BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

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Vasilisa avait gardé l’habitude de Koldovstoretz, même plusieurs années après en être sortie, de se lever aux aurores. Un réveil simple et propre — parfois agrémenté de la silhouette rousse de Nadjeda à sa gauche. Elle y perdait ses doigts un instant, se permettait quelques secondes de tendresse contre son Ombre en collant son ventre à son dos, en mêlant ses jambes aux siennes et en enfouissant son nez dans les cheveux incroyablement doux de la demi-vélane avant de se lever finalement comme un petit soldat, sans un vertige, les deux pieds au sol et prête à battre la charge. Et aujourd’hui, elle ne comptait pas mener sa guerre dans le Palais, pas plus qu’au Ministère, mais dans la maison de son futur.
Parce qu’on la fiançait sans vraiment attendre son avis (valait mieux pas sinon elle ne risquait pas d’être marié avant le prochain siècle) mais au moins on avait admis qu’il serait préférable qu’elle apprenne à connaître son promis. Elle l’avait déjà croisé, l’adolescent en fin de cycle, et avait dû se rappeler plusieurs fois les propos maternels sur l’importance de faire bonne figure pour ne pas tout simplement tourner les talons. Elle s’était finalement résolue à songer qu’il valait tout aussi bien qu’un autre imbécile — voire plus qu’un autre imbécile parce qu’au moins il donnait l’impression d’être vite impressionnable, ce qui était un avantage. Et comme elle l’avait d’abord cru… il n’avait pas l’air bien vaillant le Bartholomeus, le sang britannique commençait à tourner au rance si l’on en croyait la face des héritiers des grandes familles, alors peut-être serait-elle veuve bien assez tôt. Le noir lui seyait assez bien au teint en plus.

Elle quitta donc le Strupalace (prenant plus de temps à circuler dans les couloirs alambiqués qui fort heureusement ne jouaient jamais de tours aux membres de la famille plutôt qu’à se préparer), enfila son casque, enfourcha sa Harley pour quitter le Palais en pétaradant, passa la barrière magique dans un petit dérapage et finir avec ses deux roues accrochées au bitume de Charing Cross Road sans qu’aucun idiot de moldu n’ai rien calculé. Elle circula ainsi, zigzagant entre les voitures et sous les yeux écarquillés de certains passants qui pointaient sa moto du doigt depuis le trottoir, passa de nouveau la frontière entre le Londres moldu et le Londres sorcier jusqu’à arriver devant la baraque Prewett-Travers. On ne va pas se mentir, la première fois qu’elle avait vu la maison, elle avait d’abord cru qu’il s’agissait d’une dépendance du reste de la propriété, là où vivait quelques domestiques et tout le tintouin. Mais que nenni. En guise de domestiques, d’ailleurs, y a un elfe de maison avec des oreilles comme des tours Eiffel et un mudblood qu’a l’air fini à la pisse ; rien de bien joyeux quand on frappe à la porte pour se faire accueillir. Mais au moins l’elfe il parlait correctement, lui. Ugh. "Hi. I’m here to see Bart." Et devant l’air mal réveillé du mudblood qui la dévisageait avec un air ahuri, la poignée de porte dans la main, elle précisa, plus lentement, histoire qu'il pige : "Bartholomeus Prewett ? Y’know the guy that lives here ?" L’autre lui marmonne que ouais, ouais il voit c’est qui, qu’il supposait qu’elle pouvait entrer et que si elle voulait un thé ou whatever fallait pas hésiter à appeler l’elfe. Bref, vraiment un serviteur en or à n’en pas douter. Elle le regarda traîner des pieds dans le couloir pour lui emboiter le pas et se présenter à Mrs. Travers, dans le salon — sa venue n’était pas impromptue, un hibou avait été envoyé la veille pour proposer une rencontre, sous le toit du groom, chaperonné de loin (on imaginait mal qu’il puisse se passer de quoi que ce soit de prémarital entre Bartholomeus et Vasilisa, vu le caractère des deux zozos). On lui indique que Bart est en haut, et après quelques civilités obligatoire mâtinées d’accent polonais de la part de Vasilisa elle se dirige vers l’escalier pour enjamber les marches jusqu’à la porte de la chambre de Bart. Oui, parce que dans cette famille, les enfants avaient des chambres… Et non pas des appartements dans un coin du château. Et leur chambre faisait la taille d’un cabinet. Bref, on la mariait dans l’aristocratie, mais l’aristocratie fauchée. Mother avait parfois des idées… étranges. Devant la porte elle frappa trois coups brusque à la porte, puis deux autres pour la forme. Sans se douter une seule seconde qu’à une heure pareille on pouvait encore dormir. "Hey, are you really gonna keep me waiting ?" qu’elle rajoute avec un nouveau coup sur la porte, bien moins blindée que celle qu’on trouvait au Palais soit dit en passant.
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Quoi de mieux pour redorer le blason de la famille que de chercher à fiancer bart à n’importe quelle greluche sang pur venue, le portefeuille bien rempli d’or ? l’obsession de myrth pour les mariages foireux ne la quittait plus, si bien que son fils allait avoir droit à une fausse élitiste et à une voyante, alchimiste qui, aujourd’hui, sniffait la marguerite par la racine. Cependant, la lionne dont on l’avait si gentiment affublée n’était pas si mal : elle avait à la fois le rôle du mec et de la fille, et ce n’était pas pour en déplaire au prépubère qui ne savait pas trop où sa propre sexualité ira le mener.
Bienheureux dans son vieux lit à baldaquin, vêtu d’un pyjama soyeux et toujours bien plissé sur sa peau blanchâtre, le gamin se reposait d’une nuit agitée et festive. La terre qui résistait sous ses ongles témoignait de l’activité tardive du prewett qui avait ajouté quelques beaux spécimens d’insectes dans sa collection de victimes inutiles. Le sorcier était fatigué ou plutôt véritablement exténué par ce manque de sommeil qu’il ne pouvait contrôler. La paix était enfin parvenue jusqu’à son esprit, et il dormait, droit comme un piquet, la bouche grande ouverte dans sa classe matinale. Cependant, un démon allait bientôt perturber sa quiétude.

