ON THE RUN

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nom prénom(s) » Alessandro. C'est sa mère qui a choisit ce nom. En Italie, Alessandro De Leon est le héros sorcier d'une série de romans des années 60, La Minaccia, et Madalena Okoro-Maxia en était absolument fan. Nhean. Le prénom de son grand-père maternel, Nhean Okoro-Maxia, un essayiste sorcier, spécialiste des relations inter-espèces magiques. Kalani. Il s'agit d'une famille de sang-mêlé, d'origine tahitienne, venu en Corse au début du siècle dernier, pour y ouvrir un observatoire magique. Maxia. Le seul nom qui importe vraiment sur les papiers d'identité d'Alex. Maxia (prononcé "majia") signifie magie en dialecte sarde. C'est une vielle famille, au sang-mélé depuis longtemps, qui s'intéresse plus à la magie en elle même qu'au statut de sang. Pour eux, il n'y a que deux types de personnes : Les sorciers et les non-magiques. Tous les membres de la famille se doivent de porter le nom Maxia, même s'il est transmis par la mère.

surnom(s) » Alex. Plus personnes ne l'appelle vraiment Alessandro. Alex est donc aujourd'hui plus qu'un surnom, c'est comme ça que tout le monde le connait. Ale. Un surnom employé par ses amis les plus proches et Lukas. Minaccia. Son surnom au sein de l'ordre, une référence aux romans que sa mère aime tant.

date de naissance » Alex est né le 5 février 1977, à Calvi, en Corse. Il a 30 ans.

origines & nationalité » Alex est avant tout corse. La famille de sa mère est originaire de Sardaigne, celle de son père de Tahiti. Son grand-père maternel est nigérian, sa grand-mère paternelle cambodgienne. Il a également des origines grecs, brittaniques, scandinaves, et amérindiennes.

pureté du sang » Alex est de sang-mêlé mais est né cracmol, une vrai tâche sur l'arbre généalogique des Maxias. Lui a finit par s'y habituer, s'appropriant le terme, aimant presque cet entre-deux même si ce n'est pas toujours facile au milieu de la résistance sorcière. En tout cas, il préfère largement ce terme à celui de Dannato, avec lequel il a grandit.

métier/études » Alex n'a jamais pu mettre un pied à Beauxbâtons. A la place, il a étudié dans une école privée moldue à Monaco en attendant que ses parents trouvent mieux. Il est finalement confié à une équipe de chercheurs travaillant pour le gouvernement magique britannique, en 1990. Axel devient alors un sujet d'étude pour le Projet Lancaster. Quelques années plus tard, il réussit à s'enfuir avec un groupe de cracmols et Lukas, et devient alors un fugitif. Ils se réfugient d'abord à Galway, en Irlande, où il travaille en tant que serveur dans un petit restaurant familial français. Quand il rejoint l'Ordre, il travaille en tant que passeur mais aide aussi dans certaines missions réservées aux cracmols ou aux archives de la résistance.

orientation & état civil » Alex ne s'est jamais trop posé la question. Il était très rarement en contact avec les autres dans sa jeunesse, puis a passé la plus grande partie de son adolescence enfermé dans un manoir, à jouer les rats de laboratoires. Il n'a jamais vraiment mis de mots sur son orientation mais une chose est sûre, il aime les hommes, et plus particulièrement, il aime Lukas.

camp » Difficile de choisir un camp dans une guerre où l'on se sent exclu, utilisé, laissé-pour-compte. Alex travaille quand même pour l'Ordre du Phénix. Membre du cercle 3, il se charge, avec les autres de son groupe, de toutes les taches ingrates que les sorciers ne peuvent pas prendre en charge, comme l'évacuation des réfugiés ou l'attentat contre Gringotts.

baguette » Il n'en a pas, n'en aura jamais. Au Projet Lancaster, on faisait toujours en sorte qu'aucun lien ne se crée entre les baguettes et les cracmols quand ils étaient testés. Aujourd'hui, il lui arrive de tenir et d'examiner celle de Lukas, presque avec fascination, révérence, parfois, mais c'est tout.

patronus » Il ne peut pas en produire, bien sûr, mais Lukas lui assure que ça serait une lionne.

