BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

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mai 2007
Qu’est-ce que c’était que ce bordel ?
Tu tournes une fois encore la tête pour observer la silhouette évanouie sur le canapé du salon. Un homme d’environ cinquante balais, du genre grand échalas, gros yeux, grandes dents, gémissait dans son sommeil forcé. Il bavait sur les coussins du canapé, allongé sur le ventre par tes soins. Enfin, soins était un bien grand mot, vu comment tu l’avais traité depuis la fin de la nuit.
Une nuit de pleine lune.
Une nuit de pleine lune mouvementée.
Une nuit de pleine lune qui avait commencé comme toutes les autres. Tapi dans les fourrées, aux alentours d’une habitation isolée, tu avais attendu le moment propice pour t’attaquer au marmot qui roupillait entre les murs.

Mais c’était sans compter ce grand échalas, donc. Qui était apparu d’un coup, et avait forcé son passage au travers de la fenêtre du rez-de-chaussée. Alors toi, ni une ni deux, tu lui avais sauté dessus, et lui avait mordu le cul.
Le cul.
Son cul qui continuait de saigner, des tas de torchons épongeant la plaie. Tu n’avais pas de dictame ni d’argent sur toi. A vrai dire, tu n’avais même pas de fringues…

La suite avait tourné au fiasco. Parce que l’importun avait hurlé à la mort, que l’occupant de la maison s’était pointé, et que lui, tu lui avais pas laissé le temps de dire quoi que ce soit.
Ah, et d’ailleurs, c’était un p’tit vieux ; donc autant dire que le môme que tu avais initialement prévu de mordre, il habitait pas là, mais dans la maison voisine.
Et de traîner un Caleb inconscient et enfiévré dans la piaule, pour attendre le petit matin.

Vous en étiez là, dans ce bordel.
Ce n’était clairement pas le moment de grossir les rangs de la meute ; et surtout pas avec un type qui devait avoir sensiblement ton âge.
A vrai dire, tu aurais pu l’achever un nombre incalculable de fois. Mais le problème, c’est qu’une fois que tu mordais quelqu’un, tu en devenais l’alpha, et donc le responsable. On parlait pas encore d’un instinct paternel (surtout avec un type de ton âge…), mais davantage d’un refus de détruire ce que tu avais créé, même sous le coup de l’impulsion (et de l’erreur, hein, clairement). Ce qui faisait que tu avais poireauté toute la matinée, frustré et énervé contre lui, contre son cul, contre le carrelage glacé sous tes pieds, contre toi-même. Il faut pas croire, mais c’était certainement la première fois que toi, Fenrir, le semeur de bêtas, l’usine Ford à loups, créait un loup par erreur.
Tu es assis sur la table basse à côté du canapé. Le cadavre du petit vieux, à qui appartenait la maison jusqu’à hier soir, tiédissait dans l’entrée. Et tu es toujours à poil.
Perdant patience, tu finis par ficher ton pied sale sur le bras de la belle aux chicots dormants. « Hé oh, on s’réveille maintenant… »
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Tw language cru

Caleb avait super mal au cul. C'était étonnamment pas la première fois qu'il se réveillait avec une douleur à cet endroit sans savoir ce qu'il avait foutu pour en arriver là. Il avait chaud aussi putain. Si chaud, il pouvait sentir la sueur lui couler le long du visage et du dos. Et cette douleur vive en plein sur son fiac.

Pendant quelques instants, il reste groggy, tête baissée. Il se souvient vraiment d'absolument rien mais il a pas les maux de têtes caractéristiques d'une énorme cuite qui aurait pu lui ravager le cerveau. Non, là il a de la fièvre, il est moite, pas bien et surtout :

Il a grave mal au cul.

Il bafouille, la bave lui coule le long du museau alors qu'il essaye tant bien que mal de reprendre ses esprits. Il peut imaginer qu'il doit pas être très beau à voir. Mais il l'a jamais été quelque soit les circonstances alors une fois de plus, une fois de moins ça lui en touchait une sans faire vibrer l'autre.

C'est en sentant un truc dur mais visqueux lui toucher le bras qu'il tourne la tête et ouvre fébrilement les yeux pour être confronté au pied le plus laid qu'il ait jamais vu dans sa vie. Le machin déjà faisait la même taille que son avant bras, yavait des poils partout mais à des endroits où les poils ça devrait même pas pousser, il était boueux et les ongles des doigts de pieds devaient pas avoir vues une pince à ongle depuis bien longtemps. Il pouvait même sentir les pointes des ongles jaunâtres lui rentrer dans la peau alors que le bout de gras attaché au pied essayait tant bien que mal de lui faire reprendre conscience. Non, Caleb était bien content de pas avoir pris une cuite, la nausée au réveil et la vision de ce pied dégueulasse lui aurait sans doute fait vider le contenu de son estomac plusieurs fois.

