BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

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 morning coffe (lenus)

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Seamus Finnigan
ORDER OF THE PHOENIX
Seamus Finnigan
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MessageSujet: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyLun 24 Jan - 17:23
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Contrairement à ses habitudes, Seamus était rentré tard chez lui. Du moins, son nouveau chez-lui. Leur nouvelle planque manquait encore un peu de vie, mais ils pouvaient dormir sous un toit. Même s’il sentait, dans son ventre, les restes d’alcool qui se débattaient, il ne souffrait en aucun cas d’une gueule de bois. En même temps, son entraînement payait et s’il avait souffert d’un quelconque mal de crâne, les autres se seraient sûrement interrogés sur l’identité du coupable. Malgré son coucher tardif, il s’était levé avec le soleil et occupait le canapé de fortune du salon. Au fil de l’année, il était devenu un repaire pour beaucoup de membres de la planque. Pour lui, il était important de créer certaines habitudes, comme son café du matin dans la salle commune. Du coin de l'œil, il guettait les allées et venues de chacun, ravi de voir que tous commençaient à prendre place dans ce nouveau décor.

D’un hochement de tête, il saluait ses compères, tout en lisant le dernier numéro de la gazette. Ce torchon était son dernier lien avec le monde extérieur, et même s’ils disaient beaucoup de sornettes, il savait qu’une part de vrai se cachait entre les lignes. Le monde extérieur ne semblait pas s’arranger, pour autant, il enviait ceux qui étaient restés dehors, loin de la vie de fugitif. Certains, un peu moins dans sa planque, en voulaient à ceux qui se taisaient. Ceux qui ne combattaient pas. Seulement pour lui, personne ne pouvait les juger, parce qu’au fond, ils combattaient aussi en essayant de poursuivre leur vie et leurs rêves dans un monde qui leur déplait. Parfois il se demandait quel traitement se ferait si l’Ordre venait à gagner cette guerre. Seront-ils hostiles aux non-membres ? Des questions sans réponse qui le poussait à penser que jamais un retour à la normale se fera. Les conflits existeront toujours, même si les camps changent.

Alors qu’il terminait son café, un visage très familier débarqua dans le salon, la bouche en cœur. Lena savait où il était la veille au soir et pourquoi il n’était pas resté festoyer avec les soulards de little italy. La brune était heureuse de voir les deux meilleurs amis renouer contact. Depuis son retour en France, elle était devenue la personne dont-il se sentait le plus proche et avec qui il pouvait parler librement. « Hey Lenita, comment ça va ? » D’un signe de la main, il la salua avant de lui proposer le reste de sa cafetière à l’italienne. Il se doutait qu’elle ne refuserait pas, sûrement trop curieuse de savoir si la soirée avait terminé en guerre nucléaire ou pas.

Effectivement, ces derniers échanges avec le brun avaient été plus que houleux. Dès lors, il était normal que la brune s’inquiète de la situation. « Bien dormi ? » Seamus se montrait calme, ce qui attestait que la soirée n’avait pas été un énième désastre. Pour dire vrai, il ne savait même pas quoi penser de cette soirée. Au réveil, il s’était souvenu du coming-out surprise de son ami, et des échanges qui avaient suivi. Seamus se demandait pourquoi personne ne lui avait mentionné ce détail. Avec qui était sorti Dean ? Pourquoi cela semblait si secret ? Forcément, il se demandait si son ami avait couché avec un ami commun. Puis quand il se posait la question, il se demandait pourquoi ça le gênerait autant. Seamus se sentait un peu déphasé et ce n’était aucunement à cause de l’alcool.
(@elena alvarez)
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Elena Alvarez
ORDER OF THE PHOENIX
Elena Alvarez
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Crédit : strangehell (avatar), pp (signa), tumblr (gifs), florence + the machine (lyrics), jool-jool (crackship damnn).
Âge : vingt-neuf ans (13/04).
Occupation : fugitive, bomb maker™ back in town, chercheuse d'Horcruxes.
Allégeance : agent spécial™, membre de la Task Force de l'Ordre depuis dec. 2007, après des années de bons et loyaux services (meh) en tant que C5. (Ouistiti)
Particularité : meilleur coup de poing du quartier + chouchou de Kingsley. (elle apprend aussi l'occlumancie et la magie sans baguette depuis peu, ew.)
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyMer 26 Jan - 22:57
morning coffee
little italy 2.0 DANCE DANCE DANCE - 6 octobre
Elena a déjà une bonne heure de retard, quand l’alarme de son téléphone retentit – elle ne sursaute pas, pas franchement certaine d’avoir dormi, grogne tout juste contre la paume qu’elle a gardé serrée sur l’épaule de Dae-won. Elle sait instantanément qu’elle est à la bourre, à la lumière qui filtre au-dessus des rideaux ; pour autant, Lena ne peut pas faire grand-chose d’autre que de rester collée à son meilleur ami et fixer le plafond d’un œil torve pour (aisément) quinze minutes de plus. Elle est épuisée, physiquement comme mentalement, et c’est bien tout le temps qu’il lui faut pour finir par se saisir de l’appareil, juste avant la deuxième sonnerie. Elle va pour envoyer un sms à Seamus et annuler leur rendez-vous (il comprendra, même si au vu de ses activités de la veille au soir, il n’aura pas forcément toutes les variables), quand… Le téléphone vibre entre ses doigts, affichant nettement le nom du Finnigan en travers de l’écran, et Lena sent un long soupir lui échapper. Elle lui doit bien ça (et si tout s’est atrocement mal passé ? Et si tout s’est beaucoup trop bien passé ?), aussi finit-elle par trouver la force de prendre appui sur un coude, et passer le menton par-dessus l’épaule de Dae pour vérifier que celui-ci est toujours bien endormi. Elle l’observe un peu de là, en silence, le ventre toujours aussi tordu par les contusions et les traces d’ecchymoses sur son visage ; se secoue enfin pour se redresser en position assise, enfiler le premier chandail qui lui vient, son pantalon de la veille, son attelle, ses sempiternelles Rangers. Elle se retourne encore pour réajuster les couvertures, tirer une mèche de cheveux loin des yeux de Dae, puis déposer un mot de rappel tout juste écrit à la baguette sur l’oreiller intouché – se lève, parce qu’il le faut bien, repositionne les rideaux, s’éclipse finalement pour transplaner depuis la fraîcheur des jardins de Saint James.

Elle atterrit, parce que les systèmes de sécurité ne sont pas encore complètement terminés, presque au pied même de la porte de la nouvelle planque. Les vagues frappent les pilotis, dans un bruit qui ne la met jamais foncièrement à l’aise et l’encourage même toujours à rentrer promptement ; c’est donc ce qu’elle fait, pénétrant dans l’immense salle commune de celle qu’elle accepte encore de nommer Little Ireland pour les beaux yeux de Seamus (pour l’instant).

Little Italy 2.0 (le vrai nom, en attendant mieux) est un diamant brut, tentaculaire, qui pourra bientôt être un véritable cocon doublé d’une forteresse, elle n’en doute pas – le problème étant que pour en arriver là, il y a quand même pas mal de boulot, qu’Elena n’a pour l’instant daigné partager qu’avec quelques irréductibles de l’ancienne planque, et, first and foremost (évidemment), ledit Pyro.
Parce qu’ils y passent la majeure partie de leur temps à deux, la décoration à l’intérieur est encore austère, d’ailleurs essentiellement composée d’un des anciens canapés qu’ils ont réussi à récupérer après un intense désorcèlement (et encore un peu balafré, sur un côté). Il y a de quoi faire du café, et un gigantesque drapeau irlandais, un poêle magique, un matelas à même le sol dans deux chambres en cas de travaux nocturnes (Lena n’y a encore jamais dormi, à vrai dire, mais ça ne saurait tarder), et tout un amoncellement de palettes, de caisses et de boîtes en tous genres faisant office de meubles temporaires : bref, tout ce qu’il faut, vraiment. (Si on n’est pas trop regardants)

Il y a même, ce matin-là, quelques autres silhouettes – Lena les salue de loin, parce que peut-être qu’elle avait oublié que du monde devait passer en début de matinée, et qu’elle n’a de toute manière pas franchement les yeux en face des trous. Sammy, qui n’a manifestement pas manqué les dernières nouvelles, l’apostrophe tout de même ; mais elle a la sympathie de ne pas trop insister en avisant sa moue, puis surtout, Seamus arrive dans son dos avec la fameuse cafetière encore remplie (une occurrence rare, ici.) « Hey Lenita, comment ça va ? » Elena lui tend un sourire déjà un peu plus grand, le prend brièvement dans ses bras. « T’as des petits yeux, » elle répond sans vraiment répondre, puis surtout en se faisant clairement l’hôpital qui se fout de la charité.