épouvantard » C'était l'un des essais mené par le Projet Lancaster. Comment réagirait un épouvantard face à un cracmol. La réponse a été rapide : comme d'hab. C'est ainsi qu'Alex a eu la confirmation que son plus grand cauchemar était ce qu'il était en train de vivre. L'épouvantard à pris la forme des chercheurs du Projet Lancaster.

particularité(s) » A part le fait qu'il soit un cracmol, la seule particularité d'Alex est qu'il parle couramment un mélange de corse, sarde, et italien, ainsi que français, et anglais. C'est aussi un excellent cuisinier et il est passionné de littérature.

Heritage

Les Maxias sont une famille initialement sarde qui a finit en Corse il y a bien trop longtemps pour qu'on s'en souvienne. C'est une famille au sang-mêlé, fait de sang-purs mais aussi de nés-moldus, cherchant une seule et même chose : la puissance magique. Chez eux pas d'histoire de sang. Ce qui compte, c'est le flux. Les né-moldus intriguent mais ne sont pas rejetés, bien au contraire. L'arbre des Maxias les accueille avec plaisir. On les surnomme les Nuovi. Ce que les Maxias abhorre pas dessus tout, c'est l'absence de magie. Les moldus sont méprisé, rabaissé, pris de haut. Quant au cracmols, ce sont des parias, des maudits, les Dannati.

La réputation de la famille la précède : les Maxias sont des amoureux de la magie, des touche-à-tout, de véritables humanistes magiques. La grand-mère d'Alex, Catarina Maxia, est une femme forte, l'ainée de la famille Maxia, mère de cinq enfants et Présidente de la Fondation Cesare-Maxia, qui finance, entre autre, l'académie de Beauxbâtons. Son grand-père, Nhean Okoro-Maxia, est un intellectuel sollicité, spécialiste des relations inter-espèces, notamment de la question gobeline. La mère d'Alex, Madalena, est leur troisième enfant et est responsable de l'image de la fondation. C'est une amoureuse de littérature, une passion qu'elle a transmise à son fils. De l'autre côté de l'arbre généalogique d'Alex, il y a la famille Kalani. Ce sont les fondateurs de l'Observatoire Magique de Corse, un institut d'Astronomie connu à travers l'Europe. Originaire de Tahiti, ils s'entendent à merveille avec les Maxias sur leur vision du monde. Le père d'Alex, Hiro, est un chercheur en Astronomie qui se voyait déjà transmettre son héritage à son fils unique.

Alex a grandit au milieu de tout cela; deux familles intellectuelles, en apparence ouvertes d'esprit, ambitieuses et déterminées, lui répétant qu'il était destiné à un très grand avenir, sa future carrière changeant d'une semaine à l'autre - professeur émérite, directeur de recherche, philanthrope, ministre de la magie... S'il est né à Calvi, c'est bien plus au centre de l'île, dans les montagnes, du côté de Corte qu'il a grandit. Fils unique de Hiro et Madalena, il a de nombreux cousins, le plus âgé ayant quinze ans de plus que lui et la plus jeune six ans de moins.