Alors il relève fiévreusement la tête pour observer le mec à qui appartient l'immondice. Et si on lui avait demandé de le décrire rien qu'avec le truc sur son bras, il aurait pas été très loin de la vérité. Il se souvient vaguement avoir vu l'autre homme plus tôt dans la soirée. Il se souvient qu'il avait déjà commencé à tirer de l’œil quand il avait vu le saint Bernard à poil se pointer avec un air meurtrier sur le visage. Il se souvenait lui avoir balancé un truc de mec complètement défoncé du genre « Ton chat nain à la couleur des pommes violettes. » et puis il se souvenait que le mec l'avait foutu sur son épaule nue sans ménagement comme un énorme sac de patate et qu'il avait eu une vue plongeante sur ses fesses plus poilues que la normale. Et là, il avait tourné de l’œil. Fallait le comprendre en même temps. Il se souvenait aussi s'être fait mordre la fesse par une énorme bestiole  quelques heures plus tôt mais il peut pas s’empêcher de lancer un pâteux :

« D'habitude avant de me démonter le cul comme ça on me paye d'abord un verre » Il avait jamais su fermer sa gueule, il avait toujours sorti toutes les conneries qui lui passaient par la bouche et ça avait toujours eu tendance à énerver tout le monde. Il était sûr que le mec pas commode face à lui serait pas fan non plus mais après tout il avait pas demandé à ce qu'on lui graille une partie de son fondement, il pouvait bien rigoler un peu.

« T'es qui d'abord ? Et pourquoi, j'ai l'impression qu'il fait aussi chaud que dans un volcan ? Et bordel, pourquoi j'ai l'impression que ma fesse pisse le sang ? C'était quoi cette bestiole qui m'a pris pour son jouet à mâcher ? Ça ressemblait quand même vachement à un loup mais en genre plus moche. Pourquoi ce machin était aussi moche ? »

Il est pas sûr que tout ce qu'il dise soit bien énoncé, il a l'impression de mâcher du coton. Aussi, il avait été le gosse insupportable qui disait « pourquoi » sur absolument tout et cette habitude l'avait jamais vraiment lâché. Il était pas bien malin mais il était curieux et ça lui avait toujours attiré pas mal d'emmerdes. Il avait jamais retenu la leçon visiblement.

« Et surtout mec, le prend pas mal, j'suppose que t'es bien bâti pour ton age mais pourquoi est ce que t'es nu comme un ver ? »
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Ça jacasse, ça jacasse, et t’as l’impression que ta tête va gonfler et finir par exploser. Et si c’est pas ta tête qui explose dans les secondes qui suivent, ça allait être la sienne… Tu restes immobile, feignant l’écouter mais essayant à tout prix de te projeter mentalement ailleurs, très loin d’ici, au chaud peinard dans ta caravane. Sauf que t’as pas la capacité mentale de faire un truc pareil, aussi, tu continues de l’entendre papoter et poser mille questions auxquelles tu aurais bien fini par répondre, comme il était d’usage au lendemain des morsures. Il s’agissait toujours de la même marche à suivre, histoire de ne pas trop se compliquer la vie. Gy’ qui surveille, paf au petit matin, Wyvern qui prend le relais, et pouf, Phil qui vient faire la causette… De temps en temps, un autre loup qui vient squatter pour profiter du spectacle.

Mais cette fois-ci, tu es tout seul et tu dois gérer cet énergumène tout seul. Sauf que t’es crevé, t’as mal partout, t’as froid aux pieds ; donc t’es pas trop disposé à lui tenir la jambe. Aussi, dans un premier temps, la seule réponse que tu lui confères, c’est un grognement sourd. Puis, tu te lèves difficilement et retournes dans l’entrée voisine, où tu enjambes le petit vieux qui tiédissait dans la lumière du jour. Sans vergogne, tu lui tires son pantalon, sa chemise et son marcel que tu enfiles aussi vite que tes courbatures te permettent. Bon, le pantalon s’arrête à peine en haut des chevilles et le marcel sent le vieux et le sang, mais ça fera l’affaire. Tu reviens dans le salon. « Mieux ? » assènes-tu agressivement. Pour que tu obéisses ainsi, il fallait vraiment que le type te sorte par les yeux, si bien que tu mettais tout en oeuvre pour qu’il se la ferme.

