BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
FORUM À ACTIVITÉ LIBRE — PAS DE RESTRICTIONS
14 février 2023 — v12 installée, forum mis en activité libre. 19 octobre 2022 — préparation de la V12 et départ de mahrun. et midoriya du staff. 4 juillet 2022 — v11 installée, arrivée de castace dans le staff. 22 mars 2022 — v10 installée. 5 décembre 2021 — v9 installée. 13 septembre 2021 — v8 installée, départ de kazhan du staff. 21 février 2021 — v7 installée. 8 novembre 2020 — v6 installée. 2 août 2020 — v5 installée, départ de jeyne du staff, arrivée de tofu et jool. 1 mars 2020 — v4 installée. 19 octobre 2019 — v3 installée. 18 juillet 2019 — v2 installée. 12 avril 2019— ouverture du forum par mahrun, kazhan, midoriya, poupoune et jeyne. 16 mars 2019— préouverture du forum. juin 2018 — début du projet.
      
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal


 

 REQUIEM (lorelei)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
Nikolai Raczynski
OPPORTUNIST
Nikolai Raczynski
Date d'inscription : 21/04/2021
Messages : 21
Crédit : devious route (avatar).
Occupation : l’avocat que tu es, défend les sales bêtes.
Allégeance : celui dans lequel bry met les pieds.
Particularité : la carne qui change au rythme de ses humeurs, l'âme damnée.
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyMer 21 Avr - 22:10
Lorelei Crain
I been prayin' for redemption, learnin' my lessons
My pain is my therapy
Cutting all ties, won't you baptize me ?

 
HECATE.
âge »24 ans. fréquence de connexion » un peu tous les jours comment t'as connu le forum ? » queen bé. avatar » natalie dormer (corvidae). mon personnage est » [] inventé  [] un PV [] un scénario [x] un pré-lien [] tiré des livres.

ON THE RUN
nom prénom(s)  »L’écho de son ancienne identité continue de la hanter, interminable patronyme qui laissait entrevoir les reflets d’une gloire ancestrale, Lorelei Dominique Franziska Amalie. Celle qui naquit dans la cage dorée des Von Bäume, épousa les geôles empoisonnées des Von Wittelsbach et découvrit la liberté lorsqu’elle prit le nom sanctifié des Crain.  
surnom(s)  »Fléau de ces langues imprudentes et impudentes qui se prennent à murmurer dominatrix.
date de naissance »La poupée est née pendant l’aurore du 16 juin 1858, avant de renaître pendant la nuitée du 4 mai 1897.
origines & nationalité  »Fierté de ce sang allemand qui coule dans son sang, se mêlant à cette impétuosité française hérité de sa mère. Mais depuis quelques années, la poupée s’est exilée au sein des landes britanniques.
pureté du sang  » Carmin azuré, qui fut jalousé pour sa pureté, avant d’être sanctifié par l’hybridité.
métier/études  »Celle qui régna un temps sur les glaces de Durmstrang, là où naquirent et moururent ses plus années, avant que l’on muselle ses capacités pour en faire un simple ventre à héritiers. Mais désormais, libéré de ce carcan qui l’étouffait, elle laisse ses ténébreuses compétences s’aiguiser pour son clan, dirigeant souverainement les châtiments.
orientation & état civil  »Ancienne épousée, qui devint veuve éplorée ou soulagée, elle ne sait toujours pas mettre de mots sur les sentiments qui l’assaillir lorsque son époux disparu dans ses bras, mettant fin à des années maculées de toxicité. Désormais, unie à dieu, pour toujours et à jamais, seul et unique serment qu’elle voue pour l’éternité. Elle repousse ses passions, elle enterre ses envies, elle renie son désir pour les courbes masculines.
camp  »Les Crain, les seuls qui comptent. Dieu, les pieux, ceux qui ne chuteront pas lorsque sera venu le temps de les juger pour leurs péchés damnés.
baguette  »La noblesse et l’audace du cyprès, l’un de ceux qui poussait sur la propriété, renfermant l’éclat opalin d’une écaille de sirène, l’une de celles qui hante le rocher de la Lorelei. 27 cm, qui ne sont que fermeté et rigidité.
patronus  »Parfois, la brume argentée dévoile les courbes pleines de fierté d’un abraxan.
épouvantard  »Parfois, elle entrevoit la carcasse mortifère de son aîné, celui pour qui elle pourrait tout donner. Lui, damné pour ses péchés, condamné à hanter les enfers.
particularité(s)  »Plus d’un siècle que la poupée aiguise ses talents, du don de métamorphomagehérité de sa mère, aux arcanes de la légilimencie apprises par son père, jusqu’au divin présent des cieux l’ayant faite vampire.

pensieve
1858 »Naissance du quatrième enfant du couple princier Von Bäume, Lorelei.

1863 »Première rencontre avec Maximilien Von Wittelsbach, en Bavière.

