BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 (molly) into the fire

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Molly Weasley
ORDER OF THE PHOENIX
Molly Weasley
Date d'inscription : 28/09/2019
Messages : 312
Crédit : pisces (avatar), pando (code signature), bryan adams (texte signature), .serendipity (icons signatures)
Âge : cinquante-six ans
Occupation : membre du septième cercle de l'ordre du phoenix, fondatrice et directrice du fawkes learning center, professeur de sortilège et guérisseuse.
Allégeance : ordre du phoenix, septième cercle
Particularité : super maman
(molly) into the fire Empty
MessageSujet: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 18:26
Molly Weasley
Plus que le discours des hommes, écoute le souffle de la nuit et le murmure de ton coeur. Eux ne mentent pas.

 
.serendipity
âge » vingt-six ans, mais les vingt-sept approche. autoroute vers les trente bonjour. fréquence de connexion » ça dépend de mon boulot, mais je trouve toujours un peu de temps. comment t'as connu le forum ? » bazzart. avatar » michelle fairley mon personnage est » [] inventé  [X] un PV [] un scénario [] un pré-lien [X] tiré des livres.

ON THE RUN
nom prénom(s)  » molly, simple, efficace et sans fioritures. ce prénom tire son origine de « mollycoddle » qui signifie « surprotéger ». on peut donc dire que ça te va comme un gant. née prewett, tu portes aujourd'hui le nom de weasley, que tu arbores avec fierté. c’est ton foyer, ta famille, ton tout. qu’importe les quolibets, weasley et fière de l’être. surnom(s)  » arthur te surnomme parfois mollywobbles, ce qui a tendance à te faire rougir, mais au fond tu aimes quand il te surnomme ainsi. au sein de la résistance, le patronyme familial mum est petit à petit devenu ton surnom officiel, ce que tu acceptes accepte volontiers. par contre, gare à celui qui tenterait de t'appeler momo. date de naissance » tu es née le 30 octobre 1950, à sainte-mangouste. à l'heure actuelle, elle tu as donc 56 ans. origines & nationalité  » britannique pure-souche, et cela s'entend à ton accent prononcé. Ton père est écossais et ta mère irlandaise. pureté du sang  » ton sang est des plus purs, la famille prewett faisant partie des plus vieilles familles de sorciers britanniques. cela dit, tu n'y accordes pas une grande importance. au contraire même, car tu te bats pour l'égalité entre sorciers / sangs-mêlés / nés-moldus. métier/études  » tu as vécu une scolarité on ne peut plus classique à hogwarts. élève de gryffindor, où tu as obtenu des résultats plus que corrects et tu étais promise à de grande choses. au vu de ton caractère et de tes aptitudes, tes professeurs s'imaginaient que tu deviendrais  médicomage. il n'en fut rien, car tu préfères élever tes sept enfants. après la guerre, la mère au foyer wonderwoman que tu es a fondé le fawkes learning center que tu diriges avec talent. Tu y es également professeur de sortilèges et tu fais office de guérisseur pour l'ordre de temps en temps. orientation & état civil  »tu es strictement hétérosexuelle. tu es mariée depuis tes dix-huit ans à arthur weasley et mère de sept enfants. camp  » tu es une membre fervente de l'ordre du phoenix, et ce depuis ses prémices. tu es d'ailleurs membre du septième cercle de l'organisation.  baguette  » trente-cinq centimètres et demi, de nature plutôt rigide. elle se compose d'une structure en sequoia américain - ce qui entre parenthèses a énormément étonné la jeune fille de onze ans si attachée à son angleterre natale que tu étais - qui contient une moustache de fléreur. patronus  » un ours, rien de bien étonnant quand on te connaît. cet animal représente le courage, la force et la guérison. autant d'éléments qui te vont comme un gant, maman weasley. épouvantard  » les cadavres de tes enfants. malheureusement, tu as vu ceci se réaliser sous tes yeux. Le traumatisme est encore frais, et la cicatrice à vif. particularité(s)  » supermom ça compte ?

pensieve

anecdotes/chronologie/whatever

TA CHRONOLOGIE  » Tu es née le 30 octobre 1950 en plein coeur de Londres au célèbre Hôpital Sainte-Mangouste. Tu as par la suite été élevée avec tes deux grands frères, Fabian et Gideon dans une petite maison du village de Dingle en Irlande. Pays de ta mère Ciara Prewett. x Hogwarts t'as accueilli entre 1961 et 1968, où tu fis partie de la maison Gryffindor. Rien d'étonnant à cela, tu portes encore aujourd'hui avec fierté ton appartenance à la maison rouge et or. x C'est là que tu rencontres Arthur Weasley, un garçon de ta promotion, tu l'épouseras quelques mois après ta sortie de l'école, en 1969.  x Le 29 novembre 1970, tu mets au monde ton premier enfant, William, qui prendra rapidement le surnom de Bill. Deux ans plus tard, le 12 décembre 1972 naît Charlie. Suivi le 22 août 1976 par Percy. x Déjà mère de trois garçons, tu es surprise d'apprendre que tu es enceinte de jumeaux. Le 1er avril 1978, naissent Fred et George. Tu ne doutes pas des soucis qu'il te causeront ces deux-là. x Après avoir mis au monde cinq garçons, une nouvelle grossesse te fait espérer avoir enfin une fille. Finalement le 1er mars 1980 c'est de nouveau un garçon qui vient illuminer ton foyer, Ronald. x Enfin, le 11 aout 1981 t'offre une fille qui portera le doux nom de Ginevra. Malheureusement, tu perdras cette même année tes deux frères : Fabian et Gideon. x Quatorze ans après l'entrée de tes défunts frères dans l'ordre, en 1995, tu décides de leur rendre hommage en s'impliquant officiellement pour l'ordre du Phoenix. x Ton destin bascule en Juin 1998, quand ton fils Fred est tué lors d'une mission pour l’ordre. L'événement manquera de te briser, et tu n'en guérira jamais totalement. Au lieu de sombre, tu t'engages de toutes tes forces au sein de l'ordre pour combattre ceux qui t'ont déjà tant arraché. Pour offrir aux tiens un monde où ils seront en sécurité. x Avec l'appui de ton ancienne professeure devenue amie Minerva McGonagall, tu fondes le Fawkes Learning Center, qui se tient dans un vieux manoir gallois. Tu voulais ainsi offrir une formation à ceux dont le sang les en privait. L'école ouvre en Avril 2004. Le jour de l'anniversaire de tes jumeaux, eux qui détestaient tant l'école. Ironique non ? x Aujourd'hui, en 2006, tu dirige toujours l'école dans laquelle tu donnes des cours de sortilèges. Et tu es plus déterminée que jamais à offrir la sécurité à tes enfants et petits-enfants à venir.

