NEW ORDER

---

nom prénom(s)  » Jadis, plutôt ironique pour une meuf qui ne regarde jamais en arrière (cool girls don’t look at explosion surtout quand c’est elles qui sont responsables de l'explosion en question). Son second prénom, dans la tradition des patronymes gréco-latins un peu pompeux, est Hermodiké (dans la tradition de mes subtils hints, c’est le nom de la meuf du roi Midas, qui aurait été la première reine à introduire le concept de la monnaie) (et puis ça ressemble à "modique", comme dans "modique somme", alors que Jadis est expensive).
Les Wickham-Mortensen ne sont plus vraiment à présenter (bien qu’ils aient le chic pour se faire oublier), entre le nom de la mère placardé pendant longtemps sur les flyers de l’opéra sorcier de Londres, et le nom du daron, entre autres, coincé entre les torchons et les serpillères dans la liste des admis.e.s de l’établissement psychiatrique sorcier du Kent.

surnom(s)  » Jadis n’a jamais aimé qu’on la surnomme the wicked. Jeune, elle avait l’impression que c’était un rip-off de la pitié du clan maudit que formaient ses deux frères et dont elle se sentait exclue. A Poudlard, l’habitude s’est soudainement propagée lorsqu’à la suite d’un cours de potion, elle est restée une semaine avec le visage tout vert (subtil, une fois encore). Par la suite, pourtant, ce sobriquet (ouah) lui a collé au derrière comme une mouche à Garfield (ouah), sans qu’elle puisse s’en débarrasser. Désormais, il est on ne peut plus pertinent, aussi bien parce qu’elle a perdu bon nombre (la totalité) de ses collègues briseur.euse.s de sorts, mais aussi, et ça, personne ne le sait (sauf son dermato), parce qu’elle est désormais bel et bien maudite slash malade (on sait pas trop, mais c’est l’idée).
Elle, elle insiste pour qu’au Syndicat, on la surnomme Mum (avec la majuscule); autant dire que ça ne prend pas.

date de naissance » Jadis est née le 31 janvier 1957; mais ça fait plusieurs années que, lorsqu'elle doit communiquer son âge (i guess it happens) elle s'entête à répondre qu'elle a quarante-quatre ans.

origines & nationalité  » Sa mère est d'origine danoise et son père n'a quitté sa Cornouaille natale que lorsqu'il a été interné.

pureté du sang  » sang-mêlé qu'elle a tenté de faire oublier au bras d'un mari très riche. Quand elle était enfant, Jadis était persuadée que sa mère les regardait de haut, elle et ses adelphes (mais surtout elle, en tant que fille aînée). Son père avait d'ailleurs remarqué que Jadis appréhendait unl mépris plus ou moins imaginaire de sa mère vis-à-vis de leur sang et, dans leurs rares moments de complicité, père et fille se moquaient gentiment de l'arrogance d'Ida.

métier/études  » Bon nombre de mystères recouvrent la carrière professionnelle de Jadis. Le premier remonte à son arrivée à Poudlard, à la cérémonie de répartition des maisons. On ne sait pas vraiment quelle mouche a piqué le Choixpeau, quels entourloupes et autres charmes la gamine a chuchoté à l’oreille (l’oreille?) du vieil artefact pour qu’il accepte slash se résigne à l’envoyer à Serdaigle. A tous les coups, il s’agissait de la maison dans laquelle il la voyait le moins et, par amour du défi, Jadis est parvenue à y atterrir. Ou peut-être que les voies du Choixpeau sont plus impénétrables que ça, et qu’en ne voulant pas l’y envoyer, c’était là le signal qu’elle devait y aller.
Anyway.
A sa sortie de Poudlard, elle a plié bagage et, avec une poignée de camarades, iels ont rejoint slash formé une équipe de briseur.euse.s de sorts peu scrupuleuse et non licenciée. Leur ambition les a mené.e.s loin, que ce soit dans le succès et dans les ennuis. Ils ont pillé partout dans le monde et ne se sont arrêté.e.s que lorsqu’iels ont tous et toutes mystérieusement péri, à l’exception de Jadis, des suite d’une malédiction transportée et transmise dans l’un de leurs trésors volés.
De retour au Royaume-Uni, les jeux d’argent ont mené Jadis dans les filets des gangs, avec lesquels elle a tant et si bien flirté (et surtout refusé les avances) qu’elle s’est vue offrir une place au Syndicat (son petit bébé et sa véritable famille, qu’elle aime rappeler) et donc, en guise de couverture, dans la boutique Fogg and Holdings (partenaire officiel du Magenmagot et premier fournisseur de l’intégralité des boring black tuxedos de l’Elite sorcière).
Accessoirement, elle est également principale actionnaire de la marque Wizadidas et propriétaire (grâce à son ex-mari) de la première salle de sport sorcière, dont elle se sert pour blanchir un peu de fric (les conditions d’annulation des abonnements sont tellement biscornues qu’à force, ça lui fait une entrée d’argent en continu) (tout ceci pour justifier qu’elle possède une collection extravagante de leggings) (un dernier mystère pour la route puisque, si elle passe de temps en temps à la salle, on ne la voit jamais y faire de l’exercice).

