BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 (billy) D.O.A

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Billy Barlow
VOLDEMORT SYMPATHISER
Billy Barlow
Date d'inscription : 18/05/2022
Messages : 72
Crédit : self (av.), ostriker (cit.), jool (santa's gift)
Âge : 260 piges. Increvable, comme les cafards.
Occupation : Hound absolument pas zélé ni impliqué de la VB.
Allégeance : A son cul, vous dirait-il volontiers, mais les circonstances ont fait qu'il sert depuis 2003 le gouvernement sorcier.
Particularité : Quart de triton (facilités en magie curative et bonne résistance générale, sans compter le caractère de merde). Vampire depuis 1781. Maître rākau (discipline ancestrale qui lui permet de savoir combattre avec n'importe quelle arme blanche ; couplé à sa magie sans baguette ça fait des étincelles). Maudit par le pacte du Ba en 1979, il a été obligé de protéger Jiménez père, et doit protéger aujourd’hui Jiménez fils.
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t5558-billy-d-o-a
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MessageSujet: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyJeu 19 Mai - 15:52
billy barlow
sweet baby, i need fresh blood

.exe
âge » répondre ici. fréquence de connexion » répondre ici. comment t'as connu le forum ? » répondre ici. avatar » taika waititi. crédits » répondre ici. mon personnage est » [x] inventé  [] un PV [] un scénario [] un pré-lien [] tiré des livres.

SCUM OF THE EARTH
tw: propos explicites, sang, mention de racisme, d’homophobie et de violence, spécisme.

nom prénom » Si on peut dire une chose de toi c’est que t’es pas réglo. T’es un mensonge ambulant qui se balade en (quasi) liberté sans trop s’en faire pour son ch'i intérieur. Quand on a voulu que tu renseignes une identité t’as dit t’appeler Barlow ; ça t’est sorti comme ça, avec une facilité tellement déconcertante que tu penses l’avoir vu gravé quelque part sur une tombe fleurie. Billy, c’était pour le rythme, la musicalité de l’ensemble qui donne l’impression que quand on t’appelle on convoque une vieille star du rock décrépie qui va vous entonner un petit couplet entre deux taffes serrées. Billy Barlow, ouais, c’est bien toi, et, même si personne n’y croit t’as le culot de dire, derrière ton grand sourire pointu : pour vous servir.

surnoms » A la W.V.D.B on te donne du Lazy Bill, éloquent de vérité. Parfois c’est Billy Boy, mais le plus souvent on s’en tient à Hé-toi-là parce que t’es qui, et tu viens d’où, et tu sais quoi ? ta gueule, on s’en fout. Des gars comme toi, des monstres comme toi, y en a assez dans les locaux pour pas qu’on s’emmerde en plus à retenir leur blase. Niveau surnoms, de toute façon, t’as jamais été en reste et tu continueras d’en traîner encore dans ton sillage sans trop faire attention, avec une résignation amusée en décalage total des préoccupations habituelles qui secouent tes pairs (t’as croisé des Barons et autres Comtes qui auraient tué pour moins que ça).

date de naissance » Comme diraient les fables : il était une fois, en l’an de grâce 1748... bah, rien, en fait. La nuit de ta naissance, il n’y a eu aucun orange grondant dans les cieux, aucun phénomène climatique terrible et de mauvais augure qui aurait pu faire de ton débarquement un tableau légendaire. Tout s’est déroulé plus ou moins normalement, plus ou moins convenablement si bien que, en ouvrant tes grandes billes, t’as eu l’air surpris. Qui sait. Peut-être que t’as compris, à cet instant précis, que t’avais vexé le soleil en lui préférant la lune. Et qu'un jour il te retrait pas.

origines & nationalité » Tu viens d’une île appelée Aotearoa dans ta langue natale, vulgarisée en Nouvelle-Zélande. C’est là-bas que t’es né, là-bas aussi qu’on t’a enseigné des choses dont tu te souviens encore aujourd’hui, à défaut de te remémorer le visage des tiens. En plus de tes racines maoris léguées par ton père, t’as aussi du sang irlandais et juif ashkénaze par ta mère, une sacrée légende des mers qui a autant fait trembler le monde sorcier que celui des moldus et dont, pourtant, tu ne saurais plus causer non plus. Le sortilège d’amnésie essuyé du temps où tu servais l’Acromantula t’a tellement ravagé la mémoire que quand on te demande, avec un petit air pincé très réac’, quelles sont tes origines, tes pensées convergent toutes au-dessus du vide et jouent au funambule.

pureté du sang » Oh y a rien de pur là-dedans. On est plus sur de l’eau croupie où flotte du pedigree de raclure que sur une ascendance au mieux honnête, au pire conforme. Si on voulait chipoter, et déplier ton arbre généalogique façon paléographe certifié de l’algorithme von Bäume, on te verrait descendant d’une lignée sacrée qui a porté dans ses branches des sorciers et des êtres par nature nobles, sans omettre bien sûr ta filiation moins digne à d’autres sorciers, ceux-là européens, ni celle effroyable à celle de ton Sire. Mais c’est pas ici, en sacrosainte terre conservatiste, que tu vas pouvoir briller avec ton melting pot de… comment ils disent, déjà ? Ah ouais. Hybride.

métier » Hound de la W.V.D.B en service plus ou moins (surtout moins) actif. Tu t’y es présenté mains dans les poches en 2003, en faisant la queue comme tous les autres grands prédateurs présents quoiqu’en tirant moins la tronche qu’eux ; tu sifflais peinard des chansons de pirate marin et retournais des regards volontairement mièvres aux gueules patibulaires de tes voisins. Y en a deux-trois dans le lot qui ont voulu t’arracher la langue, obligeant des Handler à faire ce qu’ils savent faire de mieux (pas enquêter, non) (tenir en laisse) et ça t’a tellement fait marrer qu’encore aujourd’hui tu rappelles aux loustics le mal de chien qu’ils ont eu à s’en sortir. Dire que tu t’y es peu fait d’amis serait donc un euphémisme, mais tu restes un type abordable avec qui il est possible de tailler le bout de gras, qui que l’on soit, et un partenaire pas trop chiant qui peut s’avérer utile en mission. Du reste, t’es connu pour pioncer sec sur les chaises et fauteuils du service et bicraver en douce du sang d’elfe de maison.

orientation & état civil » Branché carotides. Pas très regardant sur les groupes, même si les A+ te font ronronner et que bien sûr tu les préfères sorciers. A part ça, les plaisirs de la chair ne te font plus tellement bander et si dans le temps t’as eu pirouetté la tête pour mater de jolis culs envers et contre les différentes mœurs et époques taxant les gars comme toi d’invertis, t’as aussi toujours beaucoup aimé serrer les femmes, mais dans tes bras et tout doucement. Tout ça, tu le fais encore : réclamer les étreintes des unes et mater le cul des autres, mais rien ne pourra jamais égaler le shot puissant et éphémère, en cela orgasmique, d’une gorgée de sang chaud. Qu’on se rassure cependant, près des majeurs que tu dresses ne roupille et ne roupillera jamais la moindre trace d’alliance.

