BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 Mordicus #2 | Dry Your Tears

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Finnegan Fawley
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Finnegan Fawley
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MessageSujet: Mordicus #2 | Dry Your Tears   Mordicus #2 | Dry Your Tears EmptyMer 17 Nov - 23:23
atticus & mordred
Your two eyes are getting wet. I can feel your pretty breath on my cheers. waiting for the sunset we will spend the hour's left. And i hear : So come to my shoulder and dry your tears. I will whisper to your ears everything will be ok. Can't even just grap my hand and grip it hard. I'll remind you of what we've had
first week of september La cloche résonne alors qu'Atticus termine de noter les devoirs pour la semaine prochaine. Son écriture penchée apparaît sur les deux feuilles de parchemin, une pour lui et l'autre pour l'absent. Pourtant, Mordred ne mérite pas qu'Atticus prenne le temps de recopier les devoirs comme il l'a fait toute la journée. S'il ne souhaite pas prendre du retard, il n'avait qu'à pas sécher. Malgré cette pensée qui a fait irruption dans son esprit agacé toute la journée - du moment où il est entré dans l'amphithéâtre pour ne pas y voir le jeune sorcier jusqu'à la dernière heure - Atticus a recopié les directives. Il lui passera aussi ses cours. Non sans le sermonner auparavant pour son irresponsabilité ! Tout le monde sait qu'il est primordial d'assister aux cours, d'autant plus en début d'année. Sinon c'est la porte ouverte au retard et aux devoirs qui s'accumulent, à la perte de motivation voire jusqu'à l'abandon pur et simple des études. Atticus se sait chanceux, Karl le lui a souvent répété, de pouvoir aller aussi loin dans ses études ; Mordred ne devrait pas prendre tout cela à la légère. C'est tout de même de son avenir dont il est question.

Sa plume rape sur la feuille, alors que l'étudiant est penché jusqu'à presque toucher la table en bois de son nez. Les sourcils froncés, ses lèvres forment une moue désapprobatrice. Cela ne le regarde pas après tout.

Pourtant, lorsqu'il a terminé, il glisse les feuilles dans un calepin qu'il range dans sa sacoche en cuir usé dont l'un des fermoirs est cassé et se lève pour se rendre non pas chez lui mais en direction de l'appartement de Mordred. Il n'a pas répondu à sa lettre de ce matin qui lui demandait s'il avait enfin décidé d'abandonner ses études parce qu'Atticus le dépasse maintenant dans la plupart des matières. Et ce n'est certainement pas l'inquiétude qui le fait presser le pas, après avoir enfoncé son chapeau sur la tête et passer une echarpe autour de son cou ; malgré la clémence du temps, Atticus a toujours été frileux. Il fait son devoir simplement et si son camarade pense qu'il peut s'éviter des remontrances en l'ignorant, il se met le doigt dans l'oeil.

Sa sacoche rebondit contre sa hanche à chaque pas qu'il fait en direction de sa destination. Il accélère un peu plus la cadence alors que des fils invisibles grignottent l'intérieur de son ventre. Les jointures de ses doigts sont d'un blanc neigeux à force de trop serrer la bandoulière et son torse dissimulé sous un épais pull un peu trop grand pour lui se soulève et s'abaisse de plus en plus vite... Jusqu'à ce qu'il arrive devant la porte de l'appartement. Il s'arrête pour reprendre sa respiration - et ses esprits un peu aussi - replacer le chapeau en tweed sur sa tête et réfléchir à ce qu'il va lui dire dès que l'autre étudiant lui aura ouvert la porte. Une fois préparé, Atticus compose le code et au clac du battant qui s'ouvre, il pousse la porte pour l'emprunter. Ainsi, il peut monter les quelques marches et une fois devant la porte frapper trois coups brefs.

Rien.
Le silence lui répond.