1871 »La poupée est fiancée à un prince étranger de dix ans son aîné. La jeune ingénue accepte sans réellement le désirer.  

1874 »Face à son refus obstiné d’épouser celui qui lui était destiné, ses premières fiançailles sont rompus, au profit de nouvelles, avec Maximilien, grâce au concours de sa futur belle-sœur, l’impératrice Élisabeth.

1875 »Premier et unique mariage de Lorelei. Elle se remémore encore du faste qui ensevelie Munich pour couronner leur union estivale.

1876 »Naissance de son premier né, de son fils préféré, bien qu’elle ne l’avouera jamais, Siegfried. Celui qu’elle a juré de protéger pour l’éternité.

1879 »Naissance de son second fils, après plusieurs fausses couches, Christoph.

1886 »Le comportement de son époux commence à changer, les coups commence à s'inviter dans leur mariage que tout le monde pensait parfait.

1889 »Lorelei commence doucement à s'intéresser à la foi, trouvant dans la religion une échappatoire à ses malheurs, à cette vie de couple qu'elle ne supporte plus.

1890 »Naissance de son troisième et dernier fils, Luitpold-Emanuel, après une grossesse très difficile. Les médecins lui annoncent qu'elle ne portera plus jamais la vie.

1897 »Après un voyage en France, elle "meurt" auprès de sa belle-sœur Sophie, dans l'incendie du Bazar de la Charité. Affaiblie, blessée, elle profite de la rumeur de sa mort pour fuir avec Imelda et rejoindre les Crain. C'est le début de son existence de vampire. Maximilien la rejoint dans la tombe quelques semaines après cette annonce.

1898 »Pour la première fois, après plusieurs mois, Lorelei rejoint l'Autriche pour rendre un dernier hommage à sa belle-sœur Elisabeth, avant de gagner rapidement l'Allemagne, pour saluer un vieil ami, Nietzsche.

1899 »La poupée commence à s'adonner à l'art de la magie de l'esprit pour continuer sa mission divine, celle de tourmenter les pécheurs.

1906 »Sa route croise celle de Sienna Graymalkin, vampire qu'elle déteste et qu'elle maudit, qui finit par lui apprendre que son fils aîné et adoré, a été transformé.

1907 »Après de longues années loin de l'Allemagne, elle retourne dans son pays d'origine, pour retrouver son fils et lui avouer la vérité.

1915 »Les châtiments s'enchainent et se multiplient. Tout pour Dieu, tout pour la foi, tout pour les Crain. La Lorelei prend une vie pour la toute première fois.

1963 »Après des années de secrets, elle gagne Munich, pour rester auprès de son second fils, Christoph, qui malade, trépasse dans ses bras.

1973 »Ne pouvant quitter le Royaume-Uni, elle ne voit pas périr son dernier fils, humain. Elle reçoit simplement une missive le lendemain de sa mort. Cela reste son plus grand regret jusqu'à aujourd'hui.


Dernière édition par Lorelei Crain le Mer 28 Juil - 14:10, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nikolai Raczynski
OPPORTUNIST
Nikolai Raczynski
Date d'inscription : 21/04/2021
Messages : 21
Crédit : devious route (avatar).
Occupation : l’avocat que tu es, défend les sales bêtes.
Allégeance : celui dans lequel bry met les pieds.
Particularité : la carne qui change au rythme de ses humeurs, l'âme damnée.
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyMer 21 Avr - 22:10
eaux bénites
au nom des miens
13/01/1865
« Und das hat mit ihrem Singen, Die Loreley getan. » Les mots allemands de la nourrice, écorchés par un accent étranger – aussi français que celui de ta mère – finissent par se tarir, jusqu’à laisser place au silence. Bientôt, tu n’entends plus que le crépitement des flammes dans l’âtre dévorant l’écorce du bois que l’on vient d’y placer et le bruissement des flocons glacés qui s’écrasent impitoyablement contre la vitre de ta chambre. Lovée dans tes draps, aussi soyeux que luxueux, tu laisses ton esprit candide retracer les traits de cette héroïne dont tu viens de découvrir quelques mystères à travers quelques vers. La Lorelei. « Lorelei, comme moi… A-t-elle vraiment existé mademoiselle Hilda ? » Tes prunelles azurées retombent dans les siennes, alors que tu aperçois un léger sourire fleurir sur ses lippes. « Oui, il y a fort longtemps, c’était l’une de vos ancêtres. Une Von Bäume aux cheveux d’or et aux traits semblables à ceux d’un ange, comme les vôtres. » Ses doigts s’échouent presque naturellement dans la rivière chrysocale qui encadre ton faciès. Des mèches à la teinte de l’astre sacré, enfin, lorsque tes émotions restent sous contrôle, lorsque tu parviens à les brider, à les claquemurer, comme ta mère te l’a toujours demandé. Tu te souviens encore du jour où ta crinière c’est teinté de pourpre lorsque la honte t’immergeait, la couleur ne cessant de prendre en vivacité alors que le regard incendiaire de ta figure maternelle ne cessait de s’assombrir. Indigne, indigne, indigne. Cessez de me faire honte.. Les mots qu’elle n’a cessé de te répéter alors que tu étais bien incapable de reprendre ton apparence habituelle. « C’est pour plaire à votre grand-père que monsieur Heine a écrit ces vers vous savez et c’est pour rendre hommage à cet ancêtre que l’on vous a donné ce prénom. Dormez maintenant mademoiselle. »