« Le loup qui t’a bouffé le cul, c’était moi. » Tu roules la chemise en boule et soulèves les compresses improvisées qui épongeaient son cul. « Du coup, toi aussi t’es un loup, maintenant. Content ? » Et à voir la vilaine plaie qui lui faisait une bonne ribambelle de trous du cul, il ne pouvait que se réjouir, vraiment. Tu grimaces, te dis qu’il faudrait peut-être pas trop tarder à le ramener au camp, et donc à toute la mauvaise troupe qui allait adorer ta dernière trouvaille… Non, vraiment, tu pouvais pas le balancer devant tes loups… Ça te ressemblait pas, ils allaient se dire que tu perdais la main, tout ça… T’aurais vraiment dû l’achever. « Le vieux, là, il a des couches dans sa salle de bain, continue à gigoter comme ça et j’vais devoir t’en enfiler une… » Tu retires une à une les compresses et essuies le bazar avec un pan de la chemise. Tu peux pas le ramener. « Et puis tu sors d’où toi, d’ailleurs ? Ça t’arrive souvent de passer par les fenêtres ? J’pars du principe que c’est pas chez toi, ici, c’est ça ? » Ça commence bien ; voilà que tu te mets à te renseigner sur lui ; un peu plus et t’allais finir par t’attacher…
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Si tôt qu'il finit son interrogatoire que le mec se tire. Et il laisse échapper un « EHH » qui aurait plus eu sa place dans un bar à 2h du mat que dans les circonstances actuelles. Mais le mec à l'air de s'en carrer l'oignon et il se demande s'il va rester là sur ce canapé jusqu'à sa mort. Il est toujours fiévreux et il se bouge un peu le cul, tâtant d'une main molle sa fesse. Et quand il la reporte à son visage il peut voir que le truc visqueux qu'il a senti c'est du sang et sans doute le début d'une infection. Alors il étale tout ça sur le bord du canapé et là il se dit que sa mort elle va sûrement être plus proche qu'il le pensait.

Et tout ce qu'il peut se demander c'est si on va devoir lui amputer la fesse. Juste la fesse, pas le reste du jambon. Et il s'imagine vivre sa vie avec une seule fesse. Elles ont jamais été bien épaisses et ça changerait peut-être pas grand chose. Mais il se voit s’asseoir comme un con et basculer sur le coté comme une patate un soir de raclette à cause de sa fesse manquante. Il sait pas s'il doit être amusé ou apeuré par la perspective mais son esprit embrumé par la fièvre choisit de lui faire lâcher un ptit rire presque dément face à cette image.

C'est ce moment là que choisit l'autre bonhomme pour revenir et il a un look à faire peur. Et pas peur dans le sens où il doit normalement le faire. Il a le pantalon qui s’arrête bien trop haut on dirait un costume de clown de cirque moldu. Pi' son marcel crasseux et ensanglanté est bien trop petit pour sa carrure et lui remonte sur le nombril. Il commentera même pas sur le fait qu'il a sans doute pas réussi à fermer le bouton du pantalon. Mieux qu'il lui demande ? Il sait pas trop.

«  Je sais pas si je preferais pas avant. » il lui balance d'une voix pâteuse comme s'il avait une quelconque autorité en tant que gravure de mode. « Mais bon, on va dire que ouais c'est mieux. » Et c'est là qu'il regarde plus frontalement la bête. Il a commencé par ses pieds ignobles, il a continué avec sa tenue de clown et maintenant il fixe ses yeux globuleux sur le visage du type. Et il a un air de déjà vu, il est persuadé qu'il devrait connaître son nom, qu'il l'a déjà vu quelque part. « T'es qui ? J'ai l'impression de t'avoir déjà vu ? »

Après ce qu'il lui dit lui cloue un peu le bec. Très momentanément. Et le nom du mec lui revient d'un coup : Fenrir Greyback. Il déglutit maladroitement quand il prend conscience de ce que ça veut dire. Lui, un foutu loup garou. Entendez le bien, il a jamais été un très grand défenseur de la pureté de sang et tout ce bordel, il a jamais fait chier un hybride mais bon quand même. Coup dur. Il recommence à suer de plus belle en réalisant, tant et si bien qu'il est surpris qu'il soit pas encore en train de glisser hors du canapé comme une carpe sur un bateau.

« Tu vas me buter ? » il lui lâche d'une petite voix apeurée. Parce qu'il est vieux et il voit pas bien ce que l'autre ferait de lui. Il sait que c'était un accident et qu'il a certainement pas envie de se retrouver bloquer avec lui. Et Caleb, il a beau être vieux, il a beau avoir bien vécu sa vie et avoir aucun instinct de survie, ben il veut quand même pas crever. Il arrête de gigoter à la menace des couches et aussi parce qu'il a aucune envie que ses mouvements réveillent les instincts de prédateur du Greyback et qu'il lui mordille la carotide. Non, vraiment, il s'en passera.

