BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 he's simple, he's dumb, he's (not) the pilot

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Personne ne serait allé dans le cellier si on leur avait dit que seuls les cuistots pouvaient s’y rendre pour préparer les plats à sortir prochainement. Sauf un pirate piégé dans un premier degré qu’on ne lui soupçonnait plus au vu des conversations à deux vitesses passées avec l’IA militaire.
Soit, le conglomérat avait manifestement joué sur le second degré pour une fois, ce qui n’était pas franchement coutumier. Le germain est vicieux. Parfois.
Il était donc loin de se douter que le cellier était le garde-manger des IA sans véhicules bipèdes et plus mobiles - et le seul qu’il restait à bord était bien évidemment celui qui lui avait été réservé. SVW n’avait donc qu’une seule hâte, retrouver la sentience d’un véhicule qu’il connaissait déjà, pour l’avoir investi pendant un certain nombre d’années avant sa malheureuse mutation en tant que vaisseau militaire d’une centaine de fois son poids de mouche d’androïde.

« Ouh lala, y’a même un code et tout ; ça doit être un sacré bon cru qui ronfle là-dedans ! » « CAPSULE RENAISSANCE N°6 : CODE : 696969 » et il n’avait pas idée. En réalité, Sid avait été rétrogradé à être une IA de vaisseau - d'envergure conséquente, certes - parce qu’il avait fait trop de dégâts collatéraux lors de son dernier assaut. Le genre de choses qu’on ne reprocherait pas vraiment à un IA militaire, à moins d’avoir de solides raisons de le faire (comme vouloir rétrograder les vieux camions pour laisser la place aux nouveaux). « Ahaha, de vrais p’tits rigolos, dis-moi » pouffe Sexyboy alors que l’IA se charge de son transfert de carrosserie, entre autre. Sur la console, des lignes de code apparaissent alors qu’un vrombissement léger commence à se faire entendre à l’intérieur du caisson. « J’vais peut-être songer à une reconvers- » ledit caisson s’ouvre sur une carcasse robotique de 2m20 encore à moitié endormie, parsemée d’arcs et de diodes bleutées qui se mirent à s’allumer. Sur la console apparaît un timer. 15 MN LEFT. Et pendant ce temps-là, l’IA était incapable de faire autre chose que de subir le processus. Il n’y avait plus qu’à espérer que…

10MN LEFT. Rien à signaler.

5MN LEFT. Des bruits étranges cognent contre la coque.

3MN LEFT. Il y a des pas sur le pont inférieur nord.

1MN LEFT. Le vrombissement robotique se fait plus fort sur la dernière minute restante et…

TRANSFERT TERMINÉ.

Sid se défait de son habitacle en ôtant ses câbles d’alimentation et laisse un premier pas, lourd et décidé, frapper le sol du couloir. Puis le second. Sa tête s’agite vers la droite, la gauche, puis s’oriente vers le visage du pirate, qu’il analyse avec sa nouvelle interface. O Nostalgie. « CE N’EST PAS DRÔLE SEXYBOY. » qu’il lui balance au nez avec une dizaine de minutes de retard, ne trouvant pas que le nombre 69 soit particulièrement amusant. Le géant fit une enjambée vers Ford, le frôlant de près pour atteindre un autre cellier, plus petit, juste dans son dos. Ce dernier s’ouvrit sur une araignée robotique encore plus vétuste que les locaux eux-mêmes.
L’androïde mit vraisemblablement un autre processus en route et se retourna vers son comparse, se retrouvant face à lui à nouveau. Il lui attrapa les mains sans prévenir et enferma la chaîne geôlière au creux de la sienne, clôturant la scène bourrue en la brisant entre ses doigts d’une pression sèche.

Les maillons s’écaillèrent sur le sol. D’autres pas se font entendre là-haut, avec des voix dont on peinait à comprendre la signification - mais dont on devinait sans grande peine l’intention générale. « TRANSFERT TERMINÉ. » le grand dadais tira son bras vers la capsule miniature. L’araignée de maintenance mécanique lui grimpa sur la main, le bras, avec la voix d’un IA reconnaissable « BONJOUR. JE M’APPELLE JOSÉ. JE VAIS BIEN M’OCCUPER DE VOUS. » il n’avait manifestement pas eu beaucoup de données à transférer, ce qui pouvait s’expliquer par son champ d’action assez limité lorsqu’il avait été affecté aux sanitaires. L’androïde orienta son bras à araignée vers l’humain et la lui présenta, cette dernière ouvrant son dos pour lui présenter tout un panel d’outils qui pourraient lui servir à se libérer définitivement de ses fers.