camp » A la botte d'un gouvernement que t'as choisi de servir pour le côté pratique de la chose, entendre par là que t'as signé pour le seul département qui voulait bien d'un vampire au Ministère (si on ne tient pas compte de l'autre département, où il fait un peu moins bon vivre pour les hybrides). L'idée c'était surtout de pouvoir filocher Bernie, étant donné le lien magique qui vous unit, et si pour ça on t'avait proposé de récurer les chiottes de ces messieurs-dames tu l'aurais fait (corvée autrement plus plaisante que d'obéir de force à des abrutis ? possible). Tu te contentes de faire ton job sans trop réfléchir, sans trop prêter l'oreille à tes pairs qui vocifèrent des ‘vendu’ quand tu les arrêtes, sans trop non plus lire les titres des journaux qui calomnient les gens de ton espèce et d'à peu près toutes les autres espèces, parce qu'il faut savoir choisir ses combats et t'as déjà bien assez à faire avec la protection rapprochée de Bernardo bloody Jiménez.

baguette » T'en as jamais eu. L'apprentissage de la magie s'est fait différemment, et c'est bien malheureux que tu ne te souviennes pas des préceptes de ta grand-mère car depuis qu'on a bridé ta magie tu retrouves, à ton grand étonnement, une frustration que tu n'avais pas connue depuis des siècles. Dépossédé de ta force spirituelle et de tes armes d'antan, tu pratiques ici et là quelques sortilèges d'une médiocrité ordinaire qui complètent ton parfait petit costume de Hound.

patronus » Ç'aurait dû être un karearea, comme celui que t'as tatoué entre les clavicules, signe distinctif des tiens et de leur devoir, mais il a fini par prendre la forme d'un goéland, qui s'est lui aussi effacé avec le temps. Si tu venais à l'invoquer au jour d'aujourd'hui sûrement qu'on ne verrait qu'un spectre blafard voler certes avec ampleur, mais d'une manière maladroite, comme quand un piaf se prend une vitre et qu’il essaie de redécoller ; avant de retomber, bêtement crevé.

épouvantard » Le glyphe que les Handlers portent à leur poignet, celui de Corban Yaxley above all. Ou Bernie mort- what?

particularité(s) » Descendant de pūkohu, t'es ce qu'on appelle dans le langage courant un quart de triton ; avec un caractère bien trempé ("you're so mulish Billy!"), des facilitées en magie curative ("you're so clumsy Bernie") dont ton père t'a transmis les bases, et une bonne résistance générale même si t'es devenu vampire. Tu pratiques aussi la magie sans baguette à un excellent niveau, quoiqu'elle soit bridée par le gouvernement. A part ça, t'es maudit par le pacte du Ba qui t'oblige, si tu ne veux pas mourir (tu ne veux pas), à protéger Bernardo Jiménez.

basics
alive, but only ironically » T’es un raté, Billy. Donc tu dis des trucs de raté. Comme quand tu promets que ouais bien sûr pas de souci tu vas faire ça ; mais ne le fais pas. Ou comme quand tu prétends avoir connu Paracelse, Barkwith, Flamel, Cronk, et tous ces grands noms de l’Histoire sorcière ; alors que c’est faux. Tu fais des trucs de raté, aussi. Comme te la couler douce jambes croisées sur le bureau des autres. Ou refiler au voisin des ordres qui te cassent le cul et que tu n’as pas, mais alors pas envie d’exécuter ("yep mate! you gonna have to sort the exhibits alphabetically! hey don't shoot the messenger!"). Du coup, et comme tout raté qui se respecte, tu triches, tu mens, tu trompes, et surtout, oh, surtout, tu fuis les responsabilités et tout ce qui se rapproche de près ou de loin au fait d’assumer quoi que ce soit. C’est confortable. Rassurant. Quand t’as pigé que tu serais jamais à la hauteur de rien, tu t’es senti pousser des ailes. T’as décollé en direction du paradis des nazes, où c’est O.K. d’être ni assez bon pour susciter la sympathie, ni assez mauvais pour provoquer l’antipathie, tout juste passable, tout juste mémorable : et tu t’en fous, au final, qu’on retienne ou non ton blase, t’avances dans le temps avec une confiance de parasite qui sait au moins faire une chose mieux que les autres. Survivre.

tw: couteaux, mention de meurtres go sit on a knife » T’aimes pas tellement ça, les flingues. Ça fait un boucan d’enfer qui te ramène à des sensations troubles davantage qu’à des souvenirs précis. Tu ne sais plus vraiment pourquoi ça te gonfle quand t’entends ces pétoires éclater mais tu sais ce que ça provoque en toi : un mélange de panique et de hâte comme si tu devais te préparer à la guerre. Heureusement que dans le monde des sorciers c’est pas tellement une arme de prédilection et que dans le métier que tu fais (si on peut appeler ça un métier) t’as pas à te cogner un Beretta comme ils se les trimballent du côté moldu. D’ailleurs t’as pas de baguette, vu que t’en as pas besoin, mais t’as une chouette collection de canifs que t’as éparpillée un peu partout entre ta piaule et ton casier à la W.V.D.B. Tu trompes souvent l’ennui en agitant mollement mais précisément ta lame papillon et ça t’arrive régulièrement de dégainer un couteau d’on ne sait où pour amuser la galerie ou te montrer persuasif. Fut un temps, tu traînais partout un sabre que t’avais fait forger par un stimagicien ; t’étais sacrément rapide et silencieux quand t’utilisais ta ratiche, sacrément fatal aussi, surtout quand t’œuvrais pour l’Acromantula, et même si tes ancêtres s’en sont probablement retournés dans leur tombe, t’utilisais aussi tes connaissances en rākau* pour jeter des sorts en plein combat. Depuis que t’es au service du gouvernement, ton sabre t’a été réquisitionné en même temps qu’on a bridé ta magie et c’est assez dommage, tu trouves, mais bon, c’est comme ça.
{*}:

