L'automne avance à pas tranquilles, l'air encore doux lorsque le soleil s'en mêle, comme c'est le cas en cet après-midi de début d'octobre où le Manticrew se presse dehors d'autant plus que d'habitude. Le QG est un havre, un peu coupé de la dictature qui cherche à vous éliminer : juste assez pour protéger les vôtres et les créatures magiques recueillies, pas assez pour vous couper du combat que vous menez.
Du coin de l'oeil, t'aperçois Alba et Hye Rin sortir d'un des bâtiments de la ferme en se chamaillant - et t'es amusé de les voir retourner à leur ancienne dynamique, si ce n'est un peu plus violente parfois ; soulagé, surtout, de savoir Alba et les quelques autres rescapés de retour parmi vous, en vie. Alba rejoint Ciaran vers l'étable transformée en lieu de soin et de repos pour quelques créatures magiques blessées ou trop habituées à être enfermées pour être déjà relâchées, et tu reposes ton attention vers une Patience impatiente maintenant que vous avez fini de vous échauffer. "On commence ? pour une fois que tu as le temps." Et c'est vrai, c'est presque rare que tu restes ici plus de quelques heures pour te reposer les derniers temps, pris par tes différentes missions, personnes et contacts à surveiller et autres pistes à suivre.
Tu te mets en gardes, prêt à commencer l'entraînement.


De l'intérieur de la maison, tu sens le clignotement d'un lumos lancé plusieurs fois, répétitions qui attirent ton attention sur la magie d'Ayden selon un système que vous avez initialement inventé avec Hye Rin y a bien des années de ça. C'est pratique quand t'es assez près pour percevoir, ça peut être discret aussi.
Tu bloques aisément le coup de pied latéral de Patience, arrêtes la frappe de la tranche de sa main en attrapant son poignet. Elle tâche de se dégager, encore tout au combat, et t'as un sourire en coin amusé. "Calme, tiger. On va s'arrêter là pour aujourd'hui - mais on vient juste de s'y mettre !" T'étouffes un de ces rires un peu vifs, qui s'approchent du ricanement sans en être dans l'intention. Ca fait quand même une petite demi-heure mais tu peux qu'être d'accord avec le fait énoncé. "Sûr que tu peux convaincre Hye Rin ou Alba de t'entraîner si tu les trouves. On m'appelle, faut que je m'occupe d'un truc." Et certes, c'est pas ton plan initial, mais ça demande toute ton attention. Il est encore trop tôt pas d'aller garder un oeil sur le Vane et le gouvernement qui le surveille, de toutes façons.

T'ébouriffes les cheveux de Patience d'un geste de la main, un sourire en coin narquois en réponse à son regard noir. La distance finalement assez restreinte qui vous séparait de la maison est vite couverte et t'y entres, l'intérieur étonnamment plus grand que ce qui semble être le cas de l'extérieur. Un crochet par la cuisine pour te prendre un verre d'eau, et tu traverses le couloir jusqu'à la pièce qui sert d'infirmerie, dont Ayden vient de sortir. "Ah t'es là. Il émergeait mais il a l'air assez conscient, cette fois. Cohérent, en tout cas." Il a un sourire amusé, évoquant les quelques brefs moment de conscience de votre blessé jusque là, mais tu vois bien qu'il est surtout soulagé. Vous échangez encore quelques mots avant que vous n'échangiez vos place - lui poursuit son chemin et rejoint le soleil, toi l'infirmerie.