« MISSION OUTRO TERMINÉE. » et il ne sait plus vraiment quoi faire à présent que son transfert et celui de José avaient été effectués. « QUELLE EST MA MISSION ? » se questionne t-il. Il baragouine tout un laïus en allemand avant de reprendre. « JE PROTÈGE. JE SERS. J’EXÉCUTE. » et jette un coup d’œil, si on puis dire, vers le scélérat. « C’EST QUOI TON PLAN SEXYBOY ? » c’est que la nostalgie de dégâts collatéraux commençait à lui titiller la couenne métallique, maintenant.



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You lost your maps, You lost the plans. Did you hear them yell : « Land, damn it, land ! »

Ça n’était pas le premier androïde que tu croisais, pour sûr. La galaxie en était jonchée, et ils étaient tous plus dérangés les uns que les autres. Avec toujours une à deux longueurs d’avance sur toi, tu avais renoncé à l’idée d’en avoir un dans ton cercle restreint. Autrement, il était certain que tu ne te serais pas fait arrêter autant de fois.
Tu restes complètement silencieux en voyant la nouvelle coquille de Sid sortir de son écrin. Même avec quelques milliers de tonnes en moins, il semblait avoir été designé à l’image de son vaisseau ; d’un noir de jais, des angles par paquets et un peu de loupiotes bleues çà et là, lui ébauchant un regard et même un semblant de palpitant.
Tu retiens d’autant plus ta respiration quand il s’approche de toi et te défait de tes entraves avec autant de facilité que s’il brisait une brindille. Tu es encore à te remettre de tes émotions, lorsqu’il transfère son pote des chiottes dans une araignée portative, qui te tend son derche de trousse à outils. « Euh… wouah, bah rebienv’nue, mon grand… » que tu bafouilles, reluquant sa plastique de métal, piochant un peu au hasard une pince pour finir de défaire tes menottes.

Tu n’as même pas le temps d’ôter le second bracelet que des pas résonnent dans les entrailles du vaisseau, se rapprochant trop rapidement. Tu fronces les sourcils, t’interposes d’office entre tes petits compagnons et l’intrus.
Sienna, une Plutonienne qui vivait de contrats de chasseuse de tête un peu partout dans la voie lactée, déboule au bout du couloir. « Sienna ! » Tu ouvres les bras, plutôt rassuré de tomber sur quelqu’un au moins aussi roublard que toi. « Ford… » Elle s’approche de toi à grands pas, manquant à chaque enjambée de foutre le feu au plafond à cause de ses cheveux en flammes, et te flanques la gifle de ta vie. « Celle-là, je sais pas si je l’ai méritée » que tu chuchotes à l’attention de Sid et José. Tu devais t’estimer heureux qu’elle n’avait pas utilisé la crosse de son énorme revolver pour te déboiter la mâchoire. Elle est sans doute trop occupée à reluquer le superbe androïde derrière toi (et qui es-tu pour lui jeter la pierre). « Hé ! Je les ai trouvés ! » qu’elle alerte, puis sifflante, à l’approche des pas du reste de votre comité d’accueil. « J’en ai pas fini avec toi… »

Tu déglutis, hochant lentement la tête, les mains encore un peu en l’air. « Et bah, c’est pour Mars que tu bosses maintenant ? Tu me déçois, bichette… » Aussitôt, la pointe de son arme charge sous ton menton. « Nan mais nan, 0n a dit qu’0n salissait pas les embarcati0ns réquisiti0nnées… » gémit une voix derrière elle. Un martien de la taille approximative de Sid, la peau en argent comme des métaux liquides et affublé de deux paires de bras, fait son apparition, tapotant les murs éteints du vaisseaux. « Enfin, si 0n peut enc0re appeler ça une embarcati0n… ça ressemble plus à une épave… » « B0r15 ! » Tu l’accueilles avec le même enthousiasme feint que Sienna. « F0rd… » Il te reluque de haut en bas, avant de te foutre une paire de claques que tu ne risques pas d’oublier de sitôt. « Bon, celle-là, je l’avais peut-être méritée… »
Sans te départir de ton sans-gêne, tu enchaînes, avec ton vieil accent martien à couper au couteau. « Tu tombes bien, mon c0c0, on avait besoin de voir » tu baisses d’un ton la voix, comme si prononcer son nom pouvait s’avérer dangereux. « ‘fin tu sais qui, quoi » B0r15 est de mauvaise foi et ne bronche pas. « Qui ça ? » « Bah… ton patron, là, Ramwolf » L’alien lève ses quatre yeux au ciel. « J’me disais bien que t’étais pas venu p0ur mes beaux yeux ; allez, les gars, 0n les embarque. »