Squib

Chez les Maxias, la magie est un don sans cesse célébré. Lorsque qu'un enfant montre des premiers signes de magie, la tradition veut qu'on organise une grande fête, accompagnée de toute sorte de rituels visant à déterminé l'avenir de l'enfant en question. En général, cette célébration a lieu entre les 3 ans de l'enfant pour les plus précoces - on attend toujours de vrais signes indiscutables avant de faire quoi que ce soit - et les 6 ans pour les plus tardifs. Quand, à 7 ans, Alex n'a toujours rien fait exploser ou changer de couleurs, le doute s'installe avec la panique. Que faire ? La première solution apportée est de ne rien faire et de continuer à attendre, à espérer. Un des oncles d'Alex va même jusqu'à prétendre qu'une déclaration de magie tardive signifie de grands pouvoirs. Mais Alex a 8 ans et reste incapable de faire quoi que ce soit et on décide de tenter autre chose. On donne alors à Alex des doses régulières d'une potion censée booster ses pouvoirs mais la potion n'a pour seul effet que de le rendre malade. L'été de ses 9 ans, il est transféré en urgence à l'Hôpital Magique de Nice alors qu'il manque de mourir, empoisonné. Après un séjour de plusieurs mois à l'hôpital, Alex est envoyé chez un psychomage, sa famille espérant que son absence de magie soit simplement du à un blocage psychologique. Malheureusement, le psychomage ne leur apporte pas les réponses qu'ils attendent et après de longues semaines de déni, ils finissent par accepter le fait qu'Alex soit un cracmol. Si c'est pour eux la pire chose qui pouvait leur arriver, Alex reste l'enfant chéri de la famille et les Kalanis-Maxias sont déterminés à trouver une solution. En 1987, on l'envoie alors étudier dans un pensionnat moldu à Monaco le temps de trouver quelque chose. Ce n'est que trois ans plus tard qu'une nouvelle solution s'offre à eux.

Lancaster Project    tw abuse, death mentions

Le Projet Lancaster est un projet certes très ambitieux mais surtout très secret. Dirigé par Henry Derwent, son but est d'étudier les limites de la relation entre la magie et les cracmols et ainsi, peut être, "régler le problème." La recherche est menée dans un manoir à Lancaster - d'où le nom - et sur des sujets humains. N'ayant pas idée de l'ampleur des tests effectués, les parents d'Alex décident de le confier au projet. Alex accepte sans trop se plaindre, ayant beaucoup de mal à suivre à l'école moldue et voulant deséspérement être un sorcier normal. Il part pour l'Angleterre l'été de ses 13 ans et emménage au manoir où il partage sa chambre avec un autre cracmol du nom de Cole. En tout, ils sont cinq sujets, âgés de 12 à 15 ans. En plus d'Alex et Cole, il y a Angèle, Leonora, et Nicholas. S'ils ont tous plus ou moins le même âge, ils viennent chacun de pays et de milieux différents, l'étude cherchant à savoir si il peut y avoir des raisons biologiques ou sociales à leur état. En plus de les observer dans des situations de groupe ou individuelles, les cinq adolescents subissent également de nombreux tests pour tester leurs réactions face à diverses situations magiques. Ainsi, on leur donne à chacun une baguette lors de séances où l'on essaye de voir s'il se passe quelque chose (rien). On essaye de voir également s'ils peuvent utiliser l'occlumencie (non). On leur donne du Felix Felicis, du Polynectar, du Veritaserum, de l'Amortentia, et toutes sortes d'autres potions pour voir leurs réactions (très faibles effets pour certaines, cela les rend surtout malades). Enfin, on teste sur eux certains sorts comme des sorts de métamorphose (très douloureux, effets partiels) et, de façon plus rare, le sortilège de l'Imperium (encore plus puissant que sur un sorcier, vide le sujet de son énergie quand le sortilège est rompu).

Si les tests sont toujours très contrôlés et observés de près, plus le temps passe et l'absence de résultats concrets se fait ressentir, plus les choses... dérapent. Les tests sont plus longs, plus poussées, plus agressifs. Les observateurs tournent plus facilement le dos face aux signes de maltraitance flagrant, et on élargit les zones de recherches. Les temps de convalescences sont raccourcis entre les différentes potions, au sortilège de l'Imperium s'ajoute le sortilège Doloris (effets similaires à l'Imperium), et on essaye d'autres procédés magiques, comme le rituel pour devenir animagus. C'est Cole qui en fait les frais et il décède en 1992, sans arriver au bout de l'essai.

