BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 the meanest dog you'll ever meet (yölo)

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Olivia Rashford
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Olivia Rashford
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the meanest dog you'll ever meet


1984 | Elle est assise dans un coin d’un pub sorcier de Diagon Alley, un de ceux qui ne paient pas de mine mais qui ont quand même du mal à égaler la réputation du Leaky Cauldron. On est en fin d’après-midi, et elle a fini sa journée tôt aujourd’hui. Elle a quitté la BPM sur le coup de trois heures de l’après-midi, en souhaitant une bonne fin de semaine à ses collègues dépités de la voir se barrer si tôt. Elle a passé une tête à l’entresol 2-3, histoire de rendre un rapport sur la situation à la Justice Magique, établie à partir de conversations entendues dans la salle de pause du niveau 2, et puis elle est partie aussi. C’est qu’elle avait rendez-vous.

Détendez-vous par contre, on parle d’un rendez-vous de travail, bien sûr. Un rendez-vous avec une source, qu’elle voit depuis environ un an, et avec qui elle ne fait pas que parler, certes, il faut bien le reconnaître. Il ne faut pas mélanger tout, mais elle estime arriver suffisamment bien à faire la part entre sa persona à la BPM, son travail pour la MISC, et la relation personnelle qu’elle peut avoir noué avec Falk.
Et puis si ça ne plaît pas à ses supérieurs, ils viendront lui dire, hein ?
C’est pas comme si elle n’avait pas indiqué dans un rapport qu’elle couchait avec sa source. Ça lui a valu une remarque de la part de sa responsable, qui était peu enthousiaste à cette idée, mais avait déjà fait vérifier les états de service de Falk et avait établi que c’était pas trop un problème.
Après tout, il n’était pas sur la liste des criminels recherchés, et n’avait pas non plus une vilaine marque sur l’avant-bras gauche qui aurait pu lui valoir un aller-simple assez sec et direct vers Azkaban, où croupissaient déjà pas mal de trous du cul marqués.

Assise donc dans ce pub sorcier, elle a devant elle une grande tasse de thé qui refroidit, et dans laquelle elle a versé à peu près le quart de la petite sucrière qu’on lui a apporté avec sa commande. La densité du fond de la tasse est plus forte que le haut, ce qui permet d’imaginer assez rapidement quel est le ratio sucre-eau chaude vaguement aromatisée, et donc de déterminer que cette boisson est désormais imbuvable pour 90% des personnes vivant dans le secteur.
Tout ce qu’on aime, donc.
Si le thé refroidit, c’est qu’elle lit le Daily Prophet avec attention, découvrant quelque chose qui porte sans doute la patte de la MISC de façon inconsciente : en effet, en page 3 du quotidien sorcier, trône une colonne indiquant que Marlon Travers a été arrêté pour le meurtre de sa femme et, accessoirement, pour son appartenance au club très sélect des partisans de Vous-Savez-Qui. Un petit froncement de nez accompagne la pensée fugace qu’il s’était bien planqué -mais en même temps, vu qu’ils avaient tous des masques quand ils commettaient leurs crimes anti-moldus, l’identification de certains Mangemorts avait pris un certain temps…

Passant à la colonne suivante, elle se désintéresse vaguement de la victoire silencieuse de son service (ou d’un échec partiellement rattrapé, sinon) pour se passionner pour l’annonce des fiançailles d’un couple de sang-purs qui ont certainement payé une coquette somme pour être à cette place dans le journal, afin d’annoncer leur mariage prochain. Elle continue la lecture minutieuse des nouvelles du jour, s’attardant brièvement sur une publicité (mensongère, évidemment, les journaux sorciers n’en sont pas exempts) promettant un rajeunissement évident si l’on participe à une étude alchimique de grande ampleur, avant de passer à la page suivante.
Elle ne va néanmoins pas plus loin, car une silhouette s’approche de sa table (sans qu’elle ne l’ait vu rentrer : serait-elle rouillée ? diantre, si jeune, ça serait dramatique !) et la pousse à replier son journal, de façon à accueillir comme il se doit son rendez-vous : « I do hope you have something juicy for me. », ouvre-t-elle la conversation, pleinement consciente qu’il serait bien capable d’embrayer sur des propos scabreux. « 'Cause you’re late. », enchaîne-t-elle, exprimant un reproche qu'elle ne déguise nullement, puisqu'elle est toujours aussi aimable qu’une porte d’Azkaban, comme si elle attendait qu’il explique ce qu’il avait foutu pour la faire patienter comme ça.
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Göran Falk
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Göran Falk
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Particularité : Le bras gauche d'un mort qu'il s'est fait greffer et l'esprit de ce mort qui le possède depuis janvier 2008. Fun (non) fact, c'est Amycus Carrow.
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Il y fait un peu plus frais qu’au Pérou. Non, franchement, ça caille carrément. Puis c’est pas ta pelisse rapiécée qui va te réchauffer. Même si, dans les faits, t’es bien plus habitué aux basses températures que la grande majorité des sorciers que tu croises dans l’Allée de Traverse, le choc thermique encaissé depuis ton arrivée fait se dresser les poils sur ta nuque. Quelques regards de biais te sont d’ailleurs adressés, regards auxquels tu prêtes pas la moindre attention (et tu devrais, pourtant, car si ceux-là s’inquiètent de ta présence, d’autres plus autoritaires pourraient vouloir te renifler d’un peu trop près). C’est que t’as rien de présentable : ton allure toute entière a l’air de crier 'foutez-moi en taule qu’on se marre'. Entre le cuir tanné et noir qui compose une partie de tes hardes et les traces de sang sec qui marquent sur un revers, un bout de botte ou de manche le braconnage dont tu reviens, t’es effectivement bon pour le mitard. Belle ironie puisque tu files, de ton pas lourd et lent, rejoindre Olivia sugardaddy Rashford, inspectrice (?) (t’as jamais trop compris quel était son titre et son rôle et t’as jamais trop cherché à lever ce brouillard) chevronnée du Ministère de la Magie anglais, sempiternel trophée dans ton tableau de chasse qui t’émoustille si bien les papilles que t’y reviens, encore, et encore, de la même manière qu’elle tape, encore, et encore, dans les sucriers qui vous accompagnent à chacune de vos entrevues (même celles où vous êtes à poil, c’est dire si madame tient à ses glucides).

Certains badauds rouspètent comme tu dégages ici et là le passage de tes larges épaules, moins par brutalité que malhabileté tellement t’es pas habitué à l’exiguïté de la ville. Par les dieux, jamais on te prendra à vivre dans pareil trou à rats ! Et même les rats y sont plus à l’aise que les gens, tu paries, tandis que tu jettes une prunelle froide à la devanture d’une boutique dans laquelle une foule se presse. "Ugh", tu grognes, laissant échapper un nuage de vapeur puant la blase. C’est bien parce qu’elle est un bon coup, la Rashford, sinon tu te serais déjà barré. Clairement, c’est pas pour ton score en B.A. que t’apprécies la rencarder de temps en temps à propos de ton monde (criminel, si jamais le doute subsiste), non plus pour son amabilité de Troll (et tu sais de quoi tu parles).

