summer lovin'

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début septembre 2007 | @Langford Prewett

L’été anglais, Saracita ne l’a pas vu. Elle a vu les studios de tournage d’Elementary, les murs de son bureau, ceux de Z, du Dancing Phoenix à une occasion, ceux de sa maison. Achever le tournage de la série a été un grand plaisir, bienvenue pour toute une équipe qui a travaillé d’arrache-pied afin de produire quelque chose qui conviennent aux standards du grand patron de la BCBC, sans parler de l’exigeante Américaine veillant la moindre étape de A à Z. Celles et ceux qui espéraient qu’elle soit faite du même bois tendre que son frère aîné ont eu tout le plaisir de découvrir que ses grands sourires et ses infinies tenues roses cachent un sens de l’organisation au poil et un souci du détail frisant parfois le maniaque. Être dans le travail par-dessus la tête (pas difficile, au vu de son mètre 59) ne l’effraie pas et à toute heure du jour, ou de la nuit, il est possible d’avoir un retour de Sita Kazan.
Elle l’a dit à Z : cette série, c’est leur réputation à tous les deux. C’est la BCBC autant que USoK, et elle ne s’est pas déplacée pour rien. Elle est là pour travailler.

L’automne est donc déjà presque aux portes du Royaume-Uni lorsque la brune ose faire ce qu’elle n’a pas fait depuis son arrivée : prendre un peu de temps pour elle. Vraiment pour elle. Pas une soirée avec Gina volée ça et là, pas une manucure sur fond de travail et informations, pas une séance de yoga-compta coincée entre deux réunions et un tournage de nuit.

Pour elle et pour le charmant personnage qu’elle fréquente depuis ce même été, à savoir l’inénarrable Langford Prewett.

Il faut dire que pour lui, Sita a bien réussi à trouver quelques moments de libre dans son horaire surchargé. Des moments afin d’apprendre à mieux connaître ce fameux charmant gentleman Anglais tant vanté à ses amies et qui a tout de suite su lui taper dans l'œil (ce qui devrait être un avertissement, maintenant, si on se fie à la feuille de route de l’Américaine). Elle l’a en effet découvert drôle, créatif et passionné, comme anticipé, mais aussi étrangement mystérieux, insaisissable. Ne révélant rien de trop compromettant sur sa vie, parlant du bout des lèvres de sujets plus intimes. Elle lui a pratiquement arraché la confession qu’il a “deux, non, trois, enfants” et a déjà été marié, deux fois plutôt qu’une. Les autres informations, elles, lui viennent plutôt d’une Gina toujours attentionnée et des regards circonspects de Narcissa et Myrthild. Cette dernière a d’ailleurs accueilli son propre flot de questions, lorsqu’elle a su que Ford était son beau-frère, mais la brune est restée si évasive que vraiment, les soupçons de Saracita n’ont pas eu le choix de se manifester.

Que cache donc Langford ?
(heureusement, pas une Marque des Ténèbres sur son bras : elle ne croit pas qu’elle accepterait d’être touchée si intimement par un homme marqué d’une magie si noire)

Cette fin de semaine à Brighton, cette charmante escapade, porte donc deux objectifs : se reposer avant d’entamer le marathon promotionnel de la série et mieux connaître le sang pur. Objectifs simples, à réaliser dans le cadre enchanteur qu’offre la ville côtière 100% sorcière. La chambre d’hôtel louée offre une vue enchanteresse sur la mer et Sita ne peut s’empêcher de soupirer de ravissement, en déposant sa valise près du lit king qu’ils feront leur plus tard. « Je rêve d’un tour de bateau », dit-elle à son compagnon avec un sourire. Elle rêve même de surfer, comme elle le faisait en Californie ! Mais une balade en mer sous thème de bronzette sous le soleil avec l’un des à peu près 20 maillots entassés dans son bagage et une coupe de champagne… ce sera déjà très bien.

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Langford Prewett était en pls.
Cet état de faits n'était pas vraiment nouveau, en réalité. La seule différence, à présent, c'est qu'il s'en rendait compte. Depuis le mois de juin, depuis la discussion avec son frère, ce qui restait de son monde était tombé en lambeaux: son frère, sa belle-sœur, son neveu qui était en fait son fils... Il pensait avoir dépassé le pire quand Mona avait pris la poudre d'escampette en embarquant Diego sous son bras. Mais il fallait croire que le karma en avait encore en réserve pour sa trogne.

L'été anglais, donc, Ford l'avait senti passer. A ce stade, il aurait pu réclamer un Oscar (ou l'équivalent sorcier), dans le rôle de meilleur comic relief. Il ne sait pas grâce à quelle force il avait continué à aller au travail, après un tel chamboulement dans sa famille. Il ignorait comment il avait pu continuer à faire des blagues vaseuses avec Wickham et Buck, comment il avait pu continuer à se faire taper sur les doigts par Al-Massri ou Fitzroy, comment il avait pu continuer à faire du gringue à Sid et à Lucia.
La force du désespoir, sans doute; surélevée d'une bonne couche de déni.