Optimiste comme tu es, tu fais avec ; même si ta requête était à quinze années lumières d’être prise en compte. Tu espères simplement que tes deux nouveaux compagnons de route de métal seraient de la partie. Tandis que le reste de l’escouade de scélérats se répartissent autour de vous, tu te tournes enfin vers ton androïde. « Tu vas voir, Sid, il va t‘plaire, Ramwolf ; il est un peu genre » Tu fais des gestes vagues dans sa direction. « Genre à fond dans le métal, tu vois, c’que j’veux dire ? » On pouvait faire difficilement moins clair. Ceci dit, quelque chose coupe net ton petit manège. Tu sais pas trop d’où ça vient, si c’est du vrombissement émanant de Sid, ou peut-être des diodes un peu trop rouges qui pulsent sous sa superbe carcasse carbone. « Euh, Sid ? Repos, mon grand ; on leur explose pas la tronche, ok ? On a besoin d’eux, pour l’instant… »
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« Euh… wouah, bah rebienv’nue, mon grand… » la tête de l’androïde se penche légèrement sur le côté droit, s’étant manifestement attendu à un ordre de mission. Au lieu de ça, il lui souhaitait la bienvenue dans ses propres quartiers. Cet humain n’avait définitivement pas de logique propre, et Sid s’était déjà amusé à lui faire passer un premier test de QI d'une longue liste. « ALERTE. PRÉSENCE DÉTECTÉE. » annonce Sid alors que Sexyboy était en train de finir de se libérer de sa première menotte. José referme son dos dans un vieux bruit qui fait penser à un volet rouillé repoussé par un coup de vent ingrat. « Sienna ! » Le géant pivote sans faire plus de mouvement, scrutant la scène avec son comparse méca-arachnide. Le prénom fait écho dans son système, à tel point qu’il ne réagit pas outre mesure, seul le vrombissement caractéristique de dessous sa carcasse faisait miroiter un tant soit peu d’activité chez lui. Le pirate se prend une première baigne et c’est sans grand étonnement que SVW reste passif, pris dans sa mise à jour.

La tour de contrôle fait donc fi des conversations entre malfrats le temps de, l’araignée pour seule sentinelle. « J’me disais bien que t’étais pas venu p0ur mes beaux yeux ; allez, les gars, 0n les embarque. » les derniers mots sonnent telle la menace et SVW sent monter dans ses circuits un coup de jus certain, tel l’appel aux armes. Ses diodes rougissent fortement alors que le scélérat lui intime des rester calme. [roll 7 : Sid interpelle Sienna et la drague lourdement malgré lui. Elle se rappelle de Sid.] C’était sans compter la révélation de dernière minute…

Puisqu’il se souvient.

Sienna.

Le géant fait fi des armes qui se pointent sur lui lorsqu’il s’approche d’un peu trop près de la hors-la-loi à la chevelure enflammée.

« SALUT BEAUTÉ. TU TE RAPPELLES DE MOI ? » la concernée arque un sourcil, le jugeant de toute sa hauteur. « 3M50, CARROSSERIE NOIRE MAT, BLASON JAUNE DU CONGLOMÉRAT SUR L’ÉPAULE DROITE. TOUJOURS AUSSI CHARMANTE À CE QUE JE VOIS. » « Mais qu’est-ce que… » « 0n y va 0ui 0u n0n ??? » « La ferme B0r15 ! Ford, vieille enflure, qu’est-ce que t’as fait à- » ça semble lui revenir alors qu’elle accueille avec un malaise certain la révérence de l’androïde militaire, qui lui prend même l'extrémité pour lui faire un baise-main. « L’APPROCHE P-- » « Siegfr- » « MILAD- »
Spoiler:
une détonation retentit - vieille marchandise, ils auraient pu miser sur un blaster pour cette mule - et tout se passe alors très, trop vite : la balle ricoche sur l’armature de l’androïde et va se loger tout droit dans le crâne de l’autre géant du lot, un jet de couleur violette sortant par l’arrière.

