BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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14 février 2023 — v12 installée, forum mis en activité libre. 19 octobre 2022 — préparation de la V12 et départ de mahrun. et midoriya du staff. 4 juillet 2022 — v11 installée, arrivée de castace dans le staff. 22 mars 2022 — v10 installée. 5 décembre 2021 — v9 installée. 13 septembre 2021 — v8 installée, départ de kazhan du staff. 21 février 2021 — v7 installée. 8 novembre 2020 — v6 installée. 2 août 2020 — v5 installée, départ de jeyne du staff, arrivée de tofu et jool. 1 mars 2020 — v4 installée. 19 octobre 2019 — v3 installée. 18 juillet 2019 — v2 installée. 12 avril 2019— ouverture du forum par mahrun, kazhan, midoriya, poupoune et jeyne. 16 mars 2019— préouverture du forum. juin 2018 — début du projet.
      
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 dysfunctional family (ft. molly)

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« J’peux savoir où tu vas comme ça ? » Pris sur le fait, tu t’immobilises, comme si ça pouvait te dérober à la surveillance du préfet Gryffondor qui passait par là. C’est que les matchs de Quidditch entre les lions et les serpents étaient particulièrement virulents, que ce soit dans les airs ou dans les gradins. Ainsi, les têtes de chaque maison respective devait prêter attention au potentiel grabuge que pouvaient provoquer des fouinards dans ton genre. Tu lèves tes mains, vides, ta baguette sagement rangée dans ta poche arrière, le nez humide et rouge à cause de l’hiver. « Hé, j’viens en paix, j’ai juste un truc à demander à ma cousine ! » Ton excuse, pourtant vraie, pour une fois (à croire qu’à l’époque, tu n’avais pas encore recours au mensonge en permanence), n’a pas l’air de faire broncher ton vis-à-vis.

C’est dire qu’à quinze ans, tu avais déjà la dégaine d’un vrai roublard, le rictus toujours un peu de traviole sous ta tignasse brune de l’époque, arrangée en une terrible coupe mulet alors à la mode. Ceci dit, tu étais déjà persuadé que ton sourire ravageur pouvait t’ouvrir n’importe quelle porte, y compris celle des gradins adverses. Car c’était là que tu te rendais, toi, le Serpentard assez sympa. « Y’a des petits rigolos qui s’amusent à faire des paris d’argent, je peux pas te laisser passer… » Oh, c’était donc de ça dont il s’agissait ! Tu hausses les sourcils, complice, sûr et certain que le préfet pouvait être acheté. « Tu sais, à ce niveau-là, j’peux éventuellement te rendre un petit service… » Tu portes ta main dans la poche intérieur de ton manteau, prêt à lui déballer tes pronostics pour le match, et les quelques joueurs avec qui tu t’étais mis d’accord pour les résultats à venir. Il fronce les sourcils. « Quoi ? Tu peux me donner le nom des responsables ? Que je les rapporte aux professeurs ? » Ton sang tombe dans tes chaussettes, alors que tu interromps aussitôt ton mouvement. Ta cervelle s’emballe à toutes berzingues, tandis que tu cherches une excuse. « Euh… oui ! C’est… Lestrange ! Rodolphus Lestrange, en sixième année ! Un sacré vendu, si tu veux mon avis ! ‘Fin même s’il faut dire que son p’tit commerce, ça doit lui rapporter grave du pognon ! » Il lève les yeux au ciel, sidéré d’en être arrivé à demander les services d’une balance. « Oui bah n’en rajoute pas ! Je vais aller lui toucher deux mots ; et toi, retourne dans tes gradins ! » Tu jettes un coup d’oeil à ton lacet faussement défait. « C’est comme si c’était fait ! » Tu t’accroupis, le temps de défaire et refaire le noeud de ta chaussure. Le préfet tourne les talons.