« Ah bah euh... puisqu'on est dans les confidences, j'étais plus ou moins venu emprunter quelques trucs dans la maison. » D'ailleurs, il se souvenait clairement d'être parti avec une fourchette et elle était plus dans sa main. « Histoire de. » On aurait pu croire que c'était la fièvre qui le faisait parler comme ça mais Fenrir et les autres Greyback allaient vite comprendre que le mec était aussi désarticulé physiquement que lorsqu'il ouvrait la bouche. Toutes les infos se bousculaient trop vite et il balançait tout sans vraiment d'ordre précis. « Je me suis dit que la fenêtre ça serait une super idée, je voulais pas utiliser de magie dans un endroit moldu comme ça et qu'on puisse le détecter, tu vois. Mais bon, le truc devait être aussi vieux que le mec qui vivait dans la baraque ? Et le battant a pas voulu suffisamment s'ouvrir et... Bref tu connais la suite, ta bouche a rencontré mon cul. »
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« T'es qui ? J'ai l'impression de t'avoir déjà vu ? » Tu renifles, pour voir si son odeur te disait quelque chose. Difficile de dire, vu que maintenant, il puait le Greyback enfiévré. « Ouais, nan, je t’ai jamais vu, toi… » Tu te passeras de lui confier qu’il te fait grave penser à quelqu’un, avec ses yeux globuleux et ses grosses lèvres, mais ça risquerait de lui faire soit trop plaisir, soit de rallonger la conversation, ce dont il était hors de question. Et puis, dans tous les cas, vu sa mine défaite, il a dû se rappeler ton nom comme un grand. Habituellement, ça te faisait un peu plaisir qu’on te reconnaisse et qu’on se pisse dessus, mais là, tu aurais préféré qu’il te prenne pour le premier péquenaud qui passe et te foute la paix… à une fesse près. « Tu vas me buter ? » Tu fronces les sourcils. « Nan j’bute pas les loups que j’mords » Tu aurais bien essayé de lui mentir, mais ta cervelle de piaf débitait trop vite les phrases instinctives du genre. Ceci dit, il n’était pas obligé de savoir qu’une jolie meute haute en couleurs l’attendait à quelques kilomètres… L’épargner ne voulait pas dire l’assumer.

Tu pourrais le laisser là, voir si sa blessure cicatrise correctement, ou si, à cause de son âge, il ne passe pas la nuit suivante. Vous aviez déjà perdu un petit, comme ça, qui n’avait pas survécu aux fièvres de sa morsure. Et au vu de la faible constitution de ton obligé, il y avait fort à parier qu’il s’en remettrait difficilement… Mais d’un autre côté, ça ne te mettait pas à l’aise d’abandonner l’un de tes loups à son sort… Tu l’observes du coin de l’oeil, tiraillé, incapable de décider de la marche à suivre. Tu ne savais peut-être pas ce que tu voulais pour lui ; en revanche, tu savais ce que tu ne voulais pas : le ramener au campement. Les autres loups allaient se foutre de ta gueule pour les dix ans à venir.

Tu prêtes à peine attention à son récit, peu enclin à te renseigner trop sur l’énergumène qui était en vérité un simple cambrioleur. Tu tapes sur tes cuisses et te relèves. « Bon écoute ; tu restes là, et j’vais chercher de quoi te soigner le cul, pigé ? En aucun cas tu sors de cette piaule. T’as voulu faire un casse dans cette baraque, alors maintenant, c’est chez toi. »
Tu avais beaucoup réfléchi, mais tu étais quand même revenu avec un mélange de dictame et d’argent. Une quantité généreuse, pour qu’il constitue une réserve. Tu lui avais expliqué comment l’appliquer, et à quelle cadence. Puis, misant sur la maigre confiance qui commençait à s’immiscer dans sa caboche et ses sens de bêta, tu lui avais dit que tu reviendrais, le temps de débarrasser le cadavre qui commençait à sentir terriblement. Même ferveur, même consigne à respecter. Il aurait de quoi tenir avec les réserves du petit vieux. Et surtout, qu’il mette pas le nez dehors. « De toute façon, si tu bouges, j'le saurais... »

Cette fois-ci, après t’être délesté du cadavre, tu n’avais pas réfléchi, et tu n’étais plus jamais revenu, te gardant bien de révéler à qui que ce soit que t’avais un môme vieux comme toi qui croupissait en attendant son heure.

fin de la partie 1
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Partie 2.

Il en avait ras le cul.