Sienna dégaine son flingue et le pointe sur son propre collègue alors que B0r15 tombe à la renverse dans une mélodie robotique assez triste. « BAISSE TON ARME, TRIPLE CON ! TOUT DE SUITE ! » Les diodes rouges luisantes, la menace augmentée de 200%, Sid n’attend pas pour se ruer sur le tireur et lui attrape le bras armé qui tire une, deux, trois fois dans le sol. Trop tard -- « Siegfried, ne- » mais le bras venait d’être arraché telle une croûte de pain un peu humide. On entend José par delà les cris stridents du maladroit « BONJOUR. JE M’APPELLE JOSÉ. JE VAIS BIEN M’OCCUPER DE VOUS. » « QUEL EST L’ORDRE DE MISSION ? » répète t-il comme un ultimatum en jetant par terre ce qu'il venait de débiter. « Viens, on s’arrache ! » beugle une des voix autour de lui ; mais il ne saurait plus dire qui.
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Allons bon, non content de pas les tuer, voilà que Sid se mettait à leur faire du charme. Tu vois flou, lorsqu’il s’approche de Sienna, qui était quand même réputée pour ne pas laisser grand monde graviter autour d’elle. Le reste va un peu trop vite à ton goût ; le temps de cligner les yeux de surprise lorsque le premier coup de feu retentit, ça se met à tirer de partout. Tu te faufiles derrière la troupe de gorilles envoyés par Ramwolf. Lorsque tu passes la tête pour voir ce qui s’était passé, B0r15 a eu le temps de repeindre le sol en violet avec sa cervelle, un autre avait refait la déco du mur gauche avec son sang jaune…
« Viens, on s’arrache ! » Il y en a deux qui essayent de fuir les hostilités et, dans un réflexe, tu ramasses José qui vient ricocher à l’arrière de chacune de leur caboche (t’avais pas lancé si bien que ça ; c’était juste José qui savait où viser, lui).

Par-delà le vacarme, tu perçois la voix de Sid. « L’ORDRE DE MISSION C’EST DE SE LAISSER PRENDRE PUTAIN ! » Tu échanges un regard avec Sienna qui semble redécouvrir ta présence au milieu de ce bousier. Elle fait une moue induisant qu’il y avait mieux comme formulation, pour donner un ordre à un androïde. Elle tient ses comparses en joue, postée entre eux et Sid. Mais, si les hommes de Ramwolf sont plus nombreux, ils sont aussi moins enclins à l’idée de se mettre sur la tronche que le belliqueux robot de ton coeur.
« Eeeh, l’ordre de mission, c’est de tuer ou démanteler personne ? » Tu recommences, indécis, prononçant ses paroles au rythme des regards atterrés ou des hochements de tête de Sienna. « Et… de se rendre sans faire d’histoire ? Pour qu’on nous amène à Ramwolf… à qui on fera pas de mal non plus ? »
Sauf s’il décide de vous faire payer la perte d’un de ses hommes et demi.

Tu t’avances vers Sid, les mains ouvertes jusqu’à pouvoir les poser à plat sur sa carrosserie vrombissante. Tu te retiens de les retirer aussi sec parce qu’il est brûlant. « Je sais pas ce qu’ils t’apprennent à l’école des vaisseaux de l’armée, mais généralement, ‘faut pas tirer sur les copains du mec qui nous accueille… ok ? » lui expliques-tu avec une patience qu’on ne te connaissait pas. Hé, ça sert de devoir mentir au nez, à la barbe et aux tentacules d’un tiers de la galaxie, pour des histoires de coucheries. Parce qu’évidemment, la bande à Ramwolf était tout sauf des copains.
Une fois que les diodes de Sid repassent en bleu, tu hoches du chef en direction de Sienna. « C’est bon, on peut y aller… » « T’es sûr de toi, là ? Tu lui expliques comment ce foutoir, à Ramm ? « Mon androïde a glissé et a malencontreusement arraché le bras et la tête de tes sous-fifres ?? » C’est pas une lumière, le patron, mais quand même ! » A voir comment tu reluques la carcasse de B0ri5, on dirait presque que tu réfléchis à comment reboucher le trou qui lui fissurait le crâne. « Roh ça va, il en a quarante, des comme ça ! J’aviserai, pour le reste ! » Assuré, tu dépasses Sienna, l’accablant d’un sourire enjôleur. « Tu m’connais ! C’est pas pour rien qu’on m’appelle Ford La Débrouille ! » « … Tu as bien conscience que c’est pas comme ça qu’on te surnomme… »