you're a disaster wanna date? » Bernie c’est... Comment dire ça autrement que : ta priorité. Peut-être en précisant : ton fardeau. T’es son ange gardien fini à la pisse. Celui qui veille sans trop se fouler non plus. Celui qui râle parce que t’avais clairement autre chose à foutre de ta vie que de flanquer un type et le fils de ce type façon chien de garde. Tu sais bien que tu peux t’en prendre qu’à toi-même, que dans l’histoire c’est toi, le crétin qui a joué son libre-arbitre au Ba* en croyant pouvoir tricher. Mais tu préfères pester contre Bernie. Bernie et sa guigne karmique qui copinent contre toi pour faire monter ton BPM (cardiaque) à 130 (énorme, pour un vampire). Tu ne comptes plus le nombre de fois où t’as évité que Bernie se blesse grièvement ou crève carrément ; en descendant des escaliers, en passant près d’un échafaudage, en traversant la rue, en commandant une bièraubeurre, même en dormant, il arrive encore à s’étrangler avec ses draps, c’est une plaie. Pire que son daron et ses idées farfelues (suicidaires). Du coup tu filoches Bernie comme son ombre, parce que s’il arrive malheur à Bernie, il t’arrive malheur à toi aussi, et vu la propension qu’à Bernie à s’attirer des ennuis, t’es bien obligé de le préserver pour préserver ta gueule : ce qui est un comble, quand même. Parce que t’es le genre de type sur qui on ne peut jamais compter. Qui ne tient pas ses promesses et se barre sans prévenir. Un égoïste pure souche, bien comme il faut pour vous écœurer de l’Humanité (avec un grand H universel, calmez-vous l'A.S.A.P). Et te voilà pourtant, à trotter dans les couloirs en demandant, la mine inquiète d’une maman poule : "did you see Jiménez?!"
{*}:

trivia
» Depuis un peu plus de trois ans on dirait que ta tignasse charbonneuse est passée au javel. C’est probablement parce que t’approches doucement mais sûrement des trois siècles et que la vieillesse, enfin, s’intéresse à ta gueule, mais t’aimes bien dire que ces cheveux blancs sont la faute de Bernie ("see that? another one, boy! another fucking one! I’m gonna have to chill the fuck out on the couch three hours straight now, thanks for nothing!").

» Tu loges dans ce bâtiment merdique qu’on appelle le BEAST, et fais chier à peu près tous les voisins autour en mettant la musique à fond ou en t’engueulant avec d’autres voisins. D’ailleurs l’autre piaule de ton appart' est vide, ton précédent coloc’ s’est barré au 456 avant d'être tenté de s'auto AK et, depuis, en lieu et place de son plumard, t’as installé une énorme et vieille baignoire aux pieds rouillés dans laquelle t’aimes bien barboter les coudes levés et les cuisses à l’air, en écoutant du garage punk qui ferait grincer des crocs un Greyback (cqfd).

» Comme tu t'es ruiné pour acheter (d'occas') ta petite piscine privée, t'essaies de te refaire une santé pécunière en chapardant aux prévenus que vous arrêtez leurs effets personnels ; bagues, colliers, boucles d'oreille, montres à gousset, tous ces jolis trucs fancy qui coûtent parfois une blinde et que t'essaies de refourguer chez ce prêteur sur gage patibulaire dans l'Allée des Embrumes (un 'drôle' de zinc que, sans raisons particulière, tu peux pas piffrer). Pour l'instant tu ne t'es pas fait gauler, même si Boris s'est trois fois étonné (trois fois de trop) que tu te portes volontaire pour ranger les pièces à conviction. T'espères qu'en le brossant dans le sens du poil ("you look dynamite today, mate!") il vous épargnera à tous les deux une quatrième remarque.

» Les propriétés pourries et non moins satisfaisantes du tabac (et autres) n’ont aucun effet sur toi mais t’aimes quand même cloper, sentir cette odeur fourrer tes narines et cuir ta langue, sûrement parce que ta mère puait le pétun et que même si tu t’en souviens plus c’est resté ta madeleine de Proust. Depuis que c’est interdit par la loi tu mâchouilles des stylos ("oh come on Billy what the hell! you chewed it to death! it's like writing with your spit!") et louches sur les saisies de contrebande que vous mettez sous scellé après certaines descentes.

» Le bloody mary, comme on le connaît chez les moldus, viendrait de toi. Enfin, de ta petite carte de consommables qu'on pouvait trouver dans ton bar à Salem. Inutile de préciser que si le cocktail phare qu'on servait était rouge, c'était clairement pas grâce à de la tomate. Tu soupçonnes Horra, une descendante de harpie qui y avait ses habitudes, de t'avoir piqué l'idée pour la refaire à sa sauce côté moldu. And you know what? Good for her! (qui voudrait s'embrouiller avec une descendante de harpie).

» T’es marqué de partout, comme un poteau sur lequel les clébards du quartier viennent pisser pour dire à moi. Y a l'araignée argentée des membres de l'Acromantula, cachée sur ta main. Et ces deux anneaux noirs sur le biceps droit, l’un signifiant la servitude que tu devais à Rico, l’autre celle que tu dois à Bernie. Puis le triangle rouge qu’on t’a plaqué sur la tronche en 2006, histoire d’être bien sûr de te marginaliser reconnaître dans une société où t’étais déjà vachement accepté (non). Sans mentionner le glyphe tatoué sur ta nuque et qui permet à ton Handler de te paralyser ou, plus fun encore, de te buter à tout moment. Heureusement, t’as tes tatouages pour te tenir chaud les nuits où le moral patauge dans tes yeux ; un karearea, entre les clavicules, et des tā moko un peu partout.

» Tu portes des lunettes de soleil aux verres pitch black quand il faut sortir en pleine journée, ça te donne un air cool… ou louche, surtout quand c’est pour talonner Bernie ("sir, is this hybrid bothering you? you should be careful, there are a lot of pervs among them…").

» Si on prenait la peine de te faire un check-up complet on verrait que t’as la santé d’un octogénaire nourri à l’eau et aux graines. Entre les poches 'nutritives' coupées au sang de moldu qu’on vous refile à la W.V.D.B et ton rythme effréné de Hound en service la nuit, et ombre de Bernie le jour, t’es purement et simplement : vanné. Et dire qu’on te croit fainéant…

» T’as développé un talent extraordinaire de jet de boule de papier dans la poubelle des autres. Rudd (Rug pour les intimes) ("shut up Barlow!!"), ton ancien Handler à qui 't’appartiens' encore un peu quand ça l’arrange, trouvait ça stupide et anti-productif, mais ta nouvelle coéquipière, une certaine Amity, s’est mise à vouloir scorer plus haut que toi ; c'est là que t’as su qu’une grande et belle amitié ?! carrière vous attendait à hauteur des déchets.

» Corban est un connard. T’aimes ni sa gueule ni ses rires de porte grinçante ("can someone tell this guy he’s probably possessed by a broken bagpipe?" ((Megan is that you?!))), en revanche t’aimes bien son artère carotide et l’odeur de crimsonbull que tu renfiles là-dedans, le genre de shot que tu t’enfilerais bien pour réussir à garder les yeux ouverts ; autant dire que les rares fois (très rares) (genre) (deux fois par an) où il te cause, t’arrives difficilement à te concentrer.

» Tu ponctues souvent tes phrases d'un "mate" ou d'un "love", dépendamment de s'il s'agit de mecs ou de nanas, et pour ceux que ça intéresse, oui, ça t'a déjà échappé en présence de 'citoyens respectables' qui s'en sont étouffés d'indignation.

