NEW ORDER

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nom prénom(s)  » La longue généalogie qui découle de ces deux noms associés est devenue l’image de marque de l’admiration impeccablement mêlée au dégoût. Le descendant prewett d’un côté et travers de l’autre porte son emblème comme la seule force de persuasion qu’il détient. Glissant le nom à la discrétion de tous ceux qui veulent bien écouter. Le rejeton venimeux laissant alors une trace de son dessein encore brûlant. En revanche, bartholomeus ne s’accommode que très peu de son prénom, préférant de loin le surnom banal qu’on lui refourgue chaque fois qu’il se présente. Etrangement, il n’y a que les gens que le gamin place sur un piédestal qui l’appellent dans son entièreté, comme pour lui rappeler finement qu’ils savent bien ce que le garçon dissimule (ou non). surnom(s)  » Bart. Ça se crache avec autant de facilité qu’un mollard et ça interpelle aussi vite qu’un sifflement. Inconnus, proches, ennemis ; tous l’affublent de ce raccourci idiot si bien que le principal intéressé en oublie même parfois sa véritable identité. Il ne grogne pas lorsqu’on l’appelle ainsi, et se contente, de son corps nonchalant et de sa démarche trainarde, de venir d’un point A à un point B avec cet air à la fois limité et menaçant que porte magnifiquement sa figure tout au long de la journée. date de naissance » mars 1982, où dans cette tempête, le seul silence de ce nouveau-né a glacé le sang. origines & nationalité  » le coq fier et l’ours branlant s’affrontent dans les origines éloignées de sa matrone tandis que son père arbore avec fierté la toison écossaise ; bart s’invente une patrie mais malheureusement pour son manque d’exotisme, l’angleterre est la terre qui l’a vu naitre. pureté du sang  » sang pur ; et c’est bien là une de ses plus grandes fiertés. Le regard posé sur ses géniteurs avec un sourire triomphant au visage, les sourcils se levant par à-coups comme pour attirer leur intention. Bart ne pense les rendre dignes que par la cruauté de ses lèvres et de ses pensées sans oublier la redoutable intelligence dont il peut faire preuve ; oiseau de mauvais augure pour ne pas dire véritable calamité pour les autres espèces de sorciers. métier/études  » Si l’on devait qualifier quelqu’un de sangsue, bart serait le meilleur exemple. Après que hogwarts l’ai vu grandir et devenir ce non-mangemort insatisfait et brillant, le garçon est retourné dans les jupons de sa mère et l’a accompagné dans sa passion runique ; décrétant avec triomphe qu’il s’agissait là d’un bijou caché dont l’utilisation pouvait accorder toute sorte de pouvoirs. Apprenti à ces merveilles nordiques, l’ancien serdaigle passe le reste de son temps à accompagner ses oncles monstrueux dans leurs desseins trônant comme un chewinggum sous une semelle de mocassins. Un bartholomeus au chômage est un bartholomeus qui s’ennuie et donc en proie à étaler son mauvais œil. orientation & état civil  » Peu le savent, mais il apparait pourtant que bart soit fiancé. La coutume des mariages arrangés ne lui déplait guère, car qui voudrait d’un vaurien pareil. La rose noire qui trône à son bras ne lui arrache pourtant pas de sourires ; ils se différencient trop pour ne pas être en perpétuel conflit. Du côté de la chaire, c’est un électron libre. Il n’a que peu d’expérience dans le domaine malgré sa quête de trouver une sorte de défouloir. Il dégoûte les femmes autant que les hommes et pourtant c’est bien les deux qu’il convoite – peut-être se cherche-t-il un être supérieur pour le mater – ou peut-être refuse-t-il simplement de subir une quelconque dépendance. camp  » La seule chose que l’on devine aussitôt de ce prewett, c’est bien son allégeance et son impeccable admiration pour les mangemorts. Souhaitant en devenir lui-même un quand il sera plus grand, il revendique ce côté cruel contesté lorsque parfois, il se trouve aux bras de ses attirances. Tous n’appartiennent pas au même monde, mais peu importe. Bartholomeus a du mal à se convaincre qu’il n’est pas tout seul dans ce grand vide et donc ne prend guère en compte les idéaux de chacun ; préférant de loin insister sur la pureté du sang pour ne pas se souiller et déplaire à sa famille. baguette  » Aussi capricieux et intelligent que l’acacia ; aussi puissant et classieux que l’épine du monstre du fleuve blanc, d’une rigidité de pierre et d’une longueur de maitre dépassant à peine la trentaine de centimètres. patronus  » avec peu d’étonnement, son patronus est un dragon mais s’éloignant de l’être céleste, celui-là ressemble plutôt au trapus être de komodo. Féroce et pourtant si discret, il reflète à la fois l’instabilité intérieure de ce garçon qui tente de se conformer avec son quotidien peu éloquent. D’une puissance de brute, d’une patience de sage, il a choisi comme protecteur l’animal qui serait le plus en mesure de comprendre son fonctionnement à défaut de son entourage. Apparition hasardeuse d’un déglutit ou d’un hurlement, la force tranquille rejoint bart dès qu’il sent la bestiole non loin de là. Car oui, de son attitude solitaire et quelque peu égoïste, prewett aime se sentir en sécurité. épouvantard  » s’il y a plusieurs représentations de la mort, ses tourments choisiraient la maladie. Véritable hypocondriaque dissimulé, bart se cache pour exprimer ses peurs, nie sa fragilité en bloc mais panique dès qu’un mal de ventre apparait ou que son pied s’enfonce dans des eaux grises. Quand il était petit, sa motivation principale pour rester étudier dans la bibliothèque au lieu d’aller se dégueulasser dehors était la calamité (en plus de son amour de connaitre). Sous ses airs de chien fou qui semble dénigrer son image, bart frotte le dessous de ses ongles jusqu’à s’en faire saigner. Néanmoins, il aime à se rappeler, comme excuse à ses débordements, ses parents estimant qu’un prewett se doit de rester propre sur lui.  particularité(s)  » fils à maman, il a appris à partager avec elle, ses centres d’intérêts, le principal étant la compréhension des runes. Apprenti dans le domaine, bart est désireux de s’approprier la force que renferment ces mystères. Né sous une bonne étoile et surtout sous cette gravure dans sa peau, le jeune prewett tente de s’attirer tous les sorts protecteurs possibles afin de ne pas sombrer dans la folie de sa phobie.