Elle attrape une tasse (bon, d’accord, un pot) d’un coup de baguette, le tend à Seamus, lui serre l’épaule pour le remercier. « Bien dormi ?Pas assez, » elle sourit, comme si tout était chill, normal, qu’elle n’avait pas encore le cœur qui bat clairement trop vite pour boire du café. « Toi ? », elle enchaîne l’air de rien, entraînant l’irlandais un peu plus loin en l’attrapant par le bras. Parce que c’est bien beau, les politesses, mais… Ils ont encore quelques (non) pièces à vider, et surtout (elle l’espère) quelques potins à partager (ce qui semble irréel, après le bordel de la veille, mais ne peut que lui faire du bien, en fin de compte.)

« T’as l’air, hmm… (Elle prend le temps de se brûler sur son café avant de s’arrêter sur un terme) Pas mécontent ? (Ils s’aventurent dans un long couloir, marchent encore un peu) Comment va notre louveteau préféré ? (S’arrêtent devant une pièce remplie pleine de fatras et de poussière.) » Là, Lena relève un peu les yeux vers son ami ; qui a la tête d’un type qui a bu, certes, mais pas que. Son sourire grandit alors qu’elle reprend une gorgée de café – l’idée d’une réconciliation (voire plus, allez quoi) entre Dean et Seamus lui ferait presque oublier, l’espace d’un instant, ce connard de Moran et cet enfoiré de Taliesin et le visage tuméfié de Dae et—« Des informations intéressantes ? » (On sait jamais, quoi.)
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Seamus Finnigan
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Seamus Finnigan
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyVen 28 Jan - 19:43
morning coffee / lena la plus belle
La brune semblait épuisée de sa nuit. Pour dire vrai, Seamus ne se souvenait pas vraiment du lieu où elle avait mentionné aller. En ce moment, son cerveau était beaucoup trop connecté à la nouvelle planque et pas assez sur les différentes missions de l’ordre du phénix. Pour lui, Little Italy passait avant le reste, sûrement à cause de ses valeurs familiales. Malgré la fatigue, elle ne manqua pas de souligner ses petits yeux, ce qui ne manqua pas de l’amuser fortement. « Tu as vu ta tête ? » Elena était, tout comme lui, quelqu’un d’assez facile à lire. Chaque émotion qu’ils vivaient se lisait sur leur visage. Pour lui, la simplicité était une qualité, mais beaucoup la voyait comme de la stupidité. Seamus laissait les faux-semblants aux menteurs, et préférait désormais s’entourer de personne honnête, comme la brune.

« Bien dormi. Comme d’hab quoi. » L’irlandais ne se couchait jamais très tôt et rarement sobre. Dès lors, l’habitude commençait à se faire, et le réveil ne représentait même plus une épreuve à ses yeux. Certes, il avait pas mal consommé la veille, mais pas assez pour s'effondrer. Dean, de son côté, devait sûrement être en train de chercher une potion contre la gueule de bois, ce qui l’amusait grandement. D’ailleurs, le sujet de leur louveteau préféré ne tarda pas à tomber sur la table. Seamus ne se montrait aucunement surpris de la curiosité de la brune. Pour dire vrai, il était même ravi de pouvoir débriefer de la soirée avec quelqu’un, un peu perdu dans les événements qui venaient de se dérouler. « Bah écoute, nettement mieux qu’à l’infirmerie. Tu ne vas pas me croire, il s’est excusé ! » Le comportement de l’anglais avait radicalement changé, ce qui s’avérait assez déroutant. Après une année passée à cracher sur l’irlandais, il acceptait finalement de lui ouvrir à nouveau une porte dans sa vie. Un revirement de situation surprenait, mais réellement satisfaisant. Depuis son retour, Seamus attendait ce jour, et maintenant que cela arrivait, il ne pouvait cacher son enthousiasme.

Pour autant, pas trop optimiste de nature, l’irlandais restait sur la réserve. Cette sympathique soirée pouvait être la première d’une longue série, comme une simple passe avant un nouvel orage. Seul le temps donnera la réponse à cette question et en attendant, il pouvait jouer les adolescents à raconter sa soirée à sa compère préférée. Elena adorait les potins, comme beaucoup de gens, et Seamus en possédait (du moins il le pense) un énorme. « Oui, j’ai un potin de ouf ! Je ne sais pas si j’ai le droit de le dire… » L’espace d’un instant, il se demanda s’il ne ferait pas mieux de laisser Dean faire son coming-out à tout le monde, mais comme ce dernier n’avait pas demandé à rester discret, il poursuivi. « Bon, tu ne le dis pas alors. » Un peu plus bas, comme un presque secret. « Il m’a fait un coming out. Alors je pense que l’alcool joue un rôle dans cette annonce, mais bref. » Seamus revoyait cette scène improbable dans son esprit. Dean lui avait balancé l’information comme si tout était parfaitement normal.

Alors qui il suivait la brune dans les pièces de la nouvelle planque, le tout en mangeant un petit biscuit. Il continua son explication. « C’est fou, j’ai jamais rien vu. Je me demande vraiment qui il a rencontré pendant mon absence pour s’en rendre compte. » Loin de se doutait de la réalité des choses, Seamus expliquait la situation, s’attendant à un état de surprise de la part de la brune. Comme rien ne venait, il continua dans sa lancée. « Tu connais un Lou ? » C’était un prénom qui ne lui parlait pas, mais que son ami avait mentionné pendant la soirée. Pour Seamus, il était évident que ce dernier était lié à cette révélation soudaine.
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Elena Alvarez
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptySam 29 Jan - 19:51
morning coffee
little italy 2.0 DANCE DANCE DANCE - 6 octobre
Lena gratifie d’abord Seamus d’un haussement d’épaules, adouci par un sourire ; oui elle a probablement une sale tête, non ils ne dorment jamais beaucoup, elle ne peut démentir ni l’un ni l’autre. C’est quand l’irlandais daigne mentionner les excuses (?!) de Dean qu’elle semble reprendre vie -- Lena écarquille franchement les yeux, tourne un peu trop brusquement la tête dans sa direction. “Sérieux ?!” Son sourire s’est élargi, alors qu’elle tend la main pour gratter un bout de biscuit à son camarade. “Bon, il a toujours eu un faible pour toi, en soi…” Sous-entendu, en tant que meilleur ami (elle est bien placée pour savoir que même le plus vénère des besties peut virer à l’agneau face à son alter ego, mind you). Elena jette tout de même un œil ravi à Seamus, hoche la tête d’un air qui oscille entre l’appréciation et le “j’en étais sûre”. Elle milite pour la réconciliation des deux Gryffindors depuis le retour de Seamus, alors évidemment…

« Oui, j’ai un potin de ouf ! Je ne sais pas si j’ai le droit de le dire… » Elena tend encore l’oreille et plisse les yeux, intriguée plus que de raison par les mots de son ami ; elle en oublie de se concentrer sur ses pieds, manque de trébucher sur une conserve jonchant le sol (ok, cette partie de la planque doit encore vraiment être nettoyée…). Pas besoin de supplier, toutefois : elle a à peine levé la main pour prouver sa bonne foi que Seamus a déjà craché le morceau. Et lui a arraché un rire. “Pardon,” Lena se reprend rapidement, essayant de ne pas vexer l’irlandais et son soi-disant ragot. “C’est juste, j’veux dire (elle a quand même encore un peu les épaules agitées par l’amusement), je l’ai déjà vu embrasser Lee. (L’image lui tire un sourire nostalgique.) Enfin, c’était en soirée hein”, elle se corrige aussitôt, “mais euh… oui, je m’en doutais,” qu’elle arrive à conclure poliment, presque sans aucun euphémisme (heurm). “C’est bien qu’il te l’ait dit.” Bien retombée sur ses pattes, Elena tente tant bien que mal de contrôler son sourire, imaginant un peu trop bien les yeux exorbités et les joues rougies par l’alcool qui avaient dû être le lot de l’annonce. Oh, Seam, Seam, Seam… Elle songe avec un semblant d’attendrissement en reportant le regard sur celui-ci, alors qu’il poursuit en lui expliquant qu’il n’avait rien vu. Lena a une petite moue compatissante (elle-même a parfois (souvent) un gaydar approximatif). “C’est pas souvent écrit sur le front des gens. - Je me demande vraiment qui il a rencontré pendant mon absence pour s’en rendre compte.” Elle détourne le regard, parce que c’est legit une bonne question ?! Rétrospectivement, elle n’est pas certaine du premier type dont elle a entendu dire qu’il fréquentait Dean. Est-ce que c’était…

