BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

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 ULYSSE#2 Walk, walk, fashion baby (flash rp)

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Ulrike von Bäume
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Walk, walk, fashion baby

manoir von bäume, juin 2007
Tu aurais pu contempler ton reflet dans le miroir pendant encore un long moment, mais il fallait bien se rendre à l’évidence, cela n’y changerait rien. Ton indécision avait atteint son paroxysme et rien ni personne n’aurait pu mettre un terme à ton dilemme du jour. Sauf bien sûr un fameux chien, duquel tu n’avais qu’à tirer la laisse pour qu’il apparaisse. Ayant pris quelques jours de congés que tu estimais amplement mérités après le fiasco qu’avait été ce foutu mariage Travers-Abbott, tu n’avais pas revu Boris depuis lors. Et pour être honnête, tu n’avais pas spécialement envie de l’accueillir à bras ouverts après ce qu’il avait osé te faire. La simple idée de lui montrer que tu avais besoin de son aide te débectait d’avance et pourtant tu savais pertinemment que là était ta seule et unique issue de secours. Alors tu écrivis une très brève missive, lui indiquant simplement qu’il devait se rendre de toute urgence à l’ancien manoir Bulstrode, celui-là même dans lequel logeait ta charmante famille. C’était la toute première fois que tu lui faisais l’honneur de l’inviter au sein de ta propre demeure, néanmoins tu étais persuadée que tu ne le regretterais absolument pas. Il était le seul à pouvoir te sortir de ce pétrin innommable. Dans moins de deux jours, tu allais donner une interview au Daily Prophet et Rodolphus Lestrange t’avait assuré que ta photo ferait la une du prochain numéro. Si tu avais été flattée que les médias libres du pays veuillent dresser ton portrait après tes exploits en compagnie du chef du bureau d’extermination des hybrides pendant le mariage de l’année -Rodolphus avait le sens de la formule pour transformer la fuite de deux amants en un acte de guerre particulièrement périlleux-, un choix crucial s’était alors érigé devant toi. Quelle tenue serait la plus appropriée pour une apparition en une du Daily Prophet ? Tu n’étais étonamment pas une grande habituée des médias, mais tu savais pertinemment qu’un fashion faux pas avait le pouvoir de détruire un article, voire même toute une réputation. Il n’y a qu’à voir ce que les gens disaient de Wolfram von Bäume après avoir découvert dans les journaux allemands une photo de jeunesse de ton père, sur laquelle il portait un tee-shirt sous une veste de costume. Et ceux qui prétendaient que les noms d’oiseau qu’on lui avait alors attribués n’avaient rien à voir avec sa tenue de l’époque se fourvoyaient terriblement, tu en étais absolument certaine. Mais soudain, on frappa à la porte de ton dressing et tes émouvantes réminiscences du passé s’estompèrent aussi net. « Ah Boris ! Tu en as mis du temps ! J’ai bien failli croire que tu étais encore prisonnier des toilettes de Travers. »

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Boris Bagshot
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walk, walk, fashion baby
Ce mariage avait tourné au cauchemar (enfin, c’est ce que tu supposais, vu que tu n’avais pas jugé bon de rester pour la suite des événements). Et la petite séance de ménage en guise de punition n’avait pas mieux fini. Tu étais encore en un seul morceau (et quel morceau, que tu penses tout haut, en te reluquant dans le miroir des toilettes de la Brigade).
Tu étais encore intact, donc, mais ta relation avec Ulrike, elle, n’était pas au beau fixe.
De manière générale, vous aviez l’échange houleux et la raillerie facile ; mais au moins, échange il y avait.
Peu après le mariage, la jeune femme avait pris des congés, une chose plutôt rare pour ne pas dire du jamais vu, quand on connaissait son assiduité au travail. C’est dire si des fois, tu te demandais si elle avait dormi, ces vingt dernières années.

Comme un petit copain qui a fait une bourde, mais qui refuse de voir laquelle, tu l’avais donc laissé faire, la laisser t’ignorer, la laisser prendre du repos. Et ton existence s’en était trouvée que plus ennuyeuse. C’est pour dire, tu avais même le temps de traîner aux chiottes pour te reluquer le train, sans qu’on vienne t’aboyer dessus pour aller calmer ton Handler.
En effet, la seule compagnie que tu avais entre deux lavabos était un hibou. Ce n’est qu’en passant à sa hauteur que tu as vu la missive attachée à sa patte. Tu fais un tour sur toi-même, histoire de vérifier qu’il était bien là pour toi, et pas pour la porte pétée des wc du fond.

