NEW ORDER

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nom prénom(s)  » Mascimiliano aka el más grande, chose qu'il ne va certainement pas démentir. Benja, hijo de la mano derecha, en second pour un hommage à un ancêtre quelconque. Lázaro, Dios es mi ayudante, en troisième pour un hommage à un autre ancêtre quelconque, puis il va arrêter l'énumération là sinon c'est tout l'arbre généalogique qui va ressortir. Palazuelos, nom prestigieux, se pavane dès qu'il le balance à quelqu'un, parce qu'il faut bien un avantage à la pression qui a avec.

surnom(s)  » Ça lui a servi du Mili toute sa vie, prénom entier trop long pour que quelqu'un d'autre que son père se donne vraiment la peine de l'utiliser de toute façon. Ça a switché au Max quand il est arrivé au Royaume Uni, un peu perturbant au début, pas toujours très fan, mais il s'y fait. Il répond aussi à Connard, Chorra, Asshole, Twat, Cabrón, la liste peut être longue. Nom de code : Saint Adrien de Nicodémie pour le travail.

date de naissance » Journée bénite du 10 mai 1979 qui a été le témoin de son ascension sur Terre, ça aurait dû être fait fête nationale pour l'honorer, c'est pas le cas, c'est un drame. Taurus sun, Aries rising, Libra moon.

origines & nationalité  » Né sous le soleil (en vrai il pleuvait et il faisait froid, mais il aime pas la pluie Mili) de Santiago, Chili, comme ses parents et ses grands-parents avant lui, il est Chilien Mascimiliano, le revendique fièrement partout où il va, accent très prononcé quand il daigne parler une autre langue que l'espagnol histoire que l'on oublie surtout pas d'où il vient.

pureté du sang  » Il a le sang pur Mili, ça n'aurait pas pu en être autrement, les Palazuelos ça le crie pas trop fort, mais ça ne se mêle surtout pas avec les impurs.

métier/études  » Il a fait ses classes à Tenquehen, pression familiale qui l'a poussé à faire une école de commerce pour rejoindre les bureaux de l'entreprise familiale à Santiago, se retrouve muté dans la filiale londonienne pour aller vendre du pisco aux anglais (ça c'est la version officielle). Démissionne pour aller se chercher un job plus excitant, après plusieurs fails (rien d'assez fun), il se retrouve employé comme agent de sécurité, garde du corps, de la Galeria Nicodemo Serafim, homme à tout faire, type à appeler en cas de soucis de l'Angelus par extension.

orientation & état civil  » Hétéro si on lui demande, c'est pas comme s'il était acceptable d'être autre chose que parfaitement straight, jamais, personne, surtout pas lui. Bad enough to be the B in LGBT (- Domo Wilson, 2019). Bisexuel très très refoulé en réalité, s'il laisse ses iris se balader sur les hommes c'est clairement pour évaluer la concurrence, no other reasons. Marié, détail qu’il a tendance à oublier, est presque surpris quand il remarque l’alliance qu’il porte toujours à son doigt.

camp  » On lui a suffisamment répété tout au long de sa vie que les sang-purs c’est au-dessus pour qu’il trouve ça pas totalement absurde, s’est naturellement rangé du côté du gouvernement britannique en débarquant dans le pays, ça l’arrange plutôt bien en plus comme politique, n’a pas vraiment quelque chose à y redire, alors il va pas trop cracher dessus, véritable allégeance qui ne revient qu’à lui même en fin de compte, parce qu’il est le seul à être au-dessus.

baguette  » Chêne blanc, poil de rougarou, vingt-sept centimètres et demi, pas très souple, pas très fine.

patronus  » Un zorro gris patagónico, smart and cute, tout lui quoi.