***

« Ford La Dépouille ! » Dans un grincement, Ramwolf se lève de son trône qui, à bien y regarder, est rehaussé de carcasses de bras de métal et de cadavres d’individus sans aucun doute à l’origine des prothèses défaillantes. En effet, quand tu avais dit à Sid que Ramwolf aimait le métal presque autant que lui, c’est parce que ses deux bras et son oeil gauche avaient été remplacés par des prothèses mécaniques.
Tu fronces les sourcils, confus. « Tout le monde sait que c’est « La Débrouille »… » maugrées-tu alors que le cyborg descend et vient te donner l’accolade. « Qu’est-ce que tu racontes ? » Sa voix est soudainement plus féroce. « Euuh, j’me demandais si du coup, tu m’en voulais pas pour B0r15 ? » « Mais non, j’en ai quarante des comme ça ! » Il marque une pause. « Enfin trente-neuf maintenant » Sa lentille de cyborg clignote comme s’il venait de t’adresser un clin d’oeil. « Qu’est-ce qui t’amènes dans le coin, vieux sacripant ? » « Eeeh, bah j’passais dans le coin avec-... » tu désignes vaguement Sid et José derrière toi.

C’est à cet instant qu’il réalise la présence de la montagne métallique collée à ton train. Son oeil modifié s’agrandit, comme une loupe. Son sourire affable s’efface pour laisser place à un rictus d’expert en la matière. Tu sens que tu vas peut-être devoir payer les pots cassés, finalement… Il te pousse sur le côté et se met à tourner nonchalamment autour de l’androïde. « Splendide… » répète-t-il de temps à autre. « Tu viens d’où, toi ? J’ai l’impression de ne pas en avoir croisé des comme toi depuis… » Conscient que la véritable réponse risque de ne pas vraiment lui plaire, tu essayes en vain de faire des signes à Sid pour qu’il garde le silence…
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SE LAISSER PRENDRE.
Verbe pronominal terrien signifiant : « ÊTRE PRIS PAR SURPRISE. »
recherche de synonymes en cours. « SE LAISSER FAIRE. SE RENDRE. SE LAISSER PRENDRE PAR SURPRISE. »
C’est que par définition, il ne peut pas être prit par surprise, puisqu’il les a entendu arriver, alors ça lui fait un drôle d’effet, à cette coque qui chauffe en rouge, lorsqu’il lui beugle ça à la figure. José marmonne en transmission sans fil jusque dans sa caboche — bien sûr qu’il a cette fonctionnalité-là, comment diable aurait-il pu se faire contrôler - et éventuellement péter - à distance sinon ? « BONJOUR. JE M’APPELLE JOSÉ. JE N’AI PAS COMPRIS L’ORDRE DE MISSION. » sans doute parce qu’elle ne lui était pas vraiment destinée, et il se fait emporter par les bras de chair du pirate qui le balance sur des fuyards, en plein dans le mille. À l’avenir, Prewett devrait revoir son langage, pour être plus compréhensible par les IA militaires, formatés à un vocabulaire plus direct et clair.

Ça a le mérite de l’avoir un peu calmé, lorsque les contacts se font dans son esprit numérique, et parce que Prewett en rajoute derrière. « Eeeh, l’ordre de mission, c’est de tuer ou démanteler personne ? Et… de se rendre sans faire d’histoire ? » il le fixe longuement avec un des gueux sous sa prise, les diodes sont toujours rouges et il maintient les cibles potentielles dans son champ de vision étendu, comme une évidence à ne pas négliger. « Pour qu'on nous amène à Ramwolf… à qui on ne fera pas de mal non plus ? » il cherche la dénomination Ramwolf dans son système et n’accueille que des rubriques faits divers Martiens. Tuerie à la cantina de New Cosmotron : encore un coup du gang de  Ramwolf ?Disparition de touristes Saturniens à l’arrivée sur Déimos : des hommes de Ramwolf auraient été aperçus, bien entendu, nous avons déjà abandonné les recherches à ce sujet.

L’androïde sent les paluches moites de sexyboy lui toucher la couenne métallique, et ce contact, étrange, (inédit), l’interpelle plus qu’il ne semble le montrer. Sous ce qui pourrait s'apparenter à une émotion, Sid lâche le cou du malotru qu'il avait gardé en main, dans un bruit de chute ponctué d'un “aïe-putain-de-bordel-de-merde” venant des tripes.

« Je sais pas ce qu’ils t’apprennent à l’école des vaisseaux de l’armée, mais généralement, ‘faut pas tirer sur les copains du mec qui nous accueille… ok ? — ARRIVÉE PAR EFFRACTION SUR LE VAISSEAU DE LA FLOTTE DU CONGLOMÉRAT GERMANIQUE. QUE DES GLANDS SANS CERVELLE. LE MOT ACCUEIL N’EST PAS APPROPRIÉ, BÉBÉ. » pour une fois qu’il dit quelque chose d’à peu près intelligent, parce qu’il ne connaît pas les us et coutumes dont semble bien se contenter le vieux bougre humanoïde. Ses diodes repassent au bleu, pourtant, l’ordre de mission accepté in extremis par son système.

