NEW ORDER

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nom prénom(s)  » leopold, prénom assez répandu et de fait passe-partout, il viendrait originellement de langues germanes pour signifier peuple courageux. Eddard the second (the first étant son père) priddy (se prononce preidhye) dont l'origine a de multiples racines galloises, celle qu'a choisi de retenir Leopold est la suivante : Priddy serait un dérivé de pryddyd qui signifie barde. Pour une personne qui aime raconter des histoires et divertir les gens, cela semble de bon ton.  

surnom(s)  » Popol par les idiots du BITE, Leo pour certains. Mais surtout Sheppard pour les moldus - Tristran quand il se trimballe dans les rues de Londres sous un des ses nombreux alias pour éviter d'être reconnu des conquêtes évincées ou d'un gouvernement qui voudrait le garder à l'oeil.

date de naissance » trente-neuf ans qu'il trimballe sa carcasse sur les terres britanniques, né au Pays de Galle. (30 janvier 1968)

origines & nationalité  » irlandais et gallois, Leopold est né au Pays de Galle dans la maison que partageait ses parents.

pureté du sang  » sang-mêlé. Sa mère est une sang pur et son père un sang mêlé, mais tout ça ce sont des questions qu'on ne s'est jamais posé dans la famille de Leopold et même si ses parents ont dû délier leur magie, ils n'étaient pas mariés et continuent de vivre ensemble, alors bon Leopold n'en a cure vraiment de toute cette affaire et s'il a passé le test c'était plus par obligation que par réelle volonté de poser une telle étiquette sur sa personne.

métier/études  » HOGWARTS : chez les serpentards, même si le choixpeau a longtemps hésité avec Serdaigle, maison de ses deux parents, il s'est avéré qu'il a su déceler avant le reste la part d'ambition et de malice du jeune Leopold / WADA : puis, Leopold a fait ses études supérieures à la WADA, il a toujours rêvé d'être un artiste, ne cherchant pas à monter les échelons dans une carrière bureaucratique ou politique quelconque, les heures de bureaux ça n'a jamais été son truc. Il a ainsi appris la sculpture, le théâtre, l'art des masques et des déguisements et est sorti avec un poste d'assistant professeur à la clé jusqu'à son arrestation pour Azkaban. Depuis, Leopold se dit aussi bien sculpteur pour les statues qu'il crée que profiteur pour les personnes qu'il déleste galamment de leurs galions. Officieusement, il est également alchimiste. En fait, selon sa vision des choses Leopold ne travaille pas réellement, il vit de son talent tout simplement.

orientation & état civil  »pansexuel, les genres, les âges, les personnalités, ce ne sont que des catégories dans lesquelles il aime piocher sa prochaine aventure.  Leopold ne se voit pas tant comme un conquérant que comme un conteur et si en réalité il est terrifié à l'idée même de s'attacher intiment à quelqu'un et se veut célibataire envers et contre tout, les histoires qu'il crée ont toutes la particularité d'être aussi bien éphémères qu'intenses et pas une ne ressemble à la précédente.  

camp  » neutre, il n'y a pas grand chose qui intéresse Leopold plus que sa propre survie, et pour ce faire il est prêt à tout. Leopold s'en fiche pas mal qu'on le considère moins bien que les sang pur, il se fiche pas mal aussi de ce qui arrive aux autres tant que lui arrive à tirer son épingle du jeu. De plus, ce gouvernement-ci lui permet de s'adonner à quelques expériences qui ne seraient pas acceptées autrement alors pourquoi se soucier de changer le monde quand il y a tant de promesses dans celui-ci.

baguette  » pin, on dit que généralement les possesseurs de telles baguettes vivent longtemps, Leopold espère que ce sera le cas. ventricule de dragon, très souple, plutôt longue  

patronus  » il n'a jamais appris à en faire, depuis AZkaban il ne s'en sentirait plus capable.

épouvantard  » azkaban. Se transformer en statue.

particularité(s)  » alchimie (confirmé), son but : insuffler une âme à la statue qu'il a créé - deux jolies malédiction grâce à sa très chère amie. On dit merci madame.