On aurait pu arguer que son cul était pas très haut ni très potelé et que du coup le ras était pas bien haut mais quand même. Il en avait ras le cul.

Aux premiers abords, il les avait bien aimés toutes ces brutes aux langages fleuris et aux attitudes franchement hilarantes. Puis il avait essayé de faire connaissance, il avait lâché ses plus beaux sourires tout chicots dehors, il avait sorti ces meilleures blagues. Et rien y avait fait, il pouvait bien voir qu'ils le détestaient tous et ca mettait un coup à un homme ce genre de choses vous savez ?

Faut dire que ses seuls amis c'était des marmots qui couraient partout et des chiens puants mais très confortables. Et il pouvait pas dire, il avait toujours aimé les enfants, à petites doses, surtout quand ils courraient partout et faisaient le bordel. Il avait adoré ces petites périodes qu'il avait passé avec ses propres enfants quand ils avaient cet age. Avant qu'ils grandissent. Avant qu'ils se rendent compte du père et de l'homme qu'il était.

Il avait même réussi à enticher une ptite très moche qui passait son temps à faire des conneries en hurlant comme un strangulot. Alors il avait aussi hurlé longuement. Et elle s'était marrée la gamine, et il s'était marré aussi et depuis elle le quittait pas d'une semelle. Et les chiens, bon, c'est vrai qu'ils puaient au moins autant que les membres de la meute mais ils avaient pas eu besoin de beaucoup pour l'accepter parmi eux. Ils s'étaient tous collés les uns aux autres pendant la nuit parce que sa foutue baguette avait disparu la nuit de sa morsure et qu'il était pas foutu d'en trouver une autre actuellement.

Mais quand même des chiens et des gosses et pas un seul adulte avec qui discuter sans avoir l'impression d'être le truc qu'ils chiaient chaque matin, ça lui faisait un coup au cœur.

Alors, il avait fait comme toujours, il avait emballé deux trois affaires et il s'était barré sans regarder en arrière. Il allait se retrouver une baguette dans une de ses planques et après... Ben après il en savait foutrement rien mais ça serait déjà mieux qu'au milieu de tous ces cons qu'il se disait. Il avait laissé sa bâche à sa place et il avait accroché dessus une ptite poupée qu'il avait fait pour la ptite Pug, une poupée hyper laide mais qui leur ressemblait à tous les deux.

Et puis, il était sûr que la pleine lune ça devait pas être aussi mal qu'il le pensait. Il avait aucune expérience mais si des ptits puants qui avaient pas encore atteint la puberté arrivaient à s'en sortir, ben il voyait pas pourquoi lui, un vieux de la vieille il aurait des difficultés.

Il était un peu vexé par la situation, il pouvait pas trop mentir alors il marmonnait dans sa barbe en marchant dans la foret le plus loin possible jusqu'à ce qu'il retrouve la civilisation, préférablement sorcière et qu'il puisse revenir à une vie à peu près normale.

Peut être bien qu'il irait crécher chez sa fille. Peut-être même qu'au moins à elle, il lui manquait. Ce qui était sûr ce qu'il allait manquer ni à Fenrir, ni à Balls, ni à Gy, ni à Hoshi, ni à.... ni à personne à part peut être la ptite gamine. Et les chiens.

En vérité, même si c'était pas réciproque, ben ils allaient quand même un peu lui manquer, eux.

Aussi, perdu dans ses pensées, il entend pas vraiment que quelqu'un le suit et si ses nouveaux sens bizarres de loup l'avaient pas alertés du danger ben il aurait ptet continué perdu dans son monde. Mais là, il entend un pas lourd et rapide et il sent une odeur familière mais un peu inquiétante. Alors il s’arrête, il se retourne et il dévisage avec un air bovin la personne à quelques mètres de lui qui le suit avec une mouille vraiment pas contente.

« Fenrir ? » Qu'il lâche vachement surpris. Sans doute qu'il est parti chercher du bois et qu'il est tombé dessus par hasard, il voit pas d'autres explications. A moins que. « Eh. J'ai rien volé au camp si c'est ce qui te fait venir, facon ya rien de valeur à voler dans ce camp. Alors, tu peux te barrer et moi je vais faire mon chemin tout seul. C'pas ce que tu voulais facon ? Plus voir ma sale tronche ? »
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« Pug, il est où Arsène ? » Pas que tu en avais quelque chose à faire, hein, qu’on se le dise, mais la gamine te traînait trop dans les pattes. Chose devenue inhabituelle, depuis qu’elle avait développé un sérieux coup de foudre pour Caleb. Aussi, quand elle s’était retrouvée seule (ou du moins, seulement accompagnée d’une poupée qui avait tout l’air d’être une version miniature d’Arsène), ça t’avait mis la puce à l’oreille.
Arsène avait été plutôt du genre casanier, depuis qu’il avait quitté le cottage dans lequel tu l’avais refourgué pour venir taper la bise au reste de la meute. Dans un premier temps, ça t’avait un peu fait chier, puisque tu aurais bien voulu le garder secret. Et puis, au fur et à mesure, il s’était un peu fondu dans le décor (et dans les bâches sous la table de pique-nique), servant de bouc-émissaire pour les chiens surexcités et les coups de sang de certains loups, toi en premier.