Ulrike te convoquait chez elle. Fissa.
Tu échanges un regard désarçonné avec le piaf qui repart sans une once de pitié pour ta pauvre carcasse.

Comme un petit copain qui a fait une bourde et qui veut se racheter par tous les moyens, tu fais le pied de grue devant chez elle. Pendant un court instant, tu fais face à la terrible perspective de croiser son daron, avant de te rappeler qu’en bon mauvais père, il serait sûrement au travail à l’heure qu’il est et même pour la semaine à venir, pionçant dans son bureau sur sa réserve de chemises blanches.
Un elfe de maison te fait entrer et te dirige directement jusqu’à l’antre de la belle. « Ah Boris ! Tu en as mis du temps ! J’ai bien failli croire que tu étais encore prisonnier des toilettes de Travers. » Ça commence bien. Tu fais un pas dans la pièce : un dressing comme tu n’en aurais jamais rêvé - accusant le coup, parce que, hé, celle-là, peut-être que tu la méritais bien.
Tu te glisses derrière elle, louchant par-dessus son épaule sur les robes qu’elle avait soigneusement étalées devant elle. « Nan, figure-toi qu’cette fois-ci, j’me faisais plaisir dans celles du boulot… C’est terrible comme un cul peut vite s’habituer à l’or massif des cuvettes… » Voilà, on va dire que tu lui demandes pardon, comme ça.

Un coup de menton en direction des fringues. « C’est pour quoi ? J’pensais qu’ton mariage avec Langford Jr avait été annulé ? »
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Ulrike von Bäume
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manoir von bäume, juin 2007
Depuis ce désastreux mariage, on pouvait dire que tu te trouvais dans une période plutôt créative et que tu t’étais découvert une passion certaine pour l’écriture de missives assassines et un brin directives. Les innombrables dangers auxquels tu avais été exposée en l’absence de ton hound en guise de bouclier avaient quelque peu affectée ta relation avec Boris. Alors oui, tu t’étais réveillée un matin et avais saisi la première plume qui te passait sous la main pour envoyer un hibou vengeur au service de nettoyage du Ministère. Quelques temps plus tard, tu avais appris que Bagshot avait été envoyé récurer la crasse avec d’autres individus dans son genre. Pas peu fière de ta petite victoire, tu n’avais cependant pas encore eu l’occasion de la revendiquer auprès du principal intéressé. Mais quelque chose laissait présager que cela ne saurait véritablement tarder. Alors que tu l’accueilles dans ton modeste dressing, ton regard le sonde de la tête aux pieds. « Tu te faisais plaisir dans les toilettes ? Eh bien, ravie que ma recommandation ait servi à quelque chose et surtout que tu aies trouvé ta vocation dans le nettoyage des latrines. » Tu n’attendais pas spécialement d’excuse de sa part, tu savais pertinemment qu’il était incapable de faire preuve de bienséance à ton égard, mais si tu pouvais encore saisir deux ou trois occasions de lui rappeler qu’il avait failli à son devoir, tu n’allais certainement pas te gêner. Mais finalement, Boris reporte ton attention sur les quelques robes étalées nonchalamment sur le divan et l’évocation de l’annulation de ton mariage te redonne instantanément le sourire. « Ah oui, c’est vrai que je n’ai pas eu l’occasion de te raconter ! » Tu lui lances un dernier accusateur avant de laisser ton visage afficher une mine plus complice. Tu t’étais toujours délectée d’échanger les derniers ragots en date avec ton hound, et bien que tu ne l’avouerais jamais, c’était précisément ton petit plaisir coupable. « Mon père est enfin revenu à la raison, c’est à croire qu’il s’est subitement libéré d’un Imperium. Et il a consenti à approuver ma demande d’annulation de ce qui aurait été encore pire que le dernier mariage auquel nous avons assisté. » Difficile de cacher ta jubilation devant l’implosion de tes fiançailles avec le fils de Langford Prewett, tant tu avais attendu ce moment avec une impatience sans borne. « Figure-toi que mes prouesses lors de l’attaque des hybrides ont été remarquées par les bonnes personnes. J’ai quand même combattu aux côtés du directeur du bureau d’extermination des hybrides, tout le monde n’aurait pas pris ce risque démesuré. » Tu ne savais pas encore que Boris savait. Aussi cette version édulcorée de l’histoire te permettait d’accentuer la bravoure et le côté héroïque de ta fuite lors du mariage. « C’est donc la raison pour laquelle je vais être interviewée par le Daily Prophet dans deux jours. Ils tiennent absolument à en savoir plus sur moi et à réaliser mon portrait. Ma photo va faire la une, alors j’ai besoin de la tenue PAR-FAITE. Rien ne doit être laissé au hasard. » Tu marques une courte pause quelque peu théâtrale, laissant à Boris le temps de digérer l’information. « Si tu me conseilles convenablement, je t’autoriserais même à venir. L’entretien sera supervisé par l’une de tes connaissances, Rodolphus Lestrange. On m’a dit qu’on vous avait croisés en pleine conversation au Ministère il y a quelques temps. »
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Boris Bagshot
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Elle est en forme, la bougresse, tu devrais lui faire des coups de pute plus souvent ! Quoi de mieux pour alimenter une langue de vipère acérée qu’un savant petit coup de couteau dans le dos ? Y’a pas à dire, tu en prenais pour ton grade, pour ton argent, et même un peu pour ta dignité. En effet, la session ménage avait fait parler d’elle au Ministère, aussi bien pour le piètre travail que vous aviez fourni, que pour les sessions de chorégraphie, muni seulement d’un balai en guise de barre de poledance (hé, il fallait bien que tu t’entraînes pour ton job de nuit…).

