NEW ORDER

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nom prénom(s)  » Noris, comme Chuck, oui oui, on ne part pas sur un niveau d’orthographe fou. Mais mieux vaut Noris que Jean-Claude. Parce que Jean-Claude, à l’école, il avait beau dire que c’était pour JCVD et qu’il avait des lunettes, il se faisait frapper. Pas Noris. Mais peut-être parce que Jean-Claude avait grandi depuis et faisait une tête de plus que tout le monde. Pratique le frère. Sanders en nom de famille. Mais Papa n’est pas vraiment son papa, tristesse, tristesse, Noris est le fiston de son parrain (surtout drama).  Ah puis son deuxième prénom c’est Arnold, en hommage à Schwarzy. surnom(s)  » Moults trucs en rapport avec ses sourcils (c’est méchant), quelques Nono épars. Un moment, il se faisait même appelé Nash parce que ça rendait plus stylé que Noris sur les ondes de la BCBC. Mais quand son petit talent a été rendu public, le Nash s’est transformé en Trash et il a été compliqué de s’en débarrasser. Sinon, il y en a pas beaucoup qui l’appelle par son nom, Sanders, ça passe quand même mieux que Noris “avec un seul r”. date de naissance » Premier avril (because life is a fucking joke) 1980. Dans un bled paumé pas loin de Swansea, ils n’ont même pas eu le temps de se rendre à l'hôpital. Même qu’il a failli naître dans la bagnole et se faire appeler Chrysler {insérer un rire gras}. origines & nationalité  » Gallois avec accent qui ressort quand il s’énerve pour tuer sa crédibilité. Puis il se croyait gallois depuis l’époque des vikings (ou des celtes hein, il y connait que dalle) mais il s’avère que son vrai papa est ricain. La classe, yeehaw. pureté du sang  » Là, pour le coup, il a une chance de bâtard. C’est toujours comme ça, le mec se pointe, a une poisse incroyable du style à marcher sur l’unique crotte de chien des quinze bornes à la ronde (du mauvais pied en plus), on lui annonce que son père n’est pas son père et finalement ça lui sauve la mise. La moitié de ses années à Poudlard à se faire traiter de sang-de-bourbe pour s’avérer être sang-mêlé. Merci Parrain pour avoir dit “Ah non en fait, lui c’est l’mien” quand ça commençait à trop craindre pour les nés-moldus. La nation entière reconnaissante (non) (surtout pas Maman). métier/études  » Études à poufsouffle, son côté blaireau {haha}. Après, il a enchaîné avec une carrière de joueur de bavboules professionnel. Oui, le mec pèse dans le game. Le mec est champion du monde. Le truc c’est que ce même monde s’en tape mais alors galactiquement des bavboules (quand il n’hurle pas de rire rien qu’en apprenant l’existence du championnat). Noris a dû se rendre à l’évidence, il n’aurait jamais le salaire de Mark Hugues (son idole avec Rambo de quand il était petit). En désespoir de cause (non), il passe le casting pour la première saison UK de Veritaserum. Vite éliminé parce que son sang était trop cracra pour qu’on le laisse trop longtemps faire le beau à l’écran (c’est qu’il a des abdos et tout), ça lui a permis de se faire de la thune et d’acquérir un peu (plus) de notoriété. Là, il a décidé de devenir barman. Là, le Lord a décidé que l’alcool, c’était niet. Juste pour l’emmerder, oui oui. Du coup, Noris est condamné à servir des virgin mojito au Leaky Cauldron mais comme il est fab, on le laisse organiser des soirées événementielles regroupant les stars de la BCBC (et où les mojito sont plus virgin mais chut, faut pas le dire). orientation & état civil  » Hétérosexuel qui a passé son adolescence à acheter touuuus les witch weekly. Ses camarades se foutaient de sa gueule mais n'empêche qu’ils étaient drôlement envieux de sa collection de publicités de sorcières en lingeries. Célibatard sinon. Bien que son célibat n’ait rien à voir avec sa bâtardise, il dit ça pour se donner un genre, il est super romantique dans le fond (même que du coup il donnait des tips aux meufs de son émission de téléréalité pour leur rendez-vous en fake couple). camp  » Monsieur est apolitique. Non parce que franchement, il faut nuancer son propos quand on dit que le régime flirte avec le fascisme. Noris est pas d’accord, il y a toujours eu de la discrimination, certes là elle est rude, mais quand même, c’était bien jouer de rendre Gringott’s aux sorciers. Puis Monsieur, il est surtout un poil trop nombriliste pour se soucier de son prochain. Lui, il s’occupe déjà de lui et il a une vie très compliquée (puis a donné trois mornilles à un né-moldu qui crevait la dalle il y a deux ans avec un autographe en bonus, ça suffit maintenant).  baguette  » Platane, moustache de troll, 25 cm tout pile. patronus  » Si on vous le demande, vous dites que vous savez pas ou alors vous répondez un truc classe (style un dragon). Le pire c’est que c’est même pas un mensonge, il y a une probabilité non nulle pour que ce soit un dragon ou encore mieux un léviathan. La probabilité que Noris réussisse le sort un jour, elle, est très très proche de zéro. Coup dur pour le joueur gallois. épouvantard  » Ses (futurs) enfants, malheureux comme des pierres. Il trouve que c’est le truc le plus déchirant du monde, les gamins tristes. Alors les siens... C’est son côté homme viril mais sensible.  particularité(s)  » Le mec, il se débrouille pas trop mal en métamorphose alors, pour une fois dans sa vie, se dit qu’il pourrait réussir un truc stylé. Le mec y passe des journées et des journées, des semaines et des semaines, des mois même, pour enfin réussir à devenir animagus. O-PO-SSUM (ou plutôt oposseum). Merci d’avoir participé comme qui dirait.