« Tu connais un Lou ? » Les derniers mots de Seamus ont pour effet de lui couper la chique, littéralement ; la mâchoire d’Elena reste bloquée sur le petit gâteau, et elle doit tousser une ou deux fois pour être certaine de ne pas s’étouffer. Comment ça, est-ce qu’elle connaît un Lou ?! Les questions (et les réponses) fusent dans son esprit : évidemment, qu’elle connaît Lou ; pourquoi est-ce qu’il lui demande ça, à elle ; est-ce qu’il sait…? (Non, il ne peut pas savoir, personne ne sait…?!) “Euh, je, euh,” (elle a encore un peu la voix rauque de sa semi fausse route), “bah euh, oui, c’est son coloc ? A Sweet River.” Et alors même qu’elle prononce ces mots, ceux-ci font leur chemin dans son esprit : son coloc… “Dean est convaincu qu’il sort avec mon frère. Javi.” Elle essaye de donner à cette phrase l’intonation qu’elle mérite (l’incrédulité, la risibilité), mais elle est trop occupée à… Est-ce que c’est si saugrenu que ça de penser qu’il pourrait s’agir d’une manière de détourner l’attention ?! Elle pourrait (peut-être) le faire, elle. (Mais peut-être qu’elle fréquente trop de Serpentards, aussi.) “Pourquoi ?” La question lui échappe peut-être un peu trop abruptement, et il faut qu’elle prenne bien trois gorgées de café pour se forcer à davantage de mesure. “Il t’a dit quelque chose à son sujet ?

Pénétrant dans la pièce encombrée pour éviter de donner l’impression de trop fixer son ami, Elena vient pousser du pied un petit meuble en ruines. “Lou et Dean, ça me paraît bizarre”, elle continue quand même, le cerveau carburant un peu trop vite. Est-ce que ça le serait tant que ça, vraiment ? Est-ce que Lou ne ressemble pas un peu à Alvaro ? Et si Dean avait un truc pour les Poufsouffle ?! Puis, dans une maison comme la leur, tout est si vite arrivé…
Et si Dean était le boyfriend mystérieux que Lena soupçonne à Lou depuis un moment ?! La pensée l’indigne un peu, mais en même temps… “Non mais pourquoi pas Dean et Cormac, tant qu’on y est ?!” C’est le même niveau de ridicule, non ? Non ?!
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Seamus Finnigan
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyMar 1 Fév - 0:10
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Sans grande surprise, Elena était ravie d’entendre enfin parler de réconciliation. Comme beaucoup, elle avait souhaité que le duo mythique redevienne ce qu’il avait été. Un désir que Seamus avait longtemps partagé, sans réciprocité de la part de l’anglais. Dès lors, au moment où il mentionna les excuses de ce dernier, un sourire se dessina sur le visage épuisé de la jeune femme. Naturellement, elle souligna la sympathie historique que Dean lui avait toujours porté, passant toujours outre les moultes conneries déblatérées, tout particulièrement à l’époque de Poudlard. Certes, par amitié, Dean avait plusieurs fois fermé les yeux. Pour autant, cette dernière année avait très largement prouvé qu’il n’était pas si docile que ça et surtout, pas si dévoué qu’à l’époque. Seamus ne lui en voulait pas d’avoir pris de la distance, quelque part, il avait un peu cherché le problème en tirant autant sur la corde. Pour autant, le retour de flamme avait été terrible, et même avec beaucoup de compassion, il trouvait le temps des pardons un peu extrême. « Hm, c’était pas flagrant ces derniers temps. » Il avait plus que ramé pour obtenir un simple sourire de la part de son meilleur ami, une victoire qui lui mettait du baume au cœur, même si rien n’était encore réellement gagné.

Encore trop enthousiaste suite à la soirée de la veille, Seamus ne préférait pas penser au chemin à parcourir, mais plutôt savourer celui déjà parcouru. Débriefer la soirée avec sa meilleure amie lui rappelait son adolescence, quand dans le dortoir de gryffondor, ils racontaient leurs dernières péripéties, notamment amoureuses. Si cette époque était désormais lointaine, la saveur de raconter des petits potins n'avait en aucun cas changé. Malheureusement, ce potin n’en était un que pour lui. Le fait que Lena était déjà au courant de la situation lui confirmait son intuition, à savoir qu’il était le seul pas courant de la sexualité de son meilleur ami. Une découverte qui ne lui faisait pas plaisir, lui qui s’était toujours vanté d’être un ami loyal, observateur et dans le partage. Non seulement Lena savait pour Dean, mais en plus elle s'enrichissait avec un ragot encore plus improbable aux yeux de l’irlandais. « Lee ? Mais ? Pourquoi personne ne m’a rien dis ? »  Seamus avait l’impression de vivre une caméra cachée. Comment cette information avait pu rester secrète aussi longtemps ?  Pourquoi personne ne lui avait mentionné ce détail durant un an ?

Son esprit était un peu confus, et au moment où Lena mentionna que c’était une bonne chose que son ami lui ait partagé cet aspect de sa vie, il ne put que hausser vaguement les épaules. « Ouais, enfin j’ai l’impression d’être le seul humain sur terre à ne pas le savoir… Je ne m’en doutais pas du tout en plus. »Il s’en voulait de ne pas avoir remarqué ça par lui-même, mais aussi, il en voulait un peu à Elena, Cormac, Lee et toutes les personnes qui avaient partagé son quotidien pendant toute cette année pour ne lui avoir rien dit. Néanmoins, ils tenaient trop à eux pour mentionner cette petite amertume. De plus, peu rancunier, il savait qu’il oublierait vite cette déception qui, désormais, ne comptait déjà plus vraiment. Maintenant, il était courant, c’était le plus important.  

Curieux et surtout plus enclin à parler de sujet plus léger, Seamus se focalisa sur les différents noms entendus au fil de sa soirée avec Dean. A contrario de la brune, il ne connaissait pas très bien les membres qui composaient l’ordre du phénix. S’il voulait avoir un retour sur une de ses personnes, il savait que Alvarez pourrait le renseigner. Lorsqu’il mentionna le prénom de Lou, la brune lâcha un regard qui confirmait, non seulement qu’elle le connaissait, mais aussi qu’elle cachait quelque chose. Il la côtoyait suffisamment pour lire entre les lignes, ce qui l’amusa légèrement. « Son colocataire… Je vois. » Les deux hommes étaient peut-être plus proches qu’ils le prétendaient. Naturellement, cela éveillait sa curiosité pour ce dernier et lui donnait une envie furieuse de creuser cette histoire pour avoir le fin  mot de l’histoire. Il avait raté trop de choses dans la vie de son ami pour ne pas pousser sa recherche un peu plus loin.

Cependant, quand Elena expliqua que Dean était persuadé que son colocataire sortait avec Javier, il ne manqua pas de faire le rapprochement avec la conversation de la veille. Les propos collaient, et finalement, peut-être que cela mettait un terme aux recherches en cours (réflexion finalement très courte de la part finnigan). « Oui, il m’a dit que Lou sentait comme Javi, mais j’ai pas tout compris à cette histoire. » Avec la morsure, les sens de Dean se voyaient décuplés et désormais, il était capable de reconnaître l’odeur des gens. Une compétence qui pourrait sûrement être utile s’ils devaient partir en chasse. D’ailleurs, en mentionnant ce passage de la soirée, un rictus amusé se dessina sur le visage de l’irlandais. Il se souvenait sans difficulté de l’état de son ami à ce moment précis, et de la panique dans laquelle il avait été quand l’irlandais lui avait demandé de qualifier son odeur. Un moment drôle qu’il ne manquera pas de remémorer à son ami, idéalement dans une situation qui ne s’y prêtera pas.