Fort heureusement, Ulrike sait renifler les meilleurs filons à drama. Elle lâche momentanément le vulgaire morceau de bidoche que représentait ta fuite inappropriée, pour te raconter, enfin, les croustillantes raisons de l’annulation de son encore plus croustillant feu-mariage. « J’te cache pas que j’suis un peu déçu » hasardes-tu, en haussant les épaules. « J’aurais payé cher pour voir la tronche de ton père si t’avais fui les voeux de mariage, au dernier moment, là… » C’est que tu vous imaginais déjà vous carapater, l’énorme traîne de Ulrike roulée en boule dans tes bras, régalant le paternel d’un doigt d’honneur en bousculant les convives… Ajouté à cela, pour ta part, une petite visite au susdit pater, une fois qu’il aura bien déprimé, pour lui fournir quelques explications… tandis que sa jeunette se ferait elle-même plaisir avec son véritable coup de coeur. Que ton handler se fait une joie de mettre sur la table, comme on poserait délicatement un panier de fruits sur le bureau de son boss, pour l’amadouer (à ceci près que tu n’étais pas son boss, et que les fruits te faisaient ni chaud, ni froid).

La perche est tendue, tu t’en saisis à pleines dents. « Aah, c’était donc ça les bruits de couloir ! » Tu laisses planer un blanc, suspect. « L’interview, j’veux dire ; t’inquiète que ton affiche au bras de Lestrange est passée crème ; j’t’avoue, j’aurais pas osé » Te battre dignement aux côtés de Wolfram ? La bonne blague. Tu étais même étonné que lui non plus ne se soit pas cassé avant le début des hostilités, surtout avec tout ce qu’il s’était enfilé…
Tu vas pour en rajouter une couche avec Rabastan qu’elle juge bon de mentionner son terrible frangin (aîné, cadet, tu ne savais plus faire la différence, y’en avait un avec une barbe, et pas l’autre, quoi…). Tu déglutis, discrètement. « Ah ! Ouais, j’avoue, j’ai fait faire le tour du proprio à Dodo, mais j’l’ai pas revu depuis, hein ; j’crois, il a pas trop aimé ma prise de position artistique… » Tu exhibes le triangle rouge sur ta joue.