Sobrement meublée de quelques lits et de quelques autres meubles plus utilitaires que décoratifs, l'endroit n'a de blanc que quelques bandages, deux rideaux et un évier situé dans un coin de la pièce. Le reste est un assemblage dépareillé de couleurs et de style absolument différents : d'un fauteuil un peu usé mais ouvragé à un drap aux motifs enfantins de dinosaures qui ne manque jamais d'interloquer celles et ceux qui n'ont jamais mis un pieds dans le monde moldu - si si, ça arrive parfois.
"T'es réveillé. Comment tu te sens ?" Tu commentes et demandes en guise de salut. Plutôt que de t'asseoir sur la chaise attenante au lit, tu t'installes sur une commode basse en face de Winston, pâle dans son lit coloré. "On t'a pas raté en tout cas, heureusement que Perdita a réagit rapidement." Tu l'étudies du regard, comme si ça pourrait suffire à t'indiquer son état de santé - t'es pas médicomage contrairement à Ayden donc ça t'en dit pas grand chose, si ce n'est qu'il n'a pas l'air sorti indemne de sa blessure - normal, vu la transformation qu'il a subit. Cela dit t'es plutôt bien placé pour jauger de l'état de sa magie, même si c'est pas vraiment un regard qui t'aide à évaluer ça.
"T'as des souvenirs de l'autre nuit ?" Tu demandes sans vraiment d'ambages, un peu trop direct comme souvent, mais quand même un peu plus doucement que tu le ferais en temps normal. Avant toute chose, faut que tu saches où il en est et ce qu'il sait de ce qui lui est arrivé ou de ce qu'on a pu lui glisser dans ces brefs moments d'éveil, quand t'étais pas là.

Perché sur la commode face au lit de Winston, tu observes ses traits creusés par sa récente transformation et la mort qu'il a frôlé – l’influence vampirique se voit, même si tu la perçois aussi dans sa magie, trop évidente pour que tu l’as manques. Tu commences par des banalités, pour t’assurer de son état physique – pas glorieux, comme il le confirme – mais aussi de sa cohérence et du niveau de sa conscience. Petit à petit, tu réintroduis les circonstances de l’attaque que sa sœur et lui ont subi pour faire remonter de potentiels souvenirs dans sa mémoire et amener le sujet de sa transformation, nouvelle hybridité maudite. Paraît qu’en venir aux faits ouvertement serait pas génial pour faire accepter une réalité difficile à quelqu'un ; que ce serait un peu trop brut de décoffrage, quelque chose comme ça. Et ok, tu peux le concevoir, pas besoin d’être fin psychologue pour comprendre que ça relève d’une certaine logique.

"Les sushis !" Winston s’écrie pourtant d’abord, et t’arques un sourcil un peu perplexe mais amusé que ce soit ça sa première source d’inquiétude. Peut-être pas aussi cohérent qu’Ayden pensait ? A moins que ce soit lié à l'attaque en question, va savoir. Il essaye de se redresser dans son lit, difficilement. "Force pas. T'étais out un long moment," tu glisses quand même en le voyant faire. En temps normal, tu te serais sans doute approché pour lui donner un coup de main mais, dans ce cas comme avec les jeunes vampires encore affamés, mieux vaut prendre le temps d'observer et d'estimer son état.
La mention de sa soeur l'atteint finalement, et c'est vers elle que se tourne maintenant son inquiétude - assez aigüe, tu perçois, pour affecter sa magie d'une énergie nerveuse, presque erratique. "Respire." C'est ferme sans être dur, pas vraiment un ordre même si ça incite à suivre la recommandation bien assise et résolue. Tu continues déjà, parce que tu te doutes bien que c'est pas ça qui suffira à calmer la panique montante, mais bien des nouvelles de sa soeur. "Perdita va bien, t'inquiète. Elle a préférer rester ici pour être avec toi et attendre ton réveil, donc tu pourras la voir bientôt." Y a une pause infime, à peine une fraction de seconde avant le dernier mot. Bien sûr, vous les empêcheront pas de se voir, et Perdita a déjà eu l'occasion de rester au chevet de Winston, mais faut d'abord que vous estimiez un peu le contrôle qu'il aura sur lui-même. Et lui parler de la transformation. Et le faire boire, surtout.
Tu commences par introduire le plus dur en dirigeant la conversation vers la nuit de l'attaque. Un haussement d'épaule pour toute réponse d'abord, manifeste de la mémoire pas tout à fait revenue, sûrement. Tu lui laisses un peu de temps pour peut-être replacer quelques bribes, se faire une image des éléments qu'il lui reste. Il ouvre la bouche.

