BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 like father like son (bartholoford)

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Les voilà repartis de plus bel, dans cette quête dont bart ne saisissait pas réellement la teneur. Il était plutôt en promenade de santé et vacillait entre la gêne et une bonne tranche de rigolade. Lui, qui devait faire mine de n’être jamais allé dans ce genre d’endroits, alors qu’il avait vu ces couloirs autant de fois que sa propre chambre. Et c’était peu de le dire. Pourtant, il ne s’était en aucun cas aventuré aussi loin, la preuve, il n’avait jamais vu cette hybride maigrichon et son rouge à lèvres clinquant. Il fallait dire qu’à part la chambre de fritz, bartie n’était pas assez à l’aise pour se promener tout seul ici. On ne savait pas sur quoi on allait tomber.

Les deux hommes se plantèrent devant une porte : la porte ; celle qu’il ne fallait même pas entrouvrir selon boris – mais ça, ford semblait ne pas s’en souvenir, et c’était tant mieux pour le gamin qui se frottait déjà les mains de savoir ce qui se trouvait derrière, de si terrible. Il espérait qu’il s’agissait bien la chambre de noémie, et qu’ils allaient la surprendre là, en plein travail. Ou alors une autre hybride des plus séduisantes comme elles l’étaient si souvent.
Curieux donc, mais craintif, car en aucun cas le jeune prewett ne posa ses paluches sur la poignée pour découvrir le monde merveilleux du tabou. A la place, les deux zozos restaient là comme des piquets et attendaient un signe du saint-esprit. Le voici qui vint justement, à l’autre bout du couloir et qui parvint à amener langford à se réfugier dans cet autre monde dans la précipitation : rien ne valait un peu d’adrénaline.

Bart ferma les yeux, comme s’il s’apprêtait réellement à passer le portail du plaisir. Il se boucha même le nez par pur réflexe et patienta quelques secondes. Il sentait déjà l’agréable odeur de la passion et du parfum féminin lui enivrer les narines alors qu’en fait, ça puait juste la sueur et la gêne.
ne te retourne surtout pas le fit virevolter en un instant, lui qui pensait surprendre une belle dame dans le plus simple appareil. Son sourire lubrique se figea alors et se transforma en une grimace d’effroi. mais bordel, c’est quoi ça … ? qu’il déglutit dans un relent d’horreur. Il manqua presque de vomir, posta une main devant sa bouche : il s’imaginait les milliers de bactéries qui se trouvaient là, sur ces elfes de maison carrément à poil.

Lui qui s’attendait à espionner une gente demoiselle, il se trouvait face à des sous-hommes, les mêmes qui servaient dans le manoir mais en plus sales et en moins … habillés. Le gamin sentit en lui, monter l’angoisse. Il s’empara du poignet de ford et lui lança des regards de détresse alors que les nabots s’éloignaient déjà du sorcier qu’ils étaient en train de ….. enfin voilà quoi.
Quand ils commencèrent à se disperser, bartholomeus aperçut sur le lit, presque défroqué, le bienheureux louis travers et ses cheveux correctement peignés. Dans un hoquet de stupeur, il se glua à la porte, près à s’échapper. les enfoirés ! ils sont en train de faire du mal à oncle louis ! – s’il savait. il faut l’aider !

Mais il n’eut pas le temps de faire un pas vers ces sales monstres que déjà, ils s’étaient excités en quelques secondes et avaient couru en leur direction, prenant leur élan avant de leur sauter dessus, toujours en tenue d’adam. Bart sentit des mains gluantes lui coller le visage, et immédiatement un hurlement assourdissant s’échappa de sa bouche, envahie par les phalanges de ces créatures qui essayaient de le griffer voire de lui arracher la langue. Le garçon saisit avec difficulté sa baguette, tremblant de tout son soûl et s’apprêtant même à lancer un avada pour dégager ces calamités qui lui bloquaient maintenant les jambes. ford au secours, aide moi ! le môme était paralysé.
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Vous voilà, père et fils, plaqués contre la porte, l'un cherchant la main de l'autre, comme si ça pouvait vous aider à disparaître subitement de cette pièce maudite. Tu n'oses pas bouger d'un cheveu, de peur d'exciter les elfes de maison qui s'approchaient de vous, curieux et frustrés d'avoir été ainsi interrompus dans leur... prestation.
Mais c'est sans compter Bart qui, contrairement à toi, perd le peu de sang froid qui lui reste et couine juste à côté de ton oreille assourdie. "Les enfoirés ! ils sont en train de faire du mal à oncle louis !" Tu lui jettes un coup d'oeil de côté, circonspect, les lèvres retroussées. "... C'est pas vraiment du mal qu'ils lui font..." Tu lui aurais volontiers expliqué qu'en ce bas monde, on comptait autant de fétiches qu'il y avait de sorcier différent ; et que... cet homme, qui ressemblait étrangement à Louis Travers, semblait apprécier la compagnie, nombreuse et dénudée, d'une bonne dizaine d'elfes de maison...
A moins que ça ne soit les elfes qui aient rassemblé leurs maigres économies pour se payer les services d'un.e métamorphomage qui aurait emprunté les traits du boss de la Travers Households ?? Oh boy...  