Un râle impuissant suivi d’un sursaut de l’enfer manqua de faire tomber la feignasse du lit. Le runiste se rattrapa de justesse à sa table de nuit remplie de médicaments en tous genres. what the… ??!! jura-t-il dans sa barbe inexistante avant de se faufiler à nouveau sous la couette encore chaude. Quatre coups retentirent à nouveau et il leva les yeux au ciel en entendant la voix pleine d’assurance lui dégueuler un joyeux réveil. Attrapant passivement sa baguette, le jeune homme murmura un alohomora afin de déverrouiller la porte, seule protection entre lui et l’ogresse qui se présenta bientôt à lui.
Dans un énième bâillement camouflé maladroitement par une main molasse, bart dévisagea la jeune femme déjà sur le pied de guerre. d’you know what time is it already ? bien sûr qu’elle savait, lui par contre….. était resté à 5h du matin, moment où il était enfin rentré se pieuter.
Le gosse s’agita un instant, attrapant son réveil et inspecta les aiguilles non sans mal. Il entendait déjà la vague de reproches arriver quand vasi allait lui lister tous les avantages qu’il y avait à se lever aux aurores, surtout, qu’il n’était pas si tôt que ça. Bartholomeus souffla et s’enfonça un peu plus dans son lit, passant ses mains paniquées dans les plis de son pantalon de pyjama, grimaçant sous la gaule du matin qui venait le taquiner pour lui foutre un peu plus la honte.