Les seuls moments où il avait eu l'impression de sortir un peu la tête de l'eau (et Merlin seul sait que l'eau, c'était pas son truc; il lui préférait le firewhisky), c'est quand il parvenait à arracher un rendez-vous galant à Sita. Il avait fait sa rencontre juste avant le grand chambardement, et s'était accrochée à son sourire et à son décolleté chaque matin, afin de se donner une motivation pour se lever de son plumard (ou plutôt chaque soir, brigade de nuit oblige).
Il n'était pas facile de soutirer quelques heures à la belle, mais c'est ce qui rendait le challenge enivrant (et vous savez aussi bien que moi à quel point Ford adore s'enivrer). A croire qu'attendre qu'elle réponde à ses messages envoyés par ondes cristal lui permettait d'oublier quelques instants que sa famille partait à vau-l'eau. Il lui en fallait peu pour se remettre en jambe le temps d'une douce et grivoise soirée.

Aussi, lorsque Sita avait manifesté le désir de prendre quelques jours au grand air, Ford n'avait pas dit non (pas comme s'il ne lui refusait jamais rien). Elle s'était bien entendu occupée de l'organisation, tandis que Ford (en plus d'aligner les gallions) checkait çà et là les activités avec lesquelles il pourrait la surprendre, suite aux conseils plus ou moins sages de sa bande de lascars ("Oublie pas de vérifier qu'y'a un casino" dixit Buck).

"Je rêve d’un tour de bateau!" Ford jette son sac fait à la va-vite dans un coin de la chambre, regrette aussitôt son geste en entendant le bruit du verre malmené (oui, il avait amené avec lui de l'alcool de contrebande, comme quoi, peut-être pas fait à la va-vite tant que ça, son sac). "Regardez-moi cette femme active; on vient à peine d'arriver qu'elle est déjà repartie!" plaisante-t-il en se glissant derrière elle, souriant contre sa nuque, avant de s'éclipser furtivement pour apprécier le contenu de son bagage. "Donne-moi quelques minutes pour m'hydrater et j'suis à toi!" chantonne-t-il en extirpant de son sac une bouteille de magico-champagne et deux coupes magiquement emballées pour le voyage. "Et pis, va falloir que tu réfléchisses à quel maillot de bain est approprié pour une croisière, hein, on rigole pas avec ses choses-là!" Et de se marrer bruyamment, tout en leur remplissant généreusement une coupe chacun. Il lui tend la sienne avant de s'avachir sur le lit, les orteils en éventail et le nez déjà éclaboussé par les petites bulles du mousseux. "J'arrive toujours pas à croire que t'aies réussi à trouver une place dans ton planning pour venir lézarder ici; t'as quand même pas compté ça comme voyage d'affaires, tout de même, hein?"

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« Regardez-moi cette femme active; on vient à peine d'arriver qu'elle est déjà repartie! Tu me connais, je ne sais pas m’arrêter », rit l’Américaine, bien consciente que son énergie est tout autant un défaut. Un frisson la traverse, depuis l’endroit de sa nuque où les lèvres de Ford ont effleuré sa peau, tout juste avant qu’il s’occupe de les hydrater. Le bruit de verre qui s’est échappé du sac de voyage du sang pur ne lui a d’ailleurs pas échappé et elle se demande combien de bouteilles il a pris avec lui pour cette courte escapade, surtout considérant celui légal tout juste buvable dans ce pays, qu’il lui apparaît impensable que le policier ait accès de façon si régulière à une source alcoolisée illégale (c’est beau, cette naïveté, touchant même) et qu’elle-même ne boit que peu. Une question qui sera élucidée dans les prochains jours, elle n’en doute pas.

La brune s’empare délicatement de sa coupe généreusement remplie, mais n’a pas le temps de proposer un toast à leur séjour que le Prewett a déjà le nez dans le liquide doré. Le sien, de nez joliment busqué, se plisse un peu de mécontentement

« J'arrive toujours pas à croire que t'aies réussi à trouver une place dans ton planning pour venir lézarder ici; t'as quand même pas compté ça comme voyage d'affaires, tout de même, hein? Je laisse le détournement de fonds à Z », blague-t-elle, bien que les mots portent une part de vérité. Pas celle du détournements de fonds (ce n’est pas de ses affaires et il ne serait pas le premier magnat des médias à le faire, ou le premier riche homme d’affaires point), mais celle qui implique qu’elle n’oserait pas passer ses dépenses personnelles sur celles professionnelles. Monnaie courante dans leur industrie, mais dans sa situation, c’est hors de question. Sita doit avoir une explication pour la moindre Noise dépensée.