Curieuse, et définitivement liée à ce Lou, d’une manière ou d’une autre, Lena s’interrogea sur le contexte de la mention de son prénom. Seamus ne se souvenait plus vraiment dans les détails, mais essaya de reconstruire le cadre global. « Non parce que quand je lui ai demandé qui l’avait mené à cette découverte, il a mentionné son prénom. » La brune semblait dubitative face à l’éventualité de ce binôme. Ce scepticisme, il ne pouvait le comprendre, car il ne connaissait pas l’une des deux personnes concernées. Dès lors, lorsque Lena compara la probabilité d’un tel couple avec celui d’un Dean x Cormac, il ne manqua pas de rire sincèrement. « Bah c’est marrant que tu dises ça, parce qu’en premier il a dit Cormac. » Il était vrai que ce duo serait plutôt inattendu, mais en amour, rien n’était prévisible, du moins s’était ce que sa mère lui disait autrefois. « Peut-être que leur petite aventure les a rapproché ! » Amusé par sa connerie, il lâcha un petit souffle avant de venir aider Elena avec les meubles de la pièce encombrée.

« Du coup maintenant Dean vit avec Lou. Je ne le connais pas, mais j’imagine que c’est une bien meilleure personne que Vanessa. » Comme quasiment tout l’Ordre, la brune était au courant de la dispute entre Devon et Finnigan. Un règlement de compte au pire moment possible, sous le regard abasourdi de toute la peuplade. L’irlandais se moquait bien du regard des autres, de toute manière, il savait que la moitié de l’ordre avait déjà craché sur sa gueule et que l’autre moitié ne le portait pas beaucoup plus dans leurs cœurs. Avec Elena, il pouvait rire de la situation avec légèreté, sans peser ses mots à l’égard de la cinglée. « Ca va, je rigole. C’est pas j’imagine, mais j’en suis sûr. » Fier de sa connerie, il souriait tel un enfant de kermesse, sous le regard sûrement un peu blasé de sa comparse.

Alors qu’il vidait le contenu d’une armoire aux teintes orangées, son esprit se reconcentra sur la réaction de son amie au moment où il avait abordé le sujet du si mystérieux colocataire de Dean. Lena, tout comme lui, était aussi facile à lire qu’un livre ouvert. Une simplicité qui la rendait authentique, mais aussi incapable de mentir. « Vous faites tous des têtes bizarres quand vous parlez de Lou, il est si beau que ça ?! » Etant données les réaction de Dean et Elena, ce jeune homme devait valoir le détour. Quelque part, Seamus éprouva un semblant de jalousie, presque inquiet de se faire voler sa place. Pour autant, il décida de ne pas développer d’animosité envers ce dernier, du moins pas avant de l’avoir rencontré (mais ça va aller en vrai, car je cite : deadpool, il va bien comprendre pourquoi Dean a un crush sur Seamus.
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Elena Alvarez
ORDER OF THE PHOENIX
Elena Alvarez
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyMar 1 Fév - 19:19
morning coffee
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« Lee ? Mais ? Pourquoi personne ne m’a rien dis ? » Les traits de Lena virent à la gêne (non, franchement à la panique) quand elle réalise ce qui vient de lui échapper ; aussitôt elle lève les mains comme pour s’en défendre, se met à balbutier dans une précipitation pas du tout too much. “Non mais après tu sais, enfin c’est un très mauvais exemple, enfin je veux dire c’était une soirée, ça arrive d’-- Ouais, enfin j’ai l’impression d’être le seul humain sur terre à ne pas le savoir… Je ne m’en doutais pas du tout en plus.” De la panique, son expression se transforme pour venir ressembler à de la compassion -- elle tend un petit sourire à Seamus, tend surtout le bras pour venir refermer une main sur sa nuque (un geste que ses aînés font, d’habitude, avec moins d’efforts) (sauf Kingsley, on dirait un robot quand il fait ça, bref). “En vrai… Si tu t’en doutais pas du tout, que ça fait des années et que c’est ton meilleur ami… Ça fait quand même un gros truc à annoncer. (Elle fait en sorte de le secouer un peu par la nuque : à nouveau, avec davantage de difficultés que lorsque c’est elle qu’on secoue comme un prunier). Donc c’est plutôt cool qu’il ait fait la démarche.” Elena le relâche dans un sourire encourageant, ne peut que constater qu’elle a du café pleins les chaussures. Meilleure technique pour s’en débarrasser : pousser des trucs pleins de poussière des pieds, jusqu’à ce que les bottines virent entièrement blanches. Pas de problèmes, que des solutions.

Sauf avec Lucjan.
Que son prénom soit évoqué comme ça, d’un coup, ça ressemble vachement à un problème, et Lena ne peut cette fois que s’étouffer dans son verre (autant vous dire qu’il ne reste plus grand-chose niveau caféine).
Lou. Déjà, le coloc de Dean. “Son colocataire… Je vois. -- Tu sais, y a pleins de colocataires qui sont juste colocataires (elle est repartie à piquer des gâteaux à l’irlandais pour regagner une prestance). Regarde Dae et moi, par exemple. (Grignote son biscuit d’un air songeur. Ouais euh bon hein) Enfin, ok, on n’est pas vraiment colocs. Regarde….. (L’hésitation est un peu trop longue.) … Hermione, Ginny et Luna !” (Et l’air un peu trop satisfait à la fin). Puis de toute manière ce n’est même pas vraiment le point, puisque Lou est aussi… serait aussi… « Oui, il m’a dit que Lou sentait comme Javi, mais j’ai pas tout compris à cette histoire. » Cette fois Lena cligne des yeux d’un air clairement hébété : elle s’ajuste encore à toute cette lycanthropie thingy, comme elle ne manque d’ailleurs pas de le faire remarquer à voix haute. “Ah oui, c’est… Un truc de lycanthropes, hein…” Elle a une œillade pour Seamus ; c’est son ami, puis ils sont faits du même bois de Gryffindors-pas-toujours-malins, alors elle peut bien tout lui demander, hein ? “Tu lui as demandé ce que tu sentais, au moins ?” Petit sourire, alors que son pied passe à travers une caisse en bois -- comme ça on dirait que ça ne la concerne pas du tout, alors que ça fait des mois qu’elle se retient de demander à tous les betas de son frère si elle aussi sent un peu comme lui. Seamus a l’air tout aussi amusé qu’elle ; Lena en conclut qu’elle a bien fait de lui demander, alors qu’elle décoince péniblement sa chaussure de là.

Une fois chose faite, il est clairement l’heure de revenir à leurs moutons : à savoir, Lou Sacramoni. Elena lève un sourcil en apprenant dans quel contexte son nom a surgi ; exprime d’autant plus de scepticisme quant à une potentielle… relation…. entre Dean et Lou. (Quand même… Il(s) ne lui ferai(en)t pas ça…) « Bah c’est marrant que tu dises ça, parce qu’en premier il a dit Cormac. » Par réflexe, ses yeux reprennent pourtant leur forme arrondie de billes -- Dean et Cormac ?!?!?! Elle a à peine le temps d’examiner décemment cette possibilité, toutefois, que-- « Peut-être que leur petite aventure les a rapproché ! » Seamus souffle d’un air amusé ; Lena relève le regard pour mieux l’examiner, décide finalement de pouffer avec lui. Non mais, Cormac et Lou, n’importe quoi. Cormac est le pire token straight qu’elle ait jamais rencontré -- presque aussi terrible qu’elle (heurm).
Alors qu’elle pose son fond de café sur une étagère bancale, Lena s’en laisse donc aller à un rire plus franc. (Et Merlin sait qu’après les péripéties de la veille / matinée, ça lui fait du bien.) Elle tourne brièvement le dos à Seamus, qui en profite (évidemment) pour balancer une balle perdue à, tiens donc, Vanessa Devon. Elena se retourne avec un air faussement désapprobateur, ouvre la bouche pour dire quelque chose... « Ça va, je rigole. C’est pas j’imagine, mais j’en suis sûr. » … mais Seamus sourit et c’est quand même un peu drôle, alors à la place elle hausse les épaules et lâche un “J’veux dire, elle était préfète….” entendu (Vanessa rends les points). “Harpie, c’était quand même pas bien”, elle ajoute for good measure, en référence à leur engueulade d’anthologie (même elle en avait entendu la moitié, depuis son trauma crânien) ; son sourire répond toutefois à celui-ci de l’irlandais, signe que le reproche n’est pas trop fort (même si traiter les gens de harpies, c’est pas bien kiddos).