Tu te penches un peu plus sur les différents modèles de robe, apprécies un ourlet, la qualité d’une couture. « Par les couilles de Merlin, si ça t’nait qu’à moi, j’ferais un shooting photo avec chacune d’entre elles » que tu siffles, émerveillé. Et puis, un sourire, mutin. « Mais du coup, c’est quoi les critères ? On choisit la robe pour le photographe, pour Rodolphus… ou pour Rabastan ? »
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Ulrike von Bäume
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manoir von bäume, juin 2007
La vivacité de tes échanges avec Boris, toujours ponctués d’une bonne dose de venin, t’avait presque manqué durant ces quelques jours où tu l’avais fui comme la dragoncelle. Tu étais bien évidemment la première à t’étonner de ce fait remarquable, et pourtant, il n’y a pas à dire, sa remarque sur ton mariage avorté t’arrache un large sourire carnassier. « Tu ne crois pas si bien dire. J’ai rêvé plus de mille fois de ce moment, où je quitterai l’autel d’un air dramatique sous les yeux de tous. Parfois, je t’imaginais même abandonner ton poste à la sécurité pour me faciliter la fuite. Enfin, qui sait, peut-être que tout ceci deviendra un jour réalité, si mon père se met en tête de me trouver un nouvel époux ! » Soyons honnêtes, c’était pas demain la veille que tu te marierais avec Rabastan Lestrange, aussi mieux valait anticiper tout nouveau coup tordu de la part de Wolfram. Au passage, tu ne manquas pas de souligner le fait que Boris ne ferait pas partie des invités mais bel et bien du service d’ordre, si jamais tu venais à te marier. Simple piqûre de rappel vis à vis de la répartition des rôles dans votre relation. Lorsqu’il évoque d’éventuels bruits de couloir, il ne te vient pas une seule seconde à l’idée qu’il puisse vouloir signifier ton idylle avec Lestrange. Tu n’étais pas vraiment la reine de l’ironie et des sous-entendus, ta culture germanique privilégiait les attaques directes et explicites. Alors que Boris poursuit, tu lui accordes une nouvelle fois ce regard si caractéristique de ton mépris, avant de répliquer sèchement. « Tu n’as même pas osé rester pendant l’attaque. Alors soutenir l’ennemi numéro un de ces affreuses créatures, je ne m’y serais pas attendue, non. » D’aussi loin que tu te souviennes, tu avais toujours été aussi rancunière et ce n’était certainement pas maintenant que cela risquait de changer. Reportant l’attention sur ton dressing bien ordonné, tu délaissas un instant le portant des robes et jetas finalement ton dévolu sur un pantalon et une veste de tailleur noirs et blancs, que tu vins par la suite déposer sur le divan à côtés des autres pièces sélectionnées quelques instants plus tôt. Lorsque Boris reprit la parole, tu te figeas un court instant à la mention du surnom de Rodolphus. Tu n’avais jamais entendu personne l’appeler ainsi et tu étais pratiquement persuadée que cela ne faisait pas partie de la courte liste de choses qu’il tolérait. N’ayant toutefois pas la moindre once de sympathie à l’égard du frère de ton amant, tu haussas nonchalamment les épaules avant de plus ou moins prendre la défense de ton hound. « Je ne suis pas certaine qu’il ait une grande sensibilité artistique. Et puis franchement, cette marque c’est pas ce qu’il y a de pire chez toi. » Tu aurais pu citer, au bas mot, un million de choses qui t’insupportaient plus chez Boris que l’affreux triangle qui symbolisait son hybridité. Mais puisqu’il était déjà en train de te pencher sur tes tenues, tu te forças un peu à détendre les muscles de ton visage. On aurait presque pu croire que tu lui souriais de façon plutôt amicale. Presque. « Tu sais que pour une fois, ce n’est pas une si mauvaise idée ! Je pourrais venir avec plusieurs tenues et à chaque animation de la photo qui fera la une, on pourrait montrer un nouveau look ! » Émerveillée devant l’idée d’étaler aux yeux du monde entier la richesse et l’extravagance de ta garde-robe, tu ignorais que ce que tu venais de proposer était ni plus ni moins ce que les moldus appelaient un gif. Mais une fois n’est pas coutume, il fallut que Boris vienne titiller tes nerfs avec ses idioties. La mine renfrognée, tu quittas ton dressing des yeux pour reporter ton regard affligé sur ton hound. « Je croyais que tu me connaissais mieux que ça, Bagshot. Ulrike von Bäume ne s’habille pas pour le plaisir d’un homme. Le critère, comme tu dis si bien, c’est de faire comprendre au monde qu’un chasseur d’hybride peut avoir du style. Et toutes les jeunes femmes de notre noble société devraient se précipiter aux portes du Ministère dans l’idée de suivre mon exemple. La Values Brigade a grand besoin de redorer son blason… » Tu lui sers cette réponse avec une honnêteté qui te vient du fond du cœur, persuadée que tu es de valoir bien mieux que l’essentiel de tes collègues masculins du niveau deux. « Et puisque tu le mentionnes sans cesse, avec un acharnement qui frôle l’obsession, sache que Rabastan Lestrange ne sera pas présent. Cette interview ne concerne que moi. »
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Les yeux rivés sur le costume qu’elle venait de sortir, comme s’il s’agissait du cul de son père, tu tends une main crochue vers le splendide ensemble, ouvrant et fermant les griffes comme si tu pouvais l’attirer magiquement dans ta propre garde-robe. Tu en digères d’autant mieux les reproches de ton handler qui, en exemplaire femme de puissance, s’octroie le plaisir de s’habiller pour elle, et surtout pas pour Rabby-d’amour-qui-allait-sans-doute-demander-des-clichés-exclusifs-de-la-séance-photo. Soudain, l’opportunité de pouvoir y participer t’intéresse encore un peu plus, quitte à devoir affronter le terrible Rodolphus et ses démangeaisons d’Impardonnables. Hé, ça pouvait se revendre un bon petit pactole, des photos pareilles ! Il suffirait même que le photographe ait le dos tourné pour que vous en fassiez de votre propre cru, avec un peu moins de robe sur le poil…