LEOPOLD » Lorsque le premier fils d'Enid et Eddard a vu le jour, la mère s'inquiétait de le voir développer le même trouble qui prend racine dans plusieurs des membres de sa famille. Ce ne fut pas le cas. Malheureusement, Leopold n'eut pas la même chance. Ses mots s'entrechoquaient, les syllabes se coinçant de sa gorge avant de dévaler de sa langue en cascade. Et quand il commença à développer ses pouvoirs on se mit à voir d'étranges phénomènes apparaître un peu partout dans la maison, le tic toc de l'horloge qui s'enrayait et partait dans tous les sens, les placards qui se lançaient dans une symphonie de claquements. Son grand-frère voulu se moquer gentimment de lui en jouant au fantôme mais Enid le recadra rapidement. Et si elle ne s'est jamais montrée la plus affectueuse, attentive ni même la plus exemplaire des mères, il y a un point sur lequel on ne peut rien lui reprocher c'est celui d'avoir protégé et accompagner son fils dans ce bégaiement. Le bégaiement n'était pas des plus avancés, et il se maitrisa bien. Au final, il ne finit par ressortir que lorsque Leopold était en proie à des émotions trop vives et n'arrivait plus du tout à le contrôler. Avec le temps, il disparut presque entièrement. Jusqu'à Azkaban. Quand il en ressortit, le bégaiement avait repris possession du sorcier. Honteux, l'homme n'osait plus parler. Il commençait à s'enfoncer un peu plus dans les méandres de ce trouble qu'il avait pourtant toujours réussi à maîtriser. N'y pouvant plus, Leopold alla trouver un maître runiste et lui demanda de le débarrasser de ça pour toujours. Le sorcier porte une rune sur la nuque, servant à modifier les flux magiques et empêchant ce bégaiement de refaire surface. Cependant le runiste l'avait prévenu qu'il ne faisait que soigner le symptôme et non pas la cause. Leopold ne le crût pas, mais quelques mois après la rune posée, il dût se rendre à l'évidence : les cauchemars, les marques d'inattention, les difficultés de concentration et son addiction avaient augmentés.

PRIDDY  » Les Priddy sont une famille de sang-mêlé originaire du Pays de Galle qui a fait fortune en inventant diverses artefacts magiques durant le XVIIème siècle. Malheureusement, il ne reste pas grand chose de cette fortune. Les enfants Priddy - dont fait partie le père de Leopold - ont mis à mal les réserves financières en dilapidant la fortune pour leurs recherches. Il est en effet de notoriété publique pour les Priddy de remplir la maison de Serdaigle puis de se diriger vers les différents secteurs de la recherche. Le père de Leopold ne manqua pas à cet appel et s'il s'est toujours montré très secret concernant ses recherches auprès de ses enfants, il était certain qu'il ne faisait pas bon d'être un chercheur au XXIème siècle et que cela ne rapportait pas suffisamment. Leopold est le premier Priddy à ne pas avoir été à Serdaigle (pourquoi faire comme tout le monde) et ce malgré un choixpeau-flou. Son père ne lui en tint pas rigueur, de toutes façons il était bien plus intéressé par ses recherches que par l'éducation de ses enfants. Et c'est un peu ça en définitif ce qu'il faut retenir des Priddy, ils ne sont pas unis, ils ne partagent souvent que le sang et des discussions intellectuelles. Personne n'est venu le chercher à la sortie de Poudlard ou d'Azkaban mais personne ne lui a jamais rien reproché non plus, on ne le juge pas chez les Priddy. Il peut être comme il est, venir s'il le souhaite ou ne pas donner de nouvelles pendant des mois. Cela n'a pas d'importance. Et peut-être qu'Enid, par peur de suffoquer ses enfants ou de reproduire les erreurs de son père, par l'absence trop longue de sa mère, n'a-t-elle pas su faire autrement non plus. Leopold ne leur en tient pas rigueur et apprécie les rares visites qu'il leur octroie.