Atticus lève les yeux au ciel, il sait pertinemment que Mordred est chez lui. Il toque encore, un peu plus fort cette fois. Ses lèvres se serrant jusqu'à reprendre cette moue qui le caractérise tant. Et il toque et toque encore, augmentant à intervalle régulier le nombre de coups que ses poings font sur le bois de la porte pour signifier sa présence. Enfin, il entend des bruits de pas et retire sa main, Atticus croise ses bras et ouvre la bouche pour lui dire tout ce qu'il pense de sa nouvelle lubie concernant l'école buissonière lorsqu'il se retrouve nez à nez avec un Mordred affublé simplement d'un short et d'un t-shirt, la mine comme il ne lui a jamais vue.. Sa bouche reste entrouverte sous le coup de la surprise, et Atticus est incapable de prononcer plus de trois mots. "Tu.. Je...," les paroles bien piquantes se sont envolées et son visage a pris trois teintes en l'espace de quelques secondes : passant du blanc livide au rose pétales jusqu'au rouge cramoisi. Avant qu'il ne détourne le regard et la tête dans un élan de... pudeur. "On n'a pas idée d'ouvrir aux gens dans cette tenue," qu'il murmure d'un ton renfrogné en fronçant les sourcils. Il a l'impression d'être de nouveau à Poudlard quand Mordred oubliait ses vêtements avant d'aller à la douche. Atticus en est tellement mortifié qu'il oublierait presque la raison de sa venue. Si ce n'est qu'Atticus Postumus O'Neil a une excellente mémoire parfois pour son plus grand malheur.
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atticus & mordred
Your two eyes are getting wet. I can feel your pretty breath on my cheers. waiting for the sunset we will spend the hour's left. And i hear : So come to my shoulder and dry your tears. I will whisper to your ears everything will be ok. Can't even just grap my hand and grip it hard. I'll remind you of what we've had
Tu n’as aucune idée de combien de jours se sont écoulés dans ce studio depuis que Gawain a passé la porte avec des insultes à la bouche et un mariage à l’horizon. Tu l’attends. Tu ne vois pas une raison, pas une seule bonne raison de sortir tant que Gawain n’est pas revenu te chercher avec les habituels mots d’excuses à la bouche.
Les cours ont peut-être repris. Sûrement. Tu n’as prévenu personne et personne n’est venu te chercher. Tu reçois des lettres dont tu vérifies vaguement l’expéditeur mais sans voir le G caractéristique que tu attends, elles finissent toutes en tas dans un coin de ton studio. Tu t’en fous. Tu t’en fous de tout tant que Gawain n’est pas revenu pour toi.
Ta boule crystal est allumée en continu et remplit l’appartement d’un ronronnement qui t’accompagne partout où tu vas. Tu ne la regardes pas. Tu veux juste vérifier si Gawain n’a pas eu un accident qui l’empêche de venir te chercher. Parfois tu te poses devant, tu essayes de comprendre ce qui se dit mais la concentration te force à revenir dans l’instant présent et tu retournes rapidement à tes larmes étouffées dans l’oreiller.
Tu aimerais être encore plus misérable que cela. Tu aimerais te laisser mourir de faim. Avoir l’absence de conscience de toi-même qui t’empêche de te lever. Tu aimerais que ton corps ne dorme jamais. Mais comme tu ne sautes pas du balcon que tu fixes à longueur de journée, tu finis par trouver le chemin vers le bain quand l’odeur finit par irriter tes narines. Là, tu t’y oublies, tu noies tes larmes dans le bain, tu revis ces heures d’été dans cette salle de bain avec lui, avec Gawain.
Chaque espace de ton studio porte des milliards de souvenirs de lui, de son sourire, de vos discussions, et parfois il te faut juste fermer les yeux pour arrêter de le voir partout. C’est souvent dans ces moments-là où tu t’endors. Quelques heures agitées, habitées par des rêves qui ne te réveillent jamais vraiment, te laissent à la limite du songe et te réveillent en sueur et avec des larmes séchées sur tes joues, l’odeur du sel à tes lèvres.
Tu rêves qu’on toque à la porte.
Tu entends la voix de Gawain qui t’appelle. Est-ce la voix de ton père, plutôt, qui vient récupérer son argent ? Ta mère, qui exige ton retour parce que maintenant que tu n’as plus Gawain, tu n’as plus rien ? Tu as peur d’y retourner, tellement peur d’y retourner et en même temps tu ne sais pas si tu peux exister tout seul.
Tu te réveilles en sursaut, haletant, tremblant, et tu t’agites de panique dans le lit un moment avant que tu ne te rendes compte que le bruit est réel, qu’on est à ta porte, qu’on vient te chercher.