Les joues cramoisies incontrôlées viennent fièrement prendre place sur le visage encore engourdi du runiste, cherchant bêtement un sortilège contre sa propre anatomie. Un cadeau pour la Stru : une énième faiblesse masculine à exploiter pour assoir un peu plus son empire de femmes diaboliques. why ar’you here ? what i have done. again ?. l’air exaspéré, la main passant et repassant sur son entre-jambes dans l’espoir vain que sa petite folie décide de se calmer toute seule, le prewett se redressa un peu plus dans le lit, avant d’afficher un regard lubrique (qui n’avait certainement pas manqué à la jeune femme) oooooh, let me guess, you came to warm my bed.. se prélassant dans les draps étrangement blancs éclatants, le gamin roula sur le matelas you’re right. It’s kind of cold now. Lonely in this massive bed. And we have to train how to sleep together before the wedding and the honeymoon uh ? un ricanement de plus.
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Bon, en réalité elle savait qu’il y avait des gens qui pouvaient dormir jusqu’à des heures indécentes. Elle avait cependant une opinion très marquée sur ce genre de personne — un mélange de décadence non-hygiénique et de fénéantise difficile à supporter ; et si elle avait du mal à avaler le fait qu’on la fiance à un garçon limite pauvre et maladif, alors qu’en plus il s’agisse d’une véritable serpillère ? À croire que sa mère avait vraiment fait son plan en choisissant ce qui lui mettrait le plus les nerfs à vif. Mais soit. Soit. Elle faisait tout de même preuve d’une très grande bonne volonté en se présentant ainsi chez son futur, et en ne défonçant pas la porte d’un coup de baguette.
Elle n’eut d’ailleurs pas besoin de considérer cette idée dangereuse trop longtemps, parce que finalement elle entendit le verrou sauter et elle enfonça la poignée sans plus de cérémonie pour faire un pas en avant. "Ouch, fucking…" commença-t-elle à jurer, pour la forme, avant que la voix de Bartholomeus ne lui parvienne. Le sale gosse était au lit. Sous sa couette, bien tranquillement. Comme elle avait eu l’occasion de le penser : fin de dynastie et tout le tralala… "D’you know what time it is already ?" Oh really ? Il lui demandait ça. "If you want me to teach you how to read a clock… Not sure you’ll appreciate though." Mais finalement elle n’eut pas le besoin de se la jouer professeur, puisqu’il alla attraper le réveil de lui-même. Good boy, aurait-elle pu dire, alors qu’elle s’avançait un peu plus dans la chambre, les yeux plissés, en refermant la porte dans son dos. Elle allait vers la fenêtre fermée alors qu’il retombait dans son lit. Ses sourcils se froncèrent un peu plus encore. "Why I’m here ? I sent an owl like… yesterday." Elle agite de nouveau sa baguette et la fenêtre s’ouvre, laissant l’air circuler dans la chambre renfermée. Amenant également davantage de clarté grâce à laquelle elle put constater que le pâlichon était devenu rose comme une jolie tulipe hollandaise.
Et grâce à laquelle elle put constater le mouvement de sa main, sous la couette. Sa baguette toujours en main, elle croisa les bras contre sa poitrine, la mâchoire tendue. "Ooooh, let me guess, you came to warm my bed." Et avec ça le môme se roule sur son matelas comme un koala en manque de câlin. Sauf que Vasilisa n’était pas du genre à câliner — sauf lorsqu’il s’agissait de Nadjeda peut-être. Mais Bartholomeus avait le double défaut de n’être ni une femme ni une demi-vélane. Et beaucoup d’autres, dont celui de croire encore au Père Noël alors qu’il avait passé les six ans. Parce que clairement Vasilisa n’était pas prête à venir réchauffer son lit, ni maintenant ni avant un sacré paquet de temps. Et le pire c’est qu’il insiste, le bougre, à souligner le fait qu’ils doivent s’entraîner avant le mariage et… la lune de miel ? "Ooow Barty, it would be a sin to do anything like that before the wedding." Croyante quand ça l’intéressait, mais elle avait subi assez d’heures de messe orthodoxe pour pouvoir l’utiliser comme elle l’entendait, selon elle. "Besides you don’t look like you need a helping hand. You’re doing fine by your own, eh ?" En le désignant avec un mouvement nonchalant de la main. "Still I really don’t know how you manage to wank off with those arms of yours. Like do you have enough strength ?" Ses lèvres s’étiraient dans une moue dégoûtée tout à fait habituelle sur son visage, alors qu’elle reprenait : "I can assure you I wont let you touch me while you’re looking like this. Would seem like I’m fucking a corpse." Déjà envolée la fausse piété, ça aura duré le temps que ça a duré comme disent les philosophes. "So now get up ! It’s about fucking time, no wonder why you look like this if you stay in bed all day long !" Et qu’on ne la force pas à venir le chercher manu militari. Parce que clairement elle le ferait.

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Enfermé dans sa quiétude impeccable, bart avait interrompu sa grasse matinée pour accueillir l’impétueuse vasi, entrant en trombes dans sa chambre. L’endroit était parfaitement rangé, seule la table de chevet débordait de médicaments convaincant facilement le jeune homme de leur importance dans son quotidien. Le froid des fenêtres ouvertes encourageait un peu plus le sorcier à rester sous sa couette toute la journée durant ; mais la jeune