anecdotes/chronologie/whatever  » La vérité sur Bart, personne n’ose la gueuler mais tout le monde s’en doute. L’on n’a jamais autant vu un enfant aussi silencieux et aussi en proie avec l’hygiène. Le personnage du prewett est construit au travers de deux choses : sa violente instabilité et son goût prononcé pour le désinfectant dû en partie à la surprotection de sa mère. Ses parents ont toujours eu du mal à gérer tantôt un bart calme et studieux, limite asociale et tantôt un bart vagabond en quête de malheureux accidents à produire pour s’amuser un peu. Son goût prononcé pour la cruauté pallie difficilement avec son horreur du sang mais ça ne l’empêche pas de vouloir voiler la vérité. Toujours en proie à une petite balade glauque avec tonton, bartholomeus dissimule avec prodige sa peur de la bactérie et s’arrange toujours pour ne jamais entrer en contact direct avec le fléau en question. Glissant ses mains dans des gants tirant des bâches moisies de peine, il ricane, contenant un espèce de vomi de dégoût envers lui-même.
Bart, promoteur de l’acceptation de soi, ne peut même pas se regarder dans le miroir sans y voir un truc qui cloche. Alors il fait celui qui ne voit rien, qui ne sait pas. Quand il était petit, l’excuse de l’école et des salles de révisions était toute trouvée, mais maintenant que sa réputation le précède, il se doit de faire ses routines nocturnes.
La vie qu’il ne peut avoir lui plait. Ce goût naissant pour le mal est des plus sincères mais il préfère de loin le voir plutôt que d’y toucher. Alors, grossier personnage, il râle et arbore des sourires exagérément longs, piaffant des phrases sans queue ni tête qui ne savent que mettre mal à l’aise.

Mais les prewett sont-ils gênés pour sa tournure ou pour ce secret que sa mère et son oncle dissimulent ? Les traitres travers-prewett qui ont partagé la mauvaise couche pour en voir sortir un gamin dérangé. Les airs de langford sous la détermination de myrthild. Le visage et la posture identiques devraient ne pas tromper et pourtant, le fruit défendu se tient bien là entre ses deux géniteurs sans la moindre honte.
Est-ce que bart se doute de quelque chose ? non. Il est bien trop occupé à rester en vie et en bonne santé tout en jouant aux maraudeurs.
Est-ce qu’il aimerait être le fils de langford ? non plus. Les relations avec ses parents étant trop bonnes, et son regard envers son oncle trop familier ; quelque chose d’inconscient le gêne, sûrement parce qu’ils se ressemblent trop pour ne pas entrer en conflit chaque fois qu’un des deux a le malheur d’ouvrir sa grande gueule. Peut-être bart a-t-il peur de langford puisqu’il pourrait comprendre ce qu’il est vraiment.