cw. consommation d'alcool & drogue

8h. DRIIIIIIIIING "Oh ta gueule !" DRIIIIIIIING Tâtonnement de doigts pour éteindre le réveil, un roulé-boulé pour se rapprocher de la foutue table de nuit. Chute du lit, bruit des pattes de Diva sur le parquet, léchouille sur le pif en guise de bonjour.
8h15. Chien et humain grognent de concert, il y a eu échange de gamelles et donc de croquettes dans le brouillard du matin, mécontentement général. Noris ouvre son courrier, mécontentement que de Noris.
8h30. Prise de photos pour Wizardgram, moue boudeuse de mec viril, torse nu, short de sport, morning routine en légende. Trente minute pour choisir la photo qu'il poste.
9h. Cinq pompes.
9h05. Douche froide. La lettre reçue plus tôt est à ce sujet. Soucis de ballon d'eau chaude magique. Une histoire de runes créatrices de chaleur effacées, bien sûr que c'est sur lui que ça tombe.
9h30. Sortie de Diva, Noris tape la causette avec sa grande pote Margaret - 95 ans, propriétaire de Cornelius jeune croup de 4 ans (truffe humide, yeux brillants, pelage soyeux) - sur le chemin. Tout deux ragent sur le mauvais temps et la vie dure.
10h. Nouveau post sur Wizardgram. On voit Margaret tout sourire assise à une table, deux cafés, filtre couleur automnale. Hot take du jour : l'amitié n'a pas d'âge. Longue vidéo de Diva sur un toboggan (les enfants ont été chassés pour le bien de la story) avec un petit bonnet muni de deux trous pour faire passer les oreilles. 
10h15. Reconnu dans la rue sur la route du boulot. Espère qu'on va lui demander un autographe. Mais non, c'est que des haters juste bons à gueuler "heyyy Traaash". Tsss, Diva aurait été un chien féroce qu'ils auraient moins fait les malins.
10h30. Vérification de la propreté du Leaky Cauldron. Toujours douteuse, parfait. Chaîne de la boule de cristal (toujours allumée) zappée pour la chaîne d'information vu que c'est l'heure des résultats du championnat de bavboule américain. Grognement du patron, retour à la chaîne de divertissement.
11h. Le vieux Jim parle de sa femme décédée depuis vingt ans. Vingt ans qu'il fusionne avec son tabouret au comptoir du Leaky Cauldron. Les Irish coffees ont été troqués contre des coffees tout court mais ça jacte toujours autant. Noris hoche la tête, remet des cacahuètes dans le bol d'amuse-bouche. Grognement du patron, faut pas trop donner aux clients.
11h45. Petit tour rapide au Chemin de Traverse pour sortir Diva, nouvelle photo Wizardgram : mur du Leaky Cauldron avec filtre vintage.
12h. Chose sérieuse commence. Elfe et né-moldu s'activent en cuisine, Noris prépare les apéritifs, s'amuse à faire le plus de couches de liquide sans que ça se mélange, redécouverte de la notion de densité.