» T’es pote avec Bugs, un elfe de maison blasé et kleptomane qui bosse au Chaudron Baveur après une reconversion professionnelle brutale (entendre par là qu’on lui a offert une liberté qu’il n’avait jamais demandée, like, what the fuck people?). Bugs te file régulièrement de son sang que tu deales à la W.V.D.B pour les vampires qui ont la dalle et des difficultés à gérer leur soif, en contrepartie de quoi tu lui files le tien qu’il revend sous le coude pour des potionnistes peu scrupuleux.

» T'adores ça, les fleurs. Avec leurs jolies couleurs, leurs pétales de toutes les formes, rondes, fines, épaisses, tordues ou symétriques, et que dire de leur parfum. Tu pourrais planter ton nez dans une rose et ne jamais l’en sortir. Tu sais pas trop d’où te vient ce plaisir de les approcher, de les toucher, de les sentir, mais t'adores ça. Tellement qu'on en retrouve sur la plupart de tes fringues quand t'es pas en service (des vieilleries de moldus délavées et trouées à certains endroits "hey, it's about the vibe not the style, I mean look at youwhat do you mean?!").

» Non, t’es pas un lycanthrope. Même si t’as 'des poils jusqu'au bout des doigts' et que t’as 'aucune classe', n'en déplaise aux stéréotypes t’es bien un vampire (hémovore, sure, whatever).

» Avec tes canifs tu sculptes plein de trucs. C’est souvent des petites amulettes, en bois ou pas d’ailleurs ("that… was my stapler Billy…"), puis tu graves aussi les sièges de la W.V.D.B. en grattant des bonhommes comme si t’avais douze ans ("oh that one has HUGE biceps, is that me?! it's definitely me!!"), le tout en prenant grand soin de ne jamais rien écrire, parce que t’as dit que tu savais pas faire le jour où on t’a demandé de rédiger un rapport et, comme c’est passé crème, t'entretiens vaillamment le mythe ("but you can read...irrelevant").

mention de meurtres » Tu te souviens de tout ce que l'Acromantula a bien voulu te laisser (parce que ça l'arrangeait) : tes connaissances en rākau, tes années dans l'Underground et par extension quelques-uns de tes contacts avec le milieu criminel, tes années en mer, aussi, à naviguer et tuer. Mais tu ne te souviens pas : de ton père, de ta grand-mère et de votre communauté, de ta mère et de ton idolâtrie pour elle, de tout ce(ux) qui, en fin de compte, aurai(en)t pu t'éloigner de la guilde. Certaines impressions ont cependant résisté, des plaisirs, des peurs... qui remontent parfois en surface sans que tu les combattes.



Dernière édition par billy barlow le Lun 13 Juin - 20:45, édité 42 fois
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Billy Barlow
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Âge : 260 piges. Increvable, comme les cafards.
Occupation : Hound absolument pas zélé ni impliqué de la VB.
Allégeance : A son cul, vous dirait-il volontiers, mais les circonstances ont fait qu'il sert depuis 2003 le gouvernement sorcier.
Particularité : Quart de triton (facilités en magie curative et bonne résistance générale, sans compter le caractère de merde). Vampire depuis 1781. Maître rākau (discipline ancestrale qui lui permet de savoir combattre avec n'importe quelle arme blanche ; couplé à sa magie sans baguette ça fait des étincelles). Maudit par le pacte du Ba en 1979, il a été obligé de protéger Jiménez père, et doit protéger aujourd’hui Jiménez fils.
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyJeu 19 Mai - 15:52
chap.1
The tragedy is not to die,
but to be wasted.
XVIIIème siècle » Il y a des Hommes, sur l’île d’Aotearoa, qu’aucune autre tribu n’ose et ne peut approcher. Les guerres intestines grondant un peu partout ne les intéressent pas ; ils se tiennent en retrait de tout, loin dans la jungle où, dit-on, ils gardent un lac magique que les larmes d’un Ancêtre auraient formé. Cette communauté, intrinsèquement pacifiste mais de nature méfiante, est l’héritage d’un serment prononcé il y a des siècles entre des sorciers austronésiens venus trouver refuge sur l’île et des pūkohu, des êtres sentients peuplant les eaux douces du lac Kahurangi. Il a été convenu que les kaitiaki veilleraient en surface sur le domaine aqueux des pūkohu, en contrepartie de quoi les pūkohu consacreraient leur don de guérison aux kaitiaki. Au fil des siècles, des lignées hybrides sont nées de certaines unions entre les deux peuples et ces ascendances, jugées sacrées, se sont vues attribuer des rôles importants au sein de la communauté. Maro est de ceux-là.

En Nouvelle-Galles du Sud, les prisons sorcières aussi, sont évitées par le commun. On y trouve toute la vermine que les navires de la M.S.S. (Magical Seas Safety) raclent au fond des mers ; une prisonnière récemment capturée fait d’ailleurs la fierté de la flotte, car c’est une légende aussi bien dans le monde sorcier que celui non-sorcier. Elle s’appelle Anne Bonny et, pas plus tard que la veille... elle s’est échappée — "for the ninth time in a row", ne manquera pas de souligner la Gazette du Sorcier, lue par des londoniens avides de récits exotiques mais confortablement installés dans leur fauteuil style géorgien. L’évasion d’Anne ne se fait pas sans encombres et, après maintes foirades et autant de combines pour s’en sortir, c’est en naufragée qu’elle échoue plus au sud, sur une île assez peu connue des nouveaux-gallois : Aotearoa.

Rien ne prédestinait Maro et Anne à tomber dans les bras l’un de l’autre. C’est pourtant ce qu’il s’est passé. Il l’a retrouvée, l’a soignée, l’a aimée. Et, malgré l’appel du large, Anne est restée. Les kaitiaki l’apprécient peu. Elle transpire le crime et le vice et ce qui la lie à la mer les fait se méfier de ses intentions. Un silence énorme éclate dans l’assemblée quand Maro annonce qu'Anne est enceinte.


{tw: mention d'abandon et de décès} 1748 - 1769 » Les premières années de ta vie sont plutôt tranquilles. Tu traînes tout le temps dans les jambes de ta mère qui t’apprend à faire des nœuds marins et à deviner les tempêtes en approche, et quand ton père arrive à te mettre la main dessus c’est pour soigner tes blessures de galopin qui n’écoute jamais quand on lui dit de faire attention. La première fois que ta magie se manifeste, c’est quand un foulard de ta mère se met à voler en poussant des cris de goéland — comme celui qu’elle a tatoué sur sa nuque. Ça te fait rire aux éclats, et fait sourire ta grand-mère qui, dès lors, se charge de ton apprentissage. Elle commence avant tout par t’apprendre à te concentrer ; la méditation marche difficilement sur toi, mais ta grand-mère est rusée et il se trouve qu’en t’occupant les mains elle arrive à solliciter ton attention. Vous faites des couronnes de fleurs. Par dizaines. Et plus vous en faites, mieux tu parviens à canaliser entre tes doigts ce flux vibrant que tu sens s’éveiller en toi. Tu commences aussi à te former au rākau, et même si les danses de combat que tu apprends sont sacrées, tu ne peux pas t’empêcher de vouloir croiser le fer avec celui profane de ta mère — on te gronde et s’indigne dans la communauté, mais tu recommences à chaque fois. Ta mère, d’ailleurs et depuis quelques années déjà, retourne régulièrement en mer. Ton père a essayé de t’expliquer (de te prévenir, même) que si son cœur vous est en partie dévoué, il appartient aussi à l’océan. Tu n’entends rien à ses avertissements. Tout abreuvé des histoires racontées par ta mère tu te persuades qu’elle part pour vivre de grandes aventures, auxquelles, t'en es sûr, tu prendras part quand tu seras grand.