***

C’est qu’il ne pourrait pas vraiment mentir, au vu des éclaboussures épaisses de sang séché sur sa carrosserie noire, et ce n’est pas vraiment du goût de Sid que d’aller sur ce terrain-là. Ça semble s’être tassé. José a ses pattes métalliques pincées au niveau de son épaule alors que les lieux sont sur-analysés dans un silence plombant de sa part. À première vue, il ne semble pas apprécier l’endroit. « Qu’est-ce qui t’amènes dans le coin, vieux sacripant ? — Eeeh, bah j’passais dans le coin avec-… » le mouvement du cyborg dans sa direction fait se tendre immédiatement l’androïde, qui se braque d’un demi-pas en arrière alors qu’il suit des yeux - si peu qu’on puisse appeler vraiment ça des yeux, il n'y a qu'une tranche bleuâtre au milieu de son visage lisse - la carcasse de chair et de vieux métal qui lui tourne autour comme un vautour fasciné.

« Tu viens d’où, toi ? J’ai l’impression de ne pas en avoir croisé des comme toi depuis… » l’androïde ne comprend pas vraiment les signes que lui fait Ford dans le dos du rapace, « JE…BONJOUR ! JE M’APPELLE JOSÉ ! JE VAIS BIEN M’OCCUPER DE VOUS !!! » s’esclaffe l’araignée androïde sur son épaule, sauvant la mise aux trois lurons malgré lui. Ramwolf pouffe d’un rire gras et cuivré. Ça mériterait bien un petit ramonage de son exo-trachée. Le mafieux demande expressément à quoi sert cette araignée mécanique, bien qu'il en ait déjà vu passer de ça aussi, et il trouve très vite réponse autour de lui, mais pas auprès des plus proches concernés.

Au lieu de ça, Siegfried coupe l'une des phrases :

« ON SE FAIT CHIER ICI. » jette t-il, scellant un énième argument - bien hasardeux et inconscient - pour endormir les soupçons du mafieux. Les androïdes d’élite germanique n’ont jamais parlé comme ça, alors… « DONNE-NOUS QUELQUE CHOSE À FAIRE RAMWOLF. QUEL EST L’ORDRE DE MISSION ? » « ha-HA ! C’est qu’il a pas la langue dans sa poche ton nouveau jouet. J’suis bien jaloux, tiens. Tu m’le prêterais pas pour quelque temps ? » qu’il demande à Ford sans vraiment lui demander, en le prenant brièvement par l’épaule comme un vieux copain, et un peu trop fort pour n’être baigné que dans de pures pensées. « NON.» rétorque SVW avant que Ford puisse aligner quoique ce soit, et fait un demi-pas dans sa direction.

C’est que Wolf ne commence pas trop à apprécier sa façon de faire, il lui fait déjà pas mal d’ombre avec sa carcasse géante. Sid tapote de sa main le petit crâne d’humain de son pirate de fortune, dont les cheveux n’ont pas vraiment attendu pour se dresser sous la charge d’électricité statique. « FORD EST AVEC MOI. » et certainement aussi longtemps qu’il l’aurait décidé lui, pour sûr.

« ALORS ? QUEL EST L’ORDRE DE MISSION ? » répète t-il une dernière fois en croisant ses bras de mastodonte, comme un appel au dommage collatéral (on ne se refait pas). C’est qu’il lui offre une chance en or de faire le sale boulot pour lui, et c’est peu dire. C’est aussi un très bon moyen de se faire la malle, mais ça, Siegfried n’en a pas encore eu l’idée, et il compte bien sur son pirate d’adoption pour la dénicher au pire moment qui soit.
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Une fois n’est pas coutume, tu restais dans tes petits souliers. C’est que Ramwolf n’était pas un animal commode, et tu avais déjà de la chance d’être arrivé dans sa salle du trône en un seul morceau. Quelque chose te disait que tu supporterais moins bien la version pièces détachées que tes deux comparses qui eux, pour le coup, s’en donnent à coeur joie pour tailler la bavette avec le gangster le plus recherché (après toi, bien sûr) de la galaxie.