Elena se penche par-dessus l’épaule de son camarade, alors qu’il vide une armoire, et attrape du bout des doigts l’espèce de sonotone miniature qu’il lui tend. « Vous faites tous des têtes bizarres quand vous parlez de Lou, il est si beau que ça ?! » Sa poigne se crispe et son sourire se fige, alors que le sujet Lou (décidément) revient de plus belle sur la table ; elle cligne des yeux plusieurs fois, comme pour se secouer, songe à balbutier que non, même pas vraiment…Il est… Il est beau, ok ? Genre… (8.5, au moins.) Ouais.” Seamus n’a pas arrêté de lui passer des objets qu’elle jette désormais dans un seau à ses pieds -- Lena, pourtant, a un peu perdu le rythme, l’air sentencieux ou (plutôt) légèrement embarrassé. “Honnêtement, il est surtout très bien habillé,” elle essaye de nuancer, puis c’est vrai que ça joue, hein, et--On ne pourrait pas, on est trop souvent sur le terrain.” (Etait, peut-être, mais c’est un détail ça). Sûrement parce qu’elle est trop en retard, ou que ça ressemble légèrement à un gros mytho, Lena voit Seamus se retourner vers elle, les bras chargés de babioles poussiéreuses ; elle relève les yeux dans sa direction (évidemment, même lui est plus grand qu’elle), finit par réceptionner le chargement dans un soupir, puis lève le petit doigt une fois ses bras libérés. “Ok, peut-être que j’ai eu un peu un crush sur lui à une époque, mais ça sort pas de cette pièce, ok ?” Elle agite le doigt pour faire comprendre à son ami qu’il doit le serrer en gage de promesse, soupire encore en détournant le regard. “Genre il est beau, quoi. Et gentil. En général.” (Et c’est un guérisseur, et des fois il est même un peu drôle, et en tous cas il a un rire tout doux, et il sait beaucoup trop de choses sur beaucoup trop de trucs, et il est…

…pas vraiment le genre de Javi, sur le papier, mais…)
Tu sais, (Lena a tôt fait de changer de sujet, alors qu’elle tourne à nouveau les talons pour aller chercher un nouveau seau à remplir) (ils évitent la magie dans les pièces pas totalement désorcelées, mind you) (ou elle le fait exprès, peut-être), je pense que si Dean avait un crush ou autre, on le saurait.” Revenue au niveau de Seamus, elle relève tout de même les yeux, au cas où elle ait manqué une observation ; Dean lui a toujours paru assez obvious (Gryffondor shit tmtc), mais, si jamais…
Puis d’ailleurs, dans le rayon obvious… "Ça a l’air de te tracasser, mon p’tit Seamus, il va falloir qu’on te trouve quelqu’un ou…?” Tendant à nouveau les bras, Lena lui tend surtout un sourire amusé ; puis, pour bien marquer la boutade, elle le bouscule gentiment (mais un peu fort, quand même) (genre, de quoi l’envoyer accidentellement le nez dans l’armoire) (bon).
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Seamus Finnigan
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyJeu 3 Fév - 16:03
morning coffee / lena la plus belle
Il était le dernier ou courant, cela ne faisait plus aucun doute. Un peu vexé, il aurait aimé que les autres lui en touchent un mot ou bien qu’ils l’orientent dans cette direction. Pour autant, il savait qu’il ne pouvait pas blâmer les autres pour son ignorance. « Oui je comprends, mais bon j’ai le sentiment que j’aurai dû le deviner plus tôt. » Seamus était le meilleur ami de Dean. Une phrase tellement vraie qu’elle pourrait être inscrite dans la constitution des droits de l’homme. Et pourtant, malgré leur amitié sans limite (vraiment sans limite), il n’avait pas su voir et comprendre les signes qui s’étaient, en plus de seize d’amitié, sûrement dessinés sous ses yeux. Coupable d’avoir raté un détail majeur de la vie de son ami, il espérait pouvoir se rattraper à l’avenir en se montrant, peut-être davantage à l’écoute des autres. Loin d’être égocentrique ou dénué d’intérêt pour les autres, Seamus n’était pas toujours la personne la plus à cheval sur les détails. Pour lui, les actes comptaient plus que tout, ce qui rendait visiblement moins vigilant. Pour ses amis, il voulait faire des efforts, mais cela prendra sûrement encore un peu de temps.

L’irlandais n’était pas vraiment en alerte sur le fait que Dean pouvait coucher avec son colocataire ou pas, mais plutôt sur le fait qu’il puisse lui cacher délibérément une information pareille. Léna, adorable, comme toujours essaya de la rassurer sur ce point avec des comparaisons maladroites. Cette bonne volonté ratée l’amusa, grandement. Il aimait la bienveillance qu’elle lui accordait, notamment quand un peu plus tôt, elle le secouait par la nuque pour lui apporter du soutien. S’il appréciait ces petites attentions, c’était principalement parce qu’elles étaient naturelles et souvent un peu trop brutales ou bancales. « Je me doute que beaucoup de colocataires ne couchent pas ensemble, même si tes exemples sont un peu à chier. » Seamus et Elena n’étaient pas amis pour rien. Tous les habitants de Little Italy, ou plutôt de ce qui en restait pouvait témoigner de leurs similitudes, à leur plus grand dam.

D’ailleurs, leur connexion psychique se confirma au moment où elle lui demanda, sans aucune hésitation s’il avait interrogé leur compère loup-garou sur son nouvel odorat de qualité supérieur. « Bien sûr que j’ai demandé, tu me prends pour qui ? » Dans sa voix, on s’entend qu’il était presque offusqué que cela n’était une évidence. « Il a juste dis que je sentais bon, comme Cormac et Lou. Rien de très intéressant. » Sur ce point, l’irlandais restait sur sa faim. Pour une raison inconnue, Dean s’était retenu d’entrer dans les détails, se contentant d’une phrase ridicule, digne d’un adolescent de douze ans qui découvre la possibilité de complimenter autrui. En repensant à ce moment de la soirée, Seamus ne put s’empêcher de rire, persuadée que si elle avait été présenté, Elena aurait tout autant hurler de rire que lui.

Ils possédaient un humour plus ou moins similaire, ce qui n’était pas forcément leur première qualité. Pour autant, alors qu’il s’amusait de l'existence d’une romance entre Dean et Cormac, la brune resta étrangement silencieuse. Un peu lourd, il continua sur sa lancée. « Demac ou Corean, ça marcherait. » Si ça l’amusait autant, c’était principalement parce que c’était totalement délirant d’imaginer ses deux amis en train de ses bécoter. Néanmoins, si cette fabulation venait à se réaliser, Seamus ressentirait sûrement une certaine jalousie. Autant il se fichait bien que ses amis puissent posséder une vie amoureuse, mais si cela pouvait être avec d’autres personnes que ses autres amis, cela l’arrangeait. De plus, mais ça il l’ignorait encore un peu, il n’aimerait pas voir Dean proche d’un autre homme que lui, parce que cela reviendrait à dire que le brun entretiendrait une relation plus forte avec un autre. Blasphème.

En parlant de relation qui dérangeaient, l’amitié de Dean avec la mégère de l’ordre du phénix en était une. Avec Elena, il ne pesait pas ses mots et cette dernière ne se passa pas de rentrer dans son petit manège. « Oui, bah comme tous les préfets, elle a dû faire la lèche-cul auprès des profs. » Pour lui, il fallait être un énorme suceur pour obtenir ce titre. En réalité, il aurait sûrement adoré se voir attribuer un tel pouvoir, afin d’en abuser sans vergogne. Même si la brune s’amusait de cette animosité entre Devon et Finnigan, elle ne pouvait approuver les propos tenus durant l’échange. Seamus ne comprenait pas vraiment pourquoi tout le monde s'indigne de sa comparaison avec les harpies, car cela lui semblait évident qu’il n’avait rien contre ces êtres. « Quand on insulte quelqu’un de sangsue ou de vipère, personne ne s’indigne pour elles, alors que je suis certain que leur syndicat est révolté. » Si Seamus n’était pas ministre, ce n’était pas pour rien.