TON PHYSIQUE  » Ton corps, c’est ton histoire. Il clame tout ce que tu es et tout ce que tu as vécu. Il a ses cicatrices, ses fêlures mais est toujours là. Fort et indestructible. Il porte les marques des nombreuses épreuves qu’il a vécu, que ce soit les moments de joie ou de faiblesse. Tu n’es pas très grande, tu ne dépasses pas le mètre soixante-cinq et à vrai dire tu n’en as cure. Tu n’es pas du genre à porter des talons pour mentir sur ta taille. Tu es comme ça et tu l’acceptes. Par ailleurs, tu as appris à faire de ta petite taille un atout : les gens ont tendance à te sous-estimer. Dommage pour eux. Toute ta vie, tu as eu un peu d’embonpoint. Pareillement, tu t’en fichais. Cela faisait partie de toi et ton physique n’a jamais été ta priorité. Il est là, il est en bonne santé, c’est tout ce qui t’importe. Globalement, tu as toujours eu un rapport très serein avec ton corps, te concentrant plus sur les merveilles dont il a pu être capable que sur ce que les gens peuvent considérer comme des défauts. Pour toi, c’est un héros. Qui a été capable de mener 6 grossesses à leurs termes, de mettre au monde sept enfants merveilleux. De se remettre avec une incroyable facilité à chaque fois. De passer outre la douleur et la fatigue. C’est tout ce qui t’importe. Alors oui, il en conserve des traces : ta peau n’est plus aussi tonique qu’elle a pu l’être, des vergetures ornent ton ventre et tes seins, lesquels n’ont plus l’aplomb qu’ils ont pu avoir dans ta jeunesse. Mais tous ces changements ne sont que des marques de la vie qui s’écoule. Et pour ne citer qu’eux, les tracés de tes vergetures sont pour toi les lignes harmonieuses qui te rappelle l’immense bonheur d’être mère. Néanmoins, il a souffert ce corps et malgré toute la bienveillance que tu lui porte, tu te serais bien passée des traces laissées par ces dernières années de souffrance. Il a pu tout endurer, sauf le pire des déchirements, sauf la mort de ton fils bien aimé. Le désespoir a fondu tes chairs, laissant une silhouette amaigrie qui hurle ta détresse. Tu tiens bon, mais tu souffres et ton corps n’en est que le reflet. Ton visage aussi porte les stigmates de ton histoire. Jadis bien plus rebondi, il affiche aujourd’hui des joues plus creuses. Au milieu de ce visage, tes yeux bleus paraissent immenses. Arthur te dit souvent que ce sont eux qui l’ont fait craqué. Grandes et expressifs, tes prunelles en disent souvent beaucoup. Et tes enfants ont appris depuis longtemps à détecter cette flamme qui précède une explosion de colère à la Molly. Ton visage est marqué, bien normal pour une femme de ton âge. Mais cela n’enlève rien à ta beauté. Singulière, mais qui a réussi à séduire l’homme que tu aimes le plus au monde. Il dit souvent que tu es aussi belle de corps que d’âme. Une longue chevelure rousse encadre ton visage. Ce n’est pas par recherche de féminité ou quoi que ce soit, mais tu as toujours gardé tes cheveux longs. Tu les aimes comme ça, sans fioritures dans coiffures complexes. Tu privilégies le confort avant tout, à vrai dire tu n’as pas vraiment le temps de te consacrer à autre chose. Ni l’envie. Pour tes vêtements par contre, tu aimes marier le confort avec ce que tu juges esthétique. Tu aimes les couleurs et les matières confortables. Ton look fétiche ? Une robe de sorcière simple, avec par dessus un pull tricoté par tes soins - souvent coloré.

TON CARACTÈRE  » Une chose est sûre, tu ne manques pas de caractère. c'est d'ailleurs ce que les gens retiennent de toi en général. Et tes colères sont mémorables. Tu n’es pas du genre à te taire, ça s’est sûr. La femme au foyer silencieuse et soumise ? Très peu pour toi. Tu dis ce que tu penses, et ta franchise est souvent désarmante. Tu n’aimes pas garder les choses pour toi, tu ne considères pas cela comme sain. C'est aussi pourquoi tu sais être une oreille attentive pour les autres. Tu sais écouter, et tu es en général de bon conseil. Pour la bonne et simple raison que tu aimes profondément les gens. Tu crois sincèrement à la bonté des personnes. Tu penses qu'il y a du bon en chacun. Tu possèdes en effet un profond respect de la vie et des âmes, tu estimes que la violence et la mort ne sont pas forcément les meilleures solutions. Attention, tu tuerais pour défendre tes enfants. Mais c’est pour toi l’extrême solution, en dernier recours. Tu as du coeur, et ta grande générosité et ta profonde bonté sont clairement ce qui font de toi la maman de la résistance. Attention, tu n’es pas naïve pour autant, et tu ne laisses pas ton grand coeur t’aveugler. Tu estimes juste que la violence n’est pas forcément le meilleur moyen de l’emporter. Tu es protectrice, ça c'est une évidence. Gare à celui qui s'en prendra à tes proches, car il risque fort de s'exposer à ton courroux. Outre ceci, tu n’aimes pas que l’on te marche sur les pieds, et si tu dois hausser le ton pour le faire savoir, ce sera fait sans hésiter. Tu as souvent dû te battre pour te faire respecter : fille d’une famille à la gloire passée, épouse d’un sorcier au nom couvert de honte, mère de sept enfants ... Ta vie a été bataille et cela a forgé ton caractère. Tu sais te priver, d'autant plus que tu fais passer le bonheur de tes enfants avant le tien. Mais cela t'importe peu, car tu n'es pas du tout matérialiste. Tu n'accordes que peu de valeur aux choses. C'est pourquoi tu n'attaches que très peu d'importance aux objets, mais que tu privilégies les choses indispensables : ton foyer, ta maison, les tiens. Le terrier n'a jamais été magnifiquement décoré, mais il était fonctionnel et vous ressemblait. C'était l'essentiel. Outre ceci, tu es à fleur de peau, hypersensible à bien des égards. Les sentiments t'atteignent puissance 1000, qu'ils soient positifs ou négatifs. C'est en patrie la raison de tes crises de colères. Légendaires, c'est dire ! Tu as la voix qui porte, et tes enfants ne peuvent que le confirmer. Tu as beau être une super maman, la patience n'a jamais été ton fort ! Clairement pas. Là où ton mari parvenait à garder son calme face aux bêtises de vos enfants, tu t'énerves vite et fort. Néanmoins, tu sais te montrer douce. Ton instinct maternel est surdéveloppé, c'est pour cela par exemple que tu as tout de suite pris son ton aile le jeune Potter, qui en avait cruellement besoin. Tu t'attaches facilement aux gens, pour peu qu'ils soient dans le besoin. Tu es donc une femme de coeur, profondément gentille. Protectrice à l'extrême, dont les enfants sont la plus grande force mais aussi la pire faiblesse. Attention à ne pas te sous-estimer, car la mère dévouée peut aussi devenir une véritable furie.