12h30. Incident diplomatique frôlé : un mangemort venu déjeuner avec sa petite famille (pourquoi ici ? mystère insoluble) trouve son steak trop cuit, hurle à l'empoisonnement et à la rébellion contre l'état. Ronds de jambe, courbette bien basse, repas offert avec toute les excuses du chef.
13h15. La BPM se pointe pour une inspection, ça fouine de partout, c'est clairement pour se venger du steak pas cuit. Diva grogne, Noris se fait tout petit.
14h. Retard sur les commandes de Wizard Eats à cause de l'histoire, même Noris doit s'y mettre, vraiment trop inzuste.
14h45. Noris parle au vieux Jim de bavboules. Le vieux Jim ronfle à moitié. Nouvelle photo sur l'amitié qui n'a pas d'âge.
15h30. Il pleut dehors, ça sent le chien mouillé.
16h30. Pot de départ d'un employé à la boutique de Quidditch, ça demande de l'alcool en douce par ce que bon quand même, on ne part pas tous les jours à la retraite. Noris est intransigeant. Noris déteste le Quidditch surtout.
18h. Petite pause, enfin, transformation dans l'arrière-cours pour être peinard (rien à voir avec le local poubelle, non), sieste roulé en boule avec Diva qui ronfle à côté. Rêve de lui, toujours champion de bavboules, enfin riche et célèbre.
19h30. Premiers invités (et donc les moins importants) se pointent à l'évènement pour gens fab. Séance photo pour Wizardgram. La rumeur dit que les  Dazzling Garbage viendront. Les gens ont juste confondu le nom du groupe avec Trash, Noris a pas démenti, ça fait le buzz.
20h15. Une mini starlette défoncée au Worrynot expose ses narines bleues sur Wizardgram, Noris appelle des renforts pour la faire rentrer chez elle discrètement avant le débarquement des autorités.
22h. Début officiel de la soirée, relégué derrière son bar, Noris enchaîne les cocktails en couvant du regard Diva qu'il aurait bien laissé à la maison si elle ne hurlait pas à la mort dés qu'il la laisse seule.
22h45. Heureusement que la salle est insonorisée.
23h15. Quelqu'un a vomi, le sol pègue, Noris est en grande discussion avec une de ses amies de Veritaserum. Photo pour Wizardgram à nouveau.
24h30. Flou.
5h15. Effondrement dans le lit, toujours habillé.

Films d'action américains : Passion d'Ethel Sanders qui a absolument tout (ou presque) en cassettes. Elle les mate en boucle et les gamins qu'elle garde sont tous devant. Les héros américains, bodybuildés à en avoir les muscles prêts à éclater, c'est un peu son fantasme, elle rêve qu'un jour l'un d'eux sonne à sa porte et l'emmène loin de sa vie minable. Sa manière de s'évader de sa vie un peu nulle où les fins de mois sont compliqués et son mari - un paumé - ne lui inspire plus qu'un sentiment mitigé.  