Mais un jour elle ne revient pas.

Ton père est triste. Ta grand-mère aussi. En te voyant tous les soirs aller attendre ta mère sur la plage, ils n’ont pas le cœur à te dire la vérité : qu’elle est égoïste, dirait ta grand-mère, envoûtée dirait ton père. Les années passent et tu grandis sans jamais perdre l’espoir de voir poindre à l’horizon le vaisseau d’Anne Bonny, même alors que tu n’es plus un enfant, même alors que tu passes des rites initiatiques qui font de toi un homme. Tu en veux à ton père, qui a oublié ta mère dans les bras d’Eitu, et à ta grand-mère, qui n’est plus là pour s’asseoir avec toi dans le sable tiède. Certains kaitiaki, qui te voient partir tous les soirs en direction de la plage et revenir tous les matins sans rien avoir perdu de ta détermination, se demandent si l’esprit de Wa, patron obstiné des pūkohu que la folie aurait mené à sa perte dans les profondeurs du lac, ne s’est pas emparé de toi.

Peut-être ?
Vu qu’un jour tu ne reviens pas.

{tw: racisme, mention explicite} 1769 - 1772 » Tu as rejoint à la nage le HMS Endeavour, qui longeait alors les côtes de l’île, et tu t’es caché dans ses cales en utilisant des sortilèges de camouflage élémentaires. Quelques marins se sont plaints de voir leurs rations inexplicablement diminuées mais avant qu’on ait remarqué avoir à bord un intrus, tu as débarqué à Botany Bay lors d’une escale. Pour toi qui viens d’une terre fertile où la nature est reine, la colonie te paraît laide, puante et excessivement bruyante. Tu y séjournes pourtant trois ans en tentant désespérément de te faire embaucher sur les baleiniers et autres navires marchands, mais la main-d'œuvre ne manque pas et on préfère aux 'indigènes' des matelots expérimentés qui 'savent aligner plus de trois mots d’anglais.' Certes, tu pourrais hasarder une botte du côté magique de la barrière, mais les tiens t’ont toujours mis en garde contre les sorciers : ils te chasseront et profiteront de toi. Incapable de tenir un boulot (tous plus ingrats les uns que les autres) plus de quelques jours, tu finis par truander les badauds du bout de ta lame et voler via quelques tours de magie la nourriture qu’il te faut pour survivre. Les piécettes rapinées sont quant à elles dépensées en alcool, opium et putains, une sainte triade qui te permet d’oublier tes échecs cuisants et le manque affectif qui te plombe. En 1772, la rumeur court que le HMS Victory, un bâtiment de la Royal Navy, recrute à vue de nez pour renflouer ses rangs infirmés par la flotte française. T'y vois enfin l’opportunité d’embarquer en mer et fonces tête baissée, signant d’une croix grossière ton engagement. Theodor Smith, tu réponds, quand on te demande qui t'es. Déjà, t'empruntes des noms écrits sur des tombes.

{tw: dépression, mention explicite} 1772 - 1776 » L’insubordination répétée dont tu fais preuve t’attire autant les foudres de tes supérieurs que celles de tes camarades qui doivent essuyer avec toi les sanctions disciplinaires. Quand tu ne cherches pas la bagarre ou excèdes tes concurrents pour avoir triché aux cartes (merci la magie), tu restes à l’écart en jetant à l’horizon un regard concerné. Ça va que tu sais te battre et, plutôt que les mousquets qu’on vous met entre les mains, c’est avec ton sabre d’abordage que tu te distingues le plus. Cette guerre, et ce Roi dont vous défendez les intérêts, ne sont pas les tiens, mais les accrochages répétés que le HMS Victory subit avec des vaisseaux sans couleur renforce chaque fois tes espoirs de voir apparaître, à la proue de l’un d’eux, la figure de ta mère. Ta mère dont la chaleur te manque. Dont la tendresse te manque. Ta mère et ses sourires de canaille, son franc-parler, ses mains usées par le sel, sa voix râpée par le tabac. Certains soirs sont plus difficiles que d’autres. Des sanglots d’enfant obstruent ta trachée de soldat et se déversent en silence dans des larmes lourdes. Alors, parfois, avec ce type aux yeux vairons et aussi tristes que les tiens, vous vous consolez comme vous pouvez. Et c’est pas si mal. C’est même mieux que ce que t’as jamais vécu dans les bras de tes putains.

{tw: mention de mort} 1777 » Un navire sans couleurs fait feu sur vous. C’est la nuit et une brume inexplicable s’est levée, forçant votre bâtiment, dominant pourtant son adversaire, à se replier vers les côtes. Certains parlent de vaisseau fantôme. D’autres affirment avoir reconnu, flottant dans la poix, le drapeau d’Anne Bonny. Beaucoup déplorent les pertes infligées dans vos rangs, et tout le monde se demande pourquoi, toi, tu souris. Sans aucune explication, et avec la bénédiction des tes autres camarades, tu demandes dès le lendemain à être de toutes les gardes le soir sur le ponton. "Has Smith lost his fucking mind?" On hausse les épaules. "Not my problem. Now I get a full night's sleep, and that's all that matters."

{tw: alcool, transformation} 1781 » Le HMS Victory jette l’ancre à Londres le temps d’un réapprovisionnement. De permission avec les autres, tu picoles dans les pubs du port et fais passer le temps en n’ayant qu’une hâte : rejoindre la mer.
05:03 -- Tu t’es assoupi sur un bout des docks. Soûl comme une barrique. En te réveillant, ta nuque te fait mal. Tu la frottes d’une main distraite, sens ta peau enflée et trouée. Comme si un rat ? un chien ? t’avait mordu. Ça devrait t’inquiéter. Peut-être même te terrifier. Mais tu flottes encore dans les vapeurs d’alcool.
05:27 -- Sueurs froides. Mal au bide. Envie de gerber. Tu geins dans la venelle où tu t’es échoué comme un animal malade.
05:34 -- Le pavé lisse. Si lisse sous tes doigts. Dans ton nez, une explosion d’odeurs nauséabondes. Le bruit des sabots allant au trot dans la grande rue bat dans ton crâne comme mille masses. Ta salive a un goût de pourriture. Et la lumière du jour, t’aveuglant d’un petit filet qui perce à travers toitures, se venge enfin de toi en cramant tes pupilles.
23:40 -- On te fait les poches. Te passe à côté. Un chat miaule et se frotte contre toi. Tu trembles si fort qu’il se tire en feulant. T’as peur. T’as mal. T'as froid. Clac. Des petites bottes trouées viennent de s’arrêter devant toi. Une voix fluette et cassée par la mue s'étonne : "well shit, you weren't that dead..."