« Nan mais d’accord, mais ça, ça va être expliqué en long, en large, et en travers, que t’as du pouvoir et qu’il faut voter pour toi aux prochaines élections. Moi c’que je te demande, c’est qui tu vises, toi, sur cette première de couverture ? » A ton tour, tu cloues ton regard dans le sien, les sourcils haussés, lui intimant ainsi que tu voyais clair dans son jeu. « Va pas me faire croire que tous les employés du mois qu’ont fini à la première page, ils aguichaient le passant ; nan, nan, moi j’y crois pas, moi. Moi j’pense que, quand Rodo, il va te dire « Allez, ma belle, fais l’amour à la caméra », tu vas pas t’imaginer en train de baiser tout le Chemin de Traverse. » A mesure que tu déblatérais ton discours, tes sourcils manquaient de s’envoler au-dessus de ta tête de piaf.

Tu t’empares délicatement (mais non sans envie) du costume que tu places devant la silhouette menue de la jeune femme, afin d’imaginer le résultat. « Nan mais en vrai, j’t’en supplie, essaye-le ; si tu le fais pas, c’est moi qui vais le faire, et on est pas là pour ça. » Tu l’envoies se changer derrière un pare-vent, tout en continuant d’inspecter le reste de ses placards. « J’suis pas venu pour juger tes choix de concubins, tu sais ; moi, j’suis juste là pour les fringues… Donc, s’il-te-plaît, facilite-nous la tâche, que je sache où tu veux aller... » Pensivement, tu sors une paire de chaussures à talons dont tu enfiles la gauche, enfin disons, à peu près, vu que seulement le bout de tes orteils ne rentre. Quand elle a fini, tu es en équilibre précaire dans ton escarpin trop petit. « … et dis-moi si tu penses que Baba, il te baise dans ce costume. »
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manoir von bäume, juin 2007
Plus la conversation progressait, moins il devenait aisé d’ignorer la lourdeur des insinuations de ton hound. Tu ne sais pas quel éruptif l’avait piqué aujourd’hui, mais il avait l’air particulièrement intéressé par ta vie privée, plus encore que d’habitude. Et cela ne pouvait signifier qu’une seule chose : la sienne devait être en bien piètre état en ce moment. Mais aujourd’hui c’était uniquement de toi qu’il s’agissait, pas le temps de te soucier de ses petites sauteries dégoûtantes. Et vraisemblablement, il semblait du même avis que toi, du moins c’est ce que son regard inquisiteur laissait entendre. Effarée devant la vulgarité de ses propos, tu lui arrachas brusquement le tailleur des mains et filas derrière le paravent en jurant comme une furie. Le rugissement qui sortit d’entre tes lèvres rappelait étrangement les cris d’une harpie en proie aux flammes. Tu étais si irritée par l’insistance de Boris que tu manquas de craquer les coutures de la veste lorsque tu l’enfilas sans ménagement sur une blouse en dentelle blanche. Mais ce n’est que lorsqu’il évoqua ouvertement ta relation avec Rabastan que ta colère implosa ! Ainsi, il savait ! Et c’aurait était insensé que de continuer à marteler le contraire. En réalité, tu étais plus énervée à l’égard de ton laxisme à garder cette idylle secrète plutôt qu’à l’encontre de Boris. En tant que commère numéro un du Ministère, il vivait littéralement pour ce genre de racontars -sans oublier qu’il te vouait une admiration sans faille-, tu ne pouvais véritablement lui en vouloir d’être au courant. Réapparaissant au beau milieu du dressing, le visage rougi par la contrariété, tu lui accordas un regard assassin avant de lui lancer à la figure le deuxième talon de la paire qu’il avait osé essayer. « Comment ça se fait que tu sois au courant, toi, d’abord ? » En toute franchise, à part quelques quickies discrets au Ministère, Rabastan et toi aviez toujours été particulièrement vigilants. L’idée même que ce secret bien gardé ait pu fuiter jusqu’aux oreilles de Boris t’effrayait quelque peu. A qui ne l’avait-il pas déjà répété ? « Comme tu le dis, tu n’es pas venu ici pour discuter de cela, alors tâche de t’en tenir à ton rôle de styliste. Que penses-tu du tailleur ? » N’ayant pas la patience d’attendre sa réponse, tu te tournas vers le miroir et jetas un coup d’œil à ton reflet. L’image plus que flatteuse qu’il te renvoya regonfla aussitôt ton égo et te mit un peu de baume au cœur. Un mince sourire vint finalement étirer tes lèvres alors que les dernières paroles de Boris te revinrent en mémoire. « Dans ce costume, il me laisse le baiser plutôt deux fois qu’une, oui. » Soyons honnêtes, dans cette relation, c’est carrément toi qui avais le contrôle des choses, et tu tenais à ce que Boris le sache. « Je t’ai rarement vu aussi insistant. Qu’est-ce qu’il t’arrive, tu n’as plus personne à mettre dans ton lit ? » Pas que tu t’inquiètes véritablement pour lui, mais disons que tu préférerais qu’il arrête de vivre sa vie sexuelle par procuration. « Tu devrais m’accompagner au bureau de Rabastan, peut-être qu’on pourrait te trouver une nouvelle âme sœur et la sauver de son service. » Faut croire que le bonheur te poussait à jouer les entremetteuses.
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Tu aurais pu ronronner de satisfaction en l’entendant grogner de rage tandis qu’elle se changeait. Ça avait été un pari risqué, mais il avait valu le coup. Bien évidemment, tu n’étais sûr de rien, pour Rabastan et Ulrike. Des soupçons, tout au plus, des réactions agacées de la part de ta handler, quand tu le mettais perpétuellement sur le tapis. Il y avait également eu l’intervention de Rodolphus qui t’avait bien aidé (qui l’eût cru). Aussi, ta stratégie avait consisté, par la suite, d’enfoncer le clou dans la plaie, jusqu’à ce qu’elle craque, dans un sens comme dans l’autre. Une manoeuvre des plus fines, tu en étais certain.
Heureusement pour toi que tu avais vu juste, auquel cas, tu aurais donné peu cher de ta peau blâfarde que la jeune femme se serait fait une joie de revendre sur le marché noir.