TES PETITS SECRETS  » Tu as toujours voulu avoir une fille, et bien que tu aimes tous tes fils d'un amour inconditionnel, tu éprouves des sentiments tout particuliers envers ta Ginny x Excellente magicienne, tu as su organiser ta maison à la perfection à l'aide de ta magie : la vaisselle, la lessive, le tricot et le ménage sont contrôlés par ta baguette. Par contre, pas question de laisser ta baguette toucher ta cuisine. Tu tiens à faire cela de tes mains. Et cela fonctionne plutôt bien, puisque tu es une excellent cuisinière ! x Élevée dans une famille de sang-pur, tu n'as eu que très peu de contacts avec les moldus. C'est grâce à Arthur et à sa passion envahissante que tu en as appris plus sur eux. x Tu es abonnée à Sorcière Hebdo depuis des années. x Tu aimes faire des choses de tes mains, c'est pour cela que tu pratiques beaucoup d'activités manuelles : tricot, cuisine, couture ... x  Depuis la mort de Fred, tu ne parviens plus à dormir sans potion de sommeil. x  Tu n'as jamais connu d'autre homme qu'Arthur Weasley, mais tu ne le regrettes absolument pas. Il est l'homme de ta vie, ni plus ni moins. x Tu aimes beaucoup les fleurs, et particulièrement les hortensias. x Tu parles avec un accent irlandais prononcé. x Le terrier, c'est ton foyer. Un joyeux bordel à l'image de ta famille : hétéroclite. Pauvre d'apparence mais riche d'âme. x Tu n'as pas eu beaucoup l'occasion de voyager, et tu cultives le rêve de voir les aurores boréales avec Arthur un jour. x Tu n'es pas très coquette, mais tu ne sors jamais sans parfum. x Tu n'en as guère le temps, mais tu aimes beaucoup lire. Il faut bien l'avouer, tu aimes beaucoup les romans à l'eau de rose. Tu fus longtemps fan de Gilderoy Lockhart mais  le fait qu'il ait mon ton fils en danger t'as légèrement refroidi. x Tu es une grande fan de Celestina Moldubec, que tu écoutes en boucle. Au grand dam de ta famille !  x Tu portes toujours au cou la médaille de naissance de Fred.  x Tes beuglantes sont légendaires.  x Tu es allergique aux chiens.  x Tu conserves les pétales de la rose blanche qui ornait tes cheveux le jour de ton mariage dans une fiole, dissimulée dans le tiroir de ta table de chevet.  x Tu es une psychorigide de l’orthographe. Tendance grammar nazie comme disent les moldus.  x


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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 18:31
biographie
Le doute est une force. Une vrai belle force. Veille simplement qu'elle te pousse toujours en avant.
SEPTEMBRE 1961 - HOGWARTS
Malgré toi, tu ne peux t'empêcher de détailler les personnes qui t'entourent du regard. Contemplant avec envie les tenues flambants neuves des jeunes filles, les mocassins vernis des garçons et les vêtements chics des parents qui les accompagnent. A côté, tu te sens miteuse dans ta tenue d'occasion. Pourtant, c'est ainsi que tu vas devoir affronter cette rentrée. Toi qui avait attendu d'enfin entrer à Hogwarts, toi qui avait bassiné tes parents pendant des années en imaginant ce jour, tu sembles aujourd'hui peu sûre de toi. Parce que le jour J arrivé, la réalité te frappe en plein coeur. Tu es une Prewett, une moins que rien. Ta famille est ruinée, économiquement et socialement. Vous n’êtes pas pauvres, vous avez un toit sur votre tête et vos assiettes sont toujours pleines. Mais avec trois enfants, les fins de mois sont parfois difficile. À vrai dire, c’est surtout la réputation du nom qui est dure à assumer. Et tu devras vivre avec cela, porter ton nom malgré tout. Ce qui est étrange, c’est que tu n’as jamais eu honte de ta situation. Depuis ton plus jeune âge, tu as appris à vivre avec. Mais aujourd’hui alors qu’un nouveau monde s’ouvre à toi, loin du confort de ta demeure, tu as peur. C’est Fabian qui te tire de tes pensées d’une main posée sur ton épaule. De tes deux frères aînés, il est le plus mesuré, et bien souvent le plus sage. Tu adores tes deux frères, si semblables et pourtant si différents. Fabian est doux, mesuré et sait souvent trouver les meilleurs mots pour te rassurer. Ses paroles savent s'immiscer en toi, trouver tes failles et les combler. Au contraire, Gideon est plus dans l’action. La force brute. Deux âmes jumelles, différentes et complémentaires. Tes frères. Tu n'imagines pas ta vie sans eux. « T’inquiète Molly, tout ira bien. Je suis persuadé que tu t’en sortiras très bien. Ils vont t’adorer. » « Tu crois ? » Semblant comprendre que la peur qui t’anime est loin d’être anodine, Fabian t’emmène un peu à l’écart de la foule. « Ne fais pas attention à ce que pensent les autres Molly, tu es forte, drôle, intelligente. Ne laisse personne douter de cela. Jamais. Tu leur prouveras qui tu es, et de ce fait, tu peux être fière d’être une Prewett ! Je sais que tu as la force en toi. » Un sourire se dessina sur ton visage, tandis que ton frère t’ébouriffe les cheveux avec affection. Rapidement rejoint par Gideon. « Oui et puis, si jamais quelqu’un te cherche des noises, il aura affaire à tes grand frères ! De la dragée surprise gout vomi fondue dans son jus d’orange du matin et on en reparle plus ! » Un rire t'échappe, comment ne pas être fière d’être une Prewett avec une famille comme celle-ci ? C’est le coeur plus léger que tu t’engouffres dans le train. Filant comme une flèche vers une nouvelle vie, vers ton avenir.