Lorsque Lena parlait du fameux Lou, elle ressemblait à une adolescente en pleine crise hormonale. Une réaction qui l’amusait grandement. « Genre… Ouais. » Il l’imitait avec beaucoup de talent, avant de continuer à l’embêter avec vigueur. « Ca veut au moins 8 sur 10. » La brune essayait de minimiser l’attraction qu’elle avait pour l’homme et creusait peu à peu sa tombe. Personne n’aurait pu croire à son cinéma, encore moins Finnigan. « Ah oui, s’il était sur le terrain, il vaudrait un 6… » Il ne faisait même pas semblant de porter de la valeur à ses discours, convaincu que cette dernière avait un petit crush sur l’individu.

Lorsqu’elle cracha le morceau, il lâcha un sourire satisfait avant de surenchérir. « A une époque seulement ? Parce qu’on dirait le contraire. » Pour lui, le colocataire de Dean faisait encore de l’effet à son amie. Décidément, ce jeune homme devait vraiment être exceptionnellement attirant. « Je suis beau et gentil, et pourtant tu paniques jamais en parlant de moi. Pas à moi… Tu ne peux me mentir Alvarez. » Dans la même dynamique, il la décoiffa, avant de reprendre son travail dans l’armoire à babioles.

Tout comme lui, la brune supposait que si l’anglais avait une aventure, il leur partagerait l’information. Pour autant, même s’il espérait leur amitié aussi simple que cela, il savait que l’année passée pouvait avoir changé certaines choses. « J’espère oui, après dernièrement on a pas été toujours les plus honnêtes l’un envers l’autre. » Face à ses inquiétudes, Lena préféra retourner sur le ton de l’humour en insinuant qu’il serait temps que lui trouve quelqu’un. Avec la délicatesse d’un éléphant, elle le poussa vers l’armoire pour rigoler. Par chance, il se rattrapa de justesse, envoyant dans les airs une énorme couche de poussière. il se rattrape à l'armoire. Les hostilités étaient visiblement lancées. « Ah bah tiens, bonne idée ! Je vais essayer de le rencontrer… LOU ! » Sans crier garde il lui étala la poussière sur son visage, en rigolant. « Impossible pour lui de résister à mon charme d’irlandais ! » Cela faisait du bien de rire à nouveau et d’enfin créer un début de nouveau chez-eux.
(@elena alvarez)
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Elena Alvarez
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyJeu 3 Fév - 20:25
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«… même si tes exemples sont un peu à chier. - J’te demande pardon ?! » Lena hausse un sourcil, déjà prête à se battre, mais Seamus ne lui en laisse pas l’opportunité puisqu’il préfère enchaîner et lui dire qu’évidemment, il a demandé à Dean ce qu’il sentait. Ça semble même tellement évident dans la voix de l’irlandais qu’un sourire lui vient et que la potentielle bagarre est vite oubliée, d’autant plus que…« Il a juste dis que je sentais bon, comme Cormac et Lou. Rien de très intéressant. » Les sourcils d’Elena se rapprochent comme un inspecteur tentant d’assembler les pièces d’un cas particulièrement complexe ; elle porte un doigt à son menton, même, prend le temps de réfléchir un peu (pour vous dire). “Comme Cormac et Lou ? Il n’a rien dit sur l’odeur de Lou ? De Cormac ? Sur la tienne ?” (Tous les éléments sont bons à prendre, elle le sait grâce à sa formation d’Auror de six mois).

Contemplant plus précisément la possibilité d’une relation entre Dean et Cormac (non… si ?!), Elena garde le silence un instant, est tout juste interrompue par le « Demac ou Corean, ça marcherait » de Seamus. “Arrête !!!! ….. Corine, en plus. ” (On peut plus réfléchir tranquillement ici !!!) Elle a pourtant finalement l’air de décider que c’est lui qui a raison, puisqu’elle rit à son tour et le laisse aller à des divagations moins importantes. Vanessa en prend évidemment pour son grade (c’est le cas dans à peu près toutes leurs conversations depuis le mois de juillet), tant et si bien que même Lena finit par lever les yeux au ciel (même si elle ne peut pas totalement lui donner tort) (non mais, vous avez déjà rencontré Percy Weasley ?!) (elle l’adore, mais tout de même). Dans tous les cas, il y a une manière de dire les choses… (...qu’elle dit.) « Quand on insulte quelqu’un de sangsue ou de vipère, personne ne s’indigne pour elles, alors que je suis certain que leur syndicat est révolté. » Nouveau roulement d’yeux jusqu’au plafond. “Fais pas ta tête de noix. En plus, personne dit ça.” Elle pointe un doigt presque menaçant dans sa direction, les sourcils haussés et l’air un peu trop sérieux : pas de ça chez elle, c’est un safe space ici (surtout maintenant qu’il n’y a plus vraiment de Sweet River).

Le doigt est moins certain (et même repris) quand Seamus en revient à parler du Sacramoni ; Lena détourne le regard, s’affaire de plus belle après son seau avec l’air d’une gamine prise la main dans le pot de confiture. Mais… Il se moque, là ?! Elle relève un regard contrarié dans sa direction (:rena:). « Ca veut au moins 8 sur 10. » La moue contrariée devient concédante, alors qu’elle approuve silencieusement avec une mine toujours songeuse ; elle est rapidement moins approbatrice quand Seamus suggère que « sur le terrain, il vaudrait un 6… ». (Parce que ouais nan, Lou un 6/10 ? Même boueux, même sous la pluie, même les cheveux mis encore plus n’importe comment que d’habitude….)

Et peut-être qu’elle y réfléchit un peu trop, parce qu’Elena sursaute presque alors que l’irlandais reprend la parole, prend un peu trop de temps pour afficher son indignation. « A une époque seulement ? Parce qu’on dirait le contraire. - Arrête !!! », elle proteste encore, alors qu’il la décoiffe (en plus ?!?! Où est le respect ici ??). Lena s’échappe de la prise, se met à ronchonner de plus belle. “Tu sais combien de minutes j’ai dormi cette nuit ?! Et j’ai quand même fait l’effort d’être présentable (ouais bon), alors…” Elle tente tant bien que mal de remettre en place sa queue de cheval, alors même que ses mains couvertes de poussière ne font qu’empirer les choses ; recommence à lever les yeux au ciel quand Seamus continue. “Je panique pas.” (Bougonne bougonne bougonne, par contre.) Puis gentil ?! En l’instant ?! “Puis, ew, t’es pas mon style.” Elle dégage le seau rempli à coups de pieds un peu trop ambitieux quand on n’a toujours qu’un genou et demi, continue à grommeler quelque chose pour venir tempérer (quand même, un chouïa, rien du tout) ses propos. “‘Fin, genre, ok t’es un 8, mais…. Blond vénitien, quoi.” (Ok ils sont pas si tempérés que ça mais elle essaye ok.)

Puis le sourire qui lui vient pendant la raillerie s’élargit, alors qu’elle relève mieux les yeux vers le Finnigan ; parce qu’il parle, il parle, il parle, mais on en cause, de lui ? Le poussant (un peu trop), elle rit de plus belle jusqu’à ce que… « Ah bah tiens, bonne idée ! Je vais essayer de le rencontrer… LOU ! » Le rire reste momentanément coincé dans sa gorge, le temps que son cerveau saisisse la blague -- quand c’est le cas, Lena rit plus jaune, mais rit quand même. “Tu pourrais être son genre, franchement.” (Elle n’en a aucune idée, en vérité : c’est quoi, même, le genre de Lou ?!) « Impossible pour lui de résister à mon charme d’irlandais ! - Ouais ouais, j’te rappelle qu’il est censé être avec mon fr-- » Impossible en tous cas de finir sa phrase, puisque Seamus enclenche une tentative d’assassinat manifeste en la recouvrant de poussière ; Lena tousse bruyamment, peu aidée par la moue indignée qui lui est venue naturellement, se plie même un peu trop dramatiquement en deux. Elle a encore une quinte de toux, et n’a pas encore essuyé son visage qu’elle en profite pour (tenter de) glisser une balayette à l’irlandais -- quand elle estime avoir repris le dessus physiquement, elle s’éloigne un peu pour mieux se débarbouiller. “J’ai changé d’avis, t’es un 6.” Dur mais juste, alors qu’elle s’affaire mieux à déposer le (seul) seau rempli devant la porte (la fin de matinée s’annonce très productive). “Et si t’étais pas mon préféré ici….” (Ah tiens, le bref retour du doigt menaçant.)