A défaut de te dépecer, elle te balance le second talon dans l’épaule, qui n’entame en rien ton ravissant sourire. « Depuis le temps, t’as toujours pas capté que j’étais au courant de tout ? » Tu la laisses apprécier son reflet, à juste titre, puisque le tailleur est à tomber à la renverse. Tu secoues l’index, lui intimant de faire un tour sur elle-même. « Vas-y tourne pour voir ? » C’est alors qu’elle lâche la bombe : « Dans ce costume, il me laisse le baiser plutôt deux fois qu’une, oui. » allant même jusqu’à reprendre ton langage fleuri. Tu plaques tes mains sur tes joues enflammées, on ne peut plus ravi. « Mais putain, c’est ça qu’j’voulais entendre ! » Tu trépignes sur place, comme une adolescente, avant de commencer à réajuster le col de sa veste. « Hé mais euh par contre… » Ton regard s’assombrit de jugement. « … la nuisette en-dessous, là, ça va pas être possible… » que tu expliques, excédé. « Tu me vires ça, un ensemble ça se porte sans rien, s’il-te-plaît ; femme de pouvoir ou pas femme de pouvoir, là ? Tu me les mets au garde à vous, s’il-te-plaît… » Allez savoir si tu parlais de sa poitrine ou des pauvres innocents lecteurs du canard.