Le château est là, immense ensemble de tours et de pierres, qui se reflète dans la surface sombre d'un lac. L’espace d’un instant, tu as le souffle coupé. Tes frères t’avaient décrit le lieu, mais aucun de leurs mots n’était assez fort pour décrire la bâtisse. Hogwarts se dressait face à toi, et tu sentais au plus profond de ton âme que ce lieu allait bientôt partie de toi. Si bien, que c’est avec une sérénité non feinte que tu pénétrais dans la petite barque qui allait traverser le lac noir, accompagnée par une petite blonde et un garçon à chevelure rousse. Tes derniers doutes soufflés par la vision enchanteresse du bâtiment. Qui bientôt serait ta maison. Quand la nouvelle promotion d’élèves eu pénétré dans le château, tu ne pu t’empêcher de les détailler. Ils étaient tous différents. Des grands, des plus petits, de toute corpulence. Pourtant, tous avaient le même regard, fait d'excitation, de peurs et d'impatience. Vous étiez tous à ce même carrefour de vos vies. « Au fait, comment tu t'appelles ?! »  Demanda avec enthousiasme le garçon avec lequel tu avais navigué quelques minutes plus tôt, tandis qu’ils attendaient le retour de la professeure qui les avait accueilli au pied d’un escalier. « Molly Prewett ! Enchantée ! »   « Prewett hein ? » Tu ne retournais, découvrant une jeune fille brune dont le regard mauvais te fit immédiatement penser à ces roquets de vielles dames qui mordent les mollets des passants. « C’est ce qui explique ces vêtements troués. J’aurais du m’en douter. » Le rouquin voulu intervenir, croyant sûrement que tu ne saurais pas te défendre. Tu ne lui en laissais pas le temps. Les mots prononcés précédemment par Fabian résonnaient en toi. Comme une évidence. « Ma famille est peut-être ruinée, pauvre même comme en témoignent les vêtements d’occasion que je porte. Mais je ne t’envie pas. Parce qu’à bien des égards je suis plus riche que toi. Mes parents m’ont appris le respect, la bienveillance et la tolérance, qualités dont tu sembles être bien pauvre. Je me fiche de comment tu t’appelles, mais sache que si tu t’avises encore une fois d’insulter ma famille tu le regretteras. » La jeune fille grogna et se retourna vers ses copines, incapable de répondre à cela. Tu la regardais faire, le menton haut et les bras croisés dans une posture de défi. Te découvrant une force et un répondant dont tu ne pensais pas être pourvue. Comme si cette nouvelle vie qui s’ouvrait à toi aujourd’hui t’avait ouvert un nouveau champ des possibles. Et en cet instant, tu étais fière de t’appeler Prewett. Tu souris, pensant aux têtes de tes frères quand tu allais leur raconter cette première journée. « Bravo ! Tu as été formidable ! » Tu te sentis rougir, peu habituée aux compliments, c'était le rouquin avec lequel tu avais commencé à sympathiser. Grand et dégingandé, il dégageait néanmoins une aura de bienveillance qui te rassura immédiatement. « Merci beaucoup. » « Je m’appelle Arthur Weasley, ravi de te connaître Molly Prewett. »

MAI 1969 - OTTERY ST CATCHPOLE
Tu avais du mal a reconnaître la femme qui te faisait face. Pourtant, tu la connaissais bien. De petite taille, des formes plantureuses, une longue chevelure rousse, c’était bel et bien ton reflet que tu contemplais dans le miroir élimé. Mais même dans tes rêves les plus fous, tu ne parvenais pas à t’imaginer ainsi. Longue et fluide, la robe blanche que tu portait mettait en valeur tes jolies formes. Même si en regardant de plus prêt, tu pouvais apercevoir les quelques défauts d’une robe faite de tes mains. Néanmoins, tu ne t’étais jamais trouvée aussi belle. Si bien que tes yeux s’humidifièrent quand ils croisèrent leurs jumeaux. Bien que simple et faite d’anciennes dentelles, la robe était telle que tu l’avais imaginé. À ton image. Tout comme tes longues boucles rousses, simplement ornées d’une petite rose blanche. Tu allais épouser Arthur aujourd’hui. À cette pensée, tu frémis. Il était l’homme de ta vie, tu le savais au plus profond de ton être. Pourtant, tu ne parvenais pas à réaliser. Continuant de contempler ton reflet, tu laissais tes pensées vagabonder. Parcourant les mois et les années. Te ramenant au sein des murs de Hogwarts. En ce premier jour du reste de ta vie. Quand, après avoir remis à sa place une petite peste, tu avais fait la connaissance d'Arthur. Tu flottes sans t'en rendre compte, tu as l'impression que ta vie défile devant tes yeux. Comme lorsque la mort est imminente. Es-tu en train de mourir de bonheur ? Sans nul doute. L'image de votre rencontre laisse place à un premier baiser, timide, échangé dans les tribunes de Quidditch de l'école. Vous aviez quatorze ans. Ce baiser avait laissé place à un rire. Scintillant comme une promesse. Puis les semaines et les années s'étaient écoulés, cycle qui te voient grandir, évoluer, rire, pleurer parfois, tomber, mais toujours te relever. Jusqu'à ce jour. Inattendu. Tu avais retrouvé Arthur au pied des escaliers du hall d'entrée. Ce lieu même où vous vous étiez rencontré. C'était un soir de Juin, peu avant vos derniers examens. Puis il avait prononcé ces mots, si ancrés en toi depuis qu'ils semblent tatoués sur chaque cellule de ton corps. « Molly, dans quelques jours nous serons diplômés ... Je ne veux pas que l'on parte chacun de notre côté. Ça va te sembler fou. On a dix-sept ans, on a rien. Non c'est pas vrai d'ailleurs, on a pas rien ... on ... on a nous. Du coup ... Tu veux m'épouser ? »  Tu te souvenais de chaque hésitation, de chaque intonation de sa voix à ce moment là. Il était si nerveux. Et tu te rappelles aussi la douce sensation qui a envahi ton corps. Puis ta réponse. Dépourvue de doutes. « Par Merlin, mais oui ! » Et aujourd'hui tu es là, face au reflet de cette femme qui va épouser l'homme de ta vie. Et malgré toute la certitude de ton oui, quelques mois plus tôt, tu es nerveuse. Si bien que tu cesses rapidement cette contemplation pour te précipiter dehors.

Une douce lumière enveloppe la campagne anglaise. Douce, chaude et apaisante, elle semble vouloir caresser du bout des doigts ce jour si particulier. Elle semble sereine, calme. Tout l’inverse de la furie que tu es devenue depuis ce matin. Tu marche d’un pas pressé d’un bout à l’autre du terrain, relevant la robe pour ne pas t'y prendre les pieds. Ponctuant tes pas de soupirs nerveux. Ce jour, tu l’as attendu si fort, si longtemps. Tout doit être parfait. Trop jeune, trop ronde, trop Prewett, trop Weasley, beaucoup t’ont décrié. Tu ne les as pas écouté. Néanmoins, tu veux leur prouver qu’ils avaient tord : ce mariage doit être parfait. D'un coup de baguette, tu arranges une chaise qui n’est pas alignée, tu ajustes une fleur ou tu égalises un peu la pelouse. Ce jour est le vôtre, et tu veux qu’il soit parfait. Pour Arthur, pour toi, pour qu’il soit à l’image de ce que tu imagines pour les années à venir. Tu refuses de l’avouer, mais tu es nerveuse. Et si tu faisais une bêtise ? Et s’il n’était pas le bon ? Et si ... C’est la main d’Arthur sur ton épaule qui te stoppe dans ta course effrénée. « Cesses donc de t’agiter Molly, ou tu ne tiendras plus debout devant l’autel. » « Arthur ! Tu ne dois pas me voir avant le mariage, cela porte ... » Il t’attrape par la main pour te faire pivoter, te plaçant face à lui. Tu fonds à peine tes yeux eurent croisés les siens. « Regarde autour de toi ma Molly, comment veux-tu que cela se passe mal ? » Tout en parlant, il place ses mains sur tes épaules et te force à regarder devant toi. La lumière est toujours aussi belle. De ses douces couleurs matinales, elle entoure une petite maison nichée au pied d’une colline. Elle est simple, sans fioritures, mais dégage une aura qui t’apaise instantanément. Le terrier. Vous l’avez acheté à la sortie de l'école, avec les maigres économies que vous aviez. Le lieu n’avait rien d’exceptionnel. Mais il était la promesse d’un avenir qui s’annonçait aussi chatoyant que la lumière qui baignait ce jour. Un lieu fait de couleurs et de rires. Un lieu de vie, celui de votre vie. Y avait-il plus important ? Un sourire se dessina sur ton visage, tandis que tu sentais s’envoler le poids de tes derniers doutes. Qu’importe que la cérémonie ne soit pas parfait, que la tante Muriel soit mauvaise, que ta robe soit faite maison et que peu nombreux soient les invités. Tant pis pour les quolibets. Au diable. Vous étiez tous les deux, ici au terrier. Prêts à vous unir pour la vie. Vous aviez dix-huit ans et mille histoires à vivre ensemble. Tout n’était plus que lumière et certitude. Vous étiez ici chez vous. Le Terrier, c'était votre maison, mais surtout votre foyer.