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Billy Barlow
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Billy Barlow
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Occupation : Hound absolument pas zélé ni impliqué de la VB.
Allégeance : A son cul, vous dirait-il volontiers, mais les circonstances ont fait qu'il sert depuis 2003 le gouvernement sorcier.
Particularité : Quart de triton (facilités en magie curative et bonne résistance générale, sans compter le caractère de merde). Vampire depuis 1781. Maître rākau (discipline ancestrale qui lui permet de savoir combattre avec n'importe quelle arme blanche ; couplé à sa magie sans baguette ça fait des étincelles). Maudit par le pacte du Ba en 1979, il a été obligé de protéger Jiménez père, et doit protéger aujourd’hui Jiménez fils.
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyJeu 19 Mai - 15:52
chap.2
Let it roll,
let it crash down low

{tw: sang, mention de meurtre} 1781-1805 » L’horreur a de l’humour. Ton Sire est un enfant de douze ans qui s’accroche à toi comme à un père. Il s’appelle Oliver et il tue. Sans raison. Sans nécessité. "Who cares?" te dit-il souvent, avec ses grands yeux d’ange et son sourire de diable. Sa philosophie est brouillonne. Son mode opératoire insensé. Pourtant, tu tournes le dos à la mer et le suis, aussi bien dans sa folie que dans l’Underground londonien où grouille un monde nouveau. Ici, d’autres comme vous, et des différents encore, se cachent des sorciers ; cette volonté t’est familière, et le sentiment d’appartenance presque immédiat. Ta faim, énorme et grossière, te terrifie d’abord, et puis moins, jusqu’à ce qu’elle se banalise dans le creux de tes mains où gisent les victimes qu’Oliver t’offre. Parfois, tu t’isoles en surface, assis dans le noir sur les docks de Wapping où t’espères sans trop y croire embarquer sur un navire. Mais ton petit Sire, qui finit toujours par te retrouver, te dit "stay with me" ; et ta volonté, toujours, s’abandonne à la sienne.

{tw: sang, violence, mort} 1805 » Une descente d’Aurors fait trembler l’Underground. Dans les livres d'Histoire, on en parlera comme La Nuit des Lucioles ; la bataille faisant rage dans les boyaux de la ville fait s’échapper des résidus de sortilèges depuis les bouches d’égouts, si bien que les moldus croient y voir des nuées de lucioles sortant de sous terre. La réalité, évidemment, est autrement plus glauque. On s’y écharpe à coups de crocs et de baguettes, et la multiplicité de gangs qui y fourmille meurt ou est arrêtée. Oliver est des premiers. Toi des seconds. Envoyé à la prison de la Fleet, plus précisément à l'étage 6¾ visible uniquement de l’administration sorcière, t'attends ton transfert à Azkaban en ruminant sur ton sort. Anatolus Ebhert, chef du bureau des Aurors, vous explique en détail (et non sans une certaine satisfaction) comment les Détraqueurs s'y prendront avec vous quand, pareil à une mouche, il tombe raide mort à vos pieds. Son assassin n’a été vu par aucun garde et n’a alerté aucun dispositif magique. Il-- elle, te lance un sourire mystérieux en ouvrant ta cellule. "You owe me one partner. See ya." Ce sont les seuls mots qu’elle prononce avant de disparaître.

{tw: mention de meurtres} 1805 - 1833 » Aussi troublante qu’ait été cette rencontre, ça ne t’empêche pas de t’évader en libérant à ta suite quelques vieilles connaissances à qui tu proposes d'éponger la dette en te suivant en mer. Sans plus Oliver pour te retenir, tu voles avec tes gars un baleinier du nom de Queen Mary, renommé en Bloody Mary pour la blague et le blasphème. Loin de picoler de la gnôle, ton équipage et toi préférez le sang des marins que vous croisez en chemin ; ceux qui le souhaitent et qui en ont la capacité magique peuvent d’ailleurs se joindre à vous, les autres, qui refusent ou sont moldus, vous les videz comme des bouteilles de rhum avant de les envoyer dans les fonds marins. La M.S.S. fait de votre capture son cheval de bataille et une course-poursuite sans fin s'engage entre ses navires et le vôtre ; qui n’a de cesse de s’échapper, lui-même en chasse du Black Rock. Du temps où tu côtoyais la vermine de l'Underground, on t'a appris que la légendaire Anne Bonny avait vendu ses années de vie sur terre pour des siècles de vie en mer et que, depuis, elle hantait les océans sur son rocher noir aux voiles rouges. Un mythe, peut-être. Un de plus sur ta mère. Et pourtant, de la même manière que tu croyais autrefois à son retour, tu crois maintenant à sa survie.

{tw: violence, mention de mort} 1833 » Au large de Port Elizabeth, le Black Rock fait feu sur vous. Tu pourrais gueuler de joie. Même si l’affrontement est brutal, et que vous perdez la bataille, te retrouver prisonnier sur ce navire est une victoire. Quand la capitaine avance vers toi, c’est un regard d’enfant que tu poses sur elle. Anne Bonny. En chair et en os. Elle a plus de cheveux blancs que dans ton souvenir, mais elle a si peu vieilli que vous pourriez avoir le même âge. Ta mère ne te reconnaît pas tout de suite et manque te faire exécuter avec les autres. Il faut que tu lui dises être son fils, en lui montrant le karearea tatoué entre tes clavicules pour que, soudain, son visage change d’expression. Ça la bouleverse autant que t'es ému, et tu crois, l'espace d'une instant, qu'elle va te serrer dans ses bras. Un ordre, au contraire, tombe de sa bouche. "Throw him overboard." Quand tu t'insurges et rugis ne pas comprendre, elle vocifère : "forget me." Tu serais un poids. Pire. Sa vulnérabilité.