En pénétrant dans le pub, une chaleur confortable vient cajoler la pâleur de tes chairs. Ça manque selon toi de rires qui éclatent à tout va et de chansons paillardes mugies derrière des chopes brandies, mais tu t’attendais globalement à ce calme tranquille et réservé en retrouvant les terres britanniques. T’approches de la table où tu vois qu’Olivia t’attend et lui adresses un petit sourire de con. "I do hope you have something juicy for me." Sourire qui s’étire complètement et découvre tes rangées de dents noiraudes : t’es désespérément prévisible. Si l’enchaînement ne te permet pas de mollarder un truc scabreux, ta gueule entière, plus balafrée encore qu’à votre dernier rendez-vous, transpire la débauche. "'Cause you’re late.Well", et de poser un lourd sac en toile crasseuse sur la table, près de la tasse de thé, avant d’en tirer une boîte en bois de noyer, elle, étonnamment propre, "that’s part of my charm. The more you wait, the bigger the treat." L’allusion est aussi énorme que toi, qui t’assieds en face sur une banquette de toute évidence trop étroite. Si d’aventure elle ose ouvrir la boîte, des alfajores l’y attendent sagement, fourrés à la confiture de lait et saupoudrés d’une épice sorcière dont les papilles raffolent, là-bas (qu’elle soit aphrodisiaque est un détail, ça va sans dire). Jamais on ne t’a autant vu aux petits soins avec une femme, t’en deviendrais presque mignon, à la limite du gnagnan. Même le regard que tu coules en sa direction brille d’une facétie qui te rajeunit et t’adoucit cette gueule chez toi décidément patibulaire. "How’s my sugar?" T’y vas comme un bourrin, mais la bouche en cœur. On pourrait s’y méprendre si t’étais pas aussi poisseux et tes ongles pleins d’une terre qui a tassé quelques tombes.

"Hey!", tu scandes cette fois à l’attention du gargotier qui passe pas loin de vous (le ton a changé, il est brutal, sans non plus être agressif), "what’s your worst poison?", red currant rum, on te répond. Tu godailles une grimace, parce que tu t’attendais (quand même) à mieux, mais valides le choix d’un geste de pogne évasif. T'as besoin d'un remontant car, mine de rien, l’épuisement t’écrase la cervelle. A courir dans tous les sens pour buter tout plein de trucs (confondus) tu finis par perdre un peu haleine. Au final, ces apartés que t’as avec Olivia sont de loin les moments les plus calmes de ton quotidien. Encore que tu repars souvent plus fatigué que t’es arrivé. Piquant sa tasse de tes gros doigts, t’hasardes un œil amusé, moquant (gentiment) (wow) le contenu qui te surprend clairement pas. Ignorant, aussi et surtout, son interrogatoire camouflé, comme si la faire mijoter t’amusait mille fois plus que de bigler sur son sucre au thé. Obviously, toi, t'es pas là pour le travail.


Dernière édition par Göran Falk le Sam 11 Juin - 17:19, édité 6 fois
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Olivia Rashford
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Le rictus qui se dessine sur les traits de Falk était prévisible et Liv sent qu’elle n’en a pas fini des sous-entendus scabreux de son informateur et amant. Elle ne relève pas davantage et le suit du regard, ses billes qui se parent d’une lueur plutôt intriguée lorsqu’il sort du sac crasseux une boîte en bois plutôt élégante.  « that’s part of my charm. The more you wait, the bigger the treat. - Lovely, as usual. », raille-t-elle en secouant la tête de gauche à droite, presque déçue du manque de subtilité de cet homme. Mais bon, elle ne lui demande pas de lui chanter des sérénades : il est efficace dans les informations qu’il peut lui donner, et dans d’autres domaines également, sans qu’il ne soit nécessaire qu’il soit particulièrement délicat dans ses propos. Détaillant l’apparence du rustre d’un bref coup d’œil, la brigadière de la police magique repère çà et là certaines éraflures sur le cuir et se doute que sa dernière balade n’a pas dû être une promenade de santé. Elle sort de sa contemplation silencieuse lorsqu’il s’adresse à elle de façon plus frontale, alors qu’il arrive à lui arracher un sourire presque charmé : « How’s my sugar? - I wouldn’t know. Who’s she? », répond-elle donc, joueuse, avant de prendre une gorgée de son thé tiède archi-sucré. À peine repose-t-elle la tasse sur la table que Falk s’en empare et jette un coup d’œil pour constater les dégâts.

« What now? » Olivia tend la main sans supplier, d’un simple air impérieux qui ne trouve néanmoins pas d’écho ou de réaction chez Göran. Puis, puisque cela n’a pas d’effet, elle soupire sans s’énerver, et en profite pour déverrouiller le petit mécanisme de la boîte et en découvrir le contenu. Alors qu’il s’était effacé, un sourire amusé revient sur ses lèvres alors qu’elle relève les yeux vers son invité, à qui le serveur apporte tout juste son poison. « Don’t tell me you’re sugarcoating some shitty deal you’ve just made… » Pour des personnes extérieures, ça pourrait être de la taquinerie amicale. Reste quand même que Liv préfèrerait que son informateur ne commence pas à faire trop de conneries shady qui le feraient passer de l’autre côté de la ligne de tolérance de la MISC quant aux low-life criminels du Royaume-Uni. Ça serait quand même embêtant de voir passer ce qu’ils ont en un jeu plus agressif du chat et de la souris. « Are you? Trying to get on my good side with the pastries? I already told you I won’t bail you out if you end up in jail. Now, let's see what you've brought me this time » Et tout en disant cela, elle tend quand même la main vers un des biscuits que la boîte tient comme un écrin et croque dedans, après avoir reniflé brièvement l’ensemble (on n’est jamais trop prudent). Pas d'odeur suspecte, et puis (réflexion faite) il n'aurait pas vraiment intérêt à l'empoisonner aussi vite, dans un lieu public de surcroît.