orientation & état civil  » Si dans son adolescence, Jadis était visiblement attirée par les garçons (tout le monde se rappelle quand elle demandait à au moins quatre garçons différents de l’accompagner au bal de Noël chaque année), son obsession pour les filles se veut plus entêtante et insidieuse. Elle n’aime d’ailleurs jamais autant son job à Fogg and Holdings que lorsqu’elle doit prendre les mesures des robes de Beth Fitzroy ou Frida Beckett. Quand elle a demandé à Darragh de l’accompagner au bal (sous prétexte de lui faire une faveur), c’est sa jumelle qu’elle regardait dans les yeux. Elle répétait bien trop souvent à qui voulait l’entendre que la vue d’Alecto Carrow lui donnait l’irrépressible envie de cracher dans son jus de citrouille et de la regarder le boire (la seule fois où ça a failli réussir, elle s’est trompée de verre et c’est Buck qui l’a bu). Si on lui suspecte tout un tas de déboires du temps des briseurs de sorts, elle a rempli pendant de nombreuses années son devoir de citoyenne au bras de son ex-trophy husband, qui a eu la garde de ses filles. Elle se dit désormais trop occupée par son travail pour penser à trouver son prochain époux, préférant multiplier les visites au chevet d’Alecto Carrow plutôt que dans les soirées pour célibataires.

camp  » Si, comme tout le reste, Jadis se prononce haut et fort sur la possibilité de prendre la Marque, elle tourne autour du pot depuis des années. D’une part, ce genre de prise de position n’a jamais été encouragée par le Syndicat (excuse qu’elle balaye d’un revers de main, prétextant qu’elle parviendrait à les faire changer d’avis le moment venu). D’autre part, une névrose, plus secrète, l’empêche de définitivement sauter le pas: Jadis est persuadée que c’est le statut de Mangemort de son père qui l’aurait rendu fou, que ce soit à cause de sa foi en le Lord, ou simplement du fait d’une maladie slash infection due à la marque des Ténèbres (oui, covid!era!Jadis aurait été anti-vaccin).
Néanmoins, elle témoigne de son intérêt pour les faveurs faites aux marqué.e.s, et n’hésite pas à commencer et recommencer sa formation auprès d’Alecto Carrow, aux grés de ses envies et de ses voyages (combien de fois a-t-elle essayé de l’emmener avec elle en voyage, sous prétexte qu’elle se sentirait plus à-même de devenir Mangemort sous le soleil des Tropiques).

baguette  » Elle en a épuisé, brisé, égaré un nombre incommensurable, en changeant à chaque nouveau pays visité. La plus récente et qu’elle conserve encore à ce jour est en bois de cyprès, d’une longueur de trente-deux centimètres et contenant en son cœur un cil de cyclope. Elle a fait venir les éléments des quatre coins du globe, et son baguettiste lui a dit que ça rendrait sa baguette instable, voire explosive, mais Jadis lui a certifié qu'elle en avait maté des plus dures à cuire.

patronus  » Là encore, elle prétend ne pas avoir appris à en matérialiser un, si c’est pour qu’il disparaisse une fois qu’elle aura pris la Marque.