"Il faut l'aider !" Tu te jettes à moitié sur Bart pour essayer de le faire taire. "Nan mais personne aide personne, gam- aaAAH !" Le pauvre garçon échappe à ta prise lorsqu'il s'affale face à la nuée d'elfes qui se jettent sur lui. Tu vas pour en attraper un par l'encolure, te ravisant l'espace de quelques secondes cruciales, par dégoût et par crainte d'agripper autre chose que la nuque de l'elfe. Bart crie de plus bel et tu prends une grande inspiration avant de te décider à agir. Mais, au moment où tu penses viser juste, un elfe de maison se jette sur ton visage pour t'aveugler. Tu veux beugler à ton tour, mais tu sens des protubérances suspectes gigoter contre ta bouche et serres les dents autant que tu peux, sifflant avec panique.

Tu bats des bras dans tous les sens, et finis par extirper l'elfe de ton visage. "Tiens bon, mon grand !" que tu hurles enfin, en te ruant sur la baguette que Bart agitait dans tous les sens. C'était plus rapide que de chercher la tienne, et en plus de ça, tu avais cru comprendre qu'il avait l'Impardonnable facile et voulais éviter de buter qui que ce soit dans cette pièce... "Expelliarmus !" aboies-tu, une première fois, en direction du grand dadais. Sa baguette se tord un peu entre les doigts de ce nouveau propriétaire, mais le sort part. Il frappe l'amas d'elfes agrippés à Bart de plein fouet (et Bart aussi, par la même occasion, qui vole dans un coin de la pièce).

Un autre Expelliarmus est balancé à tes pieds, où les elfes commençaient à remonter le long de tes jambes. Enfin, tu tiens le reste en joue. "Le premier qui claque des doigts ou du cul, j'l'éteins, pigé ?" que tu grognes, menaçant, le souffle court. Tu les tiens momentanément à distance, le temps de marcher en crabe jusqu'à Bart, à moitié assommé. "Hé... hé ! ça va, Bartie ? Tu peux marcher ?" tu le presses à se relever, conscient que d'ici quelques maigres secondes, les elfes allaient revenir à la charge.

Tu dégaines finalement ta baguette, rends la sienne à Bart. "Faut qu'on s'tire d'ici, Bartie. J'vais te couvrir, le temps que tu sortes d'cette chambre, ok ? Surtout, quoiqu'il arrive, tu te retournes pas, ok ? A mon signal... trois... deux... un... go !"
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Le brouhaha incessant d’elfes dégoûtants était en train de paniquer le garçon qui se montait le bourrichon au fur et à mesure que les doigts longilignes et collants de ces immondices lui touchaient le corps : il pensait à leurs bactéries, à leur peau blafarde et abimée, pour certains, cachant sans aucun doute des milliers de maladies que l’on avait pas encore découvert. Bart haïssait les elfes de maison, si bien que sa chère mère avait bataillé un long moment avant de pouvoir garder la moitié des serviteurs du manoir prewett ; alors se retrouver dans la chambre d’un bordel, avec le sosie de louis en face, et ces créatures dans le plus simple appareil, qui n’avaient visiblement pas peur d’affronter deux grands sorciers de maison pure décontenançaient au plus au point le sorcier qui, hurlant et tremblant n’était bon à rien dans cet état.

Heureusement pour lui, il était avec un expert du glauque même si actuellement, ford n’était pas aussi vaillant que son « fils » l’aurait espéré. Bart avait les yeux rivés sur son oncle et, dès lors, il ne manqua pas le saut prodigieux d’un des elfes qui vint se coller au visage de ce pauvre vieux. Bartholomeus sursauta devant l’horreur et ne put empêcher un relan des œufs au bacon que lui avait préparé la cuisinière ce soir pour le dîner. Il ferma à clé ses lèvres pour ne pas dégobiller sur les assaillants bien que ça leur aurait masqué toute mauvaise odeur.