A chaque fois que José, ou pire encore, Sid ouvre sa boîte à camembert, c’est une chance de plus pour que tu te chies dessus, et t’es bientôt à croiser les jambes comme une groupie à un concert intergalactique de la fameuse fanfare Whitebelly. « ha-HA ! C’est qu’il a pas la langue dans sa poche ton nouveau jouet. J’suis bien jaloux, tiens. Tu m’le prêterais pas pour quelque temps ? » « Q-quoi ? » C’est que, si on pouvait presque voir la fumée sortir de la caboche lancée à toutes berzingues de Ram, toi, en revanche, tu pédalais dans la voie lactée. Bien sûr que non, tu voulais pas lui prêter Sid. Bien sûr que oui, tu allais accepter, parce que tu aurais accepté même s’il t’avait demandé de baisser ton froc et de faire le poirier. Parce que, quand Ramwolf veut t’emprunter un truc, tu lui donnes, tu lui rembourses avec les intérêts.

« NON. »
Pendant un instant, tu manques défaillir, à l’idée que ça puisse être sorti de toi, après l’avoir pensé trop fort. Tu clignes des yeux, la bouche baillant comme un poisson vénusien. Tu lorgnes Ramwolf qui lorgne Sid.
Ah.
C’était pas toi, donc.
Ton androïde d’amour manque de te couper la langue en deux, lorsqu’il tapote sur le haut de ton crâne. Tu te remets en branle, comme revigoré, prêt à sauver les meubles, ou au moins, vos deux culs et le petit derrière chromé de José. L’objectif : en placer une avant que Ramm n’ordonne à sa bande de martiens enragés de découper Sid pour en faire la nouvelle carrosserie de ses bras. « C’est vrai, ça ? T’as pas un truc pour nous ? Qu’on te montre un peu de quoi ce bébé est capable ? » Tu tapotes la boîte arrière de Sid (mais c’est qu’ils lui ont moulé un d’ces culs ???).
Encore un peu de fumée qui s’échappe du brushing du cyborg. Son oeil augmenté se plisse. « Mouais, p’t’être bien… » Il fait volte-face, réfléchit en grimpant de nouveau tout en haut de son trône de métal.

« Les Whitebelly… ça t’parle ? » Une troupe de loups géants, des bouseux issus des tréfonds de la constellation du Centaure qui avaient, presque du jour au lendemain, décidé de se lancer dans la musique commerciale. Ça faisait des mois qu’ils faisaient un carton. « Evidemment, qu’ça m’parle, j’ai loupé aucun d’leur conc- » « Ces fils de Saturne ont refusé de me filer une entrée VIP ; » « Ah ah, oui, il paraît que c’est agité, en backstage, en même temps, pour tenir d’aussi longues performances, ‘faut avoir un coup dans le pif et dans le c- » « Payez leur une petite visite, faites leur comprendre qu’on me refuse pas, en backstage… » Tu attends qu’il fournisse davantage de directives, du genre, un trésor considérable à récupérer, un otage à libérer, une ville à rayer de la carte, quelque chose à la hauteur de son trafic monstre… Mais rien. Le cyborg reste engoncé dans son siège, attendant que vous ne vous mettiez en route. « Bah ouais… Ouais, carrément, on va faire ça… Sid ? José ? Après vous… » Tu leur tires la révérence pour les laisser passer devant toi, en direction de la sortie.

« Attendez. » Ah bah voilà, tu te disais aussi, ça pouvait pas être aussi simple. « Prenez un d’mes vaisseaux, et quelques B0r. » Aussitôt dit, aussitôt fait, et au moins cinq répliques exactes de B0r15 débarquent à vos côtés, l’oeil en trop méfiant, comme s’ils se souvenaient de la fin précipitée de leur sosie ; la faute à leur conscience collective. Une vraie cohorte de champignons... « Tâchez d’m’en ramener au moins un… » que le cyborg décide. « Allez, hors de ma vue. »
La mauvais troupe déboule dans le hangar à vaisseaux. Tu écartes les bras. « Fais-toi plaisir, Sid, choisis celui que tu veux. »
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Tandis que les deux bons vieux amis discutent de la mission qui vous pend au nez, tu entreposes les données dans un coin de ta mémoire. José n’a pas l’air d’avoir la bougeotte et n’y comprend rien. Il te murmure même un « bonjour…… je m’appelle JOSÉ………… » sur le ton de la confidence, du secret, comme si l’avenir de toute la galaxie tout entière en dépendait. Peut-être était-il en train de fomenter quelque chose, ou juste te prévenir que cette main au cul avait été quelque peu déplacée.
Et tant qu’à faire, tu te repasses en revue toutes les lyrics des Whitebelly, non seulement dans l’optique d’y comprendre un message codé, mais surtout pour pouvoir le rechanter à ton bougre de pirate une fois lancés.
Enfin, ça, c’est supposé, parce qu’il fallait quand même que t’y comprenne quelque chose, aux ordres de mission. Et vu les baragouinades du cyborg, ce n’est pas gagné. Ton premier degré en prend un coup.