Tu soupires de soulagement, et au lieu de lui obéir, tu te faufiles dans les gradins rouge et or, mais cette fois-ci par en-dessous. Tu te faufiles sous les bancs surélevés les uns sur les autres, cherchant avec peine à joindre ta cousine, Molly Prewett. C’est qu’il n’est pas facile de se repérer, parmi tous ces culs vissés à leur place ! Tu finis par distinguer des cheveux roux et une paire de chaussures que ta mère lui avait offert à Noël dernier. Tu donnes un petit coup de baguette discrètement dans son mollet, pour attirer son attention, aussi chiant qu’un moustique en pleine nuit d’été. « Hé, psst, Momo, c’est Ford ! » le surnom est assez malvenu, mais au point où tu en es… « ‘Faut qu’on parle ! » Tu pousses ses pieds pour glisser tes coudes et ton nez juste à côté de ses chevilles. Tu cherches à déloger son regard du match. « Y’a des rumeurs pourries qui circulent sur toi ; et comme t’es de la famille, il est en mon devoir de te porter secours ! » Et tu en es fier, à voir comment, même coincé derrière les bancs des gradins, tu gonfles le torse. « C’est vrai, quoi ! On dit que tu sors avec Weasley ! Pff, quelles foutaises… Franchement, les gens savent plus quoi inventer, pas vrai ? »
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Molly Weasley
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Molly Weasley
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Occupation : membre du septième cercle de l'ordre du phoenix, fondatrice et directrice du fawkes learning center, professeur de sortilège et guérisseuse.
Allégeance : ordre du phoenix, septième cercle
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Tu es sur un petit nuage. Plus rien ne semble pouvoir t'atteindre. Il a suffit de quelques mots, de ses mains prenant les tiennes et d'un baiser tout d'abord hésitant, puis affirmé pour effacer doutes et complexes. Envolés. Balayés. Parce qu'il était là. Parce que vous étiez deux. Arthur et Molly. Molly et Arthur. Deux nom. Une promesse. Jamais du haut de tes seize ans, tu n'avais ressenti cela. Et tu avais mis un temps à réaliser. Pourtant, les signes étaient là. Ce petit picotement dans la poitrine quand vos regards se croisaient. Cette sensation unique quand il t'adresse la parole. Tes joues qui s'empourprent quand tu te rends compte que le jeune gryffindor t'attire plus que de raison. Et il y a quelques jours, c'était arrivé. Toi, la jeune Prewett pas très à l'aise dans son corps avait enfin séduit Arthur Weasley. Le premier baiser avait eu lieu dans la serre de botanique après le cours de 11h. Après, vous vous étiez retrouvés au niveau de la passerelle pour plaisanter main dans la main après votre exam de potions. Enfin, tu avais glissé ta main dans la sienne alors que vous vous rendiez à la salle commune. Dire que tu n'y croyais plus. Tu avais vu tes copines enchaîner les petits copains depuis leurs quatorze ans. Tu comparais leurs corps fin aux formes qui te complexaient. Tu pensais ne pas pouvoir séduire un garçon. Trop rousse. Trop grosse. Trop grande gueule. Trop Prewett. Et pourtant.

Tu étais dans ta bulle de bonheur, heureuse. Épanouie. Indifférente aux rumeurs qui se propageait à toute vitesse dans les couloirs de l'école. Un Weasley et une Prewett, et alors ? À quoi bon. Il t'avait embrassé. Rien de plus ne comptait. Tu avais ainsi rembarré deux trois moqueurs avant de t'installer en haut de la tribune, pour le match. Prête à aller encourager les Gryffindor. Rien ne semble pouvoir perturber ton nouvel état. Du haut de tes seize ans, tu ne t'es jamais sentie aussi bien. Mièvre ? Surement un peu. Mais tant pis. Rien ne pourra te perturber. Un coup léger porté à ta cheville te coupe de tes pensées - plus concentrées vers ton nouveau petit ami que vers les balais qui virevoltent devant toi. « Langford ? Qu'est ce que tu fous-là ? Tu ne devrais pas être en train de parader avec ton insigne de préfet ? » Tu soupires. Puis t'assois sur le sol pour te mettre au niveau de Langford, en tout cas le plus à la hauteur que ces gradins ne te le permettent. « Sérieusement ? C'est pour ça que tu viens m'emmerder ? » Tu sens la colère monter en toi. Piquée dans ton orgueil d'adolescente. Alors que les moqueries des autres avaient glissées sur toi comme de l'eau sur une plume de canard, venues de ta famille cela t'atteignait. Plus que tu ne l'aurais voulu.  « Si c'est vrai que vas-tu faire ? Le rapporter à ta mère ? À la mienne ? Ou pire, à mes frères pour qu'ils lui cassent la gueule ? » Tu marques une pause. « Mieux vaut un Weasley qu'un Parkinson non ? »