17/07/1874
« Léopold, vraiment ? Mon neveu ! » Glacials, les palabres s’abattent durement, à la manière du couperet sanguinolant. Des semaines que tu espères le retrouver, lui et tout ce qu’il représente, et lui et vos promesses que vous êtes jurés de ne jamais briser. Mais l’atmosphère est surchargée d’émotions contradictoires et violentes, de peine et de rage, un trop plein qui suffit à te rendre malade. Parce que l’on a donné ta main à un homme qui n’est pas lui, pas celui que tu chéris depuis que tu n’es qu’une gamine, pas celui avec lequel tu as grandis, pas celui que tu as appris à aimer, années après années, pas celui qui se trouve face à toi, pas Maximilien. « Ma mère refuse de céder, elle dit que je ne pourrais rêver meilleur parti, bien que je sois certaine qu’elle aurait mille fois préféré un noble français. » Toi, petite-fille d’un roi des français que l’on a exilé, fille d’une princesse à l’ambition qui n’a de cesse de la dévorer, enfant à la noblesse et à la fortune jalousées, qui attise les pires cupidités. Tu voudrais pouvoir choisir la personne à qui lier ta destinée, mais ce choix ne t’appartient pas, il ne t’appartiendra jamais. « Ce que je ne suis pas. » Qu’il crache l’amant que tu te dois de repousser, celui que tu dois oublier, malgré les hurlements de ton cœur déchiré que tu dois étouffer. « J’ai essayé, je l’ai supplié, elle refuse de m’écouter. Max… » Tu ne peux pas le laisser s’échapper, le laisser te quitter, le laisser te murmurer ces mots damnés, au parfum d’adieu et d'à jamais. « La dernière Lorelei, qu’elle reste sans réponse. » Le parchemin échoue entre tes mains. Une lettre. Semblable à celle dans laquelle votre passion avait grandi, devenue désormais, cimetières de vos sentiments dévorants.

11/08/1875
Tes opalescences glissent une nouvelle fois sur la foule qui s’est assemblée pour vous, pour toi, pour lui, pour célébrer votre union, celle que tu ne pensais pas voir naître un jour. « Nous pouvons te considérer comme une sœur désormais, n’est-ce pas ? L’une des nôtres. » La voix de ta belle-sœur, Sophie, t’arrache à tes pensées et à la contemplation de Maximilien entouré par tes frères un peu plus loin. « Évidemment. » Les sulfureuses et tumultueuses sœurs Wittelsbach. Tu louais leur soif de liberté et le courage qu’elles avaient à assumer leur désir les plus secrets dans un monde qui vous avez pourtant condamné à les réprimer. Hélène, Elisabeth, Mathilde, Marie-Sophie et Sophie, elles t’entouraient, toutes plus somptueuses les unes que les autres, te couvant chacune du même regard, noyé d’une envie qu’elles ne pouvaient masquer. Parce que tu avais obtenu ce qu’elle avait toujours désiré, un mariage heureux, un mariage d’amour, avec un époux que tu avais choisi. « Notre frère semble réellement attaché à vous, il a presque jeté Gisèle dans les bras de Léopold. » Un léger rire glisse entre tes lippes alors que tu repenses à l’intervention d’Elisabeth, elle qui avait offert à Léopold un parti encore plus avantageux que tu ne pouvais l’être, sa propre fille, l’archiduchesse Gisèle. La fille d’un empereur, seul un fou aurait pu refuser. « Et mon attachement est tout aussi sincère. » Tes prunelles retombent, encore, sur la silhouette de ton époux que tu brûles déjà de retrouver. « Rejoignez-le et faites pâlir d’envie ce gotha médisant. »