épouvantard  » Son épouvantard alterne entre la peur de vieillir, la peur de mourir et celle de ne plus pouvoir bouger.

particularité(s)  » En automne 1985, au cours d’une expédition dans les Îles Eoliennes, Jadis attrape ce qu’elle ne trouvera pas mieux qu’appeler la malédiction du roi Midas.
On ignore s’il s’agit d’une malédiction à proprement parler (elle a toujours tenu l’incident secret, et désormais, plus aucun.e de ses collègues briseurs de sort n’est là pour cafter), ou d’une maladie sorcière orpheline qui la fait progressivement se changer en or.
La progression de la maladie est plutôt lente et commence généralement par les extrémités de ses mains et de ses pieds. Redescendant en Sicile, Jadis a sillonné la région en quête d’un.e guérisseur.se. Elle a trouvé une sorcière qui est parvenue à lui concocter une potion, moyennant un prix exorbitant, pour faire recéder l’infection avant de perdre l’usage de sa main gauche.
Depuis, Jadis envoie des fortunes à la sorcière sicilienne qui lui livre régulièrement sa potion qui maintient la maladie à distance. Il arrive cependant de la voir avec des ongles dorés ou clouée dans un fauteuil, incapable de marcher.
Jadis a, bien entendu, tenté de se couper les cheveux ou les ongles, ce qui auraient pu lui permettre de constituer une fortune considérable, mais, une fois désolidarisé de son corps, l’or disparaît. Elle a observé que le laps de temps différait selon les parties de son corps; elle a ainsi essayé de rembourser des créanciers avec ses molaires, et quelle ne fut pas leur surprise lorsque les dents en or sont redevenues de l’émail ensanglantée le lendemain (un mal pour un bien, cette limite a empêché bien des dérives).

anecdotes/chronologie/whatever  » Vbi curarum abiectis ponderibus aliis tamquam nodum et codicem difficillimum Caesarem convellere nisu valido cogitabat, eique deliberanti cum proximis clandestinis conloquiis et nocturnis qua vi, quibusve commentis id fieret, antequam effundendis rebus pertinacius incumberet confidentia, acciri mollioribus scriptis per simulationem tractatus publici nimis urgentis eundem placuerat Gallum, ut auxilio destitutus sine ullo interiret obstaculo.
Vbi curarum abiectis ponderibus aliis tamquam nodum et codicem difficillimum Caesarem convellere nisu valido cogitabat, eique deliberanti cum proximis clandestinis conloquiis et nocturnis qua vi, quibusve commentis id fieret, antequam effundendis rebus pertinacius incumberet confidentia, acciri mollioribus scriptis per simulationem tractatus publici nimis urgentis eundem placuerat Gallum, ut auxilio destitutus sine ullo interiret obstaculo.

1957: Jadis est un bébé braillard puis une petite fille turbulente qui ne s’est plus arrêtée quand elle a commencé à apprendre à parler. A sa première manifestation magique, elle a fait monter la température de l’eau du bain et s’est brûlée superficiellement. Pendant les mois suivants, elle a eu un peu peur de refaire de la magie (et de prendre des bains), craignant de se faire mal. Mais son flux magique s’est rééquilibré de lui-même et aucun autre incident n’est arrivé, du moins dont elle n’était pas consciemment responsable. C’était une petite peste qui n’arrêtait pas d’embêter son frère et le hamster magique (une fantaisie, l’animal changeait de couleur à intervalles plutôt irréguliers) qu’elle a eu pour ses cinq ans. Une vie simple de môme, des fois son père est pas là, des fois sa mère n’est pas là, des fois il faut aller voir maman chanter et c’est long et ennuyeux et Jadis s’est même plusieurs fois pissée dessus pendant les représentations des fêtes de Yule, par impatience ou par souci de se faire remarquer.