Alors peut-être que tu demandes à Pug où il s’était encore fourré parce que t’avais besoin de passer tes nerfs sur quelqu’un. Sauf que tout ce que Pug trouve comme réponse, c’est de te brandir sa nouvelle poupée. Tu grimaces -à croire qu’elle sait juste pas parler, la petite, il allait falloir y remédier (et à ce rythme, tu étais à deux doigts d’aller croquer un prof, histoire d’éduquer tout ce petit monde, parce que les films d’horreur et les matchs de Quidditch au sol de Phil, ça allait deux minutes).

Nonchalamment, tu t’empares du jouet de chiffons que tu renifles à plein nez, avant de t’élancer sur la piste baguenaudant hors du camp, sur fond de hurlements de Pug qui voulait que tu lui rendes son cadeau.
Tu sais pas combien de temps tu as passé à le traquer, mais à ton goût, c’était beaucoup trop. Tu avais tendance à oublier que, même s’il avait plus de cinquante balais, tu devais t’occuper de ton nouveau loup comme s’il était tout juste venu au monde. Et ça impliquait, si tu le retrouvais sain et sauf (auquel cas, tu ne risquais plus de rentrer au camp du tout, sauf si tu voulais que Fish fasse de tes entrailles ses prochains rideaux de douche), de lui demander pourquoi diable il avait cru bon de plier bagages sans prévenir personne.

Nan parce que Valentine, c’était y’a longtemps, y’a prescription. Balls, c’était encore autre chose, il avait sans doute voulu se faire remarquer… Et Firefly, bah, c’est pas comme si tu ne l’avais pas vu venir non plus… En revanche, tu ne voyais vraiment pas ce qu’Arsène avait à gagner à se carapater… C’est pas comme s’il avait une famille…
Mais est-ce qu’il avait une famille ? Tu ne te souviens pas qu’il en ait déjà parlé… Ceci dit, tu n’étais pas non plus venu à la pêche aux infos…
Tu réalises soudain que t’as aucune idée de qui est ce type, et y’a rien de mieux pour te foutre en rogne que le fait d’avoir tort (doublé, qui plus est, d’une fuite impromptue).

« Fenrir ? » Mais c’est qu’il a l’air véritablement surpris de te voir ici, ce con. Pris de court (généralement, les fuyards prenaient pas le temps d’aligner des excuses), tu restes interdit. Il essaye pas particulièrement de te semer, ni même de te foutre hors d’état de nuire. T’as tout juste l’air du proprio qui vient réclamer une caution qu’il comptait pas remettre, ou du moins, pas dans sa totalité. « De quoi tu parles ? » Tu le contournes pour te foutre en travers de son chemin, ton regard furibond allant de son micro sac à sa face bizarre. « J’peux savoir où tu vas comme ça ?… » Tu ouvres les bras, tournant un peu sur toi-même, au beau milieu de la forêt. Il va sans dire qu’Arsène était pas prêt d’arriver là où il avait prévu d’arriver… « Tu t’es cru au Filet du Diable, c’est ça ? T’y passes du bon temps et après tu te casses ? » On repassera sûrement pour la notion de bon temps, mais tu étais encore à quelques kilomètres de te douter qu’on avait tout bonnement oublié d’expliquer à Caleb les règles primordiales de la meute…
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Pour sa masse corporelle, l'alpha était quand même vachement rapide. Et il parlait pas seulement de la rapidité avec laquelle il venait de lui suivre le groin à la trace sans doute à l'aide de la poupée qu'il tenait à la main et à laquelle Caleb jette un regard perplexe et bovin. Surtout bovin parce que si Fenrir se mettait à voler les jouets d'une gamine, il était bien plus con qu'il y paraissait. Puis, il aurait eu qu'à demander et Caleb il lui en aurait fait aussi de poupée si vraiment ça lui tenait à cœur. Dans tous les cas, la rapidité surprenante du bonhomme lui fait faire un pas en arrière, pas vraiment par peur car pour ça il faudrait qu'il ait un instinct de survie mais plus par surprise de la proximité soudaine.