O'NEIL  » C'est une toute autre chose dans la famille de sa mère. De part son nom différent et la distance qu'Enid avait pris avec le reste de la famille, Leopold ne s'est jamais senti à sa place au milieu des O'Neil. S'il devait représenter les familles en tableaux, il y aurait les Priddy d'un côté, désunis et la tête dans leurs expériences mais l'espace et la liberté en prime ; et les O'Neil de l'autre, collés les uns aux autres, incapables de quitter cette maison désuète mais avec un lien incassable et une présence inaltérable. Il ne s'est jamais senti à l'aise au milieu de tout ce monde et ses rapports avec les O'Neil ne sont pas toujours tendres. Il est certain que son oncle Gary lui reproche le fait qu'Aulus passe du temps avec lui et qu'il serait une mauvaise influence sur le sorcier. Karl ne sait pas que Patrick vit plus ou moins chez lui, et il n'a pas hâte de le lui révéler. Atticus est un garçon au regard qui semble toujours le juger. Alors, il ne vient pas la plupart du temps aux rassemblements et aux cousinades, et il joue le rôle qu'on lui a attribué, celui de la tête brûlée, le cousin loufoque comme en a chaque famille. Celui auquel on ne pense pas la plupart du temps, ou alors en poussant un soupir et en secouant la tête d'un air désolé.

SHEPARD  » Shepard est un moldu, âgé de 37 ans, il ne fait presque jamais la couverture des magazines et si certaines de ses oeuvres ont fait beaucoup parlé d'elles, il n'est pas du genre à se mettre sur le devant de la scène. Lors de la seule interview qu'un journaliste zêlé a pu obtenir de lui, il est rapporté que les parents de Shepard sont morts quand il était encore jeune, et qu'il dispose d'un atelier dans le coeur de Londres (l'adresse est bien sûr gardée secrète), il se présente comme un homme qui tient à sa vie privée. Avec un clin d'oeil en direction du journaliste il avoua être célibataire et pas prêt de se marier. Ses passe-temps sont flâner dans les galleries d'arts et les couloirs des musées, ainsi que visionner dernière séance de film au cinéma quand il n'y a pas grand monde et que l'on ressort sous les lumières des lampadaires et la froideur de la nuit. Il ne revient jamais sur sa disparition soudaine dans les années 2000. Les ragôts disent qu'il travaille sur une série de triptique, lui reste très évasif sur la question. Shepard est prolixe et a un regard très critique sur l'art. Parfois, il fait des commentaires étranges, mais on met ça sur le compte de son géni artistique.

PRISONNIER 97-5321  » tw - prison // Le prisonnier 97-5321 a été incarcéré durant six mois pour atteinte aux moeurs, une vilaine affaire vraiment. Avoir ensorcelé une pauvre femme sans défense pour l'éloigner du droit chemin de la loyauté, ce n'est pas quelque chose que l'on fait. On l'a enfermé dans une cellule moisie, sans fenêtre, où les minutes sont devenues des heures, puis des jours, enfin des mois. Mais dans son esprit, le prisonnier jurerait y avoir passé plusieurs années. C'est qu'on perd un peu l'orientation spatio-temporelle et que les détraqueurs ne sont pas regardants quand il s'agit de se délecter d'un bon repas émotionnel. Le prisonnier est arrivé le sourire aux lèvres et l'oeil bravache, mais en est ressorti la queue entre les jambes, le teint pale et les lippes tremblantes. Sur son casier est maintenant indiqué ce petit passage par azkaban et si on demande à Leopold maintenant pourquoi ce tatouage et comment s'était, il étend son sourire à l'infini et invente des histoires à dormir debout. Mais la vérité c'est qu'il en cauchemarde encore et qu'il déteste les lieux fermés et exigus, qu'il dort la lumière alumée - quand il arrive à trouver le sommeil.

TRISTAN  » Tristan est un sorcier tout ce qu'il y a de plus conventionnel, sang-mêlé certes il n'a jamais fait de vague. Homme discret et timide on pourrait presque oublier sa présence si on ne fait pas attention à lui. Les papiers (tout ce qu'il y a de plus falsifiés) lui indiquent une parenté galloise, fils de deux sorciers sans grande envergure. Sa personnalité fait que les gens ne sont pas surpris lorsqu'ils doivent avouer ne pas se souvenir de lui à Poudlard. Il a un petit boulot de vendeur dans une petite boutique de curiosités mais on ne l'y voit pas tant que cela. Le propriétaire pourtant, assurera coûte que coûte que Tristan est dans le coin et qu'il ne devrait pas tarder à revenir. Personne ne reste bien longtemps pour savoir si telle est la vérité. De toutes façons, le quarantenaire ne retient pas l'attention et sa personnalité effacée ainsi que son physique banal ne laissent pas une grande trace dans l'esprit des sorciers qui le croisent.