épouvantard  » Pluie qui tombe à verse, épais nuages noirs bloquant tous rayons du soleil qui aurait pu le sauver, zébrures illuminant le ciel par intermittence, éclairs qui commencent déjà à le faire paniquer, annonce de l’épouvantable grondement à venir. Peur irrationnelle du tonnerre, il passe les journées d’orage sous sa couette, dire qu’il en a honte serait un euphémisme, préfère mourir que de l’avouer un jour.

particularité(s)  » Occlumencie apprise dans les larmes, la sueur et le sang, personne l’en pensait capable, même lui en a douté à un moment, a réussi en fin de compte à en maîtriser les bases, échec qui n’aurait pas été toléré de toute façon, c’est brouillon, mais ça fait le job. Magie sans baguette qu’il maîtrise presque parfaitement, parce que flemme de transporter un bout de bois partout, puis que y’a pas meilleur moyen pour faire le show et impressionner tout le monde.

» Insupportable, premier mot qui traverse l’esprit quand on le rencontre, Mili c’est écrit sur sa tronche que c’est un type à problèmes. Il en a plein des problèmes d’ailleurs, avec l’autorité d’abord, il a une sainte horreur qu’on lui dise quoi faire, quoi dire, comment se tenir, tout ça quoi. Avec la colère aussi, il s’énerve beaucoup trop facilement, les concepts de patience et diplomatie lui sont complètement inconnus, part au quart de tour au moindre inconvénient, ou quand on le regarde de travers aussi, ou lui parle mal, ou pour un peu n’importe quoi d’ailleurs. Capacités de réflexions qui n’ont visiblement pas été fournies à la livraison non plus, décisions toujours prises sur un coup de tête, puis Mascimiliano il voit marqué danger, il fonce dedans sans se soucier de ce qui peut bien arriver, logique. Buté, quand il a une idée en tête il l’a pas ailleurs et ça devient impossible de le faire changer d’avis.

» Se pense clairement au dessus du reste du monde, parce qu’il est meilleur que tout le monde ce n’est plus à prouver et n’hésite jamais à le faire savoir à ceux qui le demande, puis à ceux qui le demande pas aussi, surtout à ceux qui le demande pas en fait. Resting bitch face on most of the time, rictus moqueur le reste du temps, il y a rarement d’entre deux. Drama queen en chef, il aime faire le show, exagère tout en permanence sinon c’est pas drôle, ne sait manifestement pas faire dans la demi mesure. Déteste être enfermé, que ça soit dans une pièce ou dans sa vie, il a besoin d’être libre Mili, rêve de grands espaces et de ne faire rien d'autre que ce qu’il désire.

» Mascimiliano si on lui demande ce qu'il pense de sa famille il répond que c'est tous des cons, sin excepciones, passion : faire l'imbécile pour les provoquer, ils méritent après tout, mais au fond, genre très très au fond, Mili il attend juste qu'un jour ils se réveillent et lui disent qu'ils sont fiers de lui, pas parce qu'il a fait ce qu'on lui a dit, mais juste parce qu'il est lui. Mal du pays constant, l'Angleterre c'est cool, mais ça vaut pas le Chili, parce que Santiago c'est la maison, c'est ce qu'il a connu toute sa vie, que la Cordillère des Andes en background ça claque tout de même plus que pas de Cordillère des Andes du tout, puis la langue, la musique, la cuisine, les gens, y'a tout qui lui manque tout le temps en fait. Il passe sa vie dehors Mili, se sent nettement mieux perdu dans la pampa qu'en centre ville.

» Incapable de rester assis plus de trois minutes d'affilée, ou de rester sans bouger, ou de ne rien faire, il a besoin de constamment faire quelque chose, bonus points si c'est une activité physique, peu importe laquelle. Fait du sport relativement régulièrement, tape sur les gens aussi pour rester en forme, il a jamais trop de problème à déclencher des bagarres, pour des raisons valables ou non, plus agressif que passif comme garçon. Mili il a une vision du bien et du mal qui lui est propre, morale que certain pourrait qualifier d'inexistante qu'il préfère présenter comme peu sélective (mensonge, meurtre, vol, torture, arnaque, magie noire c'est kifkif pour lui un peu).

