| | | Gabrielle p. Delacour kathryn newton - lilousilver hybrid nom prénom(s) » Delacour, qu'ils écorchent tous, d'une façon ou d'une autre, y'a toujours une surprise avec ces anglais, une façon de le prononcer qu'elle n'avait pas envisagé. Prénommée Gabrielle, le visage d'ange dont elle a hérité, c'était écrit d'avance. Le second prénom est au choix. surnom(s) » Frenchie, ça roule sur les lèvres plus aisément que son nom ou son prénom, de toute façon. Son proche entourage a tendance à la surnommer affectueusement Gab. Auprès des membres de la résistance, elle a rapidement écopé d'un Star Child, d'abord moqueur, puis approbateur, lorsqu'elle a fini par gagner leur confiance de manière définitive. date de naissance » février 1985, elle vient d'avoir vingt-et-un ans. origines & nationalité » Gabrielle est née en France, trahie par un accent qu'elle travaille avec acharnement, et en possède toujours la nationalité. pureté du sang » le sang est mêlé de bien des façons, certains diraient souillé, notamment par la condition de sa grand-mère maternelle. métier/études » elle a été élève à Beauxbâtons, oscillant entre cette cadette à qui l'aînée fait de l'ombre et cette élève qui apprend petit à petit à se faire un nom par elle-même. Fugitive, si la guerre n'avait pas pointé le bout de son nez, sans doute se serait-elle tournée vers les potions ou la politique. orientation & état civil » elle est de ceux et celles pour qui l'amour s'accorde au masculin comme au féminin. Y'a toujours eu ce petit truc, d'ailleurs, qu'elle a fini par apprendre à masquer. Le timbre de la voix qui tremble et le coeur qui s'emballe quand Mafalda est pas loin, et des sentiments sur lesquels elles n'ont jamais réellement apposés de mots. camp » l'Ordre a très rapidement attiré son attention, et plus on cherchait à la protéger, plus elle s'y intéressait. baguette » au choix. patronus » au choix. épouvantard » au choix. particularité(s) » elle a du sang de vélane, héritage maternel avec lequel les femmes de la famille composent depuis des années sans chercher à l'ébruiter. HISTOIRE. (1) Gabrielle est la cadette de deux enfants. Elle est élevée dans une grande demeure et bénéficie d’une éducation inhérente à son rang social – elle apprend les bases de l’anglais assez jeune, dans lequel elle s’avère plus douée que son aînée, même si sa timidité presque maladive de l’époque la pousse à ne jamais s’en servir, et on favorise un violon d’Ingres artistique. Tout ce que Gabrielle touche lui réussit, elle a les doigts faits pour les instruments, un peu comme s’ils avaient été taillés pour s’y accoutumer. Le problème est qu’elle n’apprécie pas réellement ça – il faut de la patience et un calme olympien qu’elle fait uniquement semblant de posséder. Elle ne dit rien, pourtant, encore trop jeune et influençable, avec cette peur qui gronde – celle de décevoir papa et maman, ou de ne pas être à la hauteur de Fleur (2) Elle fait ses classes dans les Pyrénées, à Beauxbâtons. Tantôt effarouchée d’être dans l’ombre de sa sœur aînée, tantôt fière d’avoir un tel modèle sur lequel se calquer, elle clôture sa scolarité avec les félicitations des professeurs, se démarquant des autres par l’art subtil et hautement sélectif des potions (3) Rapidement, la guerre menée par les anglais parvient en France. Le couple Delacour se décide à prêter main forte, après être resté ostensiblement neutre, en aidant leur fille aînée, Fleur, à faire passer les fugitifs d’un pays à l’autre, s’occupant du long terme. Gabrielle, déjà sensibilisée à la cause, décide de venir en aide aux réfugiés, elle aussi. Ensemble, ils fournissent vivres, entrent en contact avec les familles de certains réfugiés afin de les localiser convenablement, trouvent des hébergements temporaires ou ce genre de choses (4) été 2004, elle se bat contre l’avis de ses parents, initialement catégorique, pour se rendre en Angleterre où la situation ne cesse de se dégrader. Elle franchit donc le seuil anglais illégalement, à l’aide des passages organisés par Bill et Fleur, qu’elle est parvenue à convaincre (ou à amadouer, personne ne le sait) (5) elle est presque immédiatement prise sous l’aile des Weasley (après être restée quelques mois avec Fleur et ayant fait ses preuves), mais préfère voyager de planques en planques afin de prêter mains fortes aux résistants dans le besoin, assurer des missions parfois jugées trop périlleuses pour une gamine de cet âge – elle s’en sort toujours, pourtant, et bien vite, elle gagne la réputation de la "gamine née sous la bonne étoile", leur "Star Child" attitrée, qui a manqué d’y laisser ses plumes plusieurs fois. (6) Elle entend les grondements des tréfonds de la résistance, ceux qui blâment les cercles plus élevés de les reléguer au second plan, et elle apaise, elle fait de son mieux pour que l'Ordre ne soit pas divisé, médiatrice de talent au verbe assuré. Puis, si elle n'avait pas ce statut d'enfant de coeur auprès de la plupart des fugitifs, sans doute l'auraient-ils envoyée bouler dès le début. Privilégiée parmi les privilégiés et une chambre à St James alors que d'autres n'y ont pas droit, ça lui fait une belle jambe, à elle. Elle s'y sent plus étouffée qu'autre chose, les secrets s'enterrent sous son nez et ça commence à l'irriter.