Après plusieurs sorts avec sa baguette mais qui n’étaient certainement pas lancés par lui, le jeune prewett sentit que ses jambes pesaient de moins en moins, si bien qu’il put presque s’enfuir seul, chercher de l’aide. Malheureusement, la magie en décida autrement puisqu’il fut projeté en l’air à la suite d’un nouvel expelliarmus comme un mouchoir de poche qui retomba lourdement dans un coin de la chambre. La secousse ne put retenir ses œufs au bacon qu’il dégueula automatiquement dans un endroit des plus discrets ; nouvel affront envers l’hôte et ses petits gardes du corps.
Il ne prit pas dix secondes pour se relever, étourdi et agrippa sa baguette, répétant dans sa tête un avada kedavra qui devrait mettre tout le monde d’accord. Mais, alors qu’il allait mugir ce sort impardonnable, langford l’interrompit malgré lui et lui proposa une solution des moins convenables mais tout aussi efficace : la fuite.

A son signal, bart détalla les quelques mètres qui le séparait de la porte, tourna la poignée avec précipitations alors que les elfes de maison revenaient déjà à la charge, grognant et huant les deux intrus. Une fois dans le couloir, il extirpa d’une main au col son oncle et la porte se ferma en un claquement assourdissant. Le runiste soufflait comme s’il venait de courir un marathon, ou plutôt de refermer un portail vers les enfers. Il avait vu la pièce qu’il n’aurait jamais dû voir, et, après s’être essuyé le coin de la bouche, il pivota vers la bonne porte dont une odeur de cuir et de rose lui envahissait les narines. je n’arrive pas à croire ce qu’on vient de voir. un autre relan ça me dégoûte. Cet endroit est vraiment le lieu de toutes les dépravations ! comment peux-tu t’y être rendu ??
Bart jugea son oncle en silence, se rappelant que lui aussi, était un habitué des couloirs : mais le grand friedhelm n’avait strictement rien à voir avec ces démons.
Il croisa ses longs et maigres bras c’est la bonne porte. J’espère qu’à l’intérieur, on ne va pas trouver une troll habillée en soubrette. consterné, le gamin en avait oublié toute forme de discrétion, laissant son agacement et sa panique prendre le dessus alors que de sa baguette, il fit tourner délicatement la poignée pour ne pas être repéré tout de suite.
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Clairement, tu ne te sentais plus pisser après cette ébauche d'acte héroïque. Tu balançais des expelliarmus à tout-va, prêt à te sacrifier pour ton neveu, même si pour cela, une horde d'elfes fous et nus devaient te passer sur le corps... Ou plus exactement passer leurs corps sur toi... Ton visage se froisse d'une grimace de dégoût, alors que tu sens ton courage repartir aussi vite qu'il était venu. Fort heureusement, le petit te rend la monnaie de ton geste altruiste et t'empoigne par le col de ta chemise pour t'extirper hors de la pièce. Vous entendez tous les petits corps d'elfe se cogner contre la porte qui vient de se refermer dans un fracas. Vous reprenez votre souffle en silence, certainement en train de traiter les terribles informations et visuels que vous veniez de prendre en pleine face... littéralement.
C'est Bart qui, le premier, brise le silence, enclin à exprimer son profond. Tu ne réalisais pas à quelques points l'épreuve était difficile pour lui qui était obsédé par la propreté. "Je n’arrive pas à croire ce qu’on vient de voir." "Et moi donc... j'pensais avoir tout vu! Ça en fera une bonne à raconter à la machine à café!" Le jeune homme ne partage pas le même enthousiasme que toi. "Ça me dégoûte. Cet endroit est vraiment le lieu de toutes les dépravations ! comment peux-tu t’y être rendu ??" Tu restes le bec ouvert, baillant aux corneilles, infichu de lui procurer une réponse concise.

"Hhhhe, écoute, Bartie... Des fois, les adultes, ils ont besoin de- de... décompresser, tu vois?" S'il t'écoute, ce n'est que d'une oreille, tandis qu'il se plante cette fois-ci devant la bonne porte (tu l'espères). "Et il s'avère que ton oncle Ford, bah il aime bien décompresser avec- avec hmmm..." Tu réfléchis à comment formuler tes petits hobbies, sans tomber dans le sordide, ou dans le too much info... Fort heureusement, Bart coupe court aux explications qui prenaient une vilaine tournure de pep talk entre père et fils, à propos d'éducation sexuelle ou tu ne sais quelle autre connerie que tu n'avais pas enseigné à tes bons à rien de fils... "C’est la bonne porte. J’espère qu’à l’intérieur, on ne va pas trouver une troll habillée en soubrette." Tu ricanes bêtement, posant une main sur la porte qu'il est en train d'ouvrir doucement. "Ah! Bien envoyé, mais nan, c'est pas vraiment le genre de la maison..." Tu es tiraillé entre l'amusement et la gêne, lorsque Bart découvre la chambre de cette fameuse Noémie.