Alesskas    tw suicide mentions

A la suite du décès de Cole, l'un des chercheurs du projet démissionne. Ou est renvoyé. On ne sait pas. En tout cas, on ne le reverra jamais. Derwent ramène alors à Lancaster son protégé, Lukas Spencer. Il s'agit d'un jeune sorcier de 19 ans débutant sa carrière dans la recherche magique. Anglais, il est de sang-mêlé et a étudié à Poudlard. Alors qu'il était en cinquième année, sa grande soeur, cracmol, se suicide, ne supportant plus le traitement qu'on lui reserve. Lukas se plonge alors dans ses études, déterminé à découvrir... quelque chose, n'importe quoi, qui pourraient aider les cracmols à "guérir". A la fin de ses études, il devient stagiaire pour Henry Derwent à Ste Mangouste avant d'avoir assez gagner sa confiance pour intégrer le Projet Lancaster. S'il croit d'abord dur comme fer à ce projet, il déchante rapidement. Assigné à l'infirmerie du manoir, Lukas est chargé de soigné les sujets lorsque les tests dérapent. Il découvre alors avec horreur le genre de traitements que subissent les quatre adolescents. Il passe notamment énormément de temps avec Alex qui au début se montre extrêmement méfiant avec lui. Petit à petit, cependant, Alex apprend à connaître Lukas et lui apprend ce qui est arrivé à Cole. Horrifié, Lukas est alors plus déterminé que jamais a aidé Alex, Angèle, Nicholas, et Leonora. Deux ans après avoir rejoint le programme, Lukas les aide à s'évader et tous les cinq prennent la fuite vers l'Irlande, en 1994. Ils s'installent à Galway où ils disparaissent parmi les moldus. Alex, alors âgé de 17 ans, se trouve un travail dans un petit restaurant du coin, tenu par une famille française qui le prend sous son aile.

Lukas et Alex se rapprochent de plus en plus pendant leurs années passées à Galway. Lukas commence à comprendre qu'être cracmol n'est pas forcément quelque chose d'horrible, d'insurmontable, et Alex guérit doucement sans pour autant oublier ses traumatismes. Quand Lukas se rend compte qu'il commence à ressentir quelque chose de fort pour Alex, il essaye de l'ignorer au départ, ne voulant pas casser ce qu'ils construisent petit à petit, se rendant bien compte que les circonstances dans lesquelles ils se sont rencontrés sont loin d'être idéales pour construire une relation amoureuse. Finalement, c'est Alex qui fait le premier pas, aidé par Leonora, Angèle, et Nicholas.

The Order

Alex n'était pas fait pour la guerre mais plutôt pour la raconter. C'est souvent ce qu'il dit, quand les choses deviennent trop compliquées, trop dures à supporter. Au début, il rentre en contact avec l'Ordre sans vraiment le savoir. La première fois, c'est lors de son évasion du Projet Lancaster. Lukas explique qu'il a demandé de l'aide à des amis de sa famille mais n'en dit pas plus. Tout au long de leurs années à Galway, Lukas reste en contact avec ces mystérieux "amis" mais reste vague à chaque fois qu'Alex et les autres demandent à en savoir plus. Cela crée des tensions au sein du groupe jusqu'à ce que Lukas finisse par craquer, en 1999. Il révèle alors que ces amis sont des membres de l'Ordre du Phénix. En plus de cela, il leur avoue souhaiter les rejoindre afin de les aider à lutter contre le nouveau régime qui s'installe au Royaume-Uni. Au début, aucun des quatre rescapés de Lancaster n'est vraiment pour l'idée mais ils finissent par accepter vers la fin de l'année. Il regagne le Royaume-Uni à travers les routes sécurisées de l'Ordre pour rejoindre Wolverhampton. Lukas se porte volontaire pour aider au laboratoire, tandis qu'Alex, Angèle, Leonora, et Nicholas jouent les passeurs pour évacuer les réfugiés. En 2003, quand Wolverhampton est attaqué, le groupe est obligé de fuir pendant quelque temps avant de pouvoir établir une planque permanente à Stratford-upon-Avon - un fait qui ne manque pas de mettre Alex dans tout ses états. Alex et les autres s'habituent finalement rapidement à la vie au sein de l'Ordre mais cela leur pèse quand même dessus, ne pouvant s'empêcher de se sentir quand même à part, différents. La nouvelle hiérarchie n'aide pas non plus, Lukas, en tant que membre du cercle 5, visiblement contraint de garder sous silence certaines choses. Alex est sûrement celui supportant ces secrets le moins bien, même si les autres ne sont pas non plus ravis. Cela mène a des disputes entre lui et Lukas, qui se met à passer de plus en plus de temps au laboratoire. En mai 2007, Lukas travaille sur des données envoyées par Ernie Macmillan. Au cours de ses recherches, quelque chose tourne mal et un sortilège se déclenche contre lui, le faisant perdre connaissance.