Un temps de réflexion, tandis qu’elle mâche la première bouchée, avale et finit par laisser échapper un petit grognement d’approbation avant de revenir sur les menaces précédentes : « Yeah okay, these treats might just save your ass. » Et d’enchaîner, en ancrant ses prunelles sombres dans les yeux de Falk, beaucoup moins menaçante maintenant qu’elle tient un alfajor entamé dans la main droite et a un peu de sucre glace et d’épice sur la lèvre supérieure : « Now, tell me where you were. Please. » ajoute-t-elle plus pour lui faire sentir l'insistance de la requête que par une politesse dont elle se passe en général.
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Göran Falk
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Göran Falk
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( tw ; vulgarité, mention de mutilation )

A croire que tout ton capital sympathie n’est réservé qu’à la Rashford. Toi qui passes tes journées à grogner sur les uns et gueuler sur les autres pour tirer ton épingle du sombre jeu criminel, deviens un ours à la guimauve sur ton petit carré de banquette. Il suffit qu’elle te taquine de son "Who’s she?" ou se renfrogne à la vue de ton cadeaux qu’elle finit pourtant par ouvrir, pour que ton grand sourire d’idiot continue de s’élargir. A ce train-là, t’auras bientôt plus assez de joues pour contenir ta risette. "Don’t tell me you’re sugarcoating some shitty deal you’ve just made…" Tes zygomatiques restent figées comme si t’avais pas entendu les soupçons de l’anglaise ; que tes tympans ont pourtant très bien recueillis mais d’un, t’as pas tout pigé de la langue étrangère et de deux, t’es pas pressé d’entrer dans le vif du sujet. Tu préfères lui mater sa bouille et surtout sa réaction, elle qui va bientôt goûter à tes friandises, de la même manière que t’aimes la voir s’abandonner quand la jouissance l’étreint.

"Are you? Trying to get on my good side with the pastries?" C’était donc ça… Arrivant à point nommé, le gargotier dépose ta commande sous le nez, t’arrachant à la contemplation de ton interlocutrice pour bigler cette fois sur la gnole. Tu redéposes la tasse que tu lui as chipée pour glisser ta pogne jusqu’au verre, et bois. Comme un soiffard. Ou quelqu’un qui évite sciemment le sujet de discussion. "I already told you I won’t bail you out if you end up in jail." Un gros bonk ponctue l’avertissement d’Olivia, car ton verre, déjà vidé, s’est retrouvé sur votre table en moins temps qu’il en faut pour te gronder. Son ton autoritaire t’amuse plus qu’autre chose. Et ton sourire, renaissant sur tes lippes après qu’un revers de pogne y ait essuyé les traces de rhum, passe à l’oblique. C’est une blague entre vous, de plutôt mauvais goût quand on sait que l’un est hors-la-loi et l’autre, tout au contraire, femme de loi. Tu sais très bien que tu pourrais pas compter sur elle (et tu ne comptes, de toute façon, sur personne d’autre que ta gueule), mais vos vacheries et autres taquineries ont toujours rythmé vos échanges et ce depuis le premier jour ; si bien qu’elles font partie du paysage et que tu t’ennuierais, si y avait pas cette petite tension permanente de flic et de voyou.

"Now, let's see what you've brought me this time." Tes coudes s’écrasent un peu plus contre la table, les bras cette fois croisés (bien que t’as gardé ton verre vide dans une main, de fait renversé), et ta mâchoire suit les mouvements qu’elle exécute : pour prendre un biscuit, pour le renifler (tu lâches un ricanement tout droit venu de ta panse), et enfin pour le croquer. T’as la nuque qui se tend tellement tu lui fouilles les traits pour y dégoter la fameuse réaction que t’attendais, et, quand elle te la donne, dans un petit grognement satisfait, tu souris de plus belles en reculant sur ta banquette. "Ha!Yeah okay, these treats might just save your ass." Refait comme pas permis, t’as abandonné ton verre pour mieux croiser tes bras, le dos appuyé contre ton assise dans une attitude pure de manspreading. Vu la clientèle discrète et tranquille qui se presse dans le lieu, tu fais tache. Mais après tout, tu faisais déjà tache à peine ton pied a-t-il foulé le Londres sorcier. "Good to know", que tu rétorques, sans te départir de ta risette. Même si t’as plus dans l’idée de lui grapiller un autre genre de faveur. D’autant qu’il t’est devenu encore plus difficile de te concentrer maintenant qu’elle a une ligne de sucre glace soulignant sa lippe. Et faudra pas compter sur toi pour l’en avertir. T’aimes bien trop la vision. T’aimes tellement que tu te bouffes brièvement la lèvre supérieure, manière de patienter jusqu’à ce que tu puisses l’approcher davantage.

"Now, tell me where you were." Hein ? Quoi ? Ton regard salace change de cible et retrouve celui insistant d’Olivia. "Please.Yes, yes…", tu temporises, oscillant de la caboche sur laquelle tes mèches mi-longues s’agitent (à peine, vu que la crasse les y collent). Le ton bourru est revenu, de même que le patibulaire de tes traits. Pas tellement à cause de l’impatience de la Rashford (quoique) mais plutôt parce qu’on te ramène à ton quotidien et les emmerdes récemment essuyées. "Remember that fucker?" Vaste question, vu le nombre de fuckers que vous êtes à noircir ses rapports, tu précises donc assez vite, "the one who dealt fake wands?" C’est un peu plus compliqué et sordide que ça, attendu que le type en question revendait, jusqu’à récemment, des baguettes piégées pour exploser entre les mains des nés-moldus, mais t’as ni le vocabulaire pour t’étendre sur le sujet, ni vraiment besoin de compléter, puisque l’anglaise a déjà trouvé le nom pour toi. "Right! Docherty. Well I found him." Ce qui est un scoop en soi, étant donné l’avis de recherche qui traîne depuis plusieurs mois. "In Lima (that's where I was). This asshole tried to sell me a cage somehow modified. You know, for-", oui, bon, t’es pas con au point de formuler à voix haute la teneur de tes activités illégales, ta grosse dextre quitte donc un instant le nœud de tes bras pour balayer l’info loin des oreilles de la brigadière, puis tu poursuis, "turns out, the cage killed what I put in there. Yeah, yeah: should have known better. But I didn't recognise the bastard at first, I mean they all look alike." T’as jamais été un physionomiste. Du coup on te croit encore plus crétin que ce que t’es vraiment mais tu saurais pas différencier un visage d’un autre, même s’ils n’ont rien à voir, à partir du moment où tu connais pas, ou peu, l’individu. Les dieux savent que ça t’en a joué, des tours… "Anyway. If you guys want to catch him, he's still in Lima. Not exactly in one piece", et vu ta mimique dédaigneuse, c’est un peu de ta faute, "but hey, who cares?"

Et d’alpaguer à nouveau le gargotier pour lui réclamer un second verre. C’est que t’as soif. Puis t'as faim, aussi. Pas que de nourriture, mais étant donné que l’anglaise n’a pas l’air disposée à se laisser croquer de sitôt, tu lorgnes sur les alfajores en les indiquant d’un coup de menton. "You share some?"


Dernière édition par Göran Falk le Sam 11 Juin - 17:20, édité 5 fois
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Olivia Rashford
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Elle lui demande à peu près poliment d’arrêter de tortiller du cul et de lui dire exactement ce qu’il a foutu tout ce temps. Elle repère bien les œillades qu’il lui adresse, le rictus qu’il affiche, elle se doute qu’il pense probablement à autre chose que leur petite discussion tout à fait innocente pour le moment, mais il est hors de question qu’elle le laisse s’en tirer comme ça aussi vite. Il y a bien un moment où elle va lâcher l’affaire, mais il s’agirait quand même de ne pas s’arrêter trop vite dans l’interrogatoire qui n’a pas l’air d’en être un.