24/11/1889
« Il a recommencé ? » Tes orbes restent rivés sur les étendues émeraudes de tes jardins que tu aperçois à travers la fenêtre de ta résidence allemande. Tu restes muette, les mots se refusant à s’extirper d’entre tes lippes pour répondre à la question de Sophie, comme si le silence suffisait à effacer la vérité que tu voudrais cacher. « Mère ! » Un léger sursaut s’éprend de ta carcasse alors que la silhouette de Siegfried fond sur toi. « Sid, mon chéri. » Tes bras l’entourent immédiatement, naturellement, d’une manière protectrice qui te caractérise parfaitement. « Vous allez bien mère ? » Un léger sourire, faible mais sincère, s’épanouit sur ton faciès alors que tu effaces rapidement une larme solitaire qui s’était échappée pour cascader sur ton derme. « Je vais très bien, mais mon humeur risque de s’assombrir si mon fils adoré ne retourne pas immédiatement à ses leçons. » Ton premier né, ton héritier, ton fils, tu l’aimais plus que tu ne pourrais jamais l’expliquer. Il était devenu, depuis qu’il avait poussé son premier cri, ta raison d’exister. « Suis-je obligé ? » Ton rire se mêle à celui de Sophie, alors que tu déposes un bref baiser sur son crâne. « Forcé et contraint, mais tâchez d’y mettre un peu d’entrain monsieur Siegfried. » Sa main presse la tienne brièvement, avant qu’il ne soupire, prenant doucement, trop doucement, le chemin de la sortie. « Bien mère. » Les secondes s’égrènent, lentement, jusqu’à ce que tu n’entendes plus le bruit de ses pas. « Il a recommencé. » Maximilien. Celui que tu aimes plus que tu n’aimeras jamais. Celui dont le comportement n’a cessé de se détériorer au fil des années, oscillant entre violence et amour, entre coups et baisers, entre haine et déclarations enflammées. Son amour avait mué, passant de la candeur à une passion presque désespérée. Les baisers avaient pris plus de dureté, teintant parfois ton derme d’un éclat azuré. « Tu devrais partir, fuir, retourner auprès de ta mère ou en France, avec moi. » T’évader, loin de cette peine qui t’étouffait, qui t’empêchait de respirer et te faisait décliner. « Et laisser mes fils ? Jamais. » Siegfried, Christoph, et celui qui viendrait bientôt agrandir votre dynastie. Ta main passe légèrement sur l’arrondi de ton ventre qui porte encore une fois la vie. Un fils, encore, tu en es certaine. Un nouvel être que tu allais aimer et protéger. « Tiens. J’ai trouvé la paix dans la foi, je pense que tu devrais y songer. » Sophie laisse tomber entre tes doigts un objet que tu observes avec curiosité. Un crucifix.

04/05/1897
« J’étouffe. » La foule ne cesse de croître dans le Bazar de la Charité, soieries, taffetas, pierreries s’amoncellent autour de vos carnes. Princesses, bourgeoises, suivantes. Elles sont des centaines à parcourir les allées, parce que c’est l’endroit où il faut apparaître, parce que c’est le lieu où il faut se montrer si l’on ne peut pas risquer d’entamer sa réputation. Mais Sophie et toi n’êtes pas là pour ça. « Il y a tant de monde et si peu réellement présent pour faire œuvre de charité. » Voilà plusieurs mois qu’elle a réussi à te persuader, à t’intéresser un peu plus à sa foi, celle qui la transcende, celle qui est parvenue, tu ne sais pas trop comment à guérir les meurtrissures intérieures qui semblaient l’accabler depuis des années, celles qui avaient faillis, fut un temps, la condamner à finir sa vie avec les aliénés. Tu l’avais écouté, hésitante, puis tu avais laissé l’une de ses amies, plus intrigante, finir de te convaincre. Imelda. Son regard d’acier semblait lire en toi comme dans un livre ouvert, parcourant tes plus sombres arcanes. Pourtant, tu ne t’en défiais pas, au contraire, tu avais fini par te confier, par lui avouer ces talents que tu avais si longtemps réprimés et qui te rendaient différente, ce que ta mère n'avait jamais vraiment supporté. « Le feu… le feu ! » Un sursaut s’empare de toi alors que bientôt, les rires se meurent, engloutis par une vague de hurlements stridents et glaçants. L’atmosphère, devenue irrespirable, se teinte d’or et de carmin. Les tissus soyeux deviennent bientôt iridescents, se mêlant les uns aux autres, à une vitesse aussi folle qu’inhumaine. « Sophie, il faut partir. Maintenant ! » Tu t’empares de sa main, pour la tirer loin des flammes qui semblent grandir à mesure qu’elles s’approchent. Menaçantes et déchirantes. « Partez, je vous rejoindrai après. Partez les premières. » Elle se défait de ta poigne, alors que tu manques de tomber, bousculée par une autre âme ayant beaucoup moins de scrupule à fuir. L’air devient rapidement oppressant, saturé de fumée, te faisant tousser atrocement, déchirant tes bronches douloureusement. « Tu vas mourir si tu ne pars pas immédiatement. » Sur ses traits, tu ne décèles ni peur, ni tristesse, simplement de résolution et du courage, simplement une foi si grande qu’elle semble à cet instant béni par le tout-puissant. « Et si c’est le cas, dans quelques minutes, je verrai Dieu. » Tu n’as même pas le temps de lui murmurer d’ultimes paroles, de la toucher une dernière fois, de tenter de la raisonner. Elle qui a toujours été à tes côtés, ta plus proche amie, ta sœur, ton alliée. Les corps t’entraînent, véritable vague humaine contre laquelle tu ne peux rien faire. « Sophie ! » Bien vite, ton cri se meurt, bien vite son visage s’évanouit.