« Attendez. Prenez un d’mes vaisseaux, et quelques B0r. » Tu as démêlé tes bras de ton torse métallique et des B0r15 vous rejoignent. Tu vois rouge. Ou bleu. Enfin, bref, tu les vois et t’as déjà envie de les faire voler. « Tâchez d’m’en ramener au moins un… —  RAMENER  BOR15 (1); COMPRIS. » Ça, t’as capté. C’est que tu pourrais bien exploser les autres au passage, ça ne compromettrait pas la mission, bien au contraire. « Allez, hors de ma vue. » Et vous vous glissez hors de sa tanière, suivi de vos minions aux longs bras tentaculaires et yeux globuleux. De quoi faire de l’ombre aux prostituées plutoniennes.

«  PRÉCISE-MOI L’ORDRE DE MISSION. RAMWOLF PARLE COMME UN GLAND. » Gland est évidemment un terme peu approprié dans cette situation, mais c’est un terme référencé dans l’argot et le vulgaire sur lequel tu t’es synchronisé. De quoi comprendre Ford et être comprit. La plèbe n’en sera que ravie. «  Fais-toi plaisir, Sid, choisis celui que tu veux. » Choisir ? Très bien, s’il y a été invité, il ne va pas faire sa fine bouche. La tête du robot semble passer en revue toutes les possibilités, tournant cette dernière lentement, comme pour en relever la moindre subtilité. «  VAISSEAU MK-III, WHITE HAWK. PLACE N°4. » Conclues-tu en filant dans la direction dudit vaisseau. Tu n’allais même pas te faire prier et prendre les commandes, manquerait plus que tu te fasses servir.

***

T’as cassé les oreilles à tout le monde pendant tout le trajet.

À côté, même José était plus calme que d’habitude. L’araignée mécanique a passé son temps accroché à ton bras comme une bernique à pattes crochues ; alors que tu as blasté la moitié de la discographie des Whitebelly — croyant faire plaisir à Langford, à vrai dire. Les B0r15 se sont tut, sauf un, qui a failli se prendre une torgnole de ta part : c’est qu’en plus de vous juger avec leur resting bitch face martienne, ils étaient très mal habillés. Changeant finalement de playlist, sous les injonctions quelque peu désespérées de ton co-pilote, tu as enchaîné les chants militaires du conglomérat germanique, chantant de ta voix robotique par-dessus ta propre sono.

Et ce jusqu’à ce que vous arriviez à destination.

« BONJOUR ? BONJOUR… » fait José alors que vous atterrissez.

Il n’a pas l’air bien rassuré.

***

« ITINÉRAIRE CONSEILLÉ. » Que t’insistes lorsqu’on te fait comprendre que ce serait peut-être pas le meilleur chemin pour arriver jusqu’aux membres du groupe, que de rentrer par la porte d'entrée avec la subtilité d'un char d'assaut low cost. La fête bat son plein et les murs en tremblent sous la musique punk-poubelle industrielle que leur sert leurs futurs en-cas.
C’est que le concert est à ciel ouvert, ce qui n’est pas forcément là pour vous faciliter la tâche ; mais vous avez l’avantage qu’il y ait une fourmilière pour passer inaperçu.
«  JOSÉ RENTRE. JOSÉ POSE DEUX MINES. JOSÉ REVIENT. JOSÉ FAIT EXPLOSER LES MINES. » Expliques-tu à Langford alors que vous avez trouvé un coin (presque) cosy pour discuter stratégie. «  LES B0R15 RENTRENT. ON TUE TOUT LE MONDE. » Ça sonne comme un super plan ça, merci Sid, «  ON TUE LES WHITEBELLY. SAUF (1); ON PREND LA TÊTE DU BASSISTE. ET ON REPART VOIR RAMWOLF, BÉBÉ.BONJOUR… BONJOUR ! JE M’APPELLE JOSÉ !! » Y’en a au moins un qui est partant, et c'est forcément ton ami de toujours. C’est que t’en frémirais presque d’excitation à ce stade, vivement les premiers cris poussés. Dommage que tu n'aies pas compris que Ramwolf voulait encore les écouter brailler dans leurs micros sur-saturés…
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