Il grogne, s’ébroue comme un chien fou, et enfin il commence à obtempérer, d’une façon qui manque cruellement (mais comme à son habitude) de clarté : "Remember that fucker? - Elaborate, maybe?" Un soupir s’échappe d’entre les lèvres de Liv alors qu’elle reprend une bouchée d’alfajor, puisqu’elle n’est pas censée être celle qui occupe toute la conversation. "the one who dealt fake wands? - Docherty? This fucker?, hasarde-t-elle, en arquant un sourcil, entre deux bouchées. Elle n’en voit pas beaucoup des connards qui font ce genre de trafic en ce moment. -Right! Docherty. Well I found him." Elle déglutit, un m-mh? en guise d’invitation à poursuivre plus allant ce récit. Les billes de la brigadière sont sombres et plutôt neutres alors qu’elles dévisagent le criminel qui s’étale largement face à elle. Alors qu’elle termine le biscuit, elle en profite pour lécher rapidement le sucre glace sur l’extrémité de ses doigts, le faisant machinalement (et en sachant parfaitement que ça risque de l’émoustiller plus que de raison, mais tant pis, le sucre est addictif, il paraît). Ça ne semble heureusement par trop émouvoir le malfrat qui poursuit son récit et continue la Geste de la poursuite de Docherty. "In Lima (that's where I was). This asshole tried to sell me a cage somehow modified. You know, for-" Elle hoche la tête, se satisfait de savoir (enfin !) où était Falk. D’un moulinet du poignet, elle lui indique qu’elle a très bien compris de quoi il parle (elle sait suffisamment bien ce qu’il trafique, merci), qu’il n’a pas besoin de détailler ce point-là en particulier. "turns out, the cage killed what I put in there. - Oh no., minaude-t-elle, absolument pas désolée pour lui. - Yeah, yeah: should have known better. But I didn't recognise the bastard at first, I mean they all look alike." Elle le dévisage d’une façon qui pourrait tout autant vouloir dire You’re a dick. que Poor poor man. Difficile à déterminer vu qu’elle ne pipe pas mot sur le coup, ne voulant surtout pas lui donner l’impression qu’elle veut l’interrompre dans cette histoire. "Anyway. If you guys want to catch him, he's still in Lima. Not exactly in one piece… but hey, who cares?" Un ricanement s’échappe d’entre les lèvres de la sorcière, pour ponctuer cette annonce et Liv hoche la tête sortant un calepin et une plume de nulle part, sur lequel elle inscrit brièvement les quelques informations qu’il vient de lui divulguer, résumées en un Docherty, wounded in Lima. Le département fera ce qu’il pourra avec ce genre d’informations. Ça ne sera sans doute pas difficile de le retrouver, vu l’état du trafiquant.

Profitant qu’il passe commande auprès du barman qui passe, Olivia redemande de l’eau chaude. Elle ne compte pour autant pas spécialement changer de tasse, merci. C’est qu’il y reste encore pas mal de sucre, ça serait dommage de gâcher. Elle hésite à piocher dans la boîte pour reprendre une de ces petites douceurs quand Göran signale son intérêt partagé : "You share some?" Plissant un peu le nez, Liv le fixe, se penche un peu vers lui (une mèche de cheveux noirs frôle dangereusement le bord de sa tasse -vidée de tout liquide, cela dit) et souffle un : "I might be of a mind to share some, yeah…" Mais la cruelle referme néanmoins la boîte et l’attire près d’elle, sans même en avoir tiré un deuxième, usant des sucreries comme d’un appât, alors pose son coude sur la table et tend le cou vers Falk : "Yet… These aren’t the only treats you bring me, aren’t they?" Évidemment qu’il y a un sous-entendu graveleux dans cette phrase. Il y a aussi quelque envie de fouiller davantage dans la fange que Göran charrie avec lui, comme pour vérifier qu’il n’est pas en train de l’enfumer avec cette histoire de trafiquant de baguettes, de façon à dissimuler un plus gros poisson qu’il serait venu à croiser. "Was Docherty the only fucker you saw, back in Peru? You know me, I just love your stories…" À mordiller sa lèvre inférieure en papillonnant des cils comme une biche, elle l’allume sans vergogne et cherche franchement à puiser dans les instincts les plus bas de Falk pour l’amener à se mettre en valeur… Et puis bon, aguicher, c’est un peu aussi prendre de l’avance sur la suite. C’est qu’elle aime bien allier l’utile à l’agréable, dans ces entrevues…
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Göran Falk
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Âge : 59 piges.
Occupation : Prêteur sur gage dans l'Allée des Embrumes, à Londres.
Allégeance : Aux Black Hands, pour qui il œuvre au rang de Black Thumb.
Particularité : Le bras gauche d'un mort qu'il s'est fait greffer et l'esprit de ce mort qui le possède depuis janvier 2008. Fun (non) fact, c'est Amycus Carrow.
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( cw ; propos explicites )

Qu’est-ce qu’elle est belle, la Rashford. Qu’est-ce qu’elle te plaît. Quand elle se penche comme ça, en avant, et qu’elle fait tomber sa cascade de jais sur son minois rebondi. T’en oublies la fatigue qui te plombe les poignets, l’épuisement d’une vie passée à traquer ou être traqué, la douleur des blessures qui en résultent, et l’éternel recommencement de tout ça dans lequel tu replonges à chaque fois que tu la quittes. Si t’étais pas un morfal qui noie ses vieux chagrins entre les cuisses de ces dames tu pourrais même te contenter de ça, de cette petite pause passée en agréable compagnie, à mater Olivia plus que tu ne l’écoutes (soyons honnêtes).  