Dernière édition par Lorelei Crain le Mer 28 Juil - 0:19, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Nikolai Raczynski
OPPORTUNIST
Nikolai Raczynski
Date d'inscription : 21/04/2021
Messages : 21
Crédit : devious route (avatar).
Occupation : l’avocat que tu es, défend les sales bêtes.
Allégeance : celui dans lequel bry met les pieds.
Particularité : la carne qui change au rythme de ses humeurs, l'âme damnée.
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyMer 21 Avr - 22:11
Der Zorn Gottes
au nom des nôtres
17/09/1898
Nous mourrons tous de mort violente. Funeste prédiction qu’avait ainsi murmurée ta belle-sœur Elisabeth, l’impératrice, lorsque tu étais morte aux côtés de sa propre sœur, Sophie. Parce que tu n’étais plus. L’incendie avait tout ravagé, calcinant dans sa violence des centaines d’âmes féminines et les envoyant valser entre enfer et paradis. Tu en gardais la trace, dans ta chair, dans ton derme, quelques brûlures qui ne cicatriseraient jamais. Pourtant, tu avais réussi à t’extirper du bâtiment, rongée par la culpabilité de ne pas avoir pu sauver ta plus chère amie, le cœur aussi meurtri que pouvait l’être ta carcasse esseulée. Et c’est ainsi qu’elle t’avait trouvé, Imelda. Un ange tombé des cieux qui t’avait sauvé, qui t’avait entraîné dans son univers et qui avait achevé de te convaincre en cette nuitée. Elle t’avait transformé, pour l’éternité, elle avait fait de toi un instrument divin, à tout jamais. La princesse que tu avais toujours été avait péri cette nuit-là, ce n’était que la simple vérité. Son souvenir avait brûlé dans les flammes et ne serait jamais plus. Il ne restait que toi, sous une nouvelle forme, plus pieuse, plus discrète, plus vampirique… Vivant avec un seul et même regret, celui de n’avoir pas pu prévenir tes fils de ton état, de ce que tu étais devenu, du fait que tu n’étais pas vraiment décédé.
Pour la première fois depuis des mois, tu étais là, dans ta patrie, en Allemagne. Parce qu’elle avait eu cruellement raison Elisabeth. Vous mourriez tous de mort violente. Rodolphe, son fils, arraché à la vie par un suicide. Sophie et toi, ses sœurs, envolées après des morts accidentelles. Ferdinand et Maximilien, l’époux de Sophie et le tien, n’avaient pas tardé à vous suivre dans la tombe, arrachés brusquement à la vie par la maladie. Elisabeth, assassinée. Une dynastie frappée par le sceau du tragique.
« Il ne parle presque plus. » Tu hoches légèrement la tête avant de te glisser dans la chambre de l’hôpital. Endroit sordide. Bien loin des palais européens que tu avais connus toute ta vie durant. Mais tu n’étais plus duchesse, tu n’étais plus que Lorelei Crain, fille de Dieu, maîtresse des châtiments, expiatrice des pécheurs. Au fil des semaines, fuyant ton ancien monde, tu avais changé tes traits, te rendant plus jeune, moins innocente, abandonnant le doré de ta crinière pour une couleur plus sombre, plus ténébreuse. Mais aujourd’hui, en cette matinée, tu t’autorisais à reprendre ta réelle identité pour saluer un vieil ami, pour ce que tu savais être des adieux. Encore quelqu’un que tu allais perdre, que tu allais voir disparaître dans des tourments bien trop déchirants. « Bonjour Friedrich, mon vieil ami. » Nietzche était là, assis sur une chaise, dont l’état menaçait de la faire s’effondrer sur son poids. Le regard perdu dans le vide, les pensées définitivement dans un autre monde, il ne répondit pas, laissant le silence vous entourer, avant de finalement le briser. « Jésus me parle, ou je suis Jésus, je ne sais plus. » L’ombre de la folie semblait retomber lourdement sur ses traits. Il ne parlait presque plus, tu le savais, on te l’avait dit. Le géant de la philosophie n’était plus et ne serait plus jamais. Il ne resterait que l’intelligence de ses œuvres pour lui survivre. « Et que dit-il ? » Lentement, tu t’approches, tombant à ses pieds et prenant délicatement ses mains dans les tiennes. « Il dit que nous partageons la même souffrance, la même douleur. » Peut-être avait-il été touché par le tout-puissant comme ta famille et toi vous l’étiez, mais peut-être n’avait-il pas été assez fort pour supporter tout ce que cela impliquait, peut-être avait-il trop péché pour réussir à se faire pardonner par les cieux. Ses prunelles ténébreuses retombent sur ton faciès, alors que doucement, il murmure. « Et toi tu es un ange. » Tu ne doutais pas du fait, qu’un jour, le paradis t’ouvrirait les portes de son monde, mais avant, tu avais une mission divine qui t’attendait. « Je prierais pour toi mon vieil ami, jusqu’à ce que ton âme soit enfin délivrée de tous ses tourments et encore après, pour ta mémoire. Dieu ne met à l’épreuve que ses plus fidèles enfants, ne l’oublies jamais. »