Tu te fais mal à l’orteil en sautant du lit. C’est trop rapide, tu vois un peu flou mais l’habitude te pousse jusqu’à la porte que tu ouvres d’un coup avec un seul prénom aux lèvres.
Atticus.
Non, ce n’est pas lui que tu attends, ni celui que tu crains. Atticus. Atticus O’Neil. Interdit, tu clignes des yeux à le voir à ta porte. Mais qu’est-ce qu’il fout là ? Il n’a rien à faire ici. Tu te souviens vaguement d’avoir jeté une lettre à son nom. Tu lui as emprunté un livre ? De l’argent ? Non, Atticus est pauvre, il n’a pas d’argent à prêter. Surtout pas à Mordred.
Atticus a l’air aussi surpris que Mordred de le trouver là, comme s’il n’avait pas prévu de venir, comme s’il s’était trompé de porte. Et, finalement, il fait une remarque absurde sur ta tenue. La tenue que tu as mis en sortant du bain, avant de te coucher avec les cheveux trempés. Tu dois avoir une tête effroyable. Mais tu t’en fous, tu t’en fous de tout, et d’avoir Atticus qui critique ta tenue alors que toute ta vie est partie en l’air…
Ça te fait rire.
C’est plus fort que toi; un éclat de rire nerveux et cynique qui te fait un peu pleurer parce que tout te fait pleurer ces derniers jours. Tu as éclaté en sanglots ce matin en voyant le fond du pot de confiture.
Pardon de pas avoir préparé le costume pour toi, APO, tu m’as pas exactement prévenu de ta visite.
Quel culot, quand on n’a pas ouvert la moindre lettre depuis des jours. Tu te surprends à parvenir à parler. Mais charrier Atticus c’est plus simple que de respirer et tu n’as pas pensé à lui, tu n’as pas pensé à lui depuis que tu as laissé tomber la lettre que tu voulais lui écrire, mais peut-être qu’il pourrait être ce qu’il te faut pour sortir de ce marasme.
Qu’est-ce que tu veux ? demandes-tu tout de même de manière abrupte.
Tu ne l’invites pas à rentrer et tu as un peu refermé le battant sur toi pour ne pas qu’il voit trop en profondeur le bordel de ton appart’. Il t’a fait rire, il t’a distrait, mais ce n’est pas pour autant que tu veux être sauvé. Tu veux continuer de dépérir jusqu’à ce que Gawain, et Gawain seul, vienne te chercher.
Si c’est pour les cours, t’emmerdes pas, j’arrête.
Tu n’y as pas réfléchi, ce n’est pas une vraie décision, tu n’en es pas capable mais c’est tout ce que tu trouves pour renvoyer Atticus. Parce que tout ce qui vous ie, tout ce qui vous a jamais lié lui et toi, ce sont les cours. Les notes. La compétition qui en résultait. Sans ça, Atticus n’est plus personne pour lui et il peut retourner se morfondre. Et attendre. L’attendre.
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Finnegan Fawley
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Atticus ne reconnaît pas le Mordred qui lui ouvre la porte en lui obstruant l’entrée. Enfin si, c’est bien le même étudiant avec ses cheveux noirs qui ont toujours l’air impossiblement soyeux, qui le dépasse de deux petits et minuscules centimètres de rien du tout si on en croit le O’Neil et qui a cette manie rassurante - car elle est routinière - de toujours lui rétorquer sol quand il dit fa comme il le fait maintenant ; but something is definitely off. Il le sait parce que, sans qu’il ait compris comment c’est arrivé, Atticus sait reconnaître les différents rires de Mordred et celui-ci sonne faux, comme du verre pilé qu’on ferait grincer sur un tableau d’ardoise, ce son discordant ne paraît ni heureux, ni hilare et ne vient pas réveiller d’infinitésimaux courants électriques dans son abdomen que ses autres rires ont l’habitude de déclencher pour une obscure raison. Sans doute en rapport avec les neurones miroirs - Atticus s’est renseigné la première fois que ça lui est arrivé - et le fait que plus on passe de temps avec quelqu’un et plus on finit par réagir à cette personne est tout à fait normal.