L'aura scintille avant que l'intimation ne sorte, incitation qui coule à tes oreilles, assez suave pour te donner envie de suivre la voix et ce qu'il te demande. Tu descends souplement de la commode sur laquelle tu t'étais perché, l'attention centrée sur Winston. Les yeux mordorés restent posés sur lui. Tu t'approches, le pas sûr, tends le bras pour attraper une tasse, ensorcelée et affublée d'un couvercle d'où ressort une paille, sur la table de chevet. T'as bien senti l'hypnose et son potentiel - ça a coulé sur toi sans vraiment prendre prise,  juste assez pour te donner une envie de t'approcher factice mais maîtrisée. Il est encore trop affaibli pour que ça prenne vraiment, sur toi qui a connu plus d'une manipulation mentale en tout cas, c'est encore trop neuf pour qu'il sache le maîtriser.
"Winston. J'te déconseille de suivre ce que dit ton instinct là, t'as pas envie d'avoir plus mal que ça." Tu fais encore un pas, maintenant assez proche pour que vous soyez à porté. Tu restes sur tes gardes, l'attention concentrée sur les flux de sa magie plus que sur ses mouvements d'ailleurs - juste assez pour pouvoir reculer ou réagir si besoin est. Bien sûr, tu préfèrerai éviter de lui faire mal, et tu saurais sûrement faire en temps normal mais si se redresser lui a déjà été difficile, tu te doutes que ça ferait pas du bien, si tu devais en venir à l'immobiliser. "Tu dois avoir faim, non? Bois ça. Après on parlera." Et peut-être que ça sonne un peu rude, un peu comme des ordres ou une réalité inévitable tout du moins, alors t'ajoutes, forces un ton un peu plus doux avec ça. "Plus tard tu pourras voir Perdita."
Attentif à ses réactions, tu pousses la tasse contre ses mains pour qu'il s'en saisisse. T'attend qu'il ait commencé à boire, et même fini, avant de commencer, au cas où lui viendrait des questions sur sa boisson, et pour qu'il ait le ventre plein avant tout.

L’aura s’anime d’un mouvement hypnotique et nouveau, impossible à manquer pour toi. Ca manque encore de trop de contrôle et, avec, de subtilité, et ça coule sur toi sans parvenir suffisamment à t’emporter. La brillance soudainement accrue de sa magie, par contre… Ca, c’est plus difficile pour toi d’y résister ; ça fait appel à un instinct ancré, fort de son ancienneté même si ton sang sorcier l’a dilué, change la forme qu’il prend chez toi – ou tout du moins la manière dont ça te pousse à agir, à libérer la tension grandissante. Mais pour l’heure, tu t’efforces de détourner ton attention du scintillement qui décroît maintenant que la tentative d’hypnose s’avorte ; de la concentrer plutôt sur le moment. T’as à faire et, face à un vampire affamé, même affaibli par la transformation, même ami, mieux vaut rester un minimum sur ses gardes. T’es pas inquiet pour autant, mais tu préférerais éviter et de te faire mordre, et d’avoir à le maîtriser.
Tu t’approches de lui, récupères la tasse préparée à l’attention de Winston au passage. En réponse à ton avertissement, un sourire aussi innocent qu’angélique, auquel tu ne crois pas. Convaincant oui, mais tu sais trop bien ses raisons pour te laisser duper en cet instant. Un geignement dans la voix, il se plaint de ne pas bien te voir et, en d’autres circonstances, t’aurais pas tenté de réprimer le rictus qui menace de déborder sur tes lèvres. You mean, he’s not a wolf, and you definitly not the little red riding hood the muggles talk about in their tales, even with your currently agressivly red hair. "C’est ça, je te crois," tu railles d'un air amusé, avant de lui fourrer la tasse entre les mains et de lui intimer de boire.