Tu lui montres le chemin du paravent pour un nouvel essayage. T’accoudant nonchalamment dessus, le nez en l’air, tu en profites pour te plaindre un petit coup sur ta misère sentimentale, comme elle le demande si gentiment. « Nan mais j’t’explique, ça fait tellement un an que je suis tout seul que j’pourrais faire un bras de fer avec Marcus Flint tellement mon poignet il est musclé, quoi… » Ou alors tu pourrais mettre ton poignet au service de Marcus Flint pour d’autres raisons, somme toute moins martiales. Tu pouffes à l’idée qu’Ulrike se mette à jouer les anges gardiens. « Alors, ok, j’déprime, mais j’en suis quand même pas réduit à vouloir me farcir un hybride… nan mais quoi ? Un vampire qu’a l’âge d’être l’arrière-grand-père de Sienna avec une queue qui tombe en miettes ? Ou un loup qui va me refiler des puces ? S’il-te-plaît, je vaux un poil mieux que ça ! »

Tu renifles, circonspect, attendant peut-être une réponse, ou réfléchissant à quelle robe tu allais pouvoir essayer. Tu jettes ton dévolu sur une robe fendue noire qui irait parfaitement avec ses chaussures un peu trop petites mais beaucoup trop canons pour ne pas finir au bout de tes splendides gambettes.
De fait, quand Ulrike sort de son deuxième essayage (sans blou-blouse en dentelles, espérons), tu finis toi-même de fermer la robe (bon ok, magiquement ajustée), déployant langoureusement ta jambe. « Tu penses pas que j’pourrais faire la une avec toi ? »
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Ulrike von Bäume
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Boris était peut-être parvenu à ses fins en te faisant lâcher le morceau que tu serrais fermement entre tes crocs depuis plusieurs mois, tu n’allais pas pour autant le laisser savourer sa victoire comme il l’entendait. Il avait essayé d’éluder ta question en te rappelant à quel point il méritait son titre de commère en chef du ministère, mais tu n’étais pas dupe au point de croire que ce secret si bien gardé avait pu atterrir par le plus grand des hasards à ses oreilles indiscrètes. « Ne crois pas que tu vas t’en sortir comme ça. Si tu ne me dis pas exactement comment tu l’as appris, on arrête tout. » Tu ne plaisantais absolument pas. Et par tout, tu ne signifiais pas simplement cet essayage de tenues, mais bien l’ensemble de votre relation. Des hybrides avides de travailler pour ce gouvernement si généreux à leur égard, ce n’était pas ce qui manquait. Tu aurais vite fait de te trouver un nouveau hound et d’envoyer celui-ci tout droit vers le service d’extermination. Faut dire que maintenant, tu avais les bons contacts dans ta poche -ou plutôt dans tes draps, si l’on voulait être tout à fait exact. Tu le regardes finalement d’un air interloqué alors qu’il te conseille de remettre ta blouse en dentelle au placard. Toi qui croyais qu’il apprécierait la belle matière, tu étais quelque peu déçue de voir vos goûts vestimentaires diverger pour ce qui semblait bien être la première fois. En fin de compte, ce n’était pas temps pour ses conseils avisés que tu l’avais sommé de venir jusqu’ici, mais bien pour qu’il approuve ton bon goût. Néanmoins, il fallait bien reconnaître que sa suggestion avait un petit quelque chose de plutôt osé et l’idée ne te déplaisait pas forcément. Retournant derrière le paravent tout en prenant soin de lever les yeux au ciel face à sa nouvelle remarque graveleuse, tu le laisses seul en compagnie de tes précieuses robes. Visiblement encouragé par tes questionnements polis au sujet de sa vie intime, Boris s’attarde sur des détails dont tu te serais volontiers passée. A la mention de Sienna, tu sens ta mâchoire se contracter quelque peu. En dehors de son hybridité, tu n’avais rien contre elle, mais en ce qui concernait son handler, c’était une toute autre histoire. Que tu aurais évidemment préférer oublietter, cela va sans dire. « Loin de moi l’idée de t’arranger le coup avec un vampire. Un autre hémovore à l’égo surdimensionné n’aurait pas sa place dans votre relation. Mais tu sais, dans la hiérarchie des hybrides, il y en a quand même qui valent un peu mieux que d’autres. On pourrait te trouver une vélane, par exemple. Dis-moi qui était ta dernière conquête, comme ça je me ferais une meilleure idée de ce que tu recherches. » Comme si les hybrides n’étaient pas suffisamment discriminés comme ça, il fallait encore que tu les rabaisses un peu plus en les divisant selon un classement très approximatif et particulièrement subjectif. Une fois débarrassée de la blouse en dentelle, tu boutonnes la veste de ton tailleur au décolleté suffisamment plongeant pour montrer le nécessaire sans paraître outrancière, puis tu refais ton apparition pour tomber nez à nez sur un Boris parée de l’une de tes plus belles robes. Tu le dévisages alors de la tête aux pieds en retenant de justesse un sourire approbateur qui aurait été quelque peu malvenu. « C’est une vielle pièce. Je la portais lors de la réception en l’honneur de mon père pour sa découverte de l’algorithme de pureté. Tu peux la garder si tu veux. » C’était ta façon de lui signifier qu’elle lui allait à merveille, sans trop tomber dans les affres de la gentillesse. « Par contre pour la photo qui fera la une, il vaudrait mieux que tu mettes une tenue plus conventionnelle. » Tu n’excluais pas encore de gratifier Boris de l’honneur de poser à tes côtés. Même s’il y avait fort à parier que Rodolphus le fasse rayer de la photo finale par la suite.
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« Ah bah voilà, c’est quand même mieux comme ça » tu siffles, admiratif, en la voyant réapparaître. Elle réajuste convenablement son décolleté que tu t’empresses d’agrandir jusqu’à la limite grise de l’indécence. « C’est bon, c’est juste pour voir ce que ça donne… » Ceci dit, si elle te laisse faire, elle n’en démord pas moins pour savoir de qui tu tenais la croustillante information de son affaire avec Lestrange premier du nom (ou deuxième ? Tu étais bien incapable de savoir qui des deux étaient l’aînés). « Bah, comment j’l’ai appris exactement, c’est quand t’as juré tes grands morts juste là, là… Je savais qu’il se tramait un truc, en même temps, quand on doit s’maquer avec un Prewett, il doit forcément se passer un truc, genre, pour noyer son chagrin… Pour le reste, j’ai un peu fouiné, d’assistants à secrétaires… et j’crois bien que le dernier morceau, c’est Rodolphus qui m’l’a balancé… c’est pour dire »