30/06/1907
« Vous les avez connus ? » Ton être entier se fige à la simple entente de ce timbre, qui provoque en toi plus d’émotions que tu n’en as ressenti en près d’une décennie. Siegfried. Simplement, statufiée, à l’image d’une cariatide, tu ne réponds pas sur le moment. Tes opalescences, émeraudes pour ton séjour en Bavière, restent ancrées dans la contemplation des deux gisants qui te font face. Le tien et celui de Maximilien. Dix années que vous n’êtes plus, dix années que vous avez disparu. « On peut dire cela. » C’est pour lui que tu es revenu, pour lui et seulement pour lui. Depuis que tu sais, depuis que cette garce de Sienna s’est fait un grand plaisir de t’avouer la vérité. Tu lui aurais bien brisé les os pour la faire payer sa cruauté. « Vous savez les derniers mots qu’elle m’a dit avant de quitter la Bavière pour la France ? Je reviendrais vite mein Löwe, veille sur tes frères, je serais là avant que le printemps ne s’achève. Depuis, dix printemps se sont achevés et je ne l’ai toujours pas revu. » Tu te pensais prete pour lui avouer, pour cesser de te terrer dans les ténèbres, mais tu n’y arrives pas. Le palpitant en vrac, rongé par la culpabilité de l’avoir abandonné pour le protéger de ce que tu étais devenue. Un monstre assoiffé de carmin, mais qui luttait pour une juste cause, celle du plus grand des seigneurs. Sans vraiment te contrôler, tu te détournes de lui, incapable de simplement le regarder, pour fuir cette crypte, mais sa voix t’en empêche, te retient, te ramène auprès de lui. « Alors, vous allez encore repartir mère ? » Interdite, tu te tournes vers lui, perdant littéralement tout contrôle sur ta propre personne. Il était bien le seul à pouvoir influer d’une manière si puissante et instantanée sur ce que tu ressentais. L’onyx laisse place à l’or, l’émeraude à l’azur et voilà que tu retrouves ton faciès d’ange déchu, de poupée candide, et voilà qu’après tant d’année, tu refais face à ton fils. « Tu sais. » Que tu n’as jamais brûlé dans l’incendie du Bazar de la charité, que tu es désormais frappé par le sceau de l’hybridité. Sienna. Garce. « Et je sais que vous savez pour moi. » Ton palpitant manque d’imploser dans ta poitrine, alors que le fardeau que tu portes depuis une éternité semble se dérober de tes épaules, pour se suicider à tes pieds. « Ces dix années loin de toi ont été les plus insupportables qu’il m’ait été donné de vivre, mais je n’avais pas le choix… » Tu avances légèrement, voyant qu’il ne recule et ne se dérobe pas, tu continues de t’approcher la peur au ventre. « Maintenant vous l’avez, je ne trahirai pas votre secret… » Alors, n’y pouvant plus, tu l’attires contre toi, dans une étreinte féroce. La lionne retrouvant enfin, après tant d’année, le lionceau qu’elle avait tant recherché. « Mein Löwe… Je suis revenue comme je te l’avais juré. »

17/01/1973
« Puissiez-vous veiller sur son âme, comme sur celles de Christoph et de Maximilien. » Une vague amère se coince dans ta gorge, alors qu’un éclat d’océan, terriblement salé, glisse sur ta joue pour échouer sur tes lippes. Le dernier membre de votre famille, le dernier humain tout du moins, vient de te quitter. Ton dernier fils, celui que tu as à peine élevé avant de disparaître, de fuir la Bavière, pour entamer une nouvelle destinée, vient de te quitter. Dix années après son frère. Soixante-seize années après son père. Désormais, il ne reste plus que Sid et toi, plus que vous pour vous souvenir, pour ne jamais oublier d’où vous venez. Il ne te reste plus qu’un fils à protéger avec férocité, tu serais prête à tout incendier, à tout donner, à tout ravager, pour qu’il ne te quitte jamais. Lentement, tu te relèves, glissant la photo de Luitpold dans ta Bible, tes doigts effleurant délicatement les plumes d’onyx de ton corbeau. « Puisses-tu rejoindre le paradis. »

