elle a donné à l’adoption pour diverses raisons dés sa naissance, elle était loin de se douter qu’il serait possible de remonter sa généalogie et n’a pas verrouillé les éventuels accès à son identité et à celle du géniteur. Elle a gardé un œil sur sa progéniture (un garçon) histoire de savoir où il échouait et de s’assurer que son existence ne serait pas un jour utilisé comme un moyen de pression à son égard, mais est tout à fait en paix avec la décision qu’elle a prise il y a de longues années de ne pas l’élever.
camp  » pro-mangemorts, elle les sert de façon pragmatique. Sa loyauté va davantage au gouvernement qu’aux idéaux des sbires de Voldemort, cela dit, s’il fallait creuser sous la surface. Toujours est-il qu’elle sait que sa tête roulera s’il arrive une catastrophe irrattrapable et que ce genre de certitude peut jouer dans son implication et sa détermination à mener d’une main de maître ses troupes des ombres.
baguette  » du houx, un ventricule de dragon, 25,2 centimètres. La baguette est nerveuse, puissante, d’une loyauté sans failles.
patronus  » lol, que voulez-vous qu’elle en fasse ?
épouvantard  » l’échec, académique, professionnel, personnel. La lueur de dédain et de mépris dans les yeux de ses collègues inconscients de ce qu’elle réalise chaque jour lui importe peu, mais elle redoute plus que tout de se décevoir elle-même et de ne pas atteindre les objectifs qu’elle avait pu se fixer.
particularité(s)  » spécialité « se faire sous-estimer », niveau Boss ultime + legilimens + occlumens + connaissances basiques en alchimie + magie sans baguette.

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nom prénom(s)  » Née chez les Wright, ses parents ont hésité à la nommer Elisabeth, et se sont finalement décidés à lui donner deux prénoms : Beth et Isla. On serait en droit de supposer que les Wright ont des liens avec les Castaigne, mais il n’en est rien -en tout cas, pas d’après l’arbre généalogique révélé par le sortilège Von Bäume.
Elle a épousé un Fitzroy et a pris son nom en devenant sa femme. C’est que Beth n’est pas de celles qui cherchent à contrer les traditions, préférant plutôt s’assurer de contrôler les choses sur lesquelles elle peut avoir une influence certaine. Le nom a pu être lourd à porter pendant les années 1980 et 1990, mais puisqu’il était encore en vie, elle n’avait aucune raison de lui tourner le dos, quoiqu’il fût loin et inatteignable.

surnom(s)  » Certains ont tenté de l’appeler Betty (Alecto Carrow avait besoin de diminutifs pour se sentir plus forte et plus importante que les autres), mais ça n’a jamais pris chez ses vrais proches. De toute façon, un prénom si court ne peut pas vraiment être davantage raccourci.

date de naissance » 28 Août 1960. Elle venait tout juste d’avoir onze ans lorsqu’elle est montée dans le Poudlard Express, autant dire que ça lui a permis de ne pas perdre de vue ses amis d’enfance. (Cela dit, elle les a perdus de vue une fois à Poudlard…)

origines & nationalité  » Anglaise de nationalité, sa famille compte des Britanniques, pour la plupart. Du côté de sa mère, elle a une branche originaire d’Afrique du Sud. Elle n’a jamais eu l’occasion de s’y rendre, pour autant.

pureté du sang  » son sang-mêlé est plutôt réputé dans le monde britannique, puisque les Wright sont associés à des recherches poussées et novatrices sur l’usage des runes et leur compréhension. Elle sait où est sa place, dans cette société fondée sur la pureté du sang : pour autant, il serait malavisé de le lui rappeler.

