EVENT MINEUR #8 » we wear the robe like no one could

Puisque Léonilde accepte, pendant plusieurs minutes, tu lui indiques qui est qui dans cette grande soirée du crime organisé. Certains visages sont très vite évités, et tu n’indiques vraiment que celles et ceux que tu connais bien (mais pas non plus tout le monde de haut placé, manquerait plus que ça se retourne contre vous à la longue), notamment Lance Farrow, occupé à causer avec une Von Bäume.
Ça dure comme ça quelques temps, parce que tu te sens d’humeur aimable, mais bientôt tes jambes commencent à te tirer, toi qui est encore en station debout, et ta main s’agrippe davantage à ta canne, sans que tu en aies l’air.

C’est curieusement le moment que choisit un des Wang pour monter sur scène en interrompant le show de la starlette qui avait plusieurs fois été en couverture de Witch Weekly avant que son sang n’en fasse une persona non grata. Fronçant les sourcils, tu t’interromps dans la discussion soutenue avec les deux membres de l’Angelus, et tu guettes rapidement les autres têtes des Wang, que tu repères çà et là, dont l’une d’elle (Sunny) avec ta nièce.
De mémoire, tu n’es pas sure des relations entre Wang et Warlocks, si bien que tu t’attends à à peu près tout... et Martin Wang surprend l’auditoire en annonçant des fiançailles surprenantes qui, passé le moment de choc et d’applaudissements, te font remettre en perspective tout ce que tu avais à l’esprit en termes d’alliances entre les différents gangs du Syndicat.
Autant dire que ça pue et que tu te sens le besoin d’un petit remontant (et d’une chaise, bon sang). « Excusez-moi quelques instants, je reviens très vite. », ainsi prends-tu congé de Léonilde et Mascimiliano : peut-être penseront-ils qu’il s’agit d’un éloignement ponctuel pour aller uriner. Tes pas t’amènent néanmoins vers le Bar, où la robe rouge de Carrie attire ton regard et aimante ton avancée.

Carrie qui a l’air de s’être fait posé un lapin brutalement, et dont la mine crispée indique sans grande difficulté pour qui la connaît un peu qu’elle n’est pas ravie du tout par cette nouvelle. En t’accoudant au bar à sa hauteur, tu fais signe au barman de vous servir deux shots de scotch (Irlandais précises-tu bien sûr, en ayant une pensée pour Aodhan qui râlait hier encore que ça allait probablement servir de la pisse coupée à l’eau chez les Warlocks). En tendant l’un des verres à la jeune femme, tu lui adresses un sourire complice et l’encourages : « Bottoms up, darling. avant d’ajouter un J’imagine à ta mine réjouie que ça n’était pas prévu... »

Les rires gras dans ton dos te font regarder brièvement derrière toi, par dessus ton épaule : à quelques personnes de vous, Gus est effectivement en train de se bourrer la gueule avec un autre type, dont tu ne vois pas le visage, mais tu crois savoir déjà que c’est -et ca ne te réjouit absolument pas : « Rassure-moi, s’il te plaît, et dis-moi que Garfield n’est pas déjà en train de pousser à la consommation abusive un de mes gars... »

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event mineur#8, we wear the robe like no one could

tw; début de panic attack, but all is under control

« C’est un tel plaisir de faire ta connaissance, Rhys ! - Ah oui ? Question spontanée alors qu’il lâchait un rire nerveux alors qu’il attrapait cette main que venait de lui la jolie brune tendre pour la serrer avec un enthousiasme similaire, presque soulagé de cette énergie positive (qui va durer n’est-ce pas?). Salamanca. Mais je préfère Sal. - Très heureux Sal. » Répondait-il en prenant soin de bien utiliser le nom qu’elle préférait, en espérant ne pas trop sonner… Gallois. Ce qu’il était, mais quand il s’agissait de rencontrer des personnes venant de l’étranger Rhys essayait toujours un peu de tempérer son accent afin qu’il ne se retrouve pas en face d’expression confuse lui faisant comprendre qu’ils n’avaient absolument rien compris, mais qu’ils étaient trop polis pour le dire. « Tu as vu ça, Mengwu ? J’ai un fan ! » Rhys riait doucement, se décalant légèrement afin de pouvoir regarder le jeune homme qui tenait compagnie à l’ancienne boxeuse avant qu’il ne les interrompe. Son visage a ce dernier était plus familier, mais il n’avait jamais eu l’occasion d’échanger avec, s’il avait bien tout suivi, celui qui avait pris la place de Chen. « Un excellent fan, qui plus est. Déclarait le jeune homme alors qu’il lui serrait chaleureusement la main, Rhys, toujours aussi surpris (mais alors serait-ce sa soirée?) laissant échapper un « Oh. Amusé. Si un jour vous retournez au journalisme, prévenez-moi : je serai le premier à vous lire. - Je n’y manquerais pas ! » Répondait Rhys, contraint de ne pas pouvoir partager qu’il avait repris son activité dans l’ombre via le petit journal créer avec le soutiens des filles de la P.A.P.A., projet qui avait plus des allures de pamphlet que lui et quelques lecteurs laisser dans certains endroits, ou se passant sous le manteau. Sal buvait ses verres, Rhys lui recevait le siens, sans alcool, qu’il ne toucha pas, soucieux de vouloir maintenir la conversation qui venait de lui redonner quelques couleurs.