{tw: mention de drogue, d'alcool, de sang et de mort} 1834 » A Port Elizabeth, tu erres sans but. Les mots de ta mère t’accompagnent à chacun de tes pas. Tu retournes là où tu te sens le mieux, dans les quartiers pauvres où ça grouille et ça grogne. Quand tu ne roupilles pas aux côtés des ivrognes, des malades et des drogués, tu leur pompes leur sang infâme. Ta faim, finalement, te fait te rapprocher des maisons cossues où tu penses pouvoir trouver un gueuleton moins faisandé. La première silhouette sur laquelle tu te jettes sort en catimini d’une demeure bourgeoise. Tu ne sais pas qu’elle y a assassiné un notable. Tout ce que tu sais, c’est qu’elle te maîtrise sans peine et que tu reconnais son visage, aperçu des années plus tôt à la prison de la Fleet. "How d'you know we'd meet again!?" Ça la fait tiquer. Elle t’a dit ça ? Un petit rire s’échappe. "Sounds like me. Guess we have to know each other then... I'm Kunal by the way. Nice to meet you! ... again." Kunal, tu apprendras plus tard, est une retourneuse de temps au service d'une guilde d'assassins.

1835 » L’Acromantula. C’est comme ça qu’on l’appelle. T’en deviens un initié sans trop savoir dans quoi tu t’embarques. Sans tout à fait te débarrasser de tes peines, un sortilège d’amnésie efface quelques pages de ta vie ; ôte de tes épaules un poids épais. Pourquoi, parfois, tu regardes en direction de la mer d’un air pensif, ça, tu ne saurais plus le dire.

1839 » Tu flanques Kunal lors d’une mission. Objectif : la protéger d’éventuelles embûches que pourraient vous mettre sur le chemin une guilde rivale. Tes sens décuplés la sauvent en effet d’une lame traître que, aussi entraînée soit-elle, elle n’aurait pas pu éviter. Kunal concède : "see? we had to know each other." Quelques jours plus tard, elle est en charge d’un nouveau contrat. "Guess where I'm needed. And when.London? 1805?London. 1805."

{tw: travail du sexe, meurtre} 1892 » Un contrat t'amène dans le port de Beira, où tu te faufiles dans un bordel pour y déloger ta cible. C'est une septuagénaire à la voix râpée par le tabac qui s'étonne dans un long râle du coup fatal que tu lui portes. Les filles avec qui elle passait du bon temps crient et s'enfuient, vous laissant seuls dans les bras l'un de l'autre. Ses doigts, comme usés par le sel, caressent doucement ta joue avant de finir sur ton karearea tatoué. Tu remarques que elle aussi, porte un tatouage, celui d'un goéland tanné par le soleil. Sans plus d'égards, ni réaliser à qui tu as affaire, tu l'achèves et repars avant qu'on te découvre sur les lieux de ton crime.

1914 » C’était un accident. Un accident que tu n’as pas le cœur de tuer, mais pas non plus le cran d’assumer. Tu penses l’abandonner à son mais le ramènes finalement avec toi à l’Acromantula. Iel sera pris.e en charge par le reste de la guilde, comme c'est la coutume. Plus tard, et les quelques fois où iel te donnera du Sire, tu lui diras de la fermer dans un soupir mou. Ce serait une erreur que de voir en toi un mentor, quelqu'un qu'il est avisé de suivre. "Kid, I don't even know where I'm going."

{tw: mention de mort} 1944 » Les belligérants mondiaux renflouent les caisses de l’Acromantula et toi comme les autres encaissez vos parts. C’est la décennie la plus meurtrière de ta carrière. En comptant toutes les carcasses que t'as déjà entassées derrière toi l’odeur de la Mort empuantit tout ce que tu respires ; et t'en as marre, de ce parfum, t'en as marre de cette horreur routinière dans laquelle tu tournes en rond. En outre, ton caractère bien trempé qui ne 'reçoit d’ordres de personne' et conseille à qui te souffle dans les bronches d’aller s'faire 'chatouiller le rectum par un veracrasse' t’a mis certains gros noms de la guilde à dos. Sans tout à fait en ignorer les conséquences, tu décides pourtant de te tirer.


1945 » En plus de fuir sur ton temps libre les sbires envoyés par l'Acromantula, tu t'improvises sur un malentendu chasseur de trésor. Même si aucun de tes commanditaires (souvent britanniques) ne te voit jamais revenir avec le butin promis, et encore moins avec l’avance faite. Dans la profession, on te déteste, t'es un bouffon doublé d’un salaud qui met à mal le business et fait fuir les mécènes. Tu ricanes dans ton coin, insensible à l’aversion que tu provoques, et même plutôt ravi de mettre ton grain de sel dans la purée colonialiste. Quand tu le peux, pourtant, les trésors que tu déloges de leurs ruines retournent entre les mains de leurs peuples. Sans un mot de ta part. Sinon un petit papier sur lequel sourit un bonhomme idiot.

1946 » Ça commence à chauffer sévère pour tes fesses. La Tête de l’Acromantula met les bouchées doubles et tu décides de quitter l'Europe.

1946 - 1978 » Aux Etats-Unis, tu te réfugies derrière l'énorme carrure qu'est l’Institut des Sorcières de Salem en troquant sa protection contre tes services ; tu dois prévenir et, le cas échant, déjouer les attaques du B.A.D.E - Barebone’s Descendants (un comité de joyeux lurons moitié moldus moitié sang-mêlé qui ne s’assument pas, dont le seul but est de perpétrer la tradition des Ratisseurs). Comme le B.A.D.E est une clique mal organisée et que leurs attaques terroristes sont globalement rares, tu conviens avec les Suprêmes que rien ne t’empêche de faire ta petite vie à côté (stricto sensu, à 3km de l'Institut). T'ouvres un bar sans prétention, installé face à la mer et héritant du nom de Bloody Mary par nostalgie (et humour toujours aussi pourri). Sauf quelques rares exceptions, on n’y voit traîner que des hybrides ; pas que tu te sois découvert un penchant altruiste au fil des siècles, mais avec un vampire aux commandes, c’était à peu près sûr que l’établissement serait boudé par les sorciers. Toi, en tout cas, t’y es pépère, et t’es loin de bouder la tranquillité que ça t’apporte (si on ne compte pas les échauffourées que tu dois régulièrement calmer avec les loups-garous, ou les harpies à qui tu dois faire des yeux doux pour calmer leurs foudres).

1978 » Les agents du Département de régulation des créatures magiques trouvent un peu trop à redire sur ton établissement, et te convoquent à plusieurs reprises au MACUSA. Etant donné que tu t’es embrouillé avec tes alliées les sacrosaintes Suprêmes de Salem, tu sens que tu vas difficilement pouvoir te sortir de ce pétrin (certains de tes clients t’ont dit que le MACUSA distribue des travaux d’intérêt général comme du petit pain aux hybrides, et, franchement, l’idée même de devoir te fouler pour te racheter une bonne conduite te fait rouler des yeux). Du jour au lendemain le Bloody Mary disparaît de son petit lopin de terre, comme s’il n’avait jamais existé. Le proprio avec.