1968: à la fin de l’été, sa mère fait une attaque sur scène. Depuis ce jour, leur père n’a plus été que l’ombre de lui-même. Les enfants restent chez leur tante quelques temps, mais ça déprime trop Jadis qui fait des crises de nerfs à répétition, désespérée à l’idée d’avoir loupé sa première rentrée des classes à Poudlard. Elle fugue, embarquant ses affaires dont elle perd la moitié sur la route. On la retrouve à l’infirmerie de la gare, où elle avait été prise en charge après s’être légèrement ouvert le front en se jetant contre le mur de la voie 9 3/4 (elle a eu pendant un temps une cicatrice qui avait de quoi rivaliser avec celle de Harry Potter).

Jusqu’en 1975, Jadis sévit chez les Serdaigle à Poudlard. Malgré ce qu’elle craignait à cause d’une rentrée un peu tardive, elle devient assez populaire et un peu redoutée, à échelle adolescente, bien sûr. Entre autres, ses petites camarades de dortoir craignent de se retrouver dans le lit avoisinant le sien, du fait qu’elle passe son temps à faire peur à ses voisines. Sa réputation oscille entre celle de la meuf un peu cheloue qui pouffe de rire bruyamment sur le passage des garçons (elle développe d’ailleurs un gros crush sur Glenn Ward qu’elle suit dans les couloirs en ricanant), et celle de l’organisatrice de bon nombre de magouilles, allant du trafic de friandises et de clopes sorcières, jusqu’aux paris truqués de Quidditch, et même, plus tard, de combats d’elfes clandestins. Elle est souvent envoyée en retenue (au grand damne de Glenn le préfet) (qu’est-ce qu’il faut pas faire pour se faire remarquer sighs), mais son bagou lui assure tout de même une certaine popularité que ses cadets Wickham se feront une joie d’essayer d’entacher, au cours de l’épisode du rip-off de Carrie but make it less bloody and more smelly. Jadis pique alors une crise et écrit aussitôt à son père (à qui elle n’avait quasiment jamais écrit depuis des années) (et genre pour la petite anecdote, elle a toujours appelé son père par son prénom, une fantaisie puérile qui date de quand elle voulait devenir magiduchesse).

En 1976, à sa sortie de Poudlard, elle et une poignée de camarades s’embarquent dans le projet d’intégrer une équipe de briseurs de sorts. Sans s’encombrer d’un code du travail ou d’une assurance vie, ils sont sollicité.e.s aux quatre coins du globe, leurs tarifs battant toutes les concurrences et leur absence de licence rendant les contrats tous plus ambigus voire dangereux les uns que les autres. Mais la team a suffisamment soif d’expansion qu’iels acceptent tout, et surtout n’importe quoi. Là, l’un.e de leurs membres est recherché.e par la police espagnole, là Jadis pioche dans le butin avant la livraison (elle a d’ailleurs constitué une impressionnante collection), là quelqu’un d’autre casse l’artefact et se retrouve maudit.e jusqu’à l’os.

Durant l’été 1977, alors que Jadis bossait sur le pillage d’une tombe au Maroc, elle reçoit une lettre expliquant qu’il a fallu mettre son père en institut. Bien que cette nouvelle pèse sur la conscience des enfants tous traumatisés à leur manière, Jadis balaye la nouvelle d’une main distraite, en se trouvant pour excuse que devenir fou ne se transmet que de père en fils. Leur père n’en sortira plus jamais, et elle ne lui rendra visite qu’une poignée de fois en trente ans (et qu’on se le dise, c’est généralement pour lui demander du fric).

Juillet 1982: Jadis revient d’une mission catastrophique au Guatemala -une histoire de momie qui avait coûté la vie à leur guide et le bras de Mateus. Elle avait décidé de rentrer un peu à la maison (enfin sur le sol anglais quoi) pour faire profil bas. Sa convalescence lui fait faire le pied de grue dans les pubs et les clubs de pêche de bourgades paumées. C’est à cette occasion qu’en juillet, elle s’autorise un écart dans les bras d’un moldu avec un nom d’oiseau (mais je vous jure qu’on aurait dit un sorcier!!) (le nom d’oiseau est important, c’est ce qui lui a fait prendre la décision de passer la nuit avec lui) (et plus tard, ce qui l’a aidé à le retrouver).
Par la suite, c’est un déni de grossesse qu’elle s’autorise, repartant en vagabondage avec ses petits camarades.
Jusqu’à ce qu’en avril 1983, de passage dans les îles Féroé pour voler le butin d’une bande de chasseurs de serpents de mer, Jadis fait un malaise. Lorsqu’elle comprend ce qui lui arrive, elle disparait de la circulation, juste à temps pour donner naissance à la petite Metis, dans un hôpital moldu écossais. Craignant que la déposer dans un orphelinat sorcier ne puisse faire remonter la piste jusqu’à elle, elle la dépose à la porte de son père (enfin de celui qu’elle pense être le père lol), avant de repartir comme si de rien était.