« Qu'est ce que çà peut te foutre ? »
Et il le dit même pas méchamment, il le dit d'une voix bizarre parce qu'il comprend vraiment pas ce que ça peut bien lui foutre à l'autre ??? Franchement, il allait le voir que pour lui beugler dessus, il avait pas eu une parole gentille depuis le début de tout ça puis Caleb il le savait qu'il voulait pas qu'il soit là alors il comprenait vraiment pas ce qu'il venait lui baragouiner.

« T'es pas content que je me barre ? Fais pas comme si t'attendait pas que ça depuis le début. Ok t'as pas choisi d'être bloqué avec un croulant bizarre comme moi mais moi non plus j'ai pas choisi d'être ici. Et jprefererai être quelque part où j'ai pas l'impression d'avoir autant d'importance que la putain de bâche. »

Aussi confortable soit elle, il avait beaucoup de respect pour cette bâche.

Ça commençait à lui courir sur la carotte cette histoire. Fallait savoir ce qu'il voulait à la fin ?? Un coup, il doit fermer sa gueule et se faire oublier, un coup il est pas censé partir ? Puis le mec est genre énervé ? C'est quoi l'histoire ? C'est un c'est pas toi qui démissionne c'est moi qui te vire ? Si ça pouvait lui faire plaisir ben il le laisserait le « virer » tant qu'il pouvait continuer sa vie tranquille et qu'on arrête de lui marcher sur les couilles. Ça l’agaçait maintenant toute cette situation et pourtant il s'était pas énervé une seule fois depuis son arrivée, il avait jamais eu un pet plus haut que l'autre. Et l'autre venait, le pourchasser comme ça pour une histoire d'égo. Alors bon, les émotions à fleur de peau à l'approche de la pleine lune, il savait pas que c'était en partie ça qui lui foutait les nerfs mais la il est a deux doigts de pousser le mec pour qu'il se prenne la racine derrière lui et se barrer en grommelant tout du long. Et sans s'en rendre compte le vieux moisi il lâche un petit grognement presque animal.

Oups.

Si choqué par le son qu'il en oublie d'être fâché. « C'était quoi ca bordel ? » qu'il lance à Fenrir. Son manque d'instinct de survie lui fait encore défaut parce que le mec est juste interloqué par la situation sans même se demander si grogner sur son alpha ca fait pas mauvais genre et si Fenrir va pas juste utiliser ses mains de forain pour lui en décocher une qui lui petrait 4 ou 5 chicots au passage. S'il a de la chance. Puis vu l'état de sa dentition, il s'en passerait bien.

« Bref, je me barre, t'es tranquille, t'as ce que tu veux puis moi je vais me débrouiller tout seul. Non pas que ça t’inquiète je sais. Jvais ptet crécher chez ma gamine quelques temps puis voir ce que je fous avec toute cette histoire. »

Il pouvait pas trop se permettre d'aller chez Boris, ils étaient pas en très bon terme puis un vampire et un loup garou ?? Franchement, vu leurs personnalités on dirait le début d'une mauvais blague mais dans la réalité ca a juste des vieux relents de morue cette histoire. Secouant la tête, il passe à coté du tas de barbaque et lâche un ptit et tout sympa « Dis leur au revoir de ma part quand même, ils sont pluton sympas et certains vont me manquer » puis il fait un pas vers la liberté. « Allez salut ! »
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« C'était quoi ça bordel ?
- Bah, je sais pas, t'as roté ? » que tu réponds spontanément. Pour toi, la recrudescence de signes lupins et bestiaux faisaient partie de ton quotidien. C'est à se demander si des fois, tu levais pas la patte pour pisser contre un arbre.

Le reste de son discours te dépasse, comme quoi il se barrait enfin pour vous foutre la paix, que c'est tout ce que tu voulais et ouin ouin, personne ne m'aime ici... Tu as du mal à rester en place, à ne pas l'interrompre, soit en lui foutant une rouste, soit en lui ordonnant de se taire, une bonne fois pour toutes. C'est qu'il te prête des intentions qui avaient certes, traversé ton esprit de temps à autre, mais sans que jamais tu ne les mettes à exécution. Car, jamais encore, tu n'avais exilé de loups de ta meute. Oz y était passé, mais c'était après avoir transgressé de la pire manière qui soit : en devenant Alpha à son tour. Arsène, même s'il puait du bec et bavait dans les bâches, il avait rien fait de mal.