1979 » Attablé en compagnie de crapules dans le fin fond du Mexique, un type à tête de buffle propose une partie de Ba. Tout le monde se dégonfle sauf toi. T'as vaguement entendu parler de ce jeu, tu sais qu'il est dangereux, mais tu sais aussi que le gain est alléchant (un sorcier à ta botte, hilarant, tu raterais ça pour rien au monde). Comptant sur tes petites techniques bien huilées de tricheur, tu formules à voix haute ton accord en même temps que le type aligne le sien. Ce que tu ignores, c'est qu'il est impossible de tricher au Ba...
(...)
"What the fuck!?"
"Cheer up vampire, you just got yourself a fantastic buddy!"

1980 » Rico te les brise. Où que vous alliez il vous fout dans une merde noire. T’as envie de lui bousiller sa gueule moche comme un cul de troll, mais t’as pas vraiment d’autre choix que de rester avec lui et défendre sa couenne.  

1988 » A force de traîner avec Rico tu commences à apprécier vos aventures aux quatre coins du monde, et même sa sale tronche. En revanche t’aimes moins ce que tu redeviens, tranquillement mais sûrement ; une machine à tuer tout ce qui menace Rico. Rico, lui, s’en fout de tes états d'âme. Ça l’arrange tellement que, même toi, tu finis par trouver ça normal d’être une caricature ambulante de grand méchant vampire. C'est à se moment-là précisément qu'un truc se détache de toi, un genre d'indifférence bien pratique.

2002 » Rico meurt de vieillesse (ou disons plutôt d’un savant mélange de tabagisme et d’alcoolisme), et t’es loin de le pleurer. Quand il a claqué dans son plumard miteux, de cette piaule miteuse, dans le motel miteux où vous créchiez depuis plusieurs mois, t'as eu trois secondes de doute en te demandant si t'allais y passer aussi, avant de souffler de soulagement. En terme d'adieux, tu lui as souhaité bon voyage en lui adressant ton plus beau majeur. Et puis t'es sorti de là en souriant comme un crétin.

Avant d'être transplané de force.

{tw: nudité - bcz bernie cant keep his pants on} 2003 » Tu piges pas. Rico t'a jamais confié avoir un môme. Alors comment, et pourquoi, tu t’es retrouvé à transplaner de force aux côtés de ce type le cul à l'air en pleine action : ça te dépasse. Quand Bernardo, parce que c’est comme ça qu’il s’appelle ("Hi Bernardo, I'm Billy [not a pleasure at all]"), te demande en panique ce que tu lui veux, tu trouves rien de mieux à dire que "relax, spazzy boy, I'm here to cover your ass.", et rien de mieux à faire que de lancer un œil moqueur à ses miches à l'air. Heureusement que sa copine jappe de peur en voyant tes dents longues, sinon ça serait devenu ambigu, entre toi et... ton nouveau petit protégé...

Fuck...


Dernière édition par Billy Barlow le Jeu 5 Jan - 15:47, édité 37 fois
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Bernardo Jiménez
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyJeu 19 Mai - 15:52
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Atropos Sacramoni
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyJeu 19 Mai - 19:52
JFC. THIS DEAD GUY IS ALIVE (billy) D.O.A 1029237966 (billy) D.O.A 1029237966 (billy) D.O.A 1029237966 (billy) D.O.A 1029237966 (billy) D.O.A 1029237966
(Je réserve ma place, je lis et j'édite (billy) D.O.A 2951650651 )
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyJeu 19 Mai - 21:55
euh hello sir?? (billy) D.O.A 3917032287
comment ça balance des personnages incr
(re) bienvenuuuue (billy) D.O.A 736882016 (billy) D.O.A 736882016 (billy) D.O.A 736882016
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Siham Al-Massri
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Particularité : magie sans baguette, confirmée en occlumancie complexe
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyVen 20 Mai - 11:10
Waw, il vend (presque) du rêve pour un hound de la VB DRAMAAAA
Je kiffe les vibes puis genre avec Bernie, ça promet beaucoup trop (billy) D.O.A 2951650651
rebienvenue (billy) D.O.A 736882016
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Ishmael Levy
Ishmael Levy
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyVen 20 Mai - 12:05
ce fc. je suis (un peu) jaloux. DRAMAAAA
vraiment ça envois du lourd et j'ai hâte de lire la suite et puis les bails avec bernie (billy) D.O.A 2447323017 (comment ca je ne vais pas que rire?!)
amuses-toi bieng avec ce nouveau boy (billy) D.O.A 941336645 (billy) D.O.A 736882016
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Charlotte Ellis
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Occupation : ÉCHAPPÉE DES BATTUES ; DISPLACED WIZARD DE L'ORDRE (MADMAX) DEPUIS LE 23/12/2007
Allégeance : F*CK THIS SH*T
Particularité : PRO DU LANCE PIERRE
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptyVen 20 Mai - 18:44
HAAAAAA LE VOILÀ (billy) D.O.A 1910853676 (billy) D.O.A 1910853676 (billy) D.O.A 1910853676 (billy) D.O.A 1910853676
tu m'avais déjà grave hypée avec ton petit teasing et comment te dire,,, je ne suis absolument pas déçue?? la fiche est incroyable?? ta plume un délice??? J'ADORE BILLY?????
et puis le fc bordel !!!!!!!!!!!!
j'ai trop hâte de le suivre en rp je prépare déjà mes tasses de thé genre
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Amity Safaatauemana
VOLDEMORT SYMPATHISER
Amity Safaatauemana
Date d'inscription : 12/04/2021
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Crédit : corvidae (avatar), pp (signa), tumblr (gifs), michael kiwanuka (lyrics).
Âge : quarante ans. (rendez le spitfire ça conserve ouin)
Occupation : agent spécial™ de l'UICS, Handler intérimaire de la VB et secrétaire personnelle de Silver (ew).
Allégeance : agent-double pour l'OdP pendant des années, sauf qu'en fait elle servait de taupe au gouvernement ; depuis la débandade de novembre 2007, elle a officiellement rejoint les bad guys™.
Particularité : occlumens confirmée, animagus non déclarée + un peu de magie sans baguette + beaucoup de tatouages de beauf, aussi.
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MessageSujet: Re: (billy) D.O.A   (billy) D.O.A EmptySam 21 Mai - 18:35
(billy) D.O.A 3917032287 (billy) D.O.A 3917032287 MAIS REGARDEZ LE (billy) D.O.A 3917032287
bon askip je suis déjà passée fangirl en pv et SURTOUT je note que y a à nouveau plein de lecture ???? jspr la deuxième partie est tout aussi bien sinon le bitty est cancelled . (et du coup le belly aussi, parce qu'est-ce que vous feriez sans Mite juste ?????)
your brain . c tout ce que je dirais .
(et your avatar, your manière d'écrire....... bref t'as compris.)

on va faire de grandes choses vous et moi !!!!!
(billy) D.O.A 1172237334 (billy) D.O.A 1172237334 (billy) D.O.A 1172237334 trop hâte

rebienvenue chez toi bb continue à nous régaler stp merci jsuis prête à shipper jusqu'à ma mort
(billy) D.O.A 256150716
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