Ça ressemblait davantage à une cellule d'Azkaban, ou au boudoir de Severus Snape qu'à une chambre... Le sol et les murs étaient en pierres, comme un donjon, et l'ameublement était... singulier, pour ne pas dire utilitaire. Il y avait une table abimée, comme si on y avait coupé un saucisson à même le bois... Des chaînes, des instruments bizarroïdes et surtout, surtout une odeur lourde, un mélange de parfum et de sueurs (plus d'autres fluides corporels, oups) qui rendaient l'atmosphère très pesante.
Tu serres les dents, espérant sans doute que la pénombre n'aiderait pas le garçon à jeter un œil plus minutieux aux alentours. Tu te racles la gorge. "Et beh, il s'agirait peut-être de faire un peu le ménage, par ici... La troll soubrette serait peut-être pas de trop finalement..." Remontant une manche, tu susurres un "Accio chevalière!". Aucun résultat, si ce n'est un léger bruit perdu au milieu de tout ce fourbi... Il semblerait que, finalement, Bartie soit obligé, tout comme toi, de foutre ses mains dans tout ce fourbi pour retrouver ton bijou de famille...

"Bon, Bartie, va falloir être efficace! T'es du genre à ranger tes affaires nan? Ça devrait être un jeu d'enfant pour toi, de retrouver ma chevalière!" Lui confies-tu en ouvrant un premier tiroir que tu refermes aussitôt, d'un geste brusque... Pas sûr que le gamin apprécie ce qu'il allait trouver, mais vous n'aviez que peu de temps devant vous ; d'autant plus qu'on pouvait dès lors entendre des bruits de pas dans les escaliers...


Dernière édition par Langford Prewett le Sam 5 Mar - 11:05, édité 1 fois
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Les activités louches de son oncle représentaient à la fois un terrain de jeu inépuisable pour les blagues les plus sordides et à la fois un nid de craintes pour le jeune homme qui ne pouvait s’empêcher de faire un transfert quant à ses goûts particuliers. Les murs velours semblaient juger le sorcier, au fur et à mesure qu’il s’enfonçait dans les couloirs, le peu de poils se dressant chaque fois qu’il passait devant la porte de la chambre du triton qui semblait ne pas être loin. L’émoi du prewett était alors quelque peu malvenu quand on savait qu’il se réfugiait dans les bras d’un hybride de plus de deux fois son âge. Enfin, le FDD n’était-il pas là pour assouvir toutes sortes de désirs et laisser les complexes à la porte ?

Bartholomeus écoutait ford d’une oreille attentive, bien qu’il parut des plus distraits et surtout distants ; tout était bon pour semer le doute sur sa venue dans de tels locaux. Il se garda de davantage de remarques et haussa simplement son épaule. ce n’est pas une raison pour s’adonner à de telles activités. Surtout dans une salle aussi poisseuse. et le runiste ne croyait pas si bien dire. A peine entré dans la bonne pièce (heureusement pour lui), une vive odeur de crasse et de poussière lui remplit immédiatement les poumons. Le gamin retint sa respiration et reprit son souffle en sortant la tête dans le couloir. Si l’hygiène des elfes de maison était déplorable, l’ambiance et la saleté qui régnaient dans cette cellule étaient bien pire. L’odeur du fer lui donnait la nausée, il planta sa main devant son nez avant de s’emparer de son foulard d’homme de ménage pour couvrir le bas de son visage. Bart manquait réellement de s’évanouir, il se retint d’ailleurs à la commode glacée qui présentait une rangée de 5 tiroirs. Il jeta un coup d’œil rapide avant de dévisager davantage son oncle quand il constata que la chevalière était enfouie dans un amas d’immondices.