« De quoi tu parles, bordel ? J'ai jamais demandé à ce que tu partes ? Qui c'est qui t'a sorti un truc pareil ? » Tu plisses les yeux, suspicieux. « C'est Gy', c'est ça ? Ou une mauvaise blague de Wyvern ? » On pouvait pas se le cacher, qu'Arsène, c'était un peu le bouc-émissaire de tout le monde ; aussi, ça n'aurait pas été si étonnant que ça qu'il s'agisse en fait d'un coup monté par deux ou trois trublions de la meute pour qu'il fasse un faux pas. C'est que le bizutage, ça pouvait durer longtemps dans la meute, Camel pouvait en témoigner. C'était même parfois à se demander s'il y en avait ne serait-ce qu'un qui pouvait y échapper, toi compris.
« T'as pas compris que t'as plus nulle part où aller ? Sauf si tu veux faire tes heures à la Brigade de mes couilles, là, mais pas sûr que tu passes la nuit... » C'était pourtant évident qu'il n'avait plus aucune issue, c'était pour ça que ta meute restait ensemble, malgré les dissensions vis-à-vis de certaines de tes décisions.
Bon, cela étant dit, vu l'essaim de cas douteux à la Brigade, Arsène aurait peut-être sa chance...

« Si tu veux leur dire au revoir, tu le feras toi-même, parce que j'vais te ramener par la peau du cul ! » Subitement, tu lui arraches son sac en plastoc des pattes, le dépassant pour revenir sur vos pas. « Allez, ramène-toi, c'est pas aujourd'hui que t'iras crécher chez... ta fille... » Tu t'arrêtes, te retournes avec une lenteur menaçante. « T'as des mômes ? Toi ? » Généralement, si tu savais rien des vies antérieures de tes loups, c'est parce que tu les mordais jeunes, et de fait, la plupart de leur histoire se construisait dans ton giron. Pour celles et ceux qui étaient arrivés sur le tard, c'était au choix : Wyvern passait son temps à se plaindre et à regretter sa vie d'avant et sa prétendue carrière brillante sauvagement abrégée par ton intervention. A ceci près qu'elle ne dupait personne, car la vérité c'est que vous l'aviez déniché dans une vieille clinique moisie, en train de charcuter des cochons d'Inde... Ou sinon, il y avait les types comme Cook et Nums qui se satisfaisaient désormais de leur nouvelle place, soit par curiosité, soit par résignation.
Pour Arsène, c'était encore autre chose, vu que personne ne s'intéressait vraiment à lui.
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Il comprenait franchement plus rien à la situation. Non pas qu'il bitte plus d'un mot d'habitude mais là ça en devenait franchement grotesque. Dialogue de sourd à n'en plus finir. Alors presque intelligemment – pour lui c'est beaucoup ok – il se tait quelques instants et analyse la situation parce que le tas de barbaque est en train de lui parler de blague et de Gy' (qu'est ce qu'il venait foutre là??) et que vraiment il comprend plus rien.

« Je comprends pas. » Clair, net et précis, encore un effort pour mettre en place ses pensées. « Vraiment, pourquoi est ce que ça te dérange autant que je me tire ? »

Bon après, il avait pas tort en substance, il avait nulle part où aller au Royaume Uni. Mais le reste du monde ? Il avait foutrement aucune idée des lois sur les loups garous dans les autres pays. Il était un peu baisé du coup. Pour être honnête, il en savait pas plus sur les lois du Royaume Uni mais la brigade de ses couilles ça avait pas l'air top. Brigade ça faisait un peu auror et il pouvait pas sacquer ça les aurors. Puis qui le prendrait au sérieux ? Puis vraiment, courir ou autre c'était vraiment pas son truc. Fallait respecter ses vieux os. Puis rendre service à la communauté sorcière en faisant ça ? Vraiment pas son truc non plus.

Puis il pouvait pas se permettre de mettre sa gamine en danger, il lui avait suffisamment gâché la vie avec son existence pour éviter qu'elle se fasse arrêter à cause de lui. Il était bien baisé par cette situation. Cela dit, il a les yeux qui se plissent quand l'autre est si étonné du fait qu'il ait des gamins. Ouais il est moche, ouais c'est pas le couteau le plus affiné du canapé mais quand même, un peu vexant. Ok, c'était un mariage arrangé et il a du séduire personne pour ça. Mais quand même.

« Ouais j'en ai deux, toi t'en a bien deux milles dont un vieux avec des chicots de traviole. » qu'il lui sort parce que vraiment, il était dans quel position pour le juger sur le fait d'avoir des gosses avec l'immense crèche à ciel ouvert dans laquelle ils vivaient.

Résolument, parce qu'il se voit mal se battre pour son baluchon avec Fenrir, il lui emboîte le pas.


fin de la partie 2
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