» Plus rancunier tu meurs, Mascimiliano si on l’emmerde il a probablement trois plans de prévu et cinq autres en réflexion pour se venger, oublie jamais ce qu’on lui a fait aussi, pardonne que dans des circonstances exceptionnelles. Pas vraiment méchant, enfin si un peu, mais c’est beaucoup du spectacle, il est sweet au fond (très très très au fond), dans les bonnes conditions, puis avec les bonnes personnes (donc pas souvent au final). Utilise le sarcasme comme principal moyen de communication. Il a eu une bonne éducation Mili, dans une autre vie, sait pas trop mal se tenir quand il le veut, peut être très très faux-cul s’il le faut, maitrise pas trop mal les sourires mielleux et compliments vides, sauf qu’il aime pas ça, alors il évite les situations où le comportement est nécessaire autant qu’il le peut.

» Il a la faculté de donner l’impression qu’il est toujours en train de ne rien faire, glandeur pro d’après certain, réussit constamment à trouver le moyen de faire exactement tout ce qui n’est pas sur sa to-do list, la procrastination c’est un art de vivre chez lui, but somehow hacer el trabajo dans les temps, c’est agaçant (et kinda très stressant). Emmerdeur professionnel, sa passion dans la vie c’est de faire chier son monde, pour absolument aucune raison, réussi par on ne sait quel miracle à toujours trouver exactement la chose à dire to be the most mocoso molesto ever.

» Goût pour le luxe très prononcé, parce qu’il ne mérite pas moins que des vêtements de créateurs, des draps en soie et des dîners dans des restos cinq étoiles, ça parait évident. Il a développé une aversion pour toute main (ou autre partie du corps d’ailleurs) qui s’approche de ses cheveux depuis que les centaines de tías et autre abuelas ont passé son enfance à lui tripoter la tête, clame haut et fort qu’il ne supporte pas qu’on touche à ses boucles, tolère les papouilles mais ne l’admettra jamais. N’a que très rarement sa baguette sur lui pour cause d’oubli permanent depuis qu’il a appris à s’en passer. Il fait étrangement un excellent babysitter, il a un don avec les gamins, puis il adore ça aussi, s’occuper de mioches Mili.

» Smooth talker, il flirte tout le temps, avec tout le monde, s’en rend rarement compte aussi, puis devient désastreux en drague quand c’est on purpose, sinon c’est pas fun. Croyant, élevé dans la religion catholique, pas d’accord avec tout ce qu’il s’y dit, il prend les bases et adapte, rate rarement une messe le dimanche. Une véritable catastrophe en cuisine, il est tout à fait capable de foirer des pâtes Mascimiliano, s’en est presque un don, tellement que c’est à se demander comme il n’est pas encore mort, au choix, de faim ou d’intoxication alimentaire. Quoique ça lui donne une raison tout à fait valable pour se faire inviter au resto.

» Secret (pas si secret en vrai) honteux (pas si honteux non plus) numéro... il a perdu le compte, il devient gaga devant les animaux le monsieur, il adore les bestioles, encore plus quand elles sont toutes mignonnes, donc toutes en fait parce qu'en étant parfaitement honnête, il a jamais trouvé une bébête moche Mascimiliano. Donne pas l'impression d'aimer les gens, il évite de s'attacher en général, ça pose que des problèmes. Ca loupe parfois comme principe par contre et les rares personnes qui ont réussi à se faire une vraie place dans sa vie il leur donnerait le monde sans hésiter. Sobreprotector, qu'on ose toucher à un cheveu de quelqu'un qu'il aime bien et il a une bonne raison pour s'énerver.

» Adolescent il s’est découvert un amour pour l’art en général, les peintures de la Renaissance surtout, aime bien se perdre dans des expos, le dit pas trop fort parce que ça le rendrait intelligent et casserait l’image de bad boy qu’il travaille soigneusement. Polyglotte, si sa langue maternelle est l’espagnol, que l’accent reste très présent et qu’il a tendance à y revenir constamment, il parle aussi couramment le portuguais à force d’aller retours au Brésil, s’est mis au français pour frimer et le maîtrise quasi parfaitement, a du apprendre l’anglais sur le tas en arrivant au Royaume Unis et se débrouille pas trop mal non plus. Mélange souvent tout ça dans des phrases incompréhensibles.