« J’ai travaillé sans relâche depuis mon arrivée et je dirige la production : disons que l’approbation des congés a été rapide, commente la brune sobrement, toute en malice. Puis, ce n’est pas comme s’ils partaient très longtemps… puis, c’est la période idéale, en regard de son horaire : autant en profiter. Et pour une fois que tu peux aussi prendre quelques jours de repos… vraiment, ils te font trop travailler. Surtout de nuit, c’est terrible pour ton rythme circadien, dit l’hôpital qui se fout de la charité alors que Saracita travaille à toute heure du jour et de la nuit (au point où les rendez-vous d’une heure du matin avec Z par boule de cristal interposée sont devenus monnaie courante). Sa coupe de champagne est déposée sur la table de chevet voisine de Langford et ses doigts viennent tracer l’ovale du visage de l’homme, en une caresse douce, faite sous un regard attentif. Prendre le soleil te fera du bien. » Laissez-la s’inquiéter pour le teint pâlichon de Ford, pour les cernes qui vieillissent son visage jovial, pour la fatigue qui éteint un peu le regard bleu et coquin.

Ses lèvres se déposent brièvement sur celles de l’Anglais, avant qu’elle se relève et parte à l’assaut de sa valise. « Blanc ? », demande-t-elle en sortant le premier bikini, dont le tissu, ou l’absence de, soulignera bien son corps menu, bronzé et toned à grand coup de séance de yoga et de course à pied.

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"Je laisse le détournement de fonds à Z," rétorque Sita en plaisantant (vraiment? en plaisantant? nan parce que) "Ah ouais? Faudrait qu'il m'apprenne des trucs, ton Zee, là..." marmonne Ford, penaud, louchant dans le fond de son verre. Oui, parce qu'en plus des drames familiaux, s'ajoutaient les dettes et les habituels problèmes d'argent -c'est fou! Ford finirait même par les oublier, ceux-là, s'il ne croisait pas l'un de ses innombrables créanciers, tous les vingt pas, au Ministère. La dégringolade de l'empire Prewett n'était plus à présenter ; fort heureusement, Mona ne lui avait réclamé aucun dédommagements ou quelque pension que ce soit (au risque qu'il ait à lui emprunter l'argent avant de le lui renvoyer...) (c'est le vampire qui se mord la queue). Cependant, depuis qu'il avait rencontré Sita, il n'avait pas hésité à dégainer le portefeuille plus vite que son ombre pour combler son exigeante et dépensière dulcinée, quand bien même elle devait être bien plus riche que lui.

"Et pour une fois que tu peux aussi prendre quelques jours de repos… vraiment, ils te font trop travailler. Surtout de nuit, c’est terrible pour ton rythme circadien." "M-mon quoi?" Ford fronce bêtement les sourcils, convaincu que c'était pas une seule petite (et remplie à ras bord) coupette de champagne qui allait le rendre infoutu de comprendre sa compagne. Sita se passe d'explication, ou plutôt lui en confère une en caressant pensivement son visage marquée par la fatigue et les heures supplémentaires. "Oh, tu sais, c'est le jeu, ma belle; et pis, s'il faut que j'bosse la nuit pour pouvoir nous payer des vacances, hé, j'peux même aller faire le stagiaire à la BPM, s'ils le veulent!" plaisante-t-il, les yeux mi-clos, un sourire de bienheureux tandis que Sita, après l'avoir doucement embrassé, s'éloigne pour entamer les essayages.

L'attention de Ford se cloue à son petit jeu. Il se redresse contre les coussins, souriant derrière sa coupe qu'il remplit une seconde fois, avant même de l'avoir complètement vidé (il paraît que ça porte malheur de voir le fond d'une coupe de champagne...).
"Blanc?" minaude-t-elle en brandissant le premier maillot de bain. Ford cligne plusieurs fois des yeux, bouche bée, sûrement très occupé à imaginer Sita dans l'ensemble en question. "J'aurais pas dit mieux!" admet-il en levant sa coupe, comme pour porter un toast à la beauté de sa compagne. "Blanc, noir, transparent, tu sais moi—" Le rouge lui monte aux joues (que ce soit l'émotion ou le mousseux) et il décide de conclure son trait d'esprit d'une généreuse gorgée, sa main libre triturant les prospectus sur la table de nuit, à défaut de se fourrer dans son pantalon.