métier/études  » Elle mène une scolarité banale (« banale » pour les Wright, c’est-à-dire brillante) à Serpentard dans la promotion 1971/1978, où elle se lie tout particulièrement d’amitié avec Grainne Lynch (dont elle écorche trop souvent le prénom à ses débuts, en se répandant en excuses maintes et maintes fois, jusqu’à ce que son amie décide de l’épargner -et d’épargner ses oreilles davantage et lui demande de l’appeler Remy). Par la suite, ses études de droit magique sont un peu ralenties par des affaires privées (mariage, grossesse, accouchement, enfants en bas-âge…), et sont d’autant plus freinées que quelques bouleversements surviennent au tournant des années 1980. Pour autant, elle réussit à mener tout de front, et est finalement embauchée, d’abord comme avocat des parties civiles au Magenmagot (même si le nom Fitzroy, désormais entaché par la fuite notoire de son mari, tend à lui causer quelques déboires), puis comme juge siégeant au Magenmagot, alors que ses fils ont désormais l’âge d’entrer à Poudlard. Nommée Haut-Juge du Magenmagot à la fin des années 1990, elle estime qu’elle ne doit sa réussite qu’à elle-même, et note soigneusement les noms de celles et ceux qui pourraient persifler l’inverse.

orientation & état civil  » Si vous pensez qu’elle communique là-dessus, vous vous fourvoyez. Elle est mariée, mère, et ça devrait suffire comme informations publiques pour ne pas que vous veniez fouiller dans ses affaires privées. Il semble déjà assez évident qu’elle aime les hommes, ou qu’en tout cas ils ne lui déplaisent pas (et là-dessus, les apparences ne sont pas trompeuses). Ce qui échappe au regard, c’est le fait qu’elle ne soit pas spécialement fidèle à son époux, qui le lui rend bien (mais il a son approbation, à vrai dire). Cela ne veut pas pour autant dire qu’ils se mentent là-dessus et ce n’est pas parce qu’elle a eu quelques aventures plus ou moins longues pendant son enfermement à Azkaban, qu’elle ne l’aime plus. Ce serait complètement se tromper.

camp  » Longtemps, elle a été neutre. Longtemps, elle a su que son mari œuvrait pour les Ténèbres, peut-être dès qu’il a été en âge de prendre la marque. Longtemps elle a gardé le silence, soutien muet qui se taisait. Évidemment, on est venu l’interroger quant à son mensonge par omission et sa complicité, lorsque la culpabilité d’Otto a été avérée et qu’il a commencé la cavale. Là où d’autres ont pu feindre, se la jouer couards repentants, elle a affronté les reproches qu’on pouvait lui faire avec sérénité : si elle ne pouvait pas être loyale à l’égard de son mari, qu’en était-il des valeurs auxquelles elle pouvait prétendre ? Et puis, à vrai dire, même si elle savait, elle n’était en rien responsable des actions de son mari, dont elle ne cherchait pas non plus à se tenir au courant. Une jeune mère avec des enfants en bas-âge, dont on n’avait pas eu à se plaindre plus tôt, qui descendait d’une bonne famille de sang-mêlés, qui n’avait jamais commis de crime ni de délit, qui avait pour but de servir le gouvernement, qui n’était pas soumise à l’influence de son mari, ne pouvait pas finir enfermée dans la prison des sorciers.
Joke’s on them, aurait-on pu songer lorsque le bras immaculé de la sorcière s’est retrouvé paré d’une marque des ténèbres en 2001, lorsqu’elle s’est laissée convaincre de l’intérêt qu’elle pourrait trouver dedans, par Otto lui-même. Mangemort plutôt opportuniste, elle ne pourra pas nier son implication cette fois-ci. Tandis qu’elle y trouve son compte, elle est malheureusement consciente du rejet que cela a pu produire chez ses fils les plus âgés. Elle veut croire au fait que Liam comprendra, un jour (si possible, rapidement). Pas qu’elle ait fait ça pour les protéger d’une quelconque manière, loin de là. C’est que l’idéal de méritocratie, qui veut que les plus grands sorciers l’emportent, lui convient : après tout, les Wright (et les Fitzroy évidemment) ne sont pas les plus cons du lot, c’est parfaitement naturel qu’ils écrasent le reste de la plèbe non-méritante.

baguette  » Bois de charme, souple. Deux poils de bicorne sont contenus en son sein et donnent des capacités particulièrement accrues en métamorphose et en sortilèges d’illusion.

patronus  » Depuis que la marque est apposée sur son bras, elle serait bien en peine d’en produire un. Elle n’a cependant pas souvenir d’avoir dû en produire un dans sa scolarité (c’est si loin maintenant) et ne saurait pas dire quelle forme il prendrait.