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Molly daigne enfin s’abaisser à peu près jusqu’à toi, brisant la rangée agitée des supporters de Quidditch. Tout le monde s’échauffait, à mesure que la différence de scores entre les deux équipes s’écharpaient au coude à coude. C’était plutôt bon pour ton business, en espérant simplement que les joueurs que tu avais soudoyés s’en tiendraient à ce que vous aviez scénarisé.
Tu ne t’attendais pas à ce que ta chère et tendre cousine te reçoive avec des fleurs ; après tout, au sein même de votre famille, vos deux branches se tiraient un peu dans les pattes, à croire que c’était l’activité préférée des générations précédentes. Ceci dit, elle est définitivement sur ses gardes, face à l’oiseau de mauvaise augure que tu représentes. Aussi, elle se met à tirer à vue. « Merci de t’inquiéter, mais je suis au grand regret de te rappeler que j’ai même pas passer le premier tour pour devenir préfet… » que tu pestes, le nez relevé d’arrogance. C’est que tu en avais fait du boucan, quand le poste t’était passé sous le nez, presque autant que pendant ta campagne en elle-même, qui avait consisté principalement en des discours promettant monts et merveilles, et des affiches animées de mauvais goût, où tu prenais à partie élèves, professeurs et fantômes dans les couloirs. On t’avait définitivement banni de la course lorsque tu avais essayé de harceler Dumbledore pour qu’il prenne la pose avec toi sur tes photos promotionnels.

La jeune fille est visiblement vexée, mais de là à ce que tu le remarques, tu avais encore un sacré chemin à faire. Tu lèves les yeux au ciel, incrédule. « Bah, peut-être que je ferais bien d’en toucher un mot à toute la famille, ouais. Parce que si moi j’te dis que c’est pas une bonne idée, j’suis certain que tu m’écouterais pas… » Elle n’avait pas eu l’air suffisamment choquée par la nouvelle pour que ce soit une simple intox. « Dans l’optique, bien entendu, que ce soit vrai… » Tu appuies son regard, mais sa dernière comparaison ne laisse plus de place au doute. Tu prends un air choqué, tandis que tu accuses l’information, la bouche béante comme un poisson. Un ricanement désarçonné, tu soupires exagérément, ébouriffant la queue de ta tignasse ridicule. « Nan mais là, c’est entre la peste et le choléra ! Tu n’aurais même pas dû à choisir du tout ! » Tu lèves les yeux au ciel, puis balayes la foule autour de vous, peinant à garder ta voix baisse, tant tu t’offusques. « T’es une nana sympa et plutôt jolie ! Je vois pas pourquoi tu te résignes à un Weasley ! Ils sont r- » Tu allais les attaquer sur leur fameuse couleur de cheveux, mais te retiens à temps, en constatant que ta cousine avait elle aussi les boucles en flamme. « R-rustres ! C’est des rustres qui savent même pas compter jusqu’à 100 ! »

Bien entendu, tu ne connaissais aucun Weasley, et te contentais de répéter ce que tu entendais persifler dans la salle commune des Serpentards. « Ecoute, Momo, si t’es si désespérée que ça, tu aurais dû me le dire ! Entre cousins, j’aurais pu te rendre ce service ! Je peux te dénicher le p’tit copain parfait ! » Petit coup de coude complice, avant de désigner du doigt l’un des joueurs de Quidditch. « Tiens, rien que le batteur, là-bas là, avec le numéro douze sur son maillot ; infoutu de prononcer un sortilège correctement, mais il est déjà mieux que tous les Weasley de l’école ! » D’ailleurs, il était censé mettre k.-o. sous peu le gardien Serpentard, sinon, le match n’allait pas prendre la tournure que tu prévoyais… « Franchement, cousine, c’est pour toi que j’dis ça, hein ! » Bah oui, il ne s’agirait pas que tu te mettes à fouiller dans ses affaires autrement que par abnégation et amour de ton prochain. C’est qu’à l’époque, tu faisais encore semblant de te préoccuper de l’image de la famille, tandis que tu n’avais encore conscience du traumatisme que représentait l’autorité paternelle. « Parce que si tu continues sur cette pente glissante, les darons vont t’organiser un mariage arrangé, et là, t’auras plus ton mot à dire ! »
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Molly Weasley
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Quand on vous regarde, Langford et toi on peine à croire que vous êtes de la même famille. Pourtant, c'est bien le cas. On choisi ses amis, pas sa famille. L'adage s'applique bien à ton cousin (et à ses parents par ailleurs). Tu n'aimes pas cette attitude arrogante ni cet humour des plus lourdingues. Vos familles, bien que liées par une histoire ancestrale, avaient tendance à se tirer dans les pattes. Même sang mais valeurs bien différentes. Vous vous supportez, mais sans réelle chaleur dans vos relations. Néanmoins, traditions obliges, tu devais quand même supporter ton cousin aux repas de famille et à Noël. Dans ce genre de journée où vous passiez la journée à table à voir vos parents se lancer piques sur piques en mangeant la même recette de poulet rôti. Maintenant, tu te voyais contrainte de le supporter à Hogwarts. Tu avais néanmoins réussi à limiter vos interactions à quelques discussions quand vous vous croisiez dans la grande salle ou lors des matches de Quidditch. Et là, voici que l'effronté venait non seulement déroger à cette règle tacite de limitation de contacts pour juger ta vie amoureuse ? À mesure que Ford déroulait sa diatribe, tu sentais le rouge te monter aux joues. Par Merlin, comment osait-il ? Et en plus il prétendait être de ton côté, faire cela pour toi. Tu parles. Si ces repas interminables avec la famille de Langford t'avaient appris quelque chose, c'était que les Prewett ne faisaient rien rien gratuitement.