Mais t’as l’appétit aussi gros que celui des trolls que toi et ton clan de dégénérés chassiez dans vos montagnes, et le fait qu’elle retienne comme ça les petites douceurs que tu lui as offertes, en plus de te faire lambiner sur le plan charnel, t’arrache un soupir bon à soulever sa longue mèche. "Oh come on…", que tu chouines de ta voix de rogomme, si bien qu’on se demande si tu couines ou si tu grognes. "Yet… These aren’t the only treats you bring me, aren’t they?" Et de la regarder de côté après que ta mâchoire se soit affalée sur l’un de tes poignets, le coude planté contre la table, incapable de dire si son jeu te les brise, t’amuse, ou t’allume. Sûrement tout ça en même temps. Tu râles dans ta barbe blonde un "stubborn woman", sans pour autant l’arrêter dans sa lancée, parce qu’elle est justement têtue et que tu sais que toute entreprise visant à la détourner de ses idées fixes serait un échec. En plus d’être une perte d’énergie (énergie que tu préfères garder pour plus tard, à moins qu’elle pousse le vice jusqu’à s’évanouir dans les rues de la ville, boudant le reste de tes gâteries…). "Was Docherty the only fucker you saw, back in Peru? You know me, I just love your stories…And I love your ass, but we don't always get what we want, am I right?" Ça valait le coup d’être mentionné, parce que t’es là pour enfiler autre chose que des perles, et que tu considères avoir rempli la part de ton contrat, même si tu vois bien qu’Olivia n’en démord pas et qu’elle n’en démordrait pas même si t’y mettais du tien (entendre t’énerver pour de bon, parce que là c’est à peine si tu fais l’effort d’avoir l’air contrarié). "Look, I come across a lot of fuckers, I don't-" Puis tu t’interromps, le blanc de tes pupilles figé dans le vide, perdu dans une réflexion semble-t-il intense. Maintenant que t’y penses, y a bien un type que t’aimerais voir disparaître de ton panorama, cet enfoiré de Farid qui continue de t’envoyer ses chiens au cul depuis un peu trop d’années à ton goût (à raison, vu la crasse que tu lui as faite, mais t’es pas né empathique, encore moins la morale vissée au front).  

"Er, alright", tu te fends d’une mine consternée qui ne trompe personne, vu que tu joues aussi mal la comédie que tu mens, et profites qu’on te glisse ton second verre de gnôle pour réfléchir à comment lui amener la chose. Considérant que t’es un piètre menteur, et qu’Olivia est un fin limier, tu choisis (assez intelligemment) de pas trop lui raconter de salades (pas trop). "I know this one: Farid Prakoso, sometimes called Prako, or Prako The One-Eyed", pour autant que tu saches il est aussi borgne que toi t’es gallois mais le monde criminel a toujours aimé la confusion, et tu veux justement être certain de lui filer toutes les informations possibles pouvant l’aider elle et ses gus à coincer Farid. "He's not in America, though, but in Indonesia, in Medan actually." Tu t’es redressé et fais rouler ton verre plein entre tes grandes paumes déjà usées, non sans jeter un coup d’œil au calepin sorti plus tôt comme pour l’encourager à prendre toutes (absolument toutes) les notes nécessaires. "Western district", tu précises d’ailleurs, comme si le détail avait son importance (il en a, vu qu’il en est entre autres choses le caïd). Le truc avec Farid et sa bande, c’est qu’on pourrait les croire médiocres, de la petite frappe de quartier comme t’en manges de temps en temps. Une erreur que t’as faite et que t’es pas prêt de recommencer. "Little shit, but big assets. He's in bed with the Black Axe, a gang of yours, I reckon." T’avales une gorgée de ton rhum rouge et ponctues, après avoir levé les sourcils et serré tes babines. "Lots of crimes that Farid. Lots, lots of crimes. Robbery, scam, murder", mouvement de paluche, "you name it, he did it." T’en rajoutes à peine (même si c’est fait sans subtilité). Farid est une plaie ; pas tellement pour ses faits d’armes, qui te font ni chaud ni froid, mais parce qu’il est plein de ressources, ressources qu’il a acquises en s’acoquinant justement avec de gros gangs d’ici et d’ailleurs. Autrement dit Farid est partout. Et c’est bien là ton problème. Tu t’arraches à ta deuxième rasade pour préciser, l’index tendu et la déglutition à peine terminée : "oh and, for the record", si, si, ça aussi c’est important qu’elle note, "he has his own gang, about thirty men, maybe more, maybe less", selon les périodes, les désertions et morts subites remplacent les recrutements instables de Farid, "but my point is: if you decide to catch them, get some backup, they’re fucking wild." Et pour que toi, tu dises ça… c’est qu’ils sont vraiment finis à la pisse.  

D’un mouvement en arrière, ton dos a retrouvé le confort de la banquette. Et par là même, l’une de tes jambes s’est étirée, pas tout à fait de tout son long, car la place n’y est pas, mais assez pour entrer en contact avec celles d’Olivia, se glisser entre ses deux mollets. Voire même ses cuisses, si elle te laisse faire."Can we drop the topic now? If you don't want to talk about you, we can always fuck, you know." Tes doigts font derechef rouler le verre, cette-fois vidé, tandis que tu la regardes d’en bas (aussi bas que puisse être ta gueule, à peine plus en deçà que la sienne, même si tu t’es affaissé). Contrairement à ce qu’on pourrait croire, t’es pas aussi bon que l’anglaise pour utiliser tes charmes ; le sujet Farid déballé, tu passes déjà à autre chose, sans même t’inquiéter de son devenir. Tant mieux s’ils le coincent. Tant pis s’il les indiffère. T’as le fatalisme imprégné dans la peau comme n'importe lequel de tes tatouages. Ça et ton gros appétit, fameux et frustré, qui revient sur le devant de la scène en faisant littéralement du pied.


Dernière édition par Göran Falk le Sam 11 Juin - 17:21, édité 6 fois
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Olivia Rashford
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Olivia Rashford
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Est-ce que Liv Rashford est consciente de l’effet qu’elle a sur Falk ? Please… ce serait l’insulter que de considérer qu’elle est bête au point de ne pas s’en rendre compte. Résultat, évidemment, elle en joue, se fait vague et ne laisse que l’écume à portée de mains du Suédois. Elle cherche, elle cherche, et elle trouve. "Was Docherty the only fucker you saw, back in Peru? You know me, I just love your stories…And I love your ass, but we don't always get what we want, am I right? Et elle se dérobe tout aussi rapidement, d’un Pig!" même pas crédible.