Bambin assis sur la table du salon, yeux embués de larmes. Parce qu'on lui a confisqué son nounours mais aussi à cause de la fumée des bougies qui l'entourent et l'odeur de la sauge qui lui prend les narines. Sous lui est dessiné un genre de pentacle à la craie, Maman le regarde avec des grands yeux effarés et Noris pleure de plus belle, passe même aux hurlements quand la grande-tante s'approche de lui en murmurant en latin de cuisine. Une porte claque au loin. "C'est l'démon qui est parti !" Murmures approbateurs parmi la demi-douzaine de spectatrices, Noris n'en finit plus de sangloter, la cire des bougies coule sur la table et en flingue le verni. Au moins, l'exorcisme est réussi. Enfin, il paraît.

Arnaqueur : nom masculin. Personne qui pratique l'arnaque, l'escroquerie. En exemple ? Le parrain de Noris qui a débarqué comme une fleur dans le village gallois et paumé qu'occupe les Sanders au beau milieu des années 60. Sorcier atteint de dysmagie, il s'est rendu compte qu'il arrivait tout de même à lancer des sorts de confusion à ses victimes (de préférence, les banquiers et les assureurs). A donné à Maman des envies d'exil à l'autre bout du monde, là où vivent ses héros, juste en parlant avec son accent de yankee. Accent qui n'outrepassera jamais le gallois des Sanders, malgré les efforts maternels pour l'effacer.

Noris a quatre ans, Noris hurle encore. Dans l'avion cette fois, parce que ses oreilles sont bouchés à cause de l'altitude et qu'il a laissé tous ses copains derrière lui. Jean-Claude lui a dit qu'en plus, les cowboys c'était comme le père noël : ça n'existait même pas. Alors il trouve que c'est vraiment beaucoup trop nul ce déménagement, même si Maman est ravie et se voit déjà réussir à Hollywood alors même que c'est sur la côte Est qu'ils s'installent. Pour ajouter à la nullité, sa première action sur terre américaine est de tomber de la rampe de débarquement. Hop, fracture, bienvenue en Amérique Noris.

Possession : Chère Jezabela, j'ai vu votre annonce dans le dernier numéro de People. Il est mis que vous êtes spécialiste en entité démoniaque qui prennent possession des gens. C'est au sujet de mon fils, Noris. Depuis petit, il se passe des choses bizarres autour de lui. Ma tante a déjà tenté de l'exorciser il y a des années mais il a recommencé ? J'ai peur, il a cassé les lunettes de son frère, le pauvre Jean-Claude a failli en perdre la vue à cause du verre brisé. Aidez-moi s'il-vous-plaît.

Son parrain tire une tronche de six pied de long depuis qu'il a récupéré Noris à l'aéroport. Noris tire une tronche de six pieds de long aussi parce qu'il a encore une fois du abandonner tous ses copains pour aller dans un pensionnat. Il n'y a que Maman pour s'être réjouie de la nouvelle, il a l'impression qu'il lui fait un peu peur. Parce que c'est un sorcier et ça a l'air de beaucoup emmerder Parrain qui finit par lui avouer qu'il en est un aussi. Noris lui pose plein de questions, comprend pas trop les réponses à part qu'il aurait pu s'abstenir d'avoir des pouvoirs. Pourtant, il n'a pas fait exprès. C'est ce qu'il explique au vieux qui vend des bouts de bois. Le vieux s'en tape et le prend même de haut quand Noris tombe enfin sur sa baguette. Apparemment, cette dernière est d'une banalité affligeante et conviendrait à un sorcier du même acabit...

Populaire : adjectif. Exemple : Noris ne fait pas parti des gens populaires. Pourtant, il aimerait bien. Avoir un truc, LE truc qui fera que tout le regardera avec admiration. Il pensait que c'était bon avec la magie, qu'il était unique en son genre mais avec sa lettre d'admission à Poudlard, il a compris qu'il est loin d'être le seul sorcier.