Tu essayais de garder ton calme, malgré la colère qui te brûlait intérieurement, teignant tes joues d'une teinte cramoisie. Puis, l'explosion. Molly la furie. « NE M'APPELLE PAS MOMO. » Tu t'étais levée, une main sur ta hanche, l'autre pointant un index menaçant vers ton cousin. Petit déjà, il avait le don pour te faire sortir de tes gongs et réveiller la furie. Ce "talent" ne l'avait jamais quitté. Le faisait-il exprès ? Pas à chaque fois, ce qui avait tendance à t'agacer encore plus. « OUI je sors avec Arthur, OUI je sais que c'est un Weasley et NON tu n'as rien à dire sur ma vie amoureuse. Tu entends ? Toi ni personne. Alors maintenant, tu seras gentil d'éviter tes petites remarques mesquines. » Tu te tais pour reprendre ton souffle. Le visage rouge de colère. Tu fais quelques pas le long de la tribune pour te calmer un peu avant de te tourner de nouveau vers Langford. « Je l'aime OK ? Ça ne te plais pas, ça ne plaira pas à la famille mais c'est comme ça. Et ils iront bien se faire foutre avec leur mariage arrangé à la con. C'est Arthur que j'ai choisi. Tu vas trouver ça stupide, cela ne fait que quelques semaines, mais ... Je sais que c'est le bon. Je le sais, je le sens. Critique moi si tu veux, mais je t'interdis de t'attaquer à lui, tu entends ? » Tu t'assois de nouveau. Légèrement calmée. « Franchement, avec les familles qu'on a, on pourrait pas essayer de nous soutenir plutôt que de nous tirer dans les pattes ? » Tu es surement utopiste ma fille, de penser que ton idiot de cousin pourrait être d'accord avec toi là dessus. « C'est quand même fou cette capacité que tu as me faire sortir de mes gonds en quelques mots à peine. À ce niveau là c'est presque un talent. Mais je te jure, j'ai bien souvent envie d'étrangler de mes mains ton petit cou rachitique. » C'est de bonne guerre.

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Pendant les repas de famille, si Molly était occupée à étudier la géopolitique de la maison Prewett, tu étais plutôt du genre à faire du charme à toutes les grand-tantes qui voulaient bien l’entendre. Tu étais au courant des tensions familiales -il était difficile de les ignorer-, ceci dit, tu étais suffisamment imbu de toi-même pour penser qu’à séduire tout le monde, tu finirais par les ranger tous sous ta bannière. Une frivolité qui trahissait bien la terreur que tu ressentais à l’égard de ton propre père, si grande que tu préférais aller fouiner dans les affaires des autres branches de la famille.
Alors effectivement, ton expertise amoureuse n’était pas complètement désintéressée. Pourtant, en pensant faire le bien, tu pensais le faire bien… Et disons que, même à quinze piges, la subtilité n’était pas ton fort. Ni la discrétion non plus.

Si bien que la patience de la jeune fille s’épuise aussi vite que tes économies. Elle bondit de son banc, furibonde. La surprise manque de te renverser en arrière, et tu te cognes le crâne contre les rangées de gradin juste au-dessus de ta tête. De loin, on dirait que Molly s’énerve contre du vide, mais ses voisins commencent à se douter qu’un intrus parasitait les rangs rouge et or. Tu serres les poings et les fesses, de peur qu’elle fasse griller ta couverture. Tandis qu’elle se déchaîne, tu l’enjoins à se calmer, les paumes tendues vers elle, dépassant de sous le banc. « Pssst, Mom- Molly, calme-toi, on va m’voir ! » que tu siffles entre tes dents, plus soucieux à l’idée de finir encore en retenue que du contenu désespéré de son discours.