Évidemment rien ne se passe comme prévu.

Martin Wang, numéro 2 des Wang, et donc du clan de Mengwu montait sur scène pour annoncer son mariage avec Kamala Harris. Le regard de Rhys passait sur les deux fiancés. D'accord. Il se joignait aux applaudissements par politesse, lançant un regar vers Salmanca semblait plus qu’investit dans cette nouvelle, ce qui la rendait encore plus sympathique aux yeux de Rhys, qui néanmoins se sentait très détaché de cette annonce. Il savait simplement que ça impliquait qu’il y avait une alliance entre les Wang et les Warlocks et ça, ça le surprenait. Cependant, n’ayant pas trop mis le nez dans les affaires qu’il avait manqué lors de ses quatre ans en prison, il lui manquait quelques informations. Quant a Mengwu, ce dernier semblait beaucoup moins ravi du mariage de son frère qu’il avait été en rencontrant Rhys (qui avait donc un fan lui aussi). Le ton avec lequel il lâchait la remarque (en mandarin, donc qu'il ne comprenait pas) est traduit par le gallois comme une frustration, et donc le Pinky (oui, il avait enclenché son mode fouineur un instant) concluait qu’il n’avait pas été mis au courant de ce mariage. Un rapide regard vers les autres Wang, et leur réaction, stoïque contrastait avec celle des membres des Warlocks qui semblaient entrain a célébrer cette nouvelle. Alors, peut-être que ce n'était pas de la distance, mais de l'instinct, alors que l’une des Wang venait récupérer Mengwu qui ne pris pas la peine de répondre à Sal disparaissant dans la foule.

Le sorcier se rendit compte que la tension qu’il avait relevée, réveillé ses chakras. Il n’avait plus vraiment grand-chose à desserrer pour être confortable et la voix de Sal fut presque une ancre pour ne pas partir trop loin, malgré le vent de panique qui lui tordait un peu les tripes. Et ce n’était pas à propos des Wangs, des Warlocks ou du syndicat, non, c’était juste comme ça depuis sa sortie. « Aux nouveaux fiancés ? Rhys trouvait qu’elle était chouette, même si pour le coup, il ne savait rien d’elle, trinquant avec elle. Aux nouveaux fiancés. Parvenait-il à articuler, mais il était toujours aussi incapable de boire, reposant le verre dans un geste un peu gauche, celui-ci ce brisant sur le sol. Mae'n ddrwg gen i. S’excusait-il, alors qu’il secouait sa baguette pour remettre le verre en état et le reposer sur le bar. Dites-moi, vous faites quoi à présent ? » Tentative de reprendre leur conversation, sa main tremblante disparaissait dans la poche de son pantalon, en tentant de se donner un air décontracté, il ne voulait pas faire faux bond à la demoiselle à son tour, néanmoins, son regard passé par-dessus son épaule, à la recherche de Rhiannon, qu’il avait perdu de vue, pour finalement croiser celui de Lance. Help.

Résumay:

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Cet amical échange, qui tend de plus en plus vers un flirt éhonté (mais strictement professionnel), a tout pour plaire au Farrow. Il a toujours trouvé bien trop de plaisir dans le jeu, dans les paris les plus bénins jusqu’aux plus sérieux, et s’amuser aux dépens de ses collègues du crime organisé… vraiment, que faire d’autre, dans ces soirées ? Qui n’est pas justement en train de prendre quelques paris silencieux alors que Martin Wang annonce ses fiançailles, sous les regards impassibles des membres de sa fratrie et les vivas (très variables, eux aussi) des Warlocks ? « Si vous perdez, vous me donnerez votre plus belle chemise. Si vous gagnez, je consentirai à vous offrir un spectacle au Filet du Diable. Le sourire qui se dessine sous sa moustache est canaille. Pour ne pas dire, un brin vicieux. Oh, il y a longtemps qu’il n’a pas mis les pieds au Filet du Diable pour ce genre de loisir, mais si c’est offert pour la maison… et il y a définitivement quelque chose de très plaisant à imaginer Ulrike Von Bäume porter une de ses chemises. Deal. »

L’entente se scelle par les deux verres qui s’entrechoquent et une gorgée de l’alcool, yeux dans les yeux.