"Look, I come across a lot of fuckers, I don't-" Le fait qu’il s’interrompe soudainement ne dit rien qui vaille, hein. Elle le fixe, avec patience, calme, attention, mais l’instant de grâce ne risque pas d’être éternel alors il vaudrait mieux qu’il se mette rapidement à table avant qu’elle se lasse, finisse sa tasse de sucre mouillé et se barre. Il reprend soudainement vie, essaie de donner le change mais Liv sent l’entourloupe à des kilomètres. Elle attend quand même de voir : sait-on jamais, des fois qu’il se décide à se bouger le cul et glisser quelque chose d’intéressant sous sa dent (en plus des sucreries qui attendent encore dans la boîte qu’elle maintient fermée). "I know this one: Farid Prakoso, sometimes called Prako, or Prako The One-Eyed - Sounds like a real charmer…" commente-t-elle en notant le nom sans vraiment savoir comment ça s’écrit (elle le fait à l’oreille, on vérifiera plus tard). "He's not in America, though, but in Indonesia, in Medan actually." Un coup d’œil vers Falk, l’air de lui demander s’il se foutrait pas un peu de sa gueule à lui révéler la bouche en cœur qu’il était allé ailleurs qu’au Pérou. Vu qu’il se concentre sur son verre, elle remet à plus tard les remontrances quant aux tactiques d’enfumage, alors qu’il précise davantage. "Western district - Western district.", répète-t-elle en notant, consciencieusement ce qu’il daigne lui raconter. Elle triera plus tard le bon grain de l’ivraie, au calme au bureau. Pour l’heure, elle a jamais eu vraiment à se plaindre des informations de Göran qui s’avère être plus tôt fiable (il vaut mieux, sinon il ne reverra plus vraiment ses miches). Il continue et elle ne l’interrompt pas, étudiant un instant le visage du malfrat, se demandant ce que ce Prako peut avoir fait pour lui valoir une place dans son petit calepin alors qu’il n’était pas dans sa ligne de mire. "Little shit, but big assets. He's in bed with the Black Axe, a gang of yours, I reckon." Ah ça, oui, elle les connaît. Elle hoche la tête avec un ricanement bref, prend une gorgée de son nouveau thé, mordille le bout de sa plume auto-encrable alors qu’elle le dévisage. "Lots of crimes that Farid. Lots, lots of crimes. Robbery, scam, murder, you name it, he did it." Un bon petit Hufflepuff, comme on n’en fait toujours, en gros… Falk entre encore plus dans les détails, l’informant d’un double-bingo sur le criminel qu’il est en train de mettre en boîte pour elle "but my point is: if you decide to catch them, get some backup, they’re fucking wild. - There’s no way he’s gonna see my face, but I’ll let ‘em know."

Un peu comme en reflet du mouvement de Falk, elle s’écarte de la table et replie tout son barda pour le faire disparaître dans une poche sans fond de sa robe de sorcière. Et c’est à ce moment qu’elle sent le pied de Falk contre son tibia, alors qu’il la relance sur un sujet beaucoup moins professionnel : "Can we drop the topic now? If you don't want to talk about you, we can always fuck, you know." C’est un vrai éclat de rire qui s’échappe d’entre ses lèvres alors qu’elle repose la tasse qu’elle tenait négligemment dans sa main droite. De la gauche, elle rouvre la boîte contenant les friandises, la pousse un peu plus vers le milieu de la table et se sert, avant de lui faire un signe pour lui faire comprendre (si ce n’était toujours pas le cas) qu’il pouvait en piocher un également. Gardant les jambes quelque peu écartées pour le laisser continuer son manège sous-table, elle minaude, le biscuit toujours intact dans la main : "Yeah, okay, you’ve earned a taste…" Sans préciser si elle fait référence aux alfajores, ou à un tout autre type de récompense. Elle devient songeuse, croque dans la sucrerie et mâche avant de reprendre, alors que le silence s’installe tranquillement entre eux. "See, I can’t figure out whether you’re trying to trick me into telling you personal stuff about myself, or if you’re horny as fuck…" Du bout de l’index, elle essuie un peu de confiture de lait qui s’était égarée au coin de ses lèvres, les yeux bien ancrés dans ceux de Falk sans une once de subtilité pendant ce geste. "Besides, my life is pretty boring as it is, in the Brigade…" Elle hausse les épaules, engloutit le reste de son biscuit fourré, fait descendre le tout avec une gorgée de thé et puis, passant une main dans ses cheveux de jais, observe, plutôt satisfaite de constater ça : "Already finished with your drink, are you now? Do you want to order another one, or shall we take off?" La question est rhétorique, mais elle la pose quand même. Peut-être un peu pour le faire tourner en bourrique, alors que le pied sous la table est une évidence comme une autre qu'il a des choses plus indécentes à faire avec elle, d'ici peu. Elle sort quand même une bourse, pour en sortir quelques pièces, hésite quelques secondes avant d'en sortir trois de plus (des noises), et ajoute, à l'adresse de Falk, tout en se levant et en reprenant ses affaires : "This one's on me. Let’s say this is for your service."
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Göran Falk
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Göran Falk
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( cw ; contenu explicite )

Femme qui rit…
T’écarquilles tes babines en réponse à sa marrade, pas que tu t’attendais spécialement à faire mouche (vu que t’es pas un type drôle, et que t’essaies même pas de l’être), mais t’apprécies qu’elle se détende un peu de l’uniforme. Quand bien même se foutrait-elle de ta gueule, tu la préfères comme ça plutôt qu’aimable comme tes poings. T’as même le plaisir de constater, en suivant son petit geste des yeux, qu’elle te cède enfin de ses pâtisseries. L’aurais-tu convaincue, la Rashford ? Etant donné que ses talons ne t’ont toujours pas foutu deux-trois coups dans les tibias et qu’elle laisse tes jambes s’aventurer sous table, t’en déduis que les signaux ont tous viré au vert. "Yeah, okay, you’ve earned a taste…" A ton tour de te bidonner tranquillement dans ta barbe. Qu’elle aille pas te faire croire qu’elle veut que tu restes sage et serviable encore longtemps, ses sous-entendus commencent sérieusement à dépasser les tiens dans la course à la gravelure.

Une main se tend et grapille un alfajor avec lequel tu te goinfres, à défaut de fourrer autre chose dans ta gueule. Merde. C’est que c’est sacrément bon. T’en repiques un second dans la foulée, alors que tu continues de mâcher le premier. "See, I can’t figure out whether you’re trying to trick me into telling you personal stuff about myself, or if you’re horny as fuck…" Et de s’essuyer le bout des lippes, ce que tu manques pas d’observer de là où t’es, secouant doucement la tête en avalant le gros morceau engouffré. "Skit, you're making it really hard…" Dans ton pantalon, déjà (ce qui confirme la seconde hypothèse – mais qui en doutait). Ensuite parce qu’elle t’attend à des endroits où tu te rendrais même pas ; pourquoi est-ce que tu voudrais l’embrouiller avec tes questions ? T’es roublard à l’occasion mais clairement pas assez intelligent pour piéger Olivia Rashford de la moindre manière que ce soit. Ce qui nous amène à une conclusion en cela inouïe qu’elle est rare, te concernant : you do give a shit. Elle pourrait te causer de ses petits tracas au boulot, ou de combien elle a acheté son dernier blazer, que t’aurais la patience de t’y intéresser (dans la mesure de tes moyens, oui, bon, ne forçons pas le miracle). "Besides, my life is pretty boring as it is, in the Brigade…" T’hasardes un regard en sa direction, avant d’en revenir à ton deuxième alfajor à moitié dégommé. "No doubt." Rester enfermée toute la journée entre quatre murs ; quelle plaie. Tu sais pas comment elle fait. D'ailleurs t'as pas trop conscience de ce qu’elle y fait, là-bas, tu serais même incapable d’imaginer le lieu et le fonctionnement dudit lieu, le principe même d’être assis derrière un bureau t’étant parfaitement inconnu.