Elle finit par se rassoir, et c’est seulement là que tu reviens à la charge. Tout d’abord silencieux -un miracle !-, tu t’accoudes juste à côté d’elle, cherchant tes mots. L’opération se montre presque fructueuse, puisque tu décides, pour une fois, d’être sincère, encore un peu libre et insouciant que tu étais, à l’époque. « C’est pas contre toi que j’dis ça, tu sais ? » C’était souvent ça, ton problème ; tu étais nourri d’une volonté de venir en aide aux autres, de la façon la plus chaotique qui soit, pour pas avoir à faire face à ta propre merde. « Je sais pas trop comment ça se passe de votre côté ; mais chez nous, c’est un peu inévitable, les mariages arrangés… » Tu étais loin de te douter, à l’époque, que malgré ça, tu t’enticherais un peu trop de tes deux épouses successives, quitte à leur faire vivre un cauchemar. « Mais après, c’est parce que nous, on récupère tout le truc de l’industrie de fringues, là… » A cette mention maladroite, ta gorge se noue, ton sang se glace et tu es secoué de l’envie irrépressible d’aller pisser. Tu n’étais même pas certain que les parents de Molly aient la moindre part dans l’entreprise de ton père ; mais pour sûr que toi, tu y étais enfoncé jusqu’au cou…

Tes mains se tordent, à mesure que tu frottes tes doigts contre le bois des gradins. Si tu grimaces, c’est que des échardes s’y plantent. Ton sourire bat de l’aile, et pourtant, il s’accroche pour garder les apparences. « Donc si t’es suffisamment courageuse pour leur dire d’aller manger leurs morts, c’est tout à ton honneur. Parce que moi, mon p-... mon p-pè- » Bah super. « Hrm, Ignatus voudra jamais nous laisser choisir… » Tu agrippes tes mains moites au rebord de l’estrade. « J’lui proposerais bien Aphrodisia Fawley, mais ce serait tellement une bonne idée qu’il en s’rait jaloux et dirait non, juste pour me faire chier ! » Tu te marres bêtement, continuant de détourner l’attention. « Bon allez, fais-moi rêver, raconte un peu comment vous vous êtes tombés dessus ? » Tu fais mine d’agiter ton doigt comme une baguette imaginaire devant ta bouche, mimant le sortilège de silence. « Et promis, j’cafte rien ! »
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Molly Weasley
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La fameuse industrie textile des Prewett. La gloire en héritage. Pas pour toi en tout cas : Ta branche familiale n'avait pas été la plus gâtée par la répartition du capital, et votre situation financière s'en est toujours ressentie. C'est comme ça, tu n'y peu rien, et à vrai dire, tu n'y accordes pas une très grande importance. Tu connais la valeur de l'argent et des biens, ta force de caractère vient d'ailleurs surement de là. Ton nom empli de noblesse, mais il ne t'as rien apporté de plus que des repas de famille ennuyeux, où le moindre mot de travers faisait ressortir les anciennes tensions. Malgré la maladresse de Langford, tu préfères ne pas lui tenir rigueur de sa remarque. Il n'est pas bien malin, mais aucunement méchant. Comment lui en vouloir après-tout ? Malgré les liens du sang, vos éducations ont été radicalement différentes. Et vous destins le seront tout autant. On peut aisément s'imaginer que Langford a eu plus de chance que toi. Qu'il est né du bon côté de la famille. Mais est-ce vraiment le cas ? La pression qui pèse sur ses frêles épaules te fait penser le contraire. Contrairement à lui, tu jouis d'une certaine liberté - relative certes - mais on ne peut plus plaisante. Tu laisses donc Langford continuer sans l'enfoncer, calmant pour une fois ton agressivité.

« Tu sais l'avantage de ne pas avoir d'héritage, c'est qu'on risque pas de te le retirer si tes choix de vie ne conviennent pas au paternel. » La richesse, n'est-elle pas là finalement ? Dans le fait d'avoir le choix. Le bégaiement de ton cousin à l'évocation de son géniteur semble vouloir te donner raison. Dans un sens, sa situation n'est guère enviable. Et tu te surprend même à éprouver une certaine compassion à son égard. « Bien entendu que ma famille aurait préféré un garçon au nom glorieux, avec un pedigree et un compte en banque plus rempli que le nôtre - ce qui n'est pas très difficile. Mais tant que je suis heureuse, ils s'en accommoderont. De tout façon, je ne compte pas leur laisser le choix. » Malgré tes seize ans, tu faisais preuve d'un tempérament de feu, et d'une volonté de fer. Il fallait au moins ça pour tenir tête à un autre Prewett. « Avoir le choix me semble on ne peut plus précieux que n'importe quelle miette de cet héritage. Tu devrais y songer tu sais. » Plus facile à dire qu'à faire, tu en conviens. Dans ton malheur, tu as beaucoup moins à perdre que lui. « Avec Arthur ça s'est fait très naturellement. On s'est rencontrés à mon arrivée ici, le premier jour. Et puis, on a toujours été proches. Je sais pas comment expliquer, c'était comme une évidence. On s'est embrassés pour la première fois dans la serre de botanique. J'ai eu l'impression de m'envoler. Ça fait que quelques jours mais ... Je me sens si bien. » Tes joues s'empourprent alors que, passées les réflexions philosophiques sur ta famille, tu parles de nouveau comme l'adolescente que tu es. Enivrée par des sentiments tout nouveaux.