Les applaudissements, la musique, tout cela force l’attention à changer de cap. Le voilà à nouveau à chercher Rhys du regard, comme pour trinquer avec lui à distance, mais lorsqu’il croise les yeux de son camarade, son sourire se fige net. Parce qu’il le connaît, ce regard qu’il lui lance depuis le coin de bar d’où il n’a pas bougé (il a parfois le même, dans le miroir). Parce qu’il le connaît, le Gallois. Il l’a déjà connu sur le bout des doigts (sans mauvais jeu de mot) et les années, tout ce qui tacitement les éloigne, ne peuvent pas si facilement effacer cela. Un geste discret de la main et à distance, une mèche des cheveux sombres de l’homme se replace doucement au niveau de son front : signe qu’il a compris le message. Qu’il arrive.

Il termine son verre d’une traite et le claque sur le plateau d’une des charmantes serveuses du Dancing Phoenix qui passe tout juste à leurs côtés, distribuant cette fois-ci du champagne afin de célébrer l’union de Kamala et Martin. « On m’appelle plus loin. Un signe de tête vers le bar, sans préciser si c’est un ami qui l’appelle, ou un peu plus d’alcool. Gardez notre pari à l’oeil, Ulrike. » Lance devra mandater quelqu’un de lui raconter aussi la soirée, parce qu’il ne pense pas qu’il y restera encore longtemps.

Sa haute silhouette fend aisément la marée de criminels, des plus joyeux aux plus impassibles, jusqu’à atteindre le bar. Jusqu’à se placer derrière son ami et poser sa large main sur son épaule. « Miss, salue-t-il en cherchant dans son esprit le nom de la jolie compagne du chef de la Bratva, sans tout à fait réussir à mettre le doigt dessus. Ça suffira. On nous attend ailleurs », s’excuse-t-il à la brune, qui a vu en pas très longtemps deux de ses interlocuteurs s’évader (mais ça, Lance ne le sait pas). Il sait seulement que c’est Rhys qui lui importe, pas les sentiments de la sorcière. Une fois les salutations échangées, son bras se cale autour des épaules de son ami et à son oreille, une assurance ferme est glissée : « On part. » On part, on sort, on se sauve.

Spoiler:

tw:langage cru

Martin baignait dans les félicitations et les poignées de main comme un poisson dans l’eau. Un bras autour de la taille de Kamala, sa hanche collée à la sienne comme pour compenser des années d’une relation de polichinelle. « Merci, merci », distribuait-il à la ronde avec un sourire de vainqueur flanqué au visage, indifférent aux regards peu convaincus du fond de salle et tout aussi étranger au drame qui se jouait en coulisse, au sein de son propre clan. « Brother », fit-il en ouvrant les bras devant Quon, relâchant Kamala seulement pour la famille – et pour mieux étouffer son petit frère dans une étreinte bien trop serrée, soufflant à son oreille : « T’as pas l’impression d’avoir oublié quelque chose, hein ? » Puis il redressa la tête en retrouvant son sourire, et abattit une main sur son épaule avec un rire, avant de le relâcher – l’heure était à la fête, et il s’occuperait de le tacler plus tard, en privé.

On n’avait pas fait pire N2, même du temps de la Main Dorée, s’était plaint sa sœur sous son nez, d’un air mauvais qui avait provoqué l’hilarité de Zhang. Sûrement que Sen obtiendrait là une preuve de plus à cette accusation aveugle, presque injuste – l’équilibre branlant du clan était à blâmer sur sa tête, dodelinant dangereusement depuis la mort de Wei.

Martin cacha difficilement la grimace en voyant Elias se présenter avec un sourire qui semblait sincère (quel crétin). « Tiens tiens, qui voilà. » L’autre, avec qui Kamala avait tenu à parler avant de lui dire oui – un fait qu’il n’allait pas oublier d’aussitôt, et qui entretenait l’inimitié sensible à l’égard de l’asperge qui se tenait devant lui et le regardait avec une sympathie déroutante. « Mes félicitations à tous les deux. » Martin jeta un regard aiguisé au baiser qu’il déposa sur la joue de Kamala, mais se tut – s’il détestait Elias, il aurait été stupide d’interférer (en public, et dans l’heure) avec la volonté de fer de Kamala, et une ombre furieuse fondait sur lui.

Bao ne le prenait dans ses bras jamais que pour l’étrangler. Zhang sentit un frisson lui picoter l’échine et il perdit son sourire au souffle empressé de sa petite sœur. Une grosse merde ? Qu’est-ce qui pouvait être aussi urgent ? Et surtout, c’était quoi ce timing louche, quelques minutes seulement après l’annonce de ces fiançailles ? Est-ce que c’était une vieille excuse pour l’engueuler et lui pourrir son show ? Zhang fronça les sourcils devant le regard mortellement sérieux de sa sœur – il suffisait qu’on lui ait raconté des cracks, car il était désespérément facile de balader Bao.