Cette ambiance dégoûtait le sorcier autant qu’elle le fascinait ; il ne pouvait s’empêcher de se demander à quoi ressemblait la fameuse noémie : portait-elle un collier de chien en cuir avec des piques, un porte jarretelle noir, des bottes à talons aiguilles avec lesquelles elle marchait sur son oncle ? Un énième frisson traversa le corps longiligne de bart. Il s’enfonça alors un peu plus dans la pièce et rétorqua de sa voix étouffée tu te fous de moi ? ça fait au moins 20 ans que cette pièce baigne dans son jus de merde. son jus de sexe et de débauche plutôt.
Le jeune homme tâta les poches de son déguisement et enfila une paire épaisse de gants. Une envie folle de tout remettre en ordre le saisit alors et il se maudit à cet instant de ne pas avoir emmené de détergent et une bonne dizaines de plumeaux et d’éponges (il ne faisait certes pas le ménage dans le manoir, mais ne pouvait s’empêcher de repasser derrière les domestiques quand il s’agissait de sa chambre).

Bart se planta devant une armoire en ébène, ornée de clous et de crocs de boucher. Il en ouvrit les portes et s’enfonça dans le meuble à la recherche du précieux bijou. Il s’empara de quelques objets, l’air interrogateur et après moults martinets et paires de chaîne, il attrapa une combinaison en latex rouge coupée au niveau de la poitrine et des fesses. Il se mit alors à ricaner (encore) et sortit le vêtement. dit tonton. C’est elle ou toi qui porte cette tenue ? l’espace à l’entrejambe en disait long sur la réponse et alors qu’il semblait subjuguer par la chose, le garçon n’avait pas remarqué qu’à cet instant, ford était en plein face à face avec une hybride qui n’avait pas l’air commode.
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Des petits rires ennuyés s’échappent de ta bouche pincée à chaque fois que Bart ronchonne ou fait une remarque désobligeante (mais fort à propos) sur l’état des lieux et, de surcroit, de tes activités nocturnes. Bah, tu ne peux pas réellement lui en vouloir; tu n’avais pas fait suffisamment de travail sur toi-même pour pouvoir lui expliquer d’où te venait ce genre de lubies et, même si ça avait été le cas, le jeune homme aurait sans doute préférer que tu fermes ton clapet, peu enclin à écouter les détails sordides de tes penchants pour le cuir, le métal, et les relations avortées. Pire encore, Bart était suffisamment malin et fouineur pour en savoir plus que toi sur ta psyché, déniée et muselée, à l’image de ton croupion, plusieurs fois par mois, dans la piaule à Noémie.

Tu l’écoutes donc d’une oreille distraite, tandis que tu fouilles de ton côté, le cul en l’air, le haut du corps disparu dans un coffre magique sans fond, après avoir semblé voir une lueur au fond du fourbi. Tu t’esquintes les pattes au contact des instruments de torture, sens la nausée montée quand tu t’asperges accidentellement de parfum ou de lubrifiant. "Ah... attends, je crois qu’j’ai que’q’chose!" fanfaronnes-tu, sans réaliser que de là où tu étais, ton neveu pouvait à peine t’entendre, sous le fracas du bazar que vous mettiez dans la chambre.
Tu tends finalement la main pour attraper ce que tu pensais être ta chevalière et t’extirpes du coffre pour l’exposer à la lumière.

Soudain, alors que tu fais un demi-tour sur tes talons, cherchant une source de lumière raisonnable (c’est qu’il fait sombre dans le donjon privé de Noémie), tu te retrouves nez à nez avec la locataire des lieux qui, comme par magie, s’était plantée à l’entrée de la pièce sans faire un seul bruit. Tu vas pour pousser un cri suraigu de surprise qu’elle tait d’un mouvement vif de la main plaquée sur ta goule. Tes exclamations étouffées reviennent de plus bel lorsque tu louches sur ladite main, dont l’index était orné de la chevalière en question! Tu couines pour prévenir Bart, mais le garçon est justement en train de faire volte-face à son tour, brandissant une tenue en latex rouge.

"Dit tonton. C’est elle ou toi qui porte cette tenue ?" Deux paires d’yeux se plantent sur lui: les tiens, apeurés, et ceux de Noémie, circonspecte, mais bien décidée à lui éclairer sa lanterne: "Ça dépend de s’il a été sage ou non..." siffle-t-elle en relâchant enfin sa main de ta bouche. Tu fais aussitôt un bond en arrière, t’interposant entre Bart et Noémie, que tu pointes du doigt. "La chevalière! C’est elle qui l’a!!" Elle fronce un sourcil, jetant un coup d’œil nonchalant à son doigt, comme si tu venais de faire le constat le plus évident du monde: "Figure-toi que je comptais la revendre, mais on m’a dit que c’était du toc et que ça ne valait plus rien du tout..."