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Tu t’accoudes au banc sur lequel Molly a posé les pieds, buvant son discours sur son avenir, aucunement alourdi par quelques fortunes ou quelques grands noms d’ancêtres. A te voir, on dirait qu’elle te raconte une fabuleuse histoire de cape et d’épée, dans laquelle tu te projeterais volontiers, à l’instar du regard que tu portes au loin, un peu au-dessus des buts de Quidditch.

Parfois, tu es encore secoué de l’espoir que tu auras suffisamment de courage pour t’enfuir de chez toi, après Poudlard. Tenir tête à l’autorité paternelle en te cassant de chez lui, en ne reprenant pas l’entreprise familiale ; de toute manière, Bertram brillait déjà pour le rôle. Et c’était encore plus terrible de voir ton père constamment revenir sur toi, braquant une lumière que tu n’avais pas, comme pour un interrogatoire. Malgré tous les séminaires improvisés par ton paternel pour te familiariser avec ce qui t’attendait, tu n’avais strictement aucune idée de comment tu allais t’en sortir ; tu savais seulement que tu ne voulais pas être à la tête de cet empire. Tu ne savais pas vraiment ce que tu voulais faire. Tu enviais Molly, sûrement, d’être aussi certaine que, peu importe ce qu’elle ferait plus tard, ce serait au côté de quelqu’un qui l’aimait. Tu l’enviais de ne pas être terrifiée à l’idée de pas avoir de plan tout préparé comme on t’avait organisé. D’avoir le choix. Et de ne pas être effrayée d’avoir à faire des choix. Tu sais pas comment elle allait faire, et tu aurais bien aimé le savoir.

Tu devrais y songer, tu sais.
Tu aurais aimé savoir faire le choix tranchant de tout laisser tomber, et de te casser, peut-être même avec ton petit frère sous le bras, peut-être même au bras d’une fille bien. Ouais, tu devrais faire ça ; tu vas galérer un peu, mais ça t’apprendrait à t’en sortir avec rien. T’ouvrirais une boutique à Pré-au-Lard, ou même sur le Chemin de Traverse. Un truc de Quidditch, qui vendrait de l’équipement, comme ça, tu pourrais croiser des joueurs connus ; ce serait chouette, ça… Ouais, c’est décidé, tu vas faire ça.

« Dans la serre ? Je croyais que c’était là où se retrouvaient les aînés Poufsouffle pour fumer les herbes séchées du prof… » Tu ricanes, bêtement. « Ou alors, ils invitent des Gryffondors aussi ? Et c’est à l’occasion d’une petite soirée du genre que ça s’est fait avec Weasley ? » Tu as l’air très fier de ton hypothèse, si bien que Molly aura beau la contredire, tu la prendras pour acquise.

« Ouah, moi, pour mon premier jour, y’a un mec qui se faisait passer pour un préfet qui a enfermé une poignée d’élèves de première année dans les cachots en nous persuadant que c’était les dortoirs… J’y ai cru toute une semaine » Ton dos s’en souvient encore, les pavés humides étaient restés imprimés sur ta couenne plusieurs semaines après ça. « Ça et comme quoi le Baron Sanglant, c’était le prof principal… ça, j’y croyais encore y’a deux semaines… » que tu plaisantes pour relativiser la catastrophe qu’avait été ta rentrée. Autant dire que ça avait été autant de mésaventures que tu avais tues à tes parents. C’était limite si ta cousine n’était pas la première à avoir été mise au courant. « Pas un mot à la famille sur cette histoire, d’ailleurs, ok ? Et je garde pour moi ta petite aventure avec Arthur. » Tu attends qu’elle confirme d’un signe de tête, l’index pointé vers son menton.
« En vrai, vous avez du courage de sortir ensemble, ici ; parce que niveau intimité, on fait mieux que les dortoirs et les couloirs remplis de fantômes et de tableaux qui parlent, ahah » Tu en avais toi-même fait les frais, à te faire larguer ou poser un lapin devant tous les portraits des anciens directeurs possibles et imaginables. Mais ça n’avait pas l’air de t’empêcher de foutre une fois encore les pieds dans le plat dans la vie de ta cousine. « On imagine même pas tout ce sur quoi le concierge doit tomber, misère ! »
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C'est fou comme presque chaque parole prononcée par ton cousin a le don de provoquer instantanément un haussement de sourcil sur ton visage. Comme si tu étais pré-disposée à désapprouver le moindre de ses propos, ou comme si lui était programmé pour sortir connerie sur connerie. Au choix. Tu souris aux anecdotes de rentrée de ce vieux Langford. Comme quoi, on a beau être né du bon côté de la famille ne fait pas tout, et la naïveté de ton cousin te touche presque. Tu imagines sans mal un petit Langford de onze ans dormir dans le château. Mais tu comprends qu'il ne veuille pas en parler à la famille, aussi tu décides d'accéder à sa requête, après tout si cela peut te permettre d'éviter les remarques sur ton Weasley de petit ami au prochain repas de famille, tu te passeras de l'humiliation - jouissive mais inutile - de ton cousin. « Deal.  » Et te voilà tranquille, au moins pour la famille.