Bookworm

L'amour d'Alex pour les histoires commence avec La Minaccia et les aventures d'Alessandro De Leon. Plus tard, quand les doutes sur ses pouvoirs se font de plus en plus nombreux, Alex se réfugie dans les livres, s'imaginant vivre de grande aventures, loin des regards anxieux et déçus de sa familles. Pendant les trois ans qu'il passe à Monaco, il découvre la littérature moldue, un passe-temps qui devient rapidement un plaisir coupable. Malheureusement, une fois au manoir du Projet Lancaster, les livres - moldus ou sorciers - se font extrêmement rares. Alex décide alors d'écrire ses propres histoires. Sans rien pour réellement les noter, tout passe par son imagination. De temps en temps, il les partage avec les autres, un peu timide mais fiers de pouvoir faire cela pour eux. Quand Lukas débarque et que lui et Alex commence à se lier d'amitié, il lui fait passer en cachette des livres moldus - surtout de grands auteurs anglais comme Shakespeare ou Austen. C'est à Galway qu'Alex peut pleinement et réellement s'adonner à sa passion, découvrant de nouveaux auteurs, dévorant livre après livre avec avidité. Une fois au sein de l'Ordre, il se redécouvre le plaisir d'écrire, notamment incapable de vivre tout cela sans le mettre par écrit. Ce désir, cette nécessité de travail de mémoire le conduit aux archives de l'Ordre où il passe une grande partie de son temps.

Words, words, words

Alex est avant tout un rêveur. Il est curieux et a une imagination débordante. "Ta magie, ce sont tes mots," lui a dit doucement Angèle un soir alors qu'ils étaient ensemble à l'infirmerie du manoir Lancaster. C'est sans doute la façon la plus simple de résumer Alex. Il a besoin de parler, s'inquiète toujours de bien expliquer chacune de ses pensées pour être sûr d'être compris, entendu. Il adore écrire et parler. Sa facilité avec les mots fait qu'il hésite rarement à dire les choses, sûr d'arriver à faire passer la pilule plus ou moins facilement. Si avant son arrivée au projet Lancaster il était connu pour son grand optimisme à la limite de la naïveté, aujourd'hui, il a développé un cynisme qui le rend parfois blessant, un peu trop dur. Son don avec les mots exacerbe aussi bien ses qualités que ses défauts. Toujours lié à cela, Alex a la fâcheuse tendance à accaparer la discussion, ayant un peu tendance à penser qu'il est le plus intelligent parce qu'il sait former les plus belles phrases. Enfin, si Alex sait aujourd'hui que l'héritage Maxia n'est plus le sien, cela ne veut pas dire qu'il ne rêve plus de grandeur. Il compte toujours accomplir de grandes choses, mais plus pour la cause cracmols qu'autre chose.