NOVEMBRE 1970 - ST MUNGO HOSPITAL
Par vague, la douleur irradie le bas de ton ventre. A cet instant, alors que ton corps n'est que sueur et douleur, tu peine à reprendre ton souffle. « Tu es sûre que tu ne veux pas de potion ni rien ? » Demande Arthur, sa main solidement ancrée autour de la tienne. Soutien inébranlable. Indispensable. « ... Non. Je veux tout ressentir. » Tu peines à articuler, mais le message est passé. Des milliers, des millions de femmes ont vécu ça avant toi, tu sais que tu y arriveras. Même si pour le moment, ton corps tente de te faire douter. Tu cries de nouveau. De douleur et d'espoir. Douleur d'un corps qui lutte. Espoir de bientôt le rencontrer. Ou la. Le fruit de votre amour, cet être que tu sens grandir en toi. Il n'est pas encore tout à fait là, mais il a déjà bousculé tes rêves et tes projets. Il a su se faire une place dans ton coeur et au sein même de ton âme. Un être de chair et de sang, mais surtout fait de rêves et d'amour. Un peu de toi, un peu d'Arthur. Mais totalement lui. Ou elle. Ça, tu le découvriras bientôt. Tu as encore un combat à mener pour cela. Tellement de doutes et de questions qui se mêlent, d'incertitudes qui parent cette nouvelle route que tu entreprends. Vas-tu y arriver ? Sera-t-il heureux ? Seras tu une bonne mère ? Tout autant de questions dont tu ne parviens pas à trouver la réponse. « On va y arriver Molly. » Comme d'habitude, Arthur semble lire dans tes pensées. Posant le doigts sur tes doutes, avant de les balayer par ses mots. Tu plongeais tes yeux dans les siens, y puisant les forces et l'assurance dont tu avais besoin. Instant hors du temps, où vous profitez de vos derniers moments à deux. Avant que vous ne soyez trois. « Je peux vous examiner ? » La voix de la médicomage te fit reprendre conscience de la réalité. Tu hochais la tête, espérant qu'elle t'annonce que ton corps était prêt à donner naissance à votre enfant. « Votre col est suffisamment dilaté, on va pouvoir y aller ! » D'un coup de baguette magique, elle changea la position du siège afin que ta position soit la bonne. « Allez Molly, courage tu vas le faire. » Les mots d'Arthur, armes qui détruisent la fatigue, ou en tout cas la masque. Ces heures d'attente semblent ne plus exister. C'est le moment. « Poussez ! » Tu hurles, de douleur et d'effort. La douleur est intense. Pourtant, tu sais que te ne lâcheras pas.  « Poussez ! » Encore et encore. Tu as mal, tu as peur. Mais tu continue.  « Je vois la tête, allez-y. » Arthur est derrière toi, ses mains dans les tiennes. La chaleur de son corps semble galvaniser le tien. Tu rassembles tes dernières forces dans ce geste instinctif. Ton visage n'est que larmes et sueur. Ton corps n'est plus que douleur et épuisement. Mais tu pousses. Tu donnes la vie. Un pleur, qui te déchire le coeur. Il est là, il vit. tu l'as fait. D'un coup de baguette magique, la médicomage nettoie l'enfant et coupe le cordon avant de le déposer dans tes bras.

Vos regards se croisent, et immédiatement tu oublies la douleur et la fatigue. Ton corps meurtri n'existe plus, seul compte ce petit être au creux de tes bras. À moitié toi, à moitié Arthur. Mais totalement lui. Lui oui, car c'est un petit garçon que tu serres contre ton coeur. Une vague d'amour parcoure ton corps en entier, te frappe de plein fouet. Les mots te manquent pour décrire ce que tu ressens en cet instant, tu en suffoques presque. Les larmes ruissèlent sur ton visage tandis que tes doigts caressent ce petit poing à la peau si douce. Arthur, tout aussi ému, dépose un baiser sur ton front. Vous êtes trois, vous êtes une famille. Réunie pour la première fois. Vous profitez de ce moment, à vous contempler, à vous aimer, à vous découvrir. Sans vous soucier de ce qu'il se passe autour de vous, du temps qui passe. Indifférente à la fatigue, à ton corps qui, tel un guerrier blessé, souffre de l'effort, tu irradie. D'un bonheur pur et réel. De ton avenir qui s'éclaire. Les questions, les doutes sont encore là. Mais lui est là, et c'est le plus important. Instinctivement, tu portes ton fils à ta poitrine, le laissant têter avec avidité. Rien ne t'a préparé à cela, pourtant tu te sens mère jusqu'au plus profond de ton âme. Comme si tu n'étais pas devenue mère, mais que tu l'avais toujours été. Non sans efforts, tu quittes le bébé des yeux pour te tourner vers Arthur. « Je t'aime. » L'as-tu vraiment dit ou bien tes yeux ont-il parlé pour toi ? Les deux peut-être. Tu n'en sais rien. Mais il a reçu le message. « Moi aussi. » Vous vous regardez un instant, tellement heureux et fiers. « William ? » Arthur regarde un instant son fils, ses yeux brillant d'une lueur nouvelle. Puis il se tourne de nouveau vers toi et acquiesce, des larmes dans la voix. « William. » Amour et promesse. Souvenir et connexion. Plénitude.