Bah, si tu pouvais casser du sel sur le dos du big boss de la comm’ qui avait bien failli te réduire en purée pour Sombral, tu allais t’en donner à coeur joie. C’est pas comme si, lui, elle allait pouvoir l’attaquer. « Nan mais ça va, vous réglerez ça aux repas de famille » ricanes-tu en lui tournant autour comme un oiseau de proie, louchant sur les moindres détails de sa tenue. « Tu mettrais quoi comme pompes ? » Tu t’empares de la paire que tu avais essayé d’essayer, et en jauges l’harmonie des couleurs, une fois posée à côté du tissu de son ensemble. « Hmm, nan trop ennuyeux » Tu passes en revue ses innombrables chaussures, mille fois plus nombreuses, d’ailleurs, que tes soi-disantes « conquêtes ». « Loin de moi l’envie de te faire pitié, mais j’crois que le dernier truc que j’ai pécho, c’était… le boule de Reinir… par accident » (en même temps, il portait un kilt). Tu passeras sous silence Seamus, Engel, et autres entourloupes du même genre, ça n’avait vraiment pas sa place dans ce temple du bon goût. « Mais, les Vélanes, moyen-moyen, hein, j’vais passer pour le moche du couple, t’sais. Ch’uis pas un faire-valoir, qu’on s’le dise… »

« Tiens, essaye celles-là, pour voir ? ‘Faut trancher l'ambiguïté de ton costume avec des pompes de grosses chaudasses » « C’est une vielle pièce. Je la portais lors de la réception en l’honneur de mon père pour sa découverte de l’algorithme de pureté. Tu peux la garder si tu veux. »
Tu suspends ton geste. Heureusement pour ta pomme, on pouvait croire que c’était à cause de cette histoire d’algorithme qui avait été la première pierre retirée à l’édifice branlant de ta famille… Loin de se douter que la lividité accentuée de ton visage était en fait due à la mention de son père, la jeune femme venait de remuer la plaie autour du couteau. Tu restes pantois un instant, avant de lui déposer la paire de chaussures dans les mains et de te défaire, du bout des doigts, comme si la robe avait passé la nuit dans la caravane de Hoshi Greyback. Une moue exagérément dégoûtée fendant ton visage, tu la réenfournes dans un placard, au hasard, avant de régaler ton handler d’une explication des plus évidentes. « On va éviter, d’accord ? Ça va me porter le mauvais oeil et on va découvrir, je sais pas, moi, que mon père s’est transformé en loup-garou » Tu clignes des yeux si fort qu’on dirait que tu veux chasser le souvenir de Wolfram de ta caboche.

Tu enroules ta cape de hound autour de tes hanches, et désignes les chaussures du menton. « Bon, tu te sens comment là-dedans ? Envie de botter des coeurs et voler des culs ? »
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