Tu sais pas si c'est la nouvelle mention de Perdita, la proximité de l'odeur, trop unique pour ne pas être identifiée, un peu tout ou rien de tout ça, pourtant il semble y avoir finalement un déclic chez Winston. La compréhension qui se pose dans l'esprit alors qu'il entrouvre la tasse jusqu'alors couverte - tu saurais pas dire à quel moment plus exactement. La question vient finalement, hésitante et pourtant presque soudaine. Tu le regardes mais gardes le silence, un instant bref, de cet air direct qui ne se détourne pas. "Oui," c'est assez ferme pour qu'il puisse s'appuyer dessus, sans dureté, sans non plus de pitié. Juste adoucis d'une touche, parce que tu l'as vu trembler, mais y a pas de place pour le mensonge, pas de quoi biaiser pour tenter de faire avaler la pilule plus facilement. L'accepter sera sûrement difficile, t'en convient, mais le plus vite sera le mieux, et tu veux pas lui enlever la sensation d'un semblant de normalité.
Avant que t'aies vraiment pu continuer, il cède finalement à la pulsion de faim, avale le contenu de la tasse presque d'un trait, en redemande même. "Yes, on a de quoi faire," t'hoches la tête, récupères la tasse d'une main pour aller la poser là où tu la prises et en récupérer une seconde, déjà prévue. Selon les indications d'un des vampires résidants au QG, ce serait pas de trop. Tu la glisses à nouveau dans ses mains avant de tirer la chaise près de son lit plus près pour t'installer dessus à l'envers, comme souvent. "J'me doute que ça te prendra du temps pour t'y faire, mais t'es pas seul Winston. Y aura toujours des gens à qui parler si t'as besoin de conseils, et ta soeur veut être là pour toi aussi." Tu commences pendant qu'il boit. Rassurer les gens a jamais trop été ton fort, pas spécialement à ton aise avec les émotions dès que ça dépasse la colère et la rébellion, préférant l'action aux bonnes paroles. Tu croises les bras sur le dossier de la chaise, te penche un peu vers lui pour river tes yeux dans les siens. "Si t'as des questions, hésite pas. L'idéal c'est quand même qu'on puisse avoir une idée de qui vous a attaqué, et surtout de qui t'a mordu. S'il appartient à un camp ennemi, ça peut être dangereux, pour toi comme pour nous." Le sérieux d'abord. Vous êtes restés sur vos gardes plus encore que d'ordinaire depuis le sauvetage en catastrophe de Winston, société d'hybrides bien conscients du lien qui se crée entre un Sire et un vampire nouveau-né, et des implications qui en découle. "Pour l'instant t'es en sécurité parmi nous, personne rentre comme ça ici, mais faut que je redemande. Est-ce que t'as des souvenirs de l'autre nuit, ou quelque chose qui te revienne ?"

Face aux révélations plus que marquantes que tu lui annonces, Winston ne semble au moins pas céder à la panique. Encore que tu sais que ça peut être discret, passer pour autre chose sans être remarqué, mais tu penses pas que ce soit le cas en cet instant – tant mieux, il aura assez à faire pour s’y habituer, aux changements comme à cette nouvelle réalité. Il est vrai aussi qu’au moins, il a la chance d’avoir des gens de son côté pour le soutenir – sa sœur déjà, mais aussi le reste de Manticore s’il veut, de l’ordre sinon, even if you’d just snort and scoff at their only mention. Ca, il le sait, il le dit lui-même, et t’en profites donc pour réorienter la conversation sur ses souvenirs de l’attaque parce que, selon l’identité pour l’instant inconnue de l’agresseur, celui-ci peut représenter un danger pour Winston ; pour vous ou d’autres aussi.