JUIN 1995 - HOGWARTS
La dernière fois que tu avais traversé ces couloirs ancestraux, tu étais élève septième année, et tu quittais le collègue pour un nouvel avenir. A cette époque, tu ne l’imaginais pas en tant que mère au foyer avec sept enfants à chaque. Au contraire, tu te voyais médicomage, femme active donnant son temps pour soigner les autres. Peu après la naissance de Bill, tu avais décidé de te consacrer à ta famille. Et pas une fois, tu n’avais regretté ce choix. Tu n’en n’éprouvais aucune fierté, tu avais juste fait ce qu’il fallait pour les tiens. Et cela te rendrait on ne peut plus heureuse chaque jour. Il te suffisait de voir les sourires se dessiner sur tes chères petites têtes rousses pour que tu en sois convaincue. Tous ont eux aussi parcouru ces couloirs, et certains le font encore par ailleurs. Et c’est à eux que tu penses  tandis que tu te diriges vers l’infirmerie. Les pleurs et la peur semblent avoir imprégné les lieux, et même la lune semble s’être cachée pour pleurer. Anéantie par ces macabres nouvelles. Celle de la mort du jeune Diggory. Et celle, bien plus terrible : du retour du mage noir. Et par Merlin, où était donc Harry ? Que lui était-il arrivé ? Ton coeur battait à tout rompre, tentant de rester calme, poussais violemment la porte de l’infirmerie, manquant de la refermer sur Bill, qui te suivais tant bien que mal ! Ron et Hermione se trouvaient déjà dans la pièces, et c’est avec soulagement que tu serrais ton plus jeune fils contre ton coeur avant de harceler de plus belle la pauvre infirmière. Tu y « Mme Pomphresh ! Que s’est-il passé ? Où est Harry ? » Les deux adolescents, tout aussi nerveux que toi ne ménagèrent pas plus la vieille femme. « Je … Il est avec Albus ! C’est tout ce que je sais … » « Mais comment va-t-il ? » « Je ne sais pas Molly … » « Comment ça vous ne savez pas ?! » Tu sentais tes joues s’empourprer sous l’effet de la colère et de la peur. Et te ne pu retenir un cri étouffé, quand la porte ouverte à la volée laissa entrevoir Harry accompagné du directeur. « Harry ! » Tu te précipitais vers le jeune garçon. Il n’était pas de ton sang, mais sans que tu ne saches vraiment pourquoi, tu le considérais comme ton propre fils. Ce fut Albus qui t’arrêta, d’un geste. « Il a besoin de calme pour le moment Molly. » « Oui… Albus. Vous avez entendu vous autres ? Un peu de silence. » Mauvaise foi ? Un chouilla. La suite des évènements se déroula si vite, que tu eu l’impression d’être en dehors de ton corps et de la survoler. Succession d’évènements, vérités qui éclatent et avenir qui s’assombrit : l’intervention de Fudge, la révélation de la situation de Sirius Black, le retour officiel du mage noir, l’organisation de la résistance. Puis une question, non un carrefour.

« Molly, Arthur, vous en êtes ? » Arthur ne répondit rien, mais tu connaissais déjà sa réponse. Quant à toi, tu eu l’impression qu’un immense vide s’ouvrait sous tes pieds. L’ordre du phoenix, par bien des aspects faisait partie de ta vie depuis longtemps déjà. Tu avais vu tes deux frères s’y engager, lors de la dernière guerre des sorciers, et toi même avais alors hésité. Partagée l’espace d’un instant entre tes croyances, tes idéaux et ta vie de famille. Tu avais alors décidé de privilégier tes enfants. C’était ton plus grand regret. Ton choix était le bon, et tu le savais déjà à l’époque. Mais rester sur le bas côté, ne pas pouvoir combattre pour une cause qui t’es chère .. cela t’as profondément frustré. Malgré lui, l’ordre t’as également arraché tes frères, tués l’année de la naissance de Ginny. Et là, le phoenix déploie de nouveaux ses ailes devant toi. T’invitant à sauter dans le vide et à le suivre. Tu tournes le dos à Arthur et Albus, croisant les bras et fermant les yeux. Tu as peur. Pour tes enfants, pour ton époux, pour Harry Potter que tu aimes comme un fils, pour ton monde que tu vois s’écrouler, pour tes idéaux que tu vois menacés. Tu hésites, l’esprit encombré de « et si ». Se mêlant aux doutes qui t’assaillent, les derniers instants passés avec tes frères. À St Mungo hospital, après la naissance de Ginny. Fabian et Gideon étaient venu te voir, découvrir leur nièce, féliciter leur soeur. Un moment de partage et d’amour. Qui fut le dernier. Une larme roula le long de ta joue. Unique, car tu te forçais à retenir les autres. Ils te manquaient, chaque jour et chaque heure. Tu pouvais presque les entendre te parler. « Tu as la force en toi Molly » aurait dit Fabian. Et il avait raison, comme toujours. Tu te retournais, les yeux humides mais le coeur battant. « Il y a plusieurs années, j’ai refusé de rejoindre l’ordre pour mes enfants. Aujourd’hui je me rends compte que c’est pour eux que je dois le rejoindre. Pour eux. Pour Harry. Pour tant d’autres encore. » Tu marquais une pause, croisant un instant le regard d’Arthur avant de reprendre. Lui, souriait. « Tu l’as compris Albus, mais nous en sommes, bien évidemment. » Le vieux sorcier acquiesça. « L’ordre aura besoin de coeurs tels que les vôtres. Tu sais Molly, Fabian et Gideon seraient fiers de toi. » « Pas autant que je suis fière d’eux. »


JUIN 1998 - 12 GRIMMAULD PLACE
Tu tournais en rond depuis ce matin, nettoyant avec frénésie la moindre surface de l’ancestrale maison que tu avais déja astiqué mille fois. D’ordinaire, ce genre de tâche parvenait à te détendre, pas ici. Trop d’enjeux. Tu allais et venait, furie qui ne laissait de répit ni à la poussière ni à Kreattur qui avait eu l’audace de passer par là. « KREATTUR DÉGAGE DE LÀ » Tu avais hurlé sur l’elfe de maison. Comme quelques minutes auparavant tu avais hurlé sur Kingsley, et même sur la pauvre Nymphadora qui passait par là. Ils n’avaient rien fait, ni les uns ni les autres, mais tu t’en fichais. Pendant que tu astiquais sans relâche un hideux bibelot, un commando de l’Ordre avait prévu de se rendre à Hogwarts pour extraire le diadème et évacuer des étudiants. Une mission délicate, à laquelle Kingsley t’avait interdit de participer. « Ta fille est à Hogwarts Molly, tu risquerais de manquer de discernement et de faire une connerie. » Bien évidemment, une énorme dispute avait suivi ce refus, mais l’auror s’était montré inflexible. Fred et George avaient été autorisés à participer à la mission. Moins sensibles, moins instables avait dit le boss. Tu étais donc là, impuissante ménagère à attendre que d’autres libèrent ta fille. À prier pour qu’il n’arrive rien à tes fils. Tu refusais de l’admettre, mais tu avais un mauvais pressentiment à propos de cette mission. Comme une ombre au tableau, un étrange poids sur ta poitrine. Un murmure insidieux qui t'effrayait. Que tu ne parvenais à identifier. Ce ne fut que quand, après des heures qui te parurent durer une éternité, ils revinrent de leur mission que tu compris à quel point tu avais raison. Un regard, qui en dit long. Une phrase, quelques mots pas plus. Qui se fichent en toi, tels des poignards. « Nous avons le diadème, mais nous avons été attaqués … Fred a été tué. »