épouvantard  » L’épouvantard aurait probablement du mal à représenter la peur précise de Beth, qui n’est pas matérialisée par un objet ou une créature : si elle a peur, c’est de perdre le contrôle de son existence, de ne pas pouvoir ordonner l’ensemble et de se retrouver ballottée par les éléments et les évènements.

particularité(s)  » Maître runiste + les Wright ne font pas des non-runistes, de base. Autant dire qu’elle a bien appliqué la tradition familiale et s’est coulée dans les pas brillants de ses parents.
Alchimie, débutante + depuis son retour, Otto a pris le temps de lui montrer quelques petites choses en Alchimie, notamment parce qu’elle exigeait d’en savoir plus, de sorte qu’ils partagent quand même quelques moments de complicité. Elle n’est néanmoins pas l’étudiante la plus assidue, du fait de leurs horaires parfois incompatibles, mais fait ce qu’elle peut pour progresser.<

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nom prénom(s) » Née au sein des illustrement sinistres Carrow, seconde d’une énième paire de jumeaux, elle fut nommée Amabella, l’aimable, là où son frère portait le nom d’un sacrificateur. Autant dire que plusieurs fois, certaines personnes ont dû se demander qui l’avait nommée, cette peste glaciale. Elle-même s’est parfois demandé qui avait eu l’idée de lui jouer ce tour absurde en lui donnant un prénom qui la marquait presque comme la frêle et douce créature de leur fratrie. Autant dire que d’agnelle innocente, elle n’en porte que le nom.
Au nom des unions pures, on la maria au sein de la famille des Shacklebolt : une nouvelle fois, elle n’en porte que le nom et reste une Carrow à bien des égards, instaurant dans sa progéniture le respect des mêmes principes froids qu’on avait pu leur inculquer. Il en est néanmoins allé d’un calcul précis et avisé que de se draper du nom de famille de son époux.

surnom(s) » Cette garce d’Alecto lui donnait du Amy lorsqu’elles étaient encore enfants, et Amabella n’a jamais aimé. C’était trop réducteur, trop méprisant, et franchement horripilant dans la bouche de son aînée. Il n’y a peut-être que Bells qu’elle tolère, et encore, il faut s’appeler Abram pour pouvoir oser hasarder ce surnom sans se prendre un endoloris (plus ou moins gratuit).

date de naissance » 2 novembre 1963. Elle a eu le bon goût de ne pas arriver seule (une constance chez les Carrow), même si on n’était pas tout à fait sûr qu’elle respire à temps.

origines & nationalité » Les Carrow ont des terres dans les îles britanniques depuis belle lurette : autant dire qu’ils font partie du paysage et que l’on ne compte presque que des Anglais dans les ancêtres (bon, la branche maternelle compte également des Français, mais on ne s’égare pas plus loin merci). Ne comptez pas sur Amabella pour parler français par contre, elle ne s’ennuyait pas suffisamment pendant toutes ces années pour se lancer dans l’apprentissage…

pureté du sang » Pur depuis des siècles. Et oui, on sait que les ancêtres pluriséculaires étaient des moldus, mais gardez-vous bien de le rappeler à Amabella, elle pourrait prendre ça pour une insulte...

métier/études » Un métier ? Une sorcière avec un sang aussi pur ne travaille pas, voyons. Elle est assise sur des montagnes de pièces, bénéficie également de la fortune de son époux -qui lui travaille, évidemment- et tout ce qu’elle a à faire, c’est d’élever ses cinq enfants (Merlin!), d’accueillir ses amies au sang tout aussi pur pour un café, de rendre gloire au Seigneur des Ténèbres et de s’estimer suffisamment chanceuse de ne pas avoir besoin de gagner sa vie (une expression fort triviale et qui amène bien des roulements d’yeux et des sarcasmes chez elle qui a vu, tour à tour, ses adelphes s’y plonger). Elle en profite aussi pour donner de l’argent aux différentes associations sorcières de bonne facture et est une généreuse mécène de l’ASAP.
De ses années à Hogwarts, elle garde un uniforme aux couleurs vert et argent, dans lequel elle aurait bien du mal à rentrer à présent.