05/03/2005
« Quel est son crime ? » Tes prunelles retombent sur le faciès, toujours plus que sérieux, de Severino, alors que tu reposes doucement ta Bible. Il était certainement l’un des Crain qui t’était le plus cher, certainement celui que tu préférais, bien que tu ne l’avouerais jamais. Vos tâches semblaient se mêler dans une perfection presque divine. Il attrapait les pécheurs qui avaient insulté ou outragé votre divinité, tu les punissais pour avoir osé. Il était le chasseur, lorsque tu étais le persécuteur. « Il a pissé sur une croix dans le cimetière du manoir en hurlant quelques insanités. La mère du Christ a de quoi être offensé. » Tu hausses un sourcil avant de finir de nouer ta crinière dorée en un chignon parfait. « Je vois. » Tu saurais faire payer cet outrage, tu saurais lui faire regretter son insolence damnée, parce que là était ta mission, là était ton chemin vers la rédemption. « Un châtiment semble s’imposer. » Et tu excellais dans cet art, celui des punitions. Aussi souple que pouvait l’être l’acier, aussi chaleureuse que pouvaient l’être les enfers, aussi douce que pouvait l’être l’écorce d’un arbre. Dominatrix. Affreux sobriquet duquel on t’affublait au sein de cette demeure, un bien pâle reflet de la réalité.
Sa carcasse endormie, étendue à tes pieds, tu t’insinues dans son esprit pour mettre en lumière le moindre de ses secrets. Entre les vapeurs alcoolisées, tu réussis à extirper un faciès qui revient dans chacun de ses songes. Celui d’une femme, rousse, plus jeune que tu ne l’es, aux orbes bien plus foncés. Une démone à qui tu voles les traits et les manières, pour t’en affubler, pour devenir son parfait portrait. « Jenna ? » Parfait.. Lentement, tu t’agenouilles à ses côtés, dans la vieille cellule suintant l’humidité, l’observant silencieusement lutter pour s’extirper de son sommeil entaché par les rivières de whisky pur feu qu’il semblait avoir ingurgité. Damné d’aliéné. « Qu’est-ce qu’on fait là ? » Tu es là pour t’acquitter de ta dette divine, voilà ce que tu voudrais lui répondre, mais tu te contentes d’un vague air emprunt de sévérité. « Ils m’ont raconté ce que tu as fait. » Négligemment, il passe une main sur ses traits, comme pour se remémorer ce qu’il avait bien pu faire durant la nuitée pour se retrouver coincé dans une cellule surannée avec sa fiancée. « Tu ne vas pas m’en vouloir pour ça ? Ce sont des illuminés, des dérangés, à adorer un dieu qui n’existe même pas. S’ils savaient ce que j’ai fait la semaine dernière. » Un bref rire glisse d’entre ses lippes, avant qu’il ne laisse tomber sa main impie sur ta cuisse. Ce simple toucher te rend littéralement malade et suffit à attiser un peu plus les braises de ta fureur. Toi qui ne supportes pas que les mâles te touchent, qu’ils osent simplement darder un regard sur ta personne. Maximilien t’avait morcelé, blessé, déchiré, mais tu l’avais aimé, il avait été le premier et serait, à tout jamais, le dernier. Avec sécheresse, tu balaies sa main, avant de murmurer. « Je ne t’en veux pas, mais je dois faire ce qu’il faut, ce qui est juste. » Un éclair d’incompréhension traverse brutalement ses prunelles, alors qu’il tente, encore, de te toucher. Pauvre impie dérangé. « Jenna… » Mais tu n’entends pas, tu n’es pas Jenna, tu ne seras jamais Jenna, tu es le bourreau qui lui permettra l’expiation en prenant les traits de ce qu’elle qu’il aime plus que tout en ce monde. « Tu dois être puni, tu dois comprendre que tu as fauté, tu dois réussir à te faire pardonner auprès de celui que tu as insulté, auprès de Dieu. Tu comprends n’est-ce pas ? » Ta baguette glisse lentement le long de son bras, avant d’échouer contre sa joue. Ton regard dans le sien, tu sais que tu fais ce qu’il faut, tu fais ce qui est bien, ce qui doit être fait. « Diffindo. »


Dernière édition par Lorelei Crain le Mer 28 Juil - 13:46, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Marlon Travers
DEATH EATER
Marlon Travers
Date d'inscription : 12/07/2019
Messages : 1250
Crédit : avatars freedom fries, ultraviolences, desastredesastres <3 | gif profil poupoune | gifs sign bé, Jool, tehtariks
Âge : 51 ans (10 novembre 1956). Scorpion ascendant gémeaux, un instinct passionné et hargneux doublé d'un perfectionnisme maladif.
Occupation : Directeur du Département de la Justice Magique, membre de l'Elite, porte-parole de l'ASAP
Allégeance : Death Eaters envers et contre tout. Tu sacrifieras ta vie pour la Cause.
Particularité : Tu ignores que tu es atteint de bipolarité depuis ton plus jeune âge. Personne ne s'est jamais véritablement préoccupé de tes crises maniaques, ni même de tes sentiments persistants d'anxiété, de paranoïa, et de colère. Avec le temps, on a fini par conclure que tes bizarreries étaient dû à ta nature de mangemort, de monstre. Mais le fait est que la cyclicité de tes troubles bipolaires s'est aggravée au fil de ton emprisonnement. On peut noter l'augmentation des cycles courts, durant lesquels tes sentiments fluctuent de façon plus désordonnée que d'ordinaire.
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t681-marlon-travers-le-di
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyMer 21 Avr - 22:23
Preunch. Bye REQUIEM (lorelei) 2951650651
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyMer 21 Avr - 22:24
(Sorry, le chat.)