"Already finished with your drink, are you now? Do you want to order another one, or shall we take off?" Ta main pleine de sucre glace, jointe à l’autre (un peu) plus propre, tapent toutes deux sur tes cuisses après s’être levées en signe d’approbation. Pas besoin de te le répéter deux fois. "Yeh let’s roll." Dans ta précipitation, tu manques soulever la table en te levant, ce que tu parviens de justesse à éviter, au prix d’un coup contre la banquette qui fait sursauter les clients juste derrière. Voyez un troll ? Voyez un magasin de porcelaine ? You get it. "This one's on me. Let’s say this is for your service." Petit regard vers le bas (où elle se trouve) (pas que la différence de taille, retrouvée depuis que vous vous êtes levés, te permette de reprendre le dessus, huh) ; sugardaddy n’était pas exagéré. "Appreciated." Et de la suivre vers l’extérieur en te retenant de glisser les piécettes droit dans tes poches. Comme quoi, tu sais te tenir…

* * *

… ou pas. Tes mains sont déjà partout sur Olivia quand vous arrivez devant la porte d’entrée de son domicile. Son domicile, oui, c’est autant une première qui a son importance qu’un détail que tu mets pour l’instant de côté, préférant saisir l’opportunité d’un rapprochement plutôt que de bavarder à propos du choix qui a été fait sur le point de chute censé accueillir vos ébats.

Le bois claque tout juste derrière vos corps entrelacés au moment où tu te débarrasses de ton gros et long manteau qui s’écroule par terre où les affaires d’Olivia sont elles aussi abandonnées (petite pensée pour la boîte d’alfajores, que tu cognes sans égards d’un bout de botte). Tu sais même pas où vous allez, c’est à peine si tu laisses le temps à la brigadière de vous conduire jusqu’à la chambre ; elle pourrait t’arrêter à tout moment, elle pourrait te repousser, ou te gueuler d’y aller mollo, mais tu sens qu’elle croule sous la même fièvre que toi, peut-être parce que tu la ravives, d’une caresse ferme sur ses fesses, ou d’un baiser affamé contre sa nuque, à moins que ce soit elle qui mette le feu aux poudres en se collant comme elle le fait contre tes hardes de bandit et ton désir palpable, raide.

Tes pattes de mufle se hâtent pour lui retirer son haut, après quoi tes bras la saisissent et l’enlacent, s’imprégnant de la douceur de sa peau, brune comme des terres fertiles sur lesquelles tu rêves planter d’autres baisers. Un meuble ou deux sont bousculés dans votre progression, quelque chose tombe, se casse, sous ton indifférence complète, et même lorsqu’Olivia fait mine de s’y intéresser, tu l’arraches à son observation en l’entraînant contre une cloison. Où tu la dévores un peu plus, allant des seins à qui t’as ôté toute pudeur, au nombril, vers lequel tu te baisses, genoux à terre. Le bas de ses frusques y passe aussi, comme ta bouche continue de savourer (enfin !) ses chairs ; ton nez frotte le bas de son ventre, puis ta bouche trouve plus délicieux, plus à ton goût encore qu’une pâtisserie. Tu t’y prélasses un moment, aussi bien sensible à la chaleur que t’y provoques, qu’aux bruits qu’Olivia pousse dans l’intimité du- couloir ?! de- la pièce ?! T’en sais foutre rien. Tu n’as d’yeux et de langue que pour elle. Aussi quand elle te repousse tu manques tomber en arrière sur ton cul (ta trique, peut-être, contrebalance), tu te relèves donc, quelque peu haletant, fouillant cette fois dans son regard pour savoir où elle veut en venir.


Dernière édition par Göran Falk le Sam 11 Juin - 17:21, édité 2 fois
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Pourquoi l’embarquer chez elle ? Liv y songera par la suite et se demandera effectivement pourquoi elle a choisi précisément ce soir-là d’inviter Göran Falk of all people dans son appartement. Pour l’heure, elle ne réfléchit vraisemblablement pas beaucoup aux conséquences d’un tel acte. Remarquez, ça ne craint rien, tous les documents secrets sont conservés au Ministère et, à la différence de certains, elle n’est pas de ceux qui embarquent du boulot chez eux, merci bien.
Enfin… 
D’aucuns pourraient arguer que Falk tombe quand même dans la case travail.

Mais personne n’est là pour les voir entrer chez elle, et c’est tant mieux. D’un signe rapide de la main, elle s’assure de refermer la porte d’entrée en la faisant claquer de loin. Les vêtements dégringolent, parfois aidés par des mains plus avides, et Olivia ne saurait pas vraiment déterminer sa baguette a pu rouler dans l’empressement -pas plus qu’elle ne s’en soucie vraiment à l’instant. Tout ce qui importe, au moment où Göran la presse contre un mur, c’est de profiter, purement et simplement, bestialement peut-être aussi, et s’abandonner.
Jusqu’à ce qu’ils heurtent une commode dans le couloir, et qu’un bruit de verre cassé la sorte soudainement de la torpeur enfiévrée dans laquelle elle se trouvait. Soudainement alerte, la maîtresse des lieux tourne la tête vers le meuble, de façon à déterminer ce qui a fini par terre en éclats, mais son invité ne lui en laisse guère le loisir. Elle essaie de se laisser porter, d’oublier ce léger désagrément (rien que la magie ne puisse régler pourrait-on affirmer), alors que Falk la débarrasse d’habits vraiment importuns…
Mais alors qu’elle a les yeux fermés, un éclair de lucidité la frappe et qu’elle se remémore exactement l’objet qui manquait sur la tablette de la commode et qu’elle repousse brutalement son amant qui faisait pourtant tout ce qu’il fallait pour qu’elle s’offre à lui sans rechigner. Les prunelles croisent celles de Falk, qui se relève sans mot dire, et la voilà qui explique sans expliquer : "Give me a minute, will you?" avant de s’écarter du mur et d’avancer, toujours nue comme un ver, vers le tas de vêtements. Se penchant en avant, laissant une splendide vue à Falk, toujours derrière elle, elle écarte d’un geste de la main, sans rien toucher directement, le tissu qui recouvre en partie les éclats de verre et confirme l’intuition qu’elle a eu.

La boule en verre qui est venue s’écraser sur le sol est bel et bien brisée en mille morceaux, et ce qu’elle contenait s’est échappé. Un petit bijou d’alchimie, d’ailleurs, d’enfermer dans un objet si petit (de la taille d’un cognard, par exemple) une bête d’une taille adulte tout de même plus conséquente. Scrutant le sol avec attention, l’analyste tente de déceler un mouvement quelque part, un froissement de vêtement, tend l’oreille également et, avec un soupir, finit par informer Falk de ce qui cause ce léger contretemps où elle l’aguiche sans vraiment y penser : "I’m afraid there’s a demiguise on the loose… Not that it’s dangerous, though." Est-elle vraiment sûre d’ailleurs que ce soit bien un demiguise, la créature enfermée dans cette bulle de verre depuis toutes ces années ? "Although, now that I think about it, it hasn’t eaten for quite some time.", ajoute-t-elle en tournant la tête vers Göran, l’interrogeant du regard peut-être ? Elle hésite un instant, puis en vient à conclure que ça n’est en rien une priorité de coincer le demiguise et de le remettre dans la boule en verre, qui a sans doute aussi perdu de son inertie temporelle alchimique. "Fuck it, we’ll deal with it later."