Le Choipeaux posé sur sa tête - et plus particulièrement sur les cheveux gras - n’est pas jouasse du tout. Noris l’entend même soupirer. En mode c’est pas foufou. Alors Noris, il stresse, ce qui le fait transpirer. Donc maintenant, le Choipeaux a droit au gras et à la sueur. Puis dans la tête du garçon, il commence à répertorier tout ce qu’il n’a pas comme qualité. Pas super malin, pas super courageux, pas super intelligent, pas super quoi. Heureusement que Poufsouffle accueille tout le monde, c’est ce que le couvre-chef lui dit avant de gueuler qu’il sera un blaireau (prémonitoire ? certainement). Noris est un peu déçu, il l'écrit dans sa première lettre pour Jean-Claude.

Bavboules : si Harry Potter a battu le record du plus jeune joueur de Quidditch depuis des années, Noris a battu celui du nombre de parties de bavboules remportées d'affilé. Dans tes dents l'élu (ou pas). Il est a noté que Noris a également tenté de briller au quidditch, cela s'est fini avec une épaule en écharpe et une peur du vide indélébile.

Grosse ambiance au village natal. Les Sanders y sont au grand complet (pèlerinage annuel avant de retourner à l'American dream), Noris n'en mène pas large parce que ce n'est pas rigolo l'actualité en ce moment. Le parrain est dans un état encore pire. C'est lui qui a dit qu'il fallait parler et il est muet comme une tombe. Il finit par se décider, regarde Maman droit dans les yeux avant de se jeter à l'eau. "Je crois qu'il est temps que je reconnaisse le p'tit comme mon fils..." Papa lui met son poing dans la gueule, Jean-Claude dit un truc sur les sourcils bizarres et qu'il aurait du le remarquer plus tôt, Maman pâlit et Noris rage parce que ça fait cinq ans qu'il se fait traiter de sang-de-bourbe pour rien.

ASPICs : sortilèges, mouais ; soin aux créatures magiques, s'est fait mordre par un boursouf ; botanique, s'est fait mordre par une mandragore ; astronomie, c'est dommage de confondre le nord et le sud quand même ; métamorphose, oh il gère.

Tous les espoirs du Royaume-Uni sont sur ses épaules, des millions de spectateurs n'ont les yeux rivés que sur lui. Le joueur gallois s'avance, fléchit les genoux, yeux plissés par la concentration alors qu'une goutte de sueur lui coule le long du dos. Noris prend une longue bouffée d'air, ses lèvres s'agitent en prière muette, il vise, il tire, tonnerre d'applaudissements. Noris est champion olympique. 

Veritaserum : importée des US, la première édition britannique de cette émission remplissant à merveille la fonction d'abrutir la plèbe eut lieu en 2004. Elle tourna vite au fiasco à cause de la présence d'un candidat dont le secret officieux était qu'il pratiquait la legilimancie. Noris réussit à s'en faire éliminer avant non s'en avoir montré son petit talent d'animagie devant les crystals de tout le Royaume-Uni. Sa notoriété fut donc à peu près assurée.

La nouvelle est accueillie comme un poignard planté pile entre les vertèbres C7 et D1. Pour la première fois, Noris est prêt à arrêter de faire le psychologue de comptoir pour devenir révolutionnaire. Lui faire ça à lui ? Lui qui n'a jamais dit un mot plus haut que l'autre sur le régime (certes par lâcheté) ? Alors qu'il tente désespérément de faire du Leaky Cauldron un lieu cool pour les people de la BCBC avec une salle secrète qui leur est spécialement dédiée ? Non, franchement, il aurait préféré que la prohibition reste un chapitre de l'histoire américaine et qu'on ne prive pas ses mojito à la branchiflore de rhum.