Lena tousse encore, se rapproche finalement prudemment de Seamus, les mains levées (pour parer à toute attaque, donc plutôt pour se battre vu ses capacités de self-défense). “Et donc Dean… a dit sous l’effet de l’alcool que tu sentais bon, et qu’il était gay… Est-ce que lui non plus ne résiste pas au charme irlandais ?” Un grand sourire (trop fier) envahit son visage à mesure qu’elle se rapproche -- parce que peut-être bien que y a anguille sous roche, non ? Elena les a toujours imaginés ensembles, Dean et Seamus, mais les vrais savent qu’elle a un petit problème à ce niveau-là et veut toujours un peu trop caser les meilleurs amis ensembles. Après vu comme s’ils s’engueulent… et ce qu’ils se sont dits…. “Je sais que t’aimes bien les roux, ce qui d’ailleurs est un vrai souci narcissique sur lequel y a beaucoup de choses à dire si tu veux mon avis, et Dean est un peu petit, ok, mais c’est genre un 8,6.
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Seamus Finnigan
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyVen 4 Fév - 13:11
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Elena était déçue, tout comme lui sur la faible réponse de leur ami lycanthrope. Seamus lâcha un petit sourire, comme pour montrer qu’il comprenait le désarroi de sa compère. « Bah juste qu’on sentait bon, après c’est Dean, il a du mal à saisir les choses importantes. Pas comme nous. » Tout le monde n’était pas fais du même bois qu’eux. Si pour l’humanité, cela était une bonne chose, à leurs yeux, cela semblait être un véritable malheur. Tout le monde devraient avoir une folle envie d’en savoir plus à ce sujet. Avec un tel pouvoir, Seamus effectuerait sans aucun doute une étude approfondie sur le sujet, comme pour réaliser une étude de marché des odeurs de l’ordre du phénix. Peut-être que certains n’avaient pas d’odeur, ou du moins des effluves très légères, auquel cas il serait judicieux de les envoyer sur le terrain. Ils auront moins de chance de se faire remarquer par les loups et autres créatures aux sens sur développés du camps ennemi. Seamus était idiot, mais finalement pas tant que ça (prenez en de la graine).

Cela dit, son éclair de génie ne dura qu’un instant, puisqu’il retourna rapidement sur le sujet des couples improbables. Il rigolait à sa propre blague et fut parfaitement ravi en voyant la brune adhérer à son humour. « Avoue, c’est drôle. » L’idée serait affreuse, mais le concept hilarant. Pour sûr, Seamus comptait raconter cette histoire à Cormac, juste pour le voir hurler de rire ou bouder avec son air faussement abattu. Parler sur les autres étaient une activité assez divertissante. Loin d’être les pires pestes de l’ordre du phénix, Elena et Seamus faisait tout de même preuve d’un esprit affiné lorsqu’il s’agissait de roaster quelqu’un. Aujourd’hui, et ce depuis Gracefield, Vanessa Devon en prenait pour son grade. Des boutades faciles qui amusaient la galerie étant donné que beaucoup à Little Italy s'étaient rangés du côté de leur semblable.

Pour autant, même s’ils soutenaient le blond vénitien, ils blâmaient ses propos injurieux en direction des harpies. Seamus essayait de se défendre, de montrer qu’il ne pensait pas à mal, pas plus que lorsqu'il insultait quelqu’un de vipère. Malheureusement, Elena ne voulait rien entendre, agitant le bout de son doigt pour protester. « Si, mon père disait tout le temps ça. » Son père était moldu et utilisait sa propre gamme d'insultes que les sorciers ne comprenaient pas vraiment. Presque ronchon de se faire corriger, l’irlandais se marmonna doucement. « Tête de noix toi même. » La relation qu’ils entretenaient était presque fraternelle. Ils aiment s’embêter autant qu’ils aimaient rire ensemble. Sans elle, le retour en Angleterre aurait sûrement été encore plus difficile.

Alors qu’il se moquait gentiment de la brune, cette dernière s’indigna protestant qu’il n’était pas cool d’agir ainsi alors qu’elle n’avait que très peu dormi. Seamus, qui n’avait pas la moindre idée de ce qu’il s’était passé, resta sur le ton de la rigolade. « Oui, bah tu as mal dormi parce que tu étais chez ton… Comment tu as dis déjà ? Colocataire, mais pas vraiment. » Les histoires de cœurs de Elena étaient toujours divertissantes à écouter, d’autant plus quand elle paniquait juste en attendant un simple prénom. Faussement fâchée, elle lui lâcha sans hésitation qu’il n’était pas son genre. Parfaitement impassible, il continua de rire. « Je suis le style de tout le monde. » Seamus se moquait bien d’être ou non le genre de son amie. Il ne comptait aucunement la traîner dans son lit et pour l’avenir du monde, il était préférable que ces deux là restent amis.

Lorsqu’il lui colla une bonne dose de poussière sur la joue, la brune poussa un grognement sévère, et toussa légèrement. La blague la faisait moyennement rire, mais le plus jeune s’en moquait bien. Pour montrer son mécontentement, elle décida de baisser drastiquement la note qu’elle lui avait attribuée. « Je suis un 10, parce que je suis irlandais, fin du débat. » Seamus ne pensait pas une seule seconde valoir un dix sur dix, mais faire mine de le prétendre lui facilitait l’étape de l’introspection.

Finalement, la brune passa rapidement à autre chose, lui indiquant que si elle acceptait de jeter l’éponge, c’était uniquement parce qu’il était son favori. « Oh, je suis ton pref ?! Quel honneur ! Je peux avoir une promotion ? » Son sourire était sincère, même s’il continuait de prendre son air idiot. Seamus était content de savoir que la brune lui apportait une sympathie particulière, surtout après ce qu’ils avaient traversé. Ils formaient un merveilleux binôme et pour dire vrai, il était presque triste de ne pas l’avoir connu plus tôt.

Une fois le calme revenu et la poussière un peu moins volante, Elena orienta la conversation sur un sujet assez étrange. Entre les lignes, il comprenait ce qu’elle sous-entendait, et même si la réponse se dessina rapidement, un sentiment de malaise s’installa dans son esprit. « Dean ?! On est potes depuis tellement longtemps, je pense pas. On est genre, comme des frères quoi. » Il connaissait le métisse depuis une éternité. Lorsqu’il avait ouvert les yeux sur sa sexualité, il s’était bien évidemment interdit de poser ce genre de regard sur son ami. En seize ans d’amitié, Seamus n’avait jamais envisagé ce scénario, même si son ami était effectivement charmant comme le précisait la brune. « Oui, bah je ne serais pas ami avec un moche. » Il rigolait. La beauté n’était pas son critère de sélection pour se faire des amis. De toute manière, il trouvait que la beauté venait surtout avec l’affection et la sympathie que tu pouvais porter à une personne.

Dean comptait énormément pour lui, donc naturellement, il le qualifiait de beau gosse. « J’ai quand même un code d’honneur, j’imagine pas ce genre de chose avec mes amis. Je connais Dean depuis l’époque où il portait des pyjamas en velour côtelé. » Pour lui, ce n’était pas une éventualité. Pour autant, une petite voix lui criait qu’il était beaucoup trop attaché à ce garçon pour que cela relève d’une simple amitié. L’esprit un peu brouillé, il attrapa le carton de babiole pour l’éloigner d’eux. « Si je l’attirais, je pense que j’aurai remarqué bichette. » Dean et Seamus étaient les deux meilleurs amis du monde. Une évidence qu’il ne voulait pas bousculer, déjà ravi d’avoir pu repasser une soirée avec lui. Imaginer autre chose entre eux le gênait réellement, sûrement parce que cela lui semblait interdit.