orientation & état civil » Amabella n’aime que les hommes : on ne lui a jamais enseigné que l’autre bord était possible. Elle est également mariée, et elle n’a absolument pas apprécié que son père prenne une décision qu’il n’a même pas pu mener jusqu’au bout, puisque ce dernier est mort quelques temps avant l’heureuse (non) union. De ce mariage, est néanmoins sortie une ribambelle d’enfants, puisqu’après tout, c’était ce qu’on attendait d’elle : qu’elle perpétue la pureté de leur sang. Elle y a ajouté pendant un temps les deux filles jumelles d’Abram et Samira, lorsque cette dernière a eu l’idée saugrenue de tomber malade et de mourir sans qu’Amabella n’ait quoi que ce soit à se reprocher.
Contrairement à ce que les rumeurs pernicieuses -et certains regards entendus entre Abram et elle- auraient pu faire croire, ses cinq rejetons sont bel et bien de Chadwick.

camp » La fable est amusante et mérite d’être racontée : Amabella n’avait pas été en reste dans les exactions au nom des Ténèbres à sa sortie de Hogwarts, suivant rapidement le sillage de son jumeau, qui avait pris de l’avance, dans ce camp. Pour autant, la dernière de la fratrie des Carrow devait recevoir sa Marque quelques mois après son union avec le Shacklebolt, le patriarche comptant sur la finesse de sa dernière née pour planter durablement ses griffes dans son époux avant de prendre la Marque : il s’agissait, entre autres, d’assurer la sécurité de la marquée à travers la discrétion d’un époux qu’on voulait épris d’Amabella. Plan brillant, qui n’avait cependant pas anticipé deux disparitions qui risquaient fortement de le freiner : celle du patriarche devant l’amener à l’autel, et celle de celui qui aurait dû apposer sa marque sur la chair blanche d’Amabella. Qui n’a pas non plus anticipé la traque et l’arrestation des Carrow déjà marqués… Pourtant impliquée dans les atrocités classiques de l’époque, la sorcière put nier, faire porter le chapeau aux jumeaux aînés (les guerres fratricides de leur enfance ne faisaient que corroborer pareille affirmation), ressortir blanchie et innocente.
Bon, il fallut peut-être soumettre ce brave Chadwick à quelques remodelages de sa psyché, voire le faire plier à la volonté de son épouse, qui n’était plus à ça près, afin que le conte de son innocence, ou du moins de sa bonne volonté, passe devant les jurés.
De longues années se sont écoulées, pendant lesquelles elle a dû attendre que son jumeau lui soit rendu, que l’épopée des ténèbres reprenne, et qu’enfin elle soit récompensée de n’avoir jamais perdu la foi. Attendre son heure. Attendre d’être clairement la première de la nouvelle fournée des Mangemorts à être marquée, une bonne fois pour toutes. Quant à la chevalière qui orne son auriculaire, qu’importent les persiflages : elle ne l’a certainement pas volée, quand bien même elle n’a pas croupi à Azkaban comme d’autres.

baguette » Ollivanders n’a pas été particulièrement confiant lorsqu’il a vu quelle baguette répondait à la jeune Amabella, venue en essayer en compagnie de son frère, sous la supervision de leur mère. Jumelle dans sa composition de la baguette d’Abram, la sienne est cela dit plus fine et plus courte, plus souple aussi quoiqu’un peu tordue. Tandis qu’elle s’ennuyait, elle a lu beaucoup sur les végétaux utilisés pour les baguettes magiques : ça lui a permis de comprendre pourquoi sa baguette en bois d’if était aussi efficace en sorts à distance. De la corne de serpent cornu, semble-t-il le même que celui de la baguette d’Abram, complète l’appareil.

patronus » À quoi voulez-vous que ça lui serve ?

épouvantard » L’abandon, forcé, elle l’a déjà vécu et elle ne veut plus jamais. La solitude à petite dose, pourquoi pas, il faut bien reconnaître qu’une mère de nombreux bambins peut chérir les quelques instants en paix qu’elle arrive à grappiller par moments… Mais être seule, vraiment seule ? Sentir sa famille -voire sa fratrie, pire son propre jumeau ?!- tous et toutes enfermés et sans aucune possibilité de sortir de leur sentence à vie ?
Plus jamais.
Ils sont venus au monde ensemble, ce n'est pas pour qu'il lui soit arraché par des vulgaires lois.

particularité(s) » Occlumens, complexe, maître. Maître legilimens aussi pour trifouiller les pensées de ce cher Chadwick.