Et d’entraîner Falk dans la chambre près de laquelle ils étaient rendus, en fermant la porte derrière eux, et en s’occupant de se faire pardonner cette interruption mal venue. Plaquant sa silhouette complètement dévêtue contre l’homme et le pressant par conséquent contre l’huis désormais clos, Olivia glisse une main entre les vêtements et la chair du sorcier, la bouche contre l’oreille masculine, et minaude un tant soit peu alors que ses doigts trouvent (sans grande difficulté) le glaive de chair : "Don’t tell me your killer instinct kicked in. It would be a real shame if this creature had overtaken these bad boys you like so much as your number one priority." Et le tout en pressant ces « bad boys » (ses seins, évidemment) contre le poitrail de son interlocuteur, et en faisant de même avec sa main dans son caleçon, Olivia ne se gêne pas pour le titiller et lui susurrer, laissant planer le doute sur ses capacités spéciales, un : "You just have to think about what you want, and it will be so."
N’est-elle pas charmante, à s’offrir de réaliser ses fantasmes les plus fous ?
Un ricanement alors que sa prise se raffermit et qu’elle hasarde : "Or you can try to fuck me, right here, right now." Comme si elle risquait de s’écarter, alors qu’elle crève d’envie de le sentir en elle.
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Göran Falk
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"Give me a minute, will you?" Tu te fends d’une mine perplexe en la regardant gambader nue et, sans rien piger à la situation, ronronnes un "fine by me" graveleux quand elle se penche en avant, soudain persuadé qu’elle t’invite par l’autre porte. Alors que tu t’approches en reluquant ses belles miches vers lesquelles, déjà, tes mains se dirigent, tu t’interromps en la voyant se relever. "Um… okay?" Pas par derrière, donc ? Comme elle voudra… T’es pas un mec chiant, tant que tu peux enquiller tout te va. "I’m afraid there’s a demiguise on the loose…What?Not that it’s dangerous, though." Clairement pas. Le genre de petite bestiole dont les gamins raffolent dans les livres d’Histoire (pas que t’aies jamais lu le moindre bouquin, hein). "Although, now that I think about it, it hasn’t eaten for quite some time." Ne pouvant pas t’empêcher d’observer les parages en traquant des yeux la créature (action tout à fait vaine, tu sais, mais bon, chassez le naturel…), tu grognes, passablement frustré. "Yeh well I know someone else who hasn't eaten for a while…" Olivia ne pourra pas dire qu’elle voit pas le rapport. Ta gaule est visible à des lieues et il est même possible que tu te pourlèches les babines pour retenir les filets de bave excitée. Tout ça avec ta tronche naturellement patibulaire qui donne à ta grande et grosse carrure, plantée là en plein milieu de l’appartement cosy, des allures de bête. Rashford ferait mieux de s’inquiéter de ton appétit à toi plutôt que l’appétit du gugus furtif. "Fuck it, we’ll deal with it later." T’acquiesces avec lourdeur en levant les paumes. "Thanks."

En revenant dans la piaule un grognement satisfait s’échappe de ta gueule. Olivia se presse contre toi avec une telle ardeur qu’elle en ferait péter les boutons de ton futal (entre son corps de rêve qui s’écrase sans retenue et la brique sur laquelle elle appuie, y aurait de quoi craquer). "Don’t tell me your killer instinct kicked in.Nah nah nah…It would be a real shame if this creature had overtaken these bad boys you like so much as your number one priority.Always have, always will." Et de les honorer en patouillant leur rondeur aplatie contre toi, sans trop non plus les cueillir dans tes pognes parce que t’aimes aussi bien les sentir comme ça que dans tes mains. A défaut de pouvoir t’en saisir tout à fait, tu files donc t’accaparer de ses fesses que t’agrippes et pétris pendant qu’Olivia te titille sous frusques. "You just have to think about what you want, and it will be so." Tu pousses un râle accompagné par un sourire gras. "Or you can try to fuck me, right here, right now." Sans la moindre délicatesse, tu pivotes et la retournes contre la porte close où tu finis par la soulever. "You talk too much woman." C’était trop espérer de toi que tu joues le jeu de la séduction ou te confrontes avec régal à ses facéties sensuelles. Dans un même mouvement, tu te libères de tes tissus et t’enfonces en elle sans plus attendre, le froc descendant sur ton cul à mesure que tu vas et viens. Tu ne décroches pas de sa bouille rougissante avant un moment, avant que, dans ton champ de vision, tu crois voir passer quelque chose. C’est quand même pas cette satanée petite merde qui se serait faufilée jusqu'ici… Les bras d’Olivia, se nouant autour de ta nuque, te ramènent à votre activité autrement plus sympa. Retrouvant toute ton attention, tu viens lui bouffer un peu de sa bouche, un peu de sa nuque, un peu de ses seins aussi si tu le pouvais mais dieux qu’elle n’est pas haute !

"Come here", tu souffles, l’entraînant avec toi plus que tu ne la laisses vraiment te suivre. Vous vous échouez sans grâce sur le lit (bruit de craquement, oops, quelques lattes ont sauté), où tu continues d’aller en elle cette fois plus profondément. L’étreinte de vos corps est presque possessive ; y a pas une main, pas un bras et pas une jambe qui ne cherche pas à tenir, s’enrouler ou caresser. Au-delà de vos sauteries, t’apprécies la chaleur d’Olivia, ce qu’elle nourrit en toi qui a la dalle comme ta gueule a faim de sa chair. T’as fini par apprécier la familiarité de vos touchers, et la hâte de les retrouver. "Fuck, baby…" Le petit surnom t’échappe sans que tu réalises, perdu dans ses mèches noires, enfoncé dans son con accueillant. "I-- I’m gonna--" Déconcentré par un nouveau passage dans ton champ de vision, t’oublies de te retirer à temps malgré l’avertissement. "What the f--" Tout se mélange dans ta tête : l’extase du moment, les réflexes du braconnier, la surprise abrutie de la conséquence que cette confusion provoque. La logique voudrait que tu t’écartes, même si ça ne minimiserait en rien les dégâts (pour toi inexistants), et que tu te confondes en excuses (Olivia t'a toujours bien demandé de te lâcher ailleurs qu'en elle). Au lieu de quoi tu redresses la gueule en direction d’un angle de chambre où tu penses avoir vu passer la demiguise. "Fucking monkey!" Pas certain que tu râles à propos du 'petit incident' qu’elle a provoquée, mais plutôt parce qu’elle échappe constamment à ton regard, comme si t’étais en pleine chasse et pas plein acte avec la divine Rashford…
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