Finalement, après tout ce temps de conversation, l’irlandais décida de se concentrer sur son ami. Il n’était pas un fin observateur, mais était tout de même capable de remarquer la fatigue de la jeune femme. Loin d’imaginer les péripéties passées, il s’interrogea plutôt sur la température de la nuit. « Bon et toi, tu vas me raconter ta nuit visiblement torride ? » Afin d’évacuer un peu de poussière, il s’approcha d’une des fenêtres du bâtiment qui donnait sur une vaste étendue d’eau. Le bruit de la mer était agréable, et il ne doutait pas qu’aux beaux jours, les sorciers de little italy adoreront pouvoir piquer une tête ou lire un livre face à cette vue pas dégueulasse.
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Elena Alvarez
ORDER OF THE PHOENIX
Elena Alvarez
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MessageSujet: Re: morning coffe (lenus)   morning coffe (lenus) EmptyDim 6 Fév - 14:18
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little italy 2.0 DANCE DANCE DANCE - 6 octobre
Tête de noix toi même. - Des fois t’oublies un peu trop que tu parles à ton supérieur hiérarchique, Finnigan”, Elena fait mine de grommeler, reprenant tout juste son doigt pour mieux s’indigner du traitement que son bras droit (elle ne lui dirait jamais ça) lui réserve. “Oui, bah tu as mal dormi parce que tu étais chez ton… Comment tu as dis déjà ? Colocataire, mais pas vraiment. - Tu sais très bien pourquoi je dis ça.” Yeux relevés dans la direction de Seamus, alors qu’elle prend la peine de nier plus calmement. Depuis les évènements de Little Italy (l’ancienne), elle sait que des rumeurs courent au sujet de leur cohabitation ; Dae a toujours l’air de s’en foutre, alors elle essaye de faire pareil. “Je fais que squatter sa chambre, c’est pas une solution de long-terme. Quand ce sera fini ici, bah…” L’explication est anormalement pédagogique, malgré le semblant de mauvaise foi qui l’enveloppe (est-ce qu’elle arrêtera vraiment de squatter une fois la planque parfaitement aménagée ? Est-ce que ce serait si grave, de ne plus franchement avoir d’excuse pour le faire…?) “Enfin pas ici (Lena désigne la pièce en bordel d’un geste de la main, tousse encore), ça ce sera clairement la chambre d’Ethan.” Elle retombe sur ses pattes dans un sourire : évidemment que ce ne sera pas la chambre d’Herrera, elle n’est quand même pas suffisamment inconsciente pour l’installer dans celle adjacente à la sienne….

Parce qu’il n’y a pas de raison pour que seul Ethan en prenne pour son grade (si, toujours), Elena vient piquer à son tour Seamus, qui ne se démonte pourtant pas d’un iota (même malgré sa tentative (un peu nulle) de chassé). “Je suis le style de tout le monde. - Tu… - Je suis un 10, parce que je suis irlandais, fin du débat. - Ah, oui, le glow irlandais, j’oublie toujours.” Elle lève les yeux au ciel, faussement agacée par le chauvinisme de son ami alors qu’elle fait à nouveau route vers lui ; faussement seulement, parce qu’elle-même est à moitié irlandaise, et bénéficie donc bien évidemment du glow en question. Tout de même, elle regrette presque aussitôt d’avoir glissé qu’il était son-- “…pref ?! Quel honneur ! Je peux avoir une promotion ?” Elena le considère un instant, quelque part entre le désabusement et la vraie (non) réflexion ; finalement, sa réponse tombe comme un couperet. “Non.” Ça lui arrache un grand sourire, parce qu’elle sait d’avance qu’elle va provoquer une indignation digne de ce nom : elle prend d’ailleurs la peine de lever une main pour la prévenir. “Le jour où je dirigerai l’Ordre, peut-être.” (Sourire qui vire à la moue songeuse.) “Ou celui où tu te feras mordre par un mixed, éventuellement.” (Sorry Dean bro too soon)

D’ailleurs en parlant du loup… « Dean ?! On est potes depuis tellement longtemps, je pense pas. On est genre, comme des frères quoi. » L’expression de Lena vire au :cringe: (des frères, et puis quoi encore, ew), mais elle prend la peine d’examiner la qualité des arguments de l’irlandais. “Oui, bah je ne serais pas ami avec un moche.” Elle trouve que c’est un bon point : “Fair enough”, elle concède (elle-même ne fréquente que des 7/10 dans le pire des cas, et ce n’est pas du tout un incident de la vie ou un prisme déformant qui la pousse à voir ses proches plus beaux qu’ils ne le sont peut-être réellement, duh.) « J’ai quand même un code d’honneur, j’imagine pas ce genre de chose avec mes amis. (L’inconfort de Lena s’accentue et devient nettement visible sur son visage : comment ça, un code d’honneur ? Si on embrasse pas des ami.e.s de temps en temps, on est censés embrasser qui ?! Des inconnus ? Comment on fait quand on connaît tout le monde…? Des ennemis ?! Nonsense.) (Elle le laisse quand même finir.) (Dit simplement quelque chose qui ressemble à “grmbl.”) Je connais Dean depuis l’époque où il portait des pyjamas en velours côtelé. - Ew, ok, je baisse sa note aussi. » Mauvais argument, à nouveau, mais ce qu’elle retient surtout c’est que Dean portait des pyjamas en velours dans la Tour des Gryffindors : vu la chaleur qu’il y faisait, c’est un manque de discernement flagrant. Finalement…

« Si je l’attirais, je pense que j’aurai remarqué bichette. » Elle cille un peu sous le coup du bichette, décide toutefois de le laisser passer car ce qui se dit dans l’instant lui semble de la plus haute importance. “Et je pense que tu remarques rien, cariño.” Lena ne parle plus tant de Dean que de la condition générale de Seamus ; comme elle, ce n’est pas toujours le couteau le plus fin du tiroir, alors il pourrait bien manquer une chose ou deux, hein. (Elle fera attention, à l’avenir.) Parce que pour le moment… “J’avoue que je sais pas trop quel serait le style de Dean.” Elle tente de réfléchir aux fréquentations plus ou moins sérieuses qu’elle lui a connues, et d’en tirer un pattern ; finalement, tout ce qu’il lui vient c’est : “A part les bg, j’imagine.” Air songeur alors qu’elle approfondit silencieusement la piste -- c’est pourquoi la question de Seamus vient la cueillir de plus belle, et lui fait presque monter le rouge aux joues.

Bon et toi, tu vas me raconter ta nuit visiblement torride ? - Hm,” elle grogne par réflexe. Ce qui s’est passé cette nuit pourrait difficilement être plus éloigné d’une “NuIt ToRrIDe”, puis d’abord… “Je ne couche pas avec Dae.” (C’est pourtant pas faute de le dire). Mais puisqu’apparemment ça ne convainc personne… “Puis avec… Avec personne, d’ailleurs.” Elle ne l’a pas dit à grand-monde (à… personne, en fait), parce que les gens trouveront ça ou normal (parce qu’elle allait se marier à Lee, tout le monde le sait :cringe:) ou inquiétant (parce qu’elle n’allait pas du tout se marier à Lee :cringe:), et Elena n’a pas encore décidé lequel des deux était le pire. Puis elle ne parle pas de ses affaires à tout le monde, d’abord ; Seamus est simplement sa bestie, donc Seamus a droit aux informations (capitales) exclusives.

Elle se tourne d’ailleurs un peu plus franchement vers lui, alors qu’il est maintenant accoudé à la petite fenêtre de la pièce ; affiche un air bien plus sentencieux. “Et si un jour je reviens d’une nuit torride avec cette tête-là (grands gestes vagues autour de sa propre cabesa), s’il te plaît me laisse plus jamais revoir le gars en question.” Elena part poser le deuxième seau (sensiblement rempli à un quart) devant la porte, vient ensuite un peu pousser l’irlandais pour elle aussi profiter de l’air frais offert par l’ouverture (plus qu’une fenêtre, réellement). Elle se re-débarbouille un peu en voyant comme il la fixe, reporte le regard vers la mer quand elle finit par marmonner un semblant de vérité quant à la nuit écoulée. “Y a eu un petit souci à l’Iron, (une giga merde, oui) c’est tout, et… Et il a été un peu pris à parti. (S’est fait casser la gueule. Aurait pu tout aussi bien y mourir. S’est effondré en mille morceaux dans ses bras.) Ça fait… ça fait juste un peu beaucoup.

Lena pose un coude contre l’épais rebord, pose sa tête contre sa main, jette un œil à Seamus, et prend un ton qui fait mine de rien. “Hmm, d’ailleurs… Du coup, c’est pas impossible qu’on parte quelques jours pour… se mettre au vert, tout ça… Si je te laisse gérer ici tout seul, tu vas pas accrocher des grandes banderoles Little Ireland partout, si ?” Techniquement elle n’a pas encore demandé l’autorisation, mais… au cas où… “Enfin bien sûr que tu vas le faire, mais pas trop, hein ?” (Elle sait que si. Est-ce qu’elle va quand même lui laisser les clés ? >oui.) “Et j’aurais toujours mon téléphone, tu sais ça. Pour… genre, discuter de la taille des banderoles.” (Est-ce qu’elle a des bouffées de chaleur rien que d’y penser ? >oui aussi.)
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