DOMI, AT LAST.
REQUIEM (lorelei) 3917032287 REQUIEM (lorelei) 3917032287 REQUIEM (lorelei) 3917032287

Bienvenue, doublement hâte de voir ce que ça va donner, tant en tant que Crain que VB.
Bon courage.
REQUIEM (lorelei) 256150716

(même pas tu preums avec Uli. Wow ok Dova.)
Revenir en haut Aller en bas
Philomène Flamel
DEATH EATER
Philomène Flamel
Date d'inscription : 13/10/2019
Messages : 234
Crédit : ©BABINE
Âge : 82 ans, mais en paraît 40 de moins (les miracles de l'alchimie)
Occupation : chercheuse en alchimie (membre du BITE), vaguement mage noir
Allégeance : mangemort marquée depuis la fin des années 1990, elle sert le Seigneur des Ténèbres avec conviction
Particularité : magister en alchimie depuis ses 25 ans, son épiderme est couvert de glyphes encrés dans sa chair au fil des années + occlumens
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t4552-i-want-to-be-the-ve
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyMer 21 Avr - 23:23
REQUIEM (lorelei) 422440023

Ma bestie à moi REQUIEM (lorelei) 2951650651
(Coucou)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyJeu 22 Avr - 0:05
J'ai sorti bb Eleazar juste pour toi REQUIEM (lorelei) 422440023

Mais j'aurais pu aussi sortir Engel pour montrer une fois de plus que la beautey des VB est au dessus du lot, une preuve de plus avec Lorelei REQUIEM (lorelei) 2570323690

Faudra qu'on parle lien avec mes deux ptits REQUIEM (lorelei) 422440023

Et sinon bien sur super choix de perso, d'avatar et ce que j'en lis donne déjà envie d'en savoir plus
Revenir en haut Aller en bas
Arthur Rothwell
OPPORTUNIST
Arthur Rothwell
Date d'inscription : 01/12/2020
Messages : 187
Crédit : cassou!!!!
Âge : vingt-sept ans
Occupation : lesbian with a sword
Allégeance : la citadelle????? (ce qu'il en reste????)
Particularité : dates a ghost
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t3474-vide-cor-meum-ana
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyJeu 22 Avr - 11:01
oh hi REQUIEM (lorelei) 823581912 REQUIEM (lorelei) 823581912 REQUIEM (lorelei) 823581912
le seigneur parsème notre chemin de tentations dis donc
REQUIEM (lorelei) 1030787639 REQUIEM (lorelei) 1030787639 REQUIEM (lorelei) 1030787639 REQUIEM (lorelei) 1030787639
Revenir en haut Aller en bas
Vanessa Devon
ORDER OF THE PHOENIX
Vanessa Devon
Date d'inscription : 20/09/2020
Messages : 410
Crédit : justpbfstuff (avatar) |
Âge : 29 ans (21 sept 1977)
Occupation : En fuite - médicomage, soigne les bobos des membres de l'Ordre - membre du cercle 5
Allégeance : OdP - Nom de code : Delhi
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t2789-vanessa-raindrops-o
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyJeu 22 Avr - 12:34
Jpp je croyais que Domi c'était son prénom à force de le voir sur le discord ... REQUIEM (lorelei) 3689043071
Rebienvenue avec ce personnage qui a l'air génial ! REQUIEM (lorelei) 1215722860

Bon courage avec cette nouvelle fiche REQUIEM (lorelei) 736882016
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
REQUIEM (lorelei) Empty
MessageSujet: Re: REQUIEM (lorelei)   REQUIEM (lorelei) EmptyJeu 22 Avr - 16:03
lorelei omg j'aime trop ce prénom REQUIEM (lorelei) 2951650651
et cet avatar REQUIEM (lorelei) 422440023 (queen dormer)
(re) bienvenuuuue ici chat REQUIEM (lorelei) 736882016 REQUIEM (lorelei) 736882016 REQUIEM (lorelei) 736882016 REQUIEM (lorelei) 736882016
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
REQUIEM (lorelei) Empty
Revenir en haut Aller en bas
 

REQUIEM (lorelei)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

SMOKE AND MIRRORS :: THEN IT WAS DARK :: THE SORTING HAT :: AVADA KEDAVRA