En automne 1985, premier petit retour de karma qu’on n’attendait plus. Au cours d’une expédition dans les Îles Eoliennes, Jadis attrape ce qu’elle ne trouvera pas mieux qu’appeler la malédiction du roi Midas. Un vent de panique soulève son brushing, tandis qu’elle plaque tout pour trouver un remède au plus vite.
Rebelote: en 1986, une malédiction déclenchée lors du vol d’une tapisserie magique décime le petit groupe; tout le monde périt, hormis Jadis et une collègue qui disparaît dans la nature. Sous le choc, Jadis revient en Angleterre l’année suivante, taiseuse comme on ne l’a jamais vue.
A son retour en 1987, elle n’obtient pas l’accueil qu’elle espérait: sa petite sœur est à ça de prétendre ne pas la reconnaître, son aîné l’accueille un temps chez elle en levant les yeux au ciel, et, une fois n’est pas coutume, on lui apprend que son petit frère a disparu depuis six ans. Ça et la disparition de son crew lui servent d’excuses pour s’enfoncer dans l’alcool et les jeux. Son frère l’encourage à se rabibocher avec les sorcier.e.s de bonnes familles et c’est en écumant une soirée un peu huppée qu’elle tombe dans les bras de son futur mari qu’elle attrape dans ses griffes slash sa toile et épouse quelques temps plus tard.

Il faut croire que la success story de son mari l’inspire, et peu à peu, Jadis reprend du poil de la bête. En 1990, elle est repérée et repêchée par le Syndicat qu’elle intègre par la petite porte. Alternant les séminaires gangsters et les réunions finissant par la condamnation (plus ou moins justifiée) de l’un des leurs, Jadis fait mouche lorsqu’elle apparaît à quelques années d’intervalles enceinte jusqu’aux yeux. Elle donne naissance à ses deux filles, en 1991 et 1993, tout en grimpant consciencieusement les échelons jusqu’au sommet du Syndicat, sous la protection et le mentorat du Duc, jusqu’en 1996.

En 2001, du nouvel édit du Lord résulte son déchirant et bruyant divorce (Jadis ne fait rien tranquillement), bien que son couple batte déjà de l’aile de temps à autres, au gré de ses humeurs et de celle de son mari, désormais ex-mari, qui continue de l’arroser de thunes quand elle parvient à lui arracher une larmichette. Jadis n’a en revanche pas pu lui arracher la garde des enfants (à croire qu’elle n’a pas essayé tant que ça (i hate her)). Elle continue de vivre dans l’une des suites de l’un des hôtels de son mari, et de s’occuper quand le cœur lui en dit de la salle de sport qu’il lui a acheté pour l’un de leurs anniversaires.
Désormais, elle se concentre sur sa place de choix au Syndicat, considérant que le Duc lui mange dans la main (même si on a tendance à penser que c’est l’inverse, mais soit). Régulièrement, elle se permet de disparaître de la circulation, se prenant des congés bien méritées (ou pour fuir quelques créanciers). Elle ne s’est toujours pas remariée, bien qu’elle ait fait monter la sauce de temps en temps. Elle est toujours en contact avec son mari qu’elle affectionne tout particulièrement. En revanche, le courant passe plus difficilement avec ses filles, et notamment avec Metis qui essaye de renouer contact.
Dernièrement, elle a ressorti des placards son envie de se rapprocher des Mangemorts, et on est bien incapable de savoir si c’est un move politique, ou simplement une lubie cristallisée en la personne d’Alecto Carrow.