"Tu savais qu'ils cherchaient des gens pour emménager dans leurs nouvelles villes sorcières, là? J'sais plus si c'est ici ou... Canterbury? Ça te dirait pas de déménager à la campagne, sur la côte?" hasarde-t-il en lisant les titres des brochures... C'est pas qu'il avait plus d'une fois songé à vendre les ruines familiales (ou à y instaurer des visites guidées, mais là encore, l'entreprise avait été un échec), mais disons que ça pourrait l'aider à renflouer un peu les caisses abandonnées et vides dans l'aile inhabitée de la forteresse familiale... Et, si par la même occasion, Sita comprenait le message de venir habiter avec lui, il serait un homme comblé.

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Le rouge vient aussitôt colorer les joues de Langford, lui redonnant un peu de santé et de vigueur. « J'aurais pas dit mieux! Blanc, noir, transparent, tu sais moi— Flatteur », que minaude la sorcière, ravie de l’effet qu’elle ne manque jamais d’avoir sur le sang pur. Flatteur, très définitivement, alors qu’il n’a toujours que des compliments à la bouche et que celle-ci, de bouche, ne reste jamais bien longtemps de la sienne et d’ailleurs. Tout pour booster l’ego d’une femme, surtout en accord avec cette propension à se plier en quatre afin de lui faire plaisir, que ce soit avec ces vacances ou quelques cadeaux hors de prix.

Un second maillot ― noir, celui-là, puisqu’il en a parlé ― est sorti des entrailles de la valise, puis, un rose néon qui couvre encore moins de surface si possible. « Tu savais qu'ils cherchaient des gens pour emménager dans leurs nouvelles villes sorcières, là? J'sais plus si c'est ici ou... Canterbury? Ça te dirait pas de déménager à la campagne, sur la côte ? » La question, d’abord innocente, ne l’est soudain plus du tout. Ou est-ce qu’elle fabule cette invitation faite à demi-mot ? L’Américaine se regarde dans la glace, le bikini blanc placé devant elle comme pour mesurer s’il s’agit du meilleur choix dans sa multitude d’options, et ne peut pas s’empêcher de laisser ses prunelles courir jusqu’au reflet de l’Écossais couché sur le lit.
Le côté d’elle qui a besoin de tout contrôler est aux prises avec celui amateur de surprises, celle organisées par ou pour elle. Doit-elle lui demander de front, ou se faire plus subtile dans son approche, afin de ne pas effrayer le chaland s’il advient qu’elle va trop vite ? Le Prewett et la Kazan ne sont un item que depuis peu et elle ne voudrait pas… vraiment, Saracita ne voudrait pas présumer de quoi que ce soit, mais…

Un petit soupir et ses doigts replacent délicatement quelques mèches de ses cheveux ― geste hautement inutile qui sert seulement à lui donner une contenance, puisqu’aucun cheveu de sa tête n’est déplacé. « Mon cottage m’est gracieusement fourni par la BCBC, commence-t-elle, citant ce petit point de contrat dont elle est toujours bien heureuse, et je ne crois pas que Z désire me payer un déménagement. » Façon de dire qu’elle n’a pas du tout regardé cette affaire de nouvelles villes entièrement sorcières, ou pas autrement que sous un plan pratique ― définitivement plus pratique d’y planifier des tournages si en plus, il n’y a aucune assurance à prendre autour de la potentielle présence de moldus dans le périmètre (jamais trop de prudence, dans ce métier).
Puis, même si Sita a planifié ces vacances à Brighton, premier lieu s’il en est qui a été transformé en lieu sorcier par excellence par le bon gouvernement anglais, elle ne peut pas empêcher un certain malaise de poindre, quand elle pense à ces villes auparavant mixtes désormais artificiellement vidées de toute leur population sans magie.

« Quoique si je décide d’étirer ma présence au Royaume-Uni… » Petit sous-entendu laissé en suspens. Accroché à ses yeux sombres et doux, toujours fixés sur la silhouette sur le lit. Le sourire lui revient lorsqu’elle se retourne et délaisse le bikini, pour venir s’étendre aux côtés de son compagnon à mettre le couvre-lit. Ses doigts viennent danser sur la poitrine de l’homme, alors qu’elle cherche son regard du sien. « Tu en as assez d’être seul dans ton vieux château au fond de l’Écosse ? », qu’elle se permet de gentiment taquiner. Seul avec tous ces horribles fantômes et ce pas moins horrible reptile suceur de sang, dans une demeure trop en ruines pour être qualifiée de patrimoniale et qui ne fait sans doute pas de miracles pour la santé du sorcier, côté courants d’air, moisissures et poussière. Repartir à zéro, dans un nouvel endroit, loin des désastres familiaux, avec l’air de la côte, tout ça pourrait être très bénéfique pour le brigadier. Elle pense uniquement à lui, bien sûr, vous connaissez Saracita, le cœur sur la main et absolument aucune arrière-pensée impliquant un déménagement commun.

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