Ton corps est souffrance. Ton âme est douleur. Ton monde est peine. Ton coeur est brisé. Ni plus, ni moins. Tu t’effondres, comme un pantin privé de ses liens. Comme une poupée de chiffon lâchée au sol. Ton fils est mort. Tu es morte, à l'intérieur. Plaie ouverte, coeur qui saigne et larmes qui coulent. Irrépressibles à l’image du flot de sang qui s’écoule d’une blessure. Tu as mal, partout et nulle part. Ton fils est mort. Et toi, tu n’es plus rien. Quelle mère n’arrive pas à protéger son fils ? Tu te détestes en cet instant. Tu hais le monde entier. Le nom du monde est souffrance. Arthur te prend dans ses bras, vos larmes se mêlent et vos bras s'enserrent. Père et mère. Unis dans la perte. Au rythme de tes sanglots, tu te sens disparaître. Tu as perdu ton fils, tu n’es plus rien. « Maman ... » C’est la voix de George qui te tire de tes pensées. Et te rappelle que tu dois tenir. Pour lui, pour tes cinq autres enfants. Tu ne peux pas disparaître. Pas encore. Tremblante, tu t’approches prends son visage dans tes mains. Il ressemble tant à son frère. « Mon chéri … je ... » Que dire ? Il n’y a rien à dire et rien à faire. Juste à pleurer. Juste à s’aimer. Plus fort encore. « Molly ... » C’est la voix d’Arthur, tremblante et brisée. « Ginny est là. » Comme un automate, tu te lèves, enserrant ta fille. À la fois profondément heureuse de la tenir dans tes bras et totalement désespérée que ce soit dans cette situation. « Ma Ginny, je suis tellement heureuse de te voir … Je suis si désolée … Je t’aime. Oh ma Ginny ... » Flot de paroles, flot de larmes. Tout est noir autour de toi. Autour de vous, Weasley. Famille brisée, famille unie. Famille. Ton corps est souffrance. Ton âme est douleur. Ton monde est peine. Ton coeur est brisé. Mais ils ont besoin de toi. Aujourd’hui plus que jamais. Tu as besoin d’eux aussi, mais tu ne peux l’exprimer. Tu es une mère et c’est à toi de les protéger, et non l’inverse.

JUILLET 1998 - OTTERY ST CATCHPOLE
Un mois. Trente jours. Sept-cent-vingt heures. Quarante-trois-mille-deux-cent minutes et plus de deux millions de secondes sans ton fils. Un jour de plus, où alors que le soleil s'immisce au travers des volets, venant te tirer d’un sommeil agité, tu te demandes si tu dois te lever. Ne pourrais-tu pas juste rester au lit ? Tu n’as pas su protéger ton fils. Tu n’as pas su être mère. Si tu n’es pas mère, tu n’es rien. Tu n’es plus rien. Un jour après l’autre, c’est ce que tu dis Arthur. Il ne comprend pas, il ne l’as pas porté. Il ne comprend pas. Tu fermes les yeux. Dans ton rêve, il était là, vivant. Son rire comme une douce mélodie. Peut-on rembobiner ? Revenir à ce rêve, même s’il est artificiel ? Pourquoi continuer après tout ? « Molly, mon amour … » Les lèvres d’Arthur se posent sur ta nuque. Souffle de vie. Il fait ce qu’il peut. Pour te relever tout en guérissant lui même. Un mois. Déjà un mois ? Le temps file comme une flèche. Tu ne veux pas que le temps passe si vite. Tu ne veux pas risquer de l’oublier. Ton fils est mort, et tu as si peur de le trahir en avançant. Seulement un mois. Chaque jour est une épreuve. Où tu dois te battre pour te rappeler que tu dois vivre. Où la douleur de la perte affronte l’espoir de ce qu’il te reste. Tu te lèves comme un zombie, comme une ombre. C’est ce que tu es devenue. L’ombre de toi même. En témoignent ce visage cerné, cette chevelure terne et cette silhouette décharnée. Pourquoi es-tu encore en vie ? Tu te poses cette question à chaque instant. Pourquoi lui et pas toi ? À quoi bon rester en vie ? Tu ne pleures plus, tu n’y arrives même plus. Tes larmes sont taries, aussi sèches que ton âme. Un mois par Merlin. Ritournelle macabre qui se répète jours après jours. Jour après jour, tu dois te rappeler pourquoi tu ne peux pas sombrer. Les raisons sont multiples, et tu les connais par coeur. Chaque jour, tu luttes pour ne pas sombrer. Pour toi, pour eux. Chaque jour qui passe, tu dois te rappeler pourquoi et pour qui vivre. Tu ne t’en rend pas compte, mais chaque jour, il t’es un petit peu plus facile de penser à ce pourquoi tu dois rester en vie. Un pas après l’autre, un jour à la fois.  