Mieux réveillé et l'estomac criant moins famine que quelques minutes plus tôt - tu supposes - Winston fait un nouvel effort de concentration, avec plus de succès cette fois. Tu sais comme c'est pour avoir vécu plus d'une fois de ces situations où tout se précipite où le moment devient un bloc de temps unique où sa perception change, entre ralentis et accélérés ; où le cerveau n'a pas le temps de tout process et préfère ne voir que quelques détails sur un flou de couleurs et de mouvements mélangés - difficile de se rappeler, de retrouver ce sur quoi l'attention ne s'était pas centrée pour tâcher de survivre. Pourtant, même si ses souvenirs restent flous et parcellaires, semblent encore particulièrement incertains, la première chose que Winston t'annonce est capitale. L'agresseur est un hound de la VB, et si ça veut dire que vous avez bonne chance de le retrouver, c'est aussi ce qui représente le plus grand danger pour lui.
Ton expression s'assombrit mais s'acère dans le même temps alors que t'envisages déjà vos différentes options. Ou plutôt, que tu prévoies déjà de partir surveiller la VB et essayer de débusquer le vampire qui a mordu Winston et d'obtenir son identité et le plus d'infos possibles à son sujet. A moins que Winston n'arrive à le décrire et qu'Aine ne l'ait croisé, de son temps à la VB... Faudra que tu lui en parles.

Tu t'apprêtais à sortir de tes réflexions pour lui répondre quand il continue déjà, temporise avec d’autres questions ce que t’allais dire. Tes yeux suivent sa main, portée à sa gorge par les souvenirs sans doute traumatiques de l’autre nuit ; et la voix se brise sous la montée des larmes qui font scintiller ses yeux même dans la faible lumière de la pièce. Those damn veela, always looking so magically pretty, with their magic glistening around them… Même en le savant, en reconnaissant l’aura assez pour identifier l’attraction, tu te retrouves quand même à tendre le bras pour refermer tes doigts sur le sien et serrer un peu, un instant, dans un geste automatique qui va plus vite que la pensée mais se veut rassurant. Tu supposes. T’as jamais été très à l’aise pour gérer ce genre d’émotions, ou même d’autres, pour toi comme les autres. "Eh, ça va aller oui. T’inquiètes," tu retiens une grimace pour garder ton air confiant même si évidemment que Winston s’inquiètes - t’as dit que c’était pas ton point fort, ok ? "Y a peut-être quelqu’un de chez nous qui saura nous dire qui c’est. Et sinon un vampire canon à la VB, on devrait pouvoir retrouver qui c’est sans soucis, tu te rappelles du plus important. On le trouvera avant que lui nous trouve et on le gardera à l’œil. Si y a un problème, on s’en occupera." Tu sais pertinemment que les hybrides emprisonnés à la VB ont rarement le choix, parqués là et soumis aux exigences de leurs handlers, ou parfois juste pour la survie, l’un des seuls moyens de subsistance qu’il leur reste. Tu sais aussi que certains n’ont pas tant de remords à vous traquer et que, si c’est pas la loi du plus fort par vanité, c’est souvent celle du "moi d’abord" par nécessité. T’agiras en conséquences, pour peu qu’il le faille. Tes mains sont déjà rouge d’un autre temps, rouges de cette guerre aussi, la couleur invisible imprégnée profondément sous les ongles et dans la tête. Your people first.

Tu secoues la tête, juste une fois, pour chasser les pensées et les planifications qui affluent. T’es pas seul là, et tu préfères te concentrer à nouveau sur Winston rescapé. Ton regard retrouve le sien - somewhat tranquil. "J’suis pas le plus au courant sur les allégeances des vampire et encore moins sur le comment mais ouais, je sais que certains vampires ont su résister ou se détacher de leur sire. On se renseignera, quelqu’un doit bien en savoir plus parmi les concernés ici, ou même ceux de l’Ordre si t’y retournes." C’est probablement encore son intention, même si t’as eu l’impression qu’il était plutôt intéressé par Manticore et son engagement lors de vos discussions passées. Même si c’est toi qu’ils ont appelé à la rescousse, pas l’Ordre ni quelqu’un d’autre – and that’s quite telling too, in another way. T’attends de voir ce qu’il en dit. Son énergie, aussi, mais que ce soit maintenant ou plus tard, faudra que tu lui en touches deux mots aussi.
Pour l’instant, tu tends juste la perche, l’air de rien - plus ou moins. "T’es le bienvenu ici en tout cas. Perdita aussi, évidemment."