carnet d'adresses MAFALDA PREWETT (abigail cowen) » Dissocier Gabrielle et Mafalda, c’est devenu compliqué depuis un petit temps. Présentées l’une à l’autre dans l’optique d’avoir un point d’ancrage perpétuel au sein d’un conflit qui fait rage depuis trop longtemps, les filles sont, aujourd’hui, parvenues à comprendre qu’il valait mieux pour elles ne pas trop s’éloigner l’une de l’autre. Elles ont mis un certain temps, pourtant, avant d’accepter la présence l’une de l’autre — Mafalda, particulièrement. Amère de se voir attribuer un nouveau binôme (autre que Lavender, décédée quelques années auparavant), désespérée d’avoir vu leur planque initiale voler en un millier de morceaux (voir la chronologie) et peu encline à s’attacher une nouvelle personne en une période aussi sombre de l’histoire, Mafalda n’a eu de cesse que de repousser Gabrielle, dont les tentatives pour se lier à quelqu’un sur le sol anglais, autre que sa grande soeur, se sont longuement soldées par de cuisants échecs. Ce qui l’intéressait, c’était Mafalda et le sentiment de confiance qui pouvait découler d’avoir une épaule sur laquelle se reposer. Et ce dont Mafalda ne voulait surtout pas, c’était Gabrielle. Quelle ironie. Toutes les deux ont passé de nombreuses semaines après l’arrivée de Gabrielle à se courir après et se repousser inlassablement, jusqu’à-ce que le temps fasse son travail et que Mafalda se décide à l’accepter. C’est arrivé petit à petit : une lumière laissée allumée jusqu’à-ce que Gabrielle rentre, un repas mis de côté après une mission et des regards devenus brillants de complicité qu’elles ont, finalement, été les seules à pouvoir comprendre. Au sein de la résistance, elles sont surnommée "les inséparables", un duo qui se complète avec une telle aisance qu’il est difficile d’imaginer qu’elles n’étaient pas faites pour fonctionner ensemble : Gabrielle, c’est le coeur et l’action quand Mafalda représente la raison et la stratégie. C’est un tandem qui marche plutôt bien sur le terrain et qui, dans l’intimité d’une relation oscillant doucement entre l’amitié et l’amour naissant qu’elles n’ont encore jamais évoqué, fonctionne encore mieux. ANGELINA JOHNSON (logan browning) » Angelina, c’est le fantôme de la chambre. Le tiers d’une relation cordiale qu’on entend jamais, qui disparaît et réapparaît sans que personne ne s'en rende compte. Et bien entendu, ça a piqué la curiosité de Gabrielle à vif — c’était pour ainsi dire inévitable. Quand Gab et Mafie ont commencé à mieux s’entendre, toutes les deux, l’enfer s’est ouvert sous les pieds d’Angie : c’est pas les "inséparables" qu’elle les surnomme, mais les "insupportables". Toujours fourrées dans les pieds de l’ancienne gryffondor, que ce soit pour l’assommer sous les questions ou l’étouffer de petites attentions, les filles semblent s’être mises d’accord sur une idée commune : celle de lui veiller dessus, puisqu’elle-même semble être incapable de se soucier de sa propre santé depuis aussi loin que Gabrielle soit capable de s’en souvenir. (Bien qu’avec les informations que les autres résistants lui ont donné, elle ait été capable de faire le lien entre la perte de Fred et son comportement) (qu’elle trouve d’autant plus inquiétant, ceci dit). Même si personne n’évoque jamais le sujet, il semblerait que les rôles ce soient inversés : ce sont les jeunes qui veillent sur les plus vieux — de toute façon, comme aime le rappeler Gab, elles n’ont que quelques années de différence (et reste toujours très vague sur le nombre exact, bien entendu), alors quelle importance ? smoke and mirrors |
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| | | MAIS QUEL SCENARIO DE OUF sincèrement, je suis tombée dingue de Gabrielle et Mafalda j'espère que le changement d'avatar ne te gêne pas, mais je trouve qu'Elle Fanning va super bien pour Gabrielle (sinon, je peux changer, il n'y a aucun souis là-dessus ) |
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