Choqué, tu inhales une bruyante bouffée d’air si brusquement que tu aurais pu gober toutes les mouches alentours, une main plaquée sur ta joue pour accentuer ton désarroi. Sans la quitter des yeux, tu te penches légèrement sur le côté, pour attirer l’attention et l’oreille de Bart: "Psst, Bartie; à trois, on lui fait le même move que les elfes de maison, ok?" Et, sans vraiment attendre l’approbation du jeune homme, tu entames un décompte bien trop rapide, avant de te lancer sur l’employée du Filet du Diable. L’élan vous projette tous les deux au sol, et remuant comme un ver, tu fais tout pour essayer de l’immobiliser, alors qu’elle te griffe le visage. "Bartie! j’la tiens!! prends la bague et barre-toi!!"
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Le soulagement prit le garçon en tenailles quand son oncle lui annonça qu’il avait certainement enfin mis la main sur cette satanée bague. qu’est-ce qu’on ferait pas pour l’héritage familiale j’te jure. railla le gamin alors que, d’un geste distrait, il jeta la tenue de cuir rouge au fond de l’armoire.
Il se tourna vers l’intéressé et soudain, la confusion lui envahit l’esprit : devant eux se tenait la dame même, propriétaire de cette charmante piaule. Noémie n’avait décidément pas l’air commode, et Bart n’avait aucune difficulté à l’imaginer dans ses cuissardes en latex brillant, fouetter au martinet quelques valeureux vieillards en manque de sensation forte. Puis il y avait Langford. A cette pensée de l’imaginer à quatre pattes, poignets et chevilles liés sur un chevalet, le sorcier porta une main à sa bouche, affichant un air à la fois moqueur, outré et paniqué. Ils étaient pris la main dans le sac.

A la vue de Ford emprisonné par la démone (qui affichait de surcroit la chevalière tant traquée), le Prewett déplaça sa main offensive sur sa baguette, prêt à se défendre : tout plutôt que de se retrouver pendu aux crochets de boucher qui trônaient fièrement au milieu de la pièce.

Les mots de la jeune femme manquèrent de faire glousser Bartholomeus qui se retint de justesse, car ce n’était ni l’endroit, ni le moment pour se moquer (encore) de Langford.

Une fois libre, l’oncle vint s’interposer entre la voleuse et le neveu. A ses mots, le garçon bloqua ses pupilles sur les doigts de la coupable et instantanément, il se dit qu’au vue de la tronche de la chevalière, il aurait mieux valu qu’il s’en paie une autre. Ça avait effectivement l’air d’être du toc, mais Bart ne pouvait s’opposer à la famille et, de toute façon, ce n’était pas dans sa nature de laisser quelqu’un ridiculiser ouvertement de son sang.
Le runiste était fin prêt. Pas le temps d’élaborer un plan convenable maintenant qu’ils tenaient la garce qu’ils avaient mis tant de temps (et de souffrance) à trouver. Ni une, ni deux, il prit son courage à deux mains effaçant toutes les sales images qui ne cessaient de lui traverser l’esprit au moment où il avait pénétré dans ce donjon du cauchemar. Son salut et sa libération le motivaient bien plus que le fait de récupérer le bijou, mais il ne pouvait pas échouer, pas maintenant. Une goutte de sueur perla sur son front, il la dégagea d’un revers de la main, souffla un bon coup et se précipita vers Noémie, au sol. D’un geste maladroit (qui aurait pu lui arracher un doigt) le sorcier tira de toutes ses forces pour faire glisser l’objet et, constatant qu’il était en possession de quelque chose, il se carapata fiça hors de ces murs, lâchant un tiens bon tonton, je reviens avec du renfort !

Le brouhaha causé par le gamin cessa aussitôt qu’il avait pris ses jambes à son cou. Il traversa les couloirs sans même reprendre sa respiration, inspecta de temps en temps la chevalière qu’il tenait fermement entre ses phalanges trop maigres pour la porter. Il déroba son regard à chaque fois qu’il croisait des hybrides s’interrogeant sur sa présence, passa devant la chambre des elfes de maison où des cris stridents retentissaient et enfin atteignit la porte de derrière. Le Prewett dévala les escaliers de service et, une fois hors de portée, il respira à nouveau, laissant le froid sécher la transpiration qui s’était accumulée sous ce stress incessant. Il avait l’objet de la discorde, maintenant il ne restait plus qu’à trouver un moyen pour faire sortir son oncle de ce merdier.
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