LUST  » tw - addiction sexuelle S'il y a bien une facette de sa personnalité que Leopold aimerait changer c'est celle-ci. Bien sûr comme pour tout le reste, il le prend à la légère. Et ce n'est pas une addiction d'ailleurs, c'est un passe-temps comme un autre. Et ce n'est pas vrai que le reste de ses occupations est largement diminué à cause du temps passé pour atteindre satisfaction, et ce n'est pas vrai non plus que ça s'aggrave, et que parfois il en arrive à ressentir de la honte parce qu'il n'a pas réussi à se retenir, qu'il ne sait pas où il se trouve ni avec qui ni ce qu'il a fait la veille. Il n'y a pas de soucis voyons, Leopold n'a aucun soucis. La réalité est toute autre, et ce serait mentir que de dire que tout va bien ; mais tant qu'il ne l'admet pas, aucun changement ne pourra pointer le bout de son nez. Et en attendant, ce grattement incessant revient régulièrement à l'arrière de son crâne et le pousse et le pousse et le pousse encore à craquer.   

PYGMALION / SA VOIE DE L'ALCHIMISTE  » tw - éthique questionnable t'es plutôt vie éternelle ou potion ? - Qui moi ? Je suis un artiste, c'est tout. Leopold a entendu parler d'alchimie sur le tard. Enfin, c'est surtout qu'avant de se trouver subjugué par le regard si poignant de sa statue (et pourtant si vide, si éteint) jamais il n'avait eu intérêt à se pencher sur la question. Les cours de la WADA lui suffisaient à insuffler ce semblant de vie artificielle à ses œuvres. Mais voilà, ce fut comme une apparition. Une apparition qu'il avait lui-même passé des heures à façonner, à imaginer, à chérir, à fantasmer. Son Œuvre avec un e dans l'o majuscule et tout le grandiose qui en découle. Mû par ce désir, par cette pulsion de vie, par cet hubris artistique, il a plongé la tête dans les bouquins de son père, il a fureté à droite à gauche pour glaner les informations dont il pourrait avoir besoin. a l c h i m i e, mais oui que bien sûr, eurêka! et cætera. Et quand certains souhaitaient la jeunesse éternelle et quand d'autres souhaitaient battre la mort, et quand certains s'amusaient avec des potions ; lui n'avait qu'un seul but ultime, qu'un seul chemin : celui de la Création. Insuffler de la vie à la matière. from clay to flesh. Leopold Eddard The Second Priddy était prêt à tout pour accomplir la consécration. It all started from the desire to bang your statue? - So narrow-minded you are! Et il chercha des mentors, et il en trouva et il se voua corps et âme à cette recherche des Arts Obscurs, fréquentant du petit monde la nuit pour trouver écailles de tritons, plume d'oiseau-tonnerre, cri de harpie, des créatures fantastiques les plus protégées aux hybrides qu'on lui laissait bien trouver. Et le jour, il s'adonnait à façonner son argile. Si Leopold n'a pas encore su donner la vie à sa reine de Marbre, il a pu créer des golems qui travaillent pour le BITE, la première règle est qu'un golem ne peut s'en prendre à un être-humain qu'il considère comme son maître ; la seconde c'est qu'un golem n'a pas d'émotions ou de pensées opératoires.


CURSED  » Il paraîtrait que tu ne fais pas réellement partie du BITE tant tu ne possèdes pas une malédiction lancée par Suzanne. Elle est réputée pour se mettre en colère donc ce n'est pas si compliqué, et Leopold sait comment aimablement appuyer là où cela irrite avec sous grand sourire de ne pas y toucher. C'est pourquoi il se retrouve depuis 2005 avec deux jolies malédictions, la première lui impose de faire une manucure et une pédicure tous les mercredis soirs à 19h à sa très chère amie pendant qu'il l'écoute lui raconter les derniers potins. La seconde l'oblige à lui apporter le petit-déjeuner au lit, madame veut son jus au pamplemousse et pas à l'orange, attention aux pépins. Et il pourrait rouspéter Leopold, peut-être même pourrait-il lui demander de retirer les malédictions de sa douce et chaude voix en utilisant cet accent gallois dont peu de personne sont immunes. Mais il n'en fait rien. Pour tout dire cela ne le dérange pas le moins du monde. Au contraire, il apprécie ces moments, et cela lui donne une excuse toute trouvée pour quitter les maisons qu'il visite le samedi soir It's a curse really. Nothing I can do about it. Sorry darling, we'll brunch together some other time.