Pardon de pas avoir préparé le costume pour toi APO, tu m’as pas exactement prévenu de ta visite.

Atticus est certain que si, dans la lettre qu’il a envoyée ce matin, cela signifie donc que Mordred ne l’a pas ouverte et cette offense est pire qu’une insulte. Alors, il tourne son visage de quelques millimètres et l’observe du coin de l'œil encore plus soupçonneux car l’autre garçon ouvre toujours ses lettres d’ordinaire. S’il fait bien attention de ne pas laisser son regard s’égarer en dessous du cou de l’impoli qui ne lui a toujours pas proposé d’entrer, where are his manners, il a tout le loisir de constater avec malaise que les yeux du sécheur en herbe sont rougis et qu’ils semblent emplis de larmes et qu’il a l’air d’avoir trop dormir ou pas suffisamment ou en tout cas pas comme il faut et même ses cheveux ne donnent pour une fois pas du tout envie qu’on y passe la main, not that he would of course. Ne sachant pas trop comment réagir face à ce paysage d’aucun dirait dramatique, Atticus sent néanmoins son ventre se serrer.

Pour quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne serait ni un membre de sa famille, ni Mordred apparemment (il faudra peut-être qu’un jour il se penche sur le moment exact où son rival est devenu un ami, mais pour cela il serait nécessaire de revenir sur différents souvenirs qu’il évite soigneusement) Atticus aurait tendu les cours en assénant une remarque cinglante pour cacher son embarras face à un tel déversement émotionnel, puis serait parti sans se retourner. Toutefois, 1) de toute évidence, Mordred n’est pas un simple quelqu’un. 2) Atticus ne se rappelle l’avoir vu dans un état similaire qu’à une seule autre occasion et il n’est pas très à l’aise avec l’idée de le laisser seul si cela concerne ses parents et encore moins lorsqu’il est dans cet état. 3) Gary désapprouverait son fils s’il partait sans au moins tenter de réconforter la personne. Et ce dernier point à lui seul suffit à expliquer pourquoi lorsque Mordred fait son petit sketch peu crédible de “j’arrête les cours”, il ne reçoit pas les notes qu’Atticus a pris le temps de recopier pour lui  en plein dans son visage.

A la place, l’étudiant lève les yeux au ciel et répond simplement “Sage décision. La compétition devenait sans doute trop difficile pour toi.” A bien y réfléchir, ce n’est pas ainsi qu’aurait répondu Gary et il peut presque voir son père froncer les sourcils en lui enjoignant de faire un effort, c’est presque comme s’il sentait les deux grandes mains de son père contre son dos le poussant vers l’avant. Il fait deux petits pas, poussé par ces mains invisibles, et voit avec frayeur sa propre main se décrocher de sa bandoulière pour tenter de se poser sur l’épaule de l’autre garçon avant de se rappeler qu’il porte un t-shirt et qu’Atticus ne saurait pas bien quoi faire de cette main si elle venait à entrer en contact avec de la peau - et cette pensée fait venir une image de la soirée révision, chose inconcevable pour Atticus qui prétend que cette soirée n’a jamais existée - et de la laisser retomber mollement contre son corps. “Tu comptes me laisser entrer maintenant que tu as accepté ta défaite ?” demande-t-il à la place, sa voix se colorant contre son gré d’une certaine déception, à ne pas être accueilli avec un sourire ou face à la dernière remarque du brun, il ne pourrait le dire. Intérieurement, il s’excuse auprès de son père pour cette tentative ratée, si la sociabilité était une matière, Atticus aurait reçu un Piètre ou un Désolant.
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