AVRIL 2004 - FAWKES LEARNING CENTER
« Bonjour à tous, et bienvenue à Fawkes learning center. » Ta voix, amplifiée par un simple sortilège retentit dans toute la pièce. Et cette annonce, pourtant simple, déclencha une vague d’applaudissements. Qui t'alla droit au coeur. Il y a encore quelques mois, tu ne te serais pas imaginée ici, debout face à des jeunes de tous milieux et de toutes origines. Tous différents, mais qui avaient tous un point commun : ils comptaient sur toi. Sur toi, et sur l’équipe que toi et Minerva aviez réuni, dans un seul et unique but : instruire. Tu ne pu t’empêcher d’échanger un regard complice avec celle qui fut ta professeure, avant de devenir ton amie. Vous pouviez être fières de vous. Quelques mois plus tôt, l’idée de cette école vous était venue au cours d’une discussion, presque anodine. Tu t’en rappelais comme si c’était hier. Vous étiez dans l’une des planques de l’Ordre, située dans un petit manoir écossais. Minerva venait d’apprendre à un petit groupe de nés-moldus récemment recueilli par l’ordre les sortilèges de défense de base, tandis que tu venais de passer plusieurs heures à former une jeune fille qui aurait du entamer sa seconde année à Hogwarts à préparer une potion wiggenweld.  « Je suis épuisée ! » Lança Minerva en prenant son visage entre ses mains, se massant les temps. Tu observais la vieille femme un moment. Malgré son âge, elle était une membre active de l’ordre et passait beaucoup de temps à former les jeunes qui était secourus par l’Ordre : jeunes nés-moldus, enfants de rebelles ou de réfugiés. Des jeunes, des enfants parfois, privés de formation et d’apprentissage. Qui devaient apprendre à se défendre, à survivre. Quand ils en avaient le temps, les membres de l’ordre tentaient de les former. Mais c’était compliqué. « Et moi donc. Et frustrée aussi. Si tu savais comme je me sens impuissante. » « Tu fais ce que tu peux Molly, npus faisons tous comme nous le pouvons. » « Je sais bien, mais je ne peux m’empêcher de me dire qu’on peut faire plus. Regarde tous ces jeunes, ces enfants même. Ils ont besoin de nous. » Tu marquais une pause. Hésitant à continuer. Une idée t’était venue, quelques semaines auparavant. « Tu sais ce que je pense Minerva ? L’Ordre a besoin d’une structure plus … officielle pour venir en aide à ces jeunes. » « Officielle ? Comme une école ? » « Exactement. Un lieu secret, caché. Un endroit où ces enfants seraient en sécurité et où ils apprendraient ce dont ils ont besoin pour survivre. » Minerva sembla réfléchir un instant. « Tu sais quoi Molly ? C’est une excellente idée ! Mais, tu oublies un détail. » Tu interrogeais Minerva du regard.  « Kingsley. » « Lui, j’en fais mon affaire. » Tu ne cru pas si bien dire, il fut compliqué de le convaincre. Lui pensant que les ressources de l’Ordre devait aller aux forces actives. Mais à force de négociations - et de disputes - tu parvins à tes fins. Et aujourd’hui, des mois après tu étais là. Face à eux. Des enfants de tout âge, de tout milieu. Des parias de ce nouveau régime. « Ici, vous serez en sécurité. Nous avons imaginé cet endroit comme un lieu de partage et d’apprentissage. Vous allez apprendre à vous défendre, mais pas seulement. Car, au delà de la guerre, il y a la vie et c’est aussi ça que vous devez apprendre. » Tu marquais une pause, tes pensées allant vers Fred. Il détestait l’école, pourtant elle était persuadée qu’il aurait adoré ce projet.  « Pas de couleur ni de compétition ici, nous sommes là pour nous entraider. Apprendre les uns des autres. La solidarité est la première règle ici. »  Pour la première fois depuis des années, tu te sentais utile, indispensable. Ce projet, c’était le vôtre à toi et Minerva. Vous l’avez défendu, porté, construit. Et aujourd’hui, il se concrétisait. Prenait vie. Toi, tu te sentais revivre.  


Dernière édition par Molly Weasley le Lun 7 Oct - 9:48, édité 38 fois
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Ronald Weasley
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 18:44
MAMAN

edit ; IGNEAZOGNOINGONEAZ
voilà
je suis surprise et trop contente de savoir que tu prends Molly en DC (molly) into the fire 2223887705 du coup rebienvenuuuue à la maison, j'ai trop hâte de lire vos rps avec Kingsley........... (molly) into the fire 422440023
et pis réserve-moi un lien avec Remus aussi (molly) into the fire 1105522298
Et si t'as des questions, n'hésite surtout pas (molly) into the fire 736882016


Dernière édition par Ronald Weasley le Sam 28 Sep - 18:46, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 18:45
MOLLY
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 18:57
M O L L Y (molly) into the fire 1215722860 (molly) into the fire 1215722860 (molly) into the fire 1215722860 (molly) into the fire 1215722860 (molly) into the fire 1215722860

edipfzuhefuzhfeu
je ramène Sirius parce que TROP HÂTE DE JOUER CE LIEN

t'as fait un choix d'enfer et ce début de fiche je meurs (molly) into the fire 3374001651 trop hâte de lire la suite, bon courage pour ta fiche (molly) into the fire 736882016
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Marlon Travers
DEATH EATER
Marlon Travers
Date d'inscription : 12/07/2019
Messages : 1250
Crédit : avatars freedom fries, ultraviolences, desastredesastres <3 | gif profil poupoune | gifs sign bé, Jool, tehtariks
Âge : 51 ans (10 novembre 1956). Scorpion ascendant gémeaux, un instinct passionné et hargneux doublé d'un perfectionnisme maladif.
Occupation : Directeur du Département de la Justice Magique, membre de l'Elite, porte-parole de l'ASAP
Allégeance : Death Eaters envers et contre tout. Tu sacrifieras ta vie pour la Cause.
Particularité : Tu ignores que tu es atteint de bipolarité depuis ton plus jeune âge. Personne ne s'est jamais véritablement préoccupé de tes crises maniaques, ni même de tes sentiments persistants d'anxiété, de paranoïa, et de colère. Avec le temps, on a fini par conclure que tes bizarreries étaient dû à ta nature de mangemort, de monstre. Mais le fait est que la cyclicité de tes troubles bipolaires s'est aggravée au fil de ton emprisonnement. On peut noter l'augmentation des cycles courts, durant lesquels tes sentiments fluctuent de façon plus désordonnée que d'ordinaire.
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t681-marlon-travers-le-di
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 19:14
Re-bienvenue par ici ! Excellent choix de pv, et puis ce début de fiche c'est déjà la perfection (molly) into the fire 1634921035
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 19:28
MOMO (molly) into the fire 1172237334 (molly) into the fire 1172237334
personnage brillant s'il en est, rebienvenue avec ce choix extraordinaire (molly) into the fire 1958205885
j'me prépare pour les feels en lisant le reste de ta fiche DRAMAAAA
bon courage pour la rédaction de ton histoire (t'en auras besoin (molly) into the fire 3374001651  #rememberfred ) et au plaisir de se croiser irp I love you
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 19:55
grave bon choix de perso pour ce dc hehe

Rebienvenue et bon courage pour la fiche (molly) into the fire 736882016
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptySam 28 Sep - 22:49
MUUUUUUUUUM (molly) into the fire 1634921035 (molly) into the fire 1634921035 (molly) into the fire 1634921035

omg ce dc parfait (molly) into the fire 1958205885 (molly) into the fire 1958205885
vous êtes les jumelles du plaisir avec fleur jpp DRAMAAAA DRAMAAAA
j'ai trop hâte de jouer du ginny/molly (molly) into the fire 941336645 (molly) into the fire 941336645
courage pour la rédaction (molly) into the fire 736882016
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MessageSujet: Re: (molly) into the fire   (molly) into the fire EmptyDim 29 Sep - 0:21
Ginevra Weasley a écrit:
vous êtes les jumelles du plaisir avec fleur jpp DRAMAAAA DRAMAAAA  

tu m'as tuée (molly) into the fire 1172237334 DRAMAAAA (molly) into the fire 1172237334 DRAMAAAA

Et toi bah rebienvenue wesh (molly) into the fire 941336645 (molly) into the fire 941336645
Molly, le choix de ouf, on va pouvoir faire des RP fleur & molly (molly) into the fire 2074697252 (molly) into the fire 2074697252 (molly) into the fire 2074697252
Bon courage pour la rédaction de la fiche (molly) into the fire 2447323017 (molly) into the fire 2447323017


Dernière édition par Hestia Jones le Dim 29 Sep - 0:41, édité 1 fois
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