Et voilà qu'il recommence à se mêler de ta vie privée, c'est fou non ? Tu croises les bras, la bouche pincée et le regard faussement agacé. Langford réussit l'exploit d'être à la fois attendrissant et terriblement agacant, tout ça à la fois.C'est presque un talent à ce niveau-là. « Te connaissant, je suis persuadée que le concierge est déjà tombé sur toi non ? Parce que bon, tu parles de mon histoire comme si j'étais une habituée de ce genre de frasques, mais de nous deux c'est bien toi le plus dévergondé.  » De ton côté, tu es plutôt ambiance girl next door, sans frasques et sans histoires. Et ça te va très bien comme ça. « Je suis certaine que tu connais tous les bons coins où ne pas se faire choper, je vais finir par te demander les bons plans ... Même si là ça devient un peu gênant, je commence à parler comme toi. » Et voilà, quelques minutes avec ton cousin et il commence à avoir une mauvaise influence sur toi. Néanmoins, ça te fait du bien de sortir un peu de ce rôle de jeune fille sage, presque l'héroïne fade d'un livre pour ado.
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I'm my own worst rival, Train wreck, white trash, freak, maniac, psycho. I'm a trouble-making rebel, Made a deal with the devil. I'm way past ever coming back
A la mention de tes frasques, tu ouvres des yeux ronds comme des souafles. « Moi ?? » Tu portes une main sur ta poitrine, l’air outré, imitant la gestuelle de ta mère. « Je ne répondrais pas de ces terribles accusations infondées ! » Ta main se renverse sur ton front, tu fais semblant de tomber à la renverse, en te retenant toujours au rebord du banc. « Ce n’est pas parce que le concierge sait désormais tout de ma vie sentimentale que l’on doit porter des conclusions si hâtives, chère cousine ! » La voix rendue aiguë par les manières exagérées, tu t’embrouilles en explications si bidons qu’elles ne pouvaient être que véridiques. « Ok, maintenant il connaît ma planque derrière la grande salle et sous le dortoir des Poufsouffles, mais il peut toujours courir pour que je lui vende mon ultime cachette, la plaque tournante du trafic de « dragées un peu trop surprises » que je tiens d’une main de fer, derrière les vestiaires du terrain de Quidditch ! » Ou pas, à voir comment tu balançais à la première qui voulait bien l’entendre, tes pires coups de roublard.

Et Molly de renchérir, avec les mêmes tics de langage. Tu en restes bouche bée, elle qui avait l’air si posée, d’habitude. Ton visage s’illumine. « Et bien, chère cousine, je ne vous pensais pas aussi intéressée ! » Puis, se rapprochant d’elle, pour la mettre dans la confidence. « Je savais bien qu’il restait un peu de sang de Prewett qui coulait dans ses veines ! » Tu hausses les sourcils, ton index embrassant sa silhouette. « On a toujours été une famille de comploteurs, tu le sais bien ça ! Je sais pas comment on a réussi à se faire tout ce fric, mais crois-moi, ça doit pas être tout blanc comme de la laine de shetland ! » Bon, si ça se trouve, ton père et ses ancêtres avaient tout fait en bonne et dûe forme, mais disons que tu n’irais pas vérifier, car ça nécessiterait de lui poser la question sur les origines de sa fortune. Et cela prouverait que tu ne l’avais jamais écouté, chaque fois qu’il te les racontait, en long, en large et en travers.