Zhang eut un reniflement de mépris, gardant l’amertume de l’absence de félicitations coincée dans sa gorge – il jeta un regard autour de lui, ne trouva trace de Mengwu, Sen, ou même Quon qui semblait avoir disparu, mais rencontra le regard de Chen qui le fixait depuis le bar. Quelle bande de drama queens, se moqua-t-il intérieurement en retrouvant son sourire et une nouvelle poignée de mains. Les conversations reprirent, et Zhang entretenait une connaissance de la Bratva lorsqu’une main se referma sur son épaule. « Zhang. » Les yeux noirs de Chen brillaient d’un calme qu’il ne leur connaissait que trop bien – une tranquillité froide qui annonçait la tempête. « Félicitations. » « Quoi, déjà ? T’étais censé faire la gueule et me coller un savon. On se ramollit, mon frère ? » railla Zhang tandis que son sourire s’étirait en une moquerie sensible. Les yeux de Chen se relevèrent vers Kamala. « Permets-moi de te l’emprunter. » « Plus tard les effusions en privé, j’ai autre chose à fo… » Les doigts s’enfoncèrent dans l’épaule de Martin, et il put sentir le souffle brûlant de Chen contre son oreille. « Viens avec moi, ou je te brise l’épaule. » Un craquement douloureux traversa l’épaule de Zhang comme un éclair, lui coupant le souffle. Une grosse, grosse merde. Martin déposa un baiser sur les lèvres rouges de Kamala, lui promit un « je reviens », et suivit son frère en fondant la foule compacte, offrant à qui avait les yeux tournés vers lui un sourire éclatant.

Ils se retrouvèrent dans l’entrée feutrée du Dancing Phoenix, à quelques pas des vestiaires – direction la sortie. « Qu’est-ce que c’est que ce bordel, encore ? Bao a pété un boulon, elle m’a dit qu’on devait se retrouver au QG – ce bâtard de Quon a encore dû l’embobiner, quelle bouffonne, » renifla Martin avant que Chen ne fasse volte-face – et l’attrape par le col en une prise ferme. « Réunion d’urgence. Je te relâche dès qu’on en aura fini. » Et aussitôt, Chen les fit disparaître dans un craquement significatif.

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Le champagne hors de prix est excellent et ses bulles pétillent agréablement dans sa gorge. La fête est grande, ce soir, cette nuit, et le rouquin n’imagine pas que dans quelques heures, toutes les concoctions préparées par les Warlocks auront presque eu raison de sa résistance irlandaise ― presque, soulignera-t-on, alors que même généreusement aviné, il reste (relativement) en contrôle (et chut tous les Travellers qui ont des histoires colorées à raconter à ce sujet). Rien qu’une bonne nuit sur son canapé ne pourra pas régler, ou un grand verre d’un immonde remède maison pour éviter la gueule de bois autant que la nausée.

Le regard bleu analyse la scène festive avec plus d’attention et enfin, quelques détails s’affinent pour ses prunelles. Celui, inattendu, entre autres, de sa fille unique qui n’est plus en compagnie de Sening Wang, mais bien des deux fils Xing. Disparition soudaine qui semble s’étendre à tous les autres sorciers qui portent le nom Wang et que Darragh tentera d’élucider avec Fiona… dans quelques heures, disons : pas sûr qu’en ce moment, il réussisse à tirer d’elle une information, ou serait-ce à l’écarter de son petit jeu à boire.

Un mouvement lointain de la part de Mike ― à venir féliciter les heureux mariés, vraisemblablement, avant que ceux-ci se fassent appeler ailleurs ou décider d’aller consommer ces fiançailles ― appelle Darragh à tapoter l’épaule de son plus jeune voisin, puis à sortir une carte de visite de l’intérieur de sa veste d’habit. Sur la carte offerte au Supreme des Golden Wands, seul un triskèle est tracé, sans aucune autre indication. Ni nom, ni rien qui permette d’identifier qui peut l’avoir donné. Une invitation en peu de mots à se revoir afin de discuter de ce qui ne pourra pas l’être ce soir, considérant le changement inattendu d’ambiance. Ce qui risque d’ailleurs de déplaire à leurs bons syndicalistes, qui ont vu le point d’intérêt changer de l’anniversaire du Syndicat à ce mariage impromptu (et tout ce que ça peut signifier en termes d’alliances, d’ailleurs)(sujet à discuter avec son meilleur ami et sa jumelle). « Si vous voulez discuter, vous savez où me trouver », dit-il à Mikhail avant de partir, le saluant lui et sa suite avec politesse. Ceci non sans embarquer avec lui une bouteille de champagne.

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