« Tu sais, le pire dans tout ça, c’est que ce sont les gens comme toi qui pourraient mener les meilleures combines ! Bah ouais, personne ne viendrait te soupçonner de quoi que ce soit ! Moi, j’suis grillé auprès de tout le monde, depuis que j’ai harcelé le directeur pour qu’il sponsorise ma candidature au rôle de préfet ! » Cependant, tu conservais toujours le cliché flou que tu avais réussi à voler, même si dessus, Dumbledore tendait toujours à se faire la malle. « Genre, si tu te décidais, là, à l’instant, de te lancer dans les paris illégaux de Quidditch » Tu fouilles dans la poche arrière de ton pantalon pour en ressortir ta liste de pronostics plus ou moins truqués. « Tu pourrais faire fortune ! » Tu la glisses dans ses mains. « Fais pas attention à ce qui est écrit ; j’encourage tout le monde à soutenir le nouvel attrapeur de Gryffondor, car ils sont loin de se douter que je lui file 75% de mes bénéfices s’il se prend le prochain cognard -ça ne devrait plus trop tarder, d’ailleurs… » Tu lèves le nez, les doigts formant des jumelles autour de tes yeux, pour mieux chercher du regard le joueur en question.
« Tu devrais y songer » que tu répètes, essayant de masquer ton sourire un coin d’un air désintéressé. Difficile à croire que quarante ans plus tard, c’est bien Molly qui serait complètement dans l’illégalité, tandis que tu aurais de la peine à bosser avec les mafias locales.


Dernière édition par Langford Prewett le Mar 15 Sep - 17:48, édité 1 fois
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Molly Weasley
ORDER OF THE PHOENIX
Molly Weasley
Date d'inscription : 28/09/2019
Messages : 312
Crédit : pisces (avatar), pando (code signature), bryan adams (texte signature), .serendipity (icons signatures)
Âge : cinquante-six ans
Occupation : membre du septième cercle de l'ordre du phoenix, fondatrice et directrice du fawkes learning center, professeur de sortilège et guérisseuse.
Allégeance : ordre du phoenix, septième cercle
Particularité : super maman
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C'est étrange, mais ce n'est pas la situation familiale de Langford que tu envie le plus. Bien entendu, tu n'aurais pas été contre tomber du bon côté de l'héritage. Ceux qui disent que l'argent ne fait pas le bonheur sont soit déjà riches, soit des hippies qui vivent dans des grottes. Néanmoins, ce n'est pas son argent, que tu envies à Langford. Mais cette capacité qu'il a à se foutre de ce qu'on pense de lui - en apparence en tout cas. Alors que tu t'efforces de faire ce qu'on attend de toi, d'avoir de bonnes notes, un bon comportement. De ne pas faire de vagues. Lui s'en fout royalement, il fait des conneries, indifférent aux conséquences ou à sa réputation. Tu as le loisir de choisir ton avenir, lui son présent. Tu hausses un sourcil, légèrement amusée par ses tentatives de t'attirer vers sa décadence. « Tu sais je t'envie parfois. Tu t'en fiches des conséquences, et tu peux faire ce que tu veux. Te droguer à l'école ? Pourquoi pas ? Faire des paris illégaux ? Allons-y. Ta vie a l'air d'être sacrément amusante. »

Tu as du caractère, pour sûr. Et tu ne te laisse guère faire. Cependant, tu restes une jeune fille sage. Sans histoire. Le genre qui à 14 ans a déjà trouvé l'amour de sa vie, finira mariée avec des enfants. Une adulte avant l'heure. Alors que tes copines sont obsédées par leurs premières expériences alcoolisées ou par les conquêtes à enchainer, tu as le sentiment d'avoir déjà trouver ta moitié. Rien de mal à ça, c'est ce à quoi tu aspires. Mais tu t'es souvent demandée ce qu'il arriverait si tu osais sortir des sentiers battus. Faire la folle, danser sur les tables, tester, vivre. « Je t'avoue que les paris illégaux ne me tentent pas vraiment. Mais si un jour j'ai envie de m'encanailler, je saurais vers qui me tourner. La famille sert à ça aussi non ? À faire toutes les conneries possible sans que les parents ne soient au courant. » Si tes frères te voyaient. Ils étaient plutôt du genre à vouloir te protéger, t'éviter les ennuis. Mais les ennuis, ce n'est pas aussi ce qui fait grandir ?  « En tout bien tout honneur, bien entendu. Mais de ce qu'on dit, une soirée embrumée par quelques substances n'a jamais tué personne. » Être au moins une fois une adolescente pas trop sage, avant de retomber dans le schéma que tu imagines. Ironie du sort, des années plus tard, tu serais la paria. Dans un autre domaine, évidemment. Les illégalités d'adulte ayant dépassées celles d'adolescent. Le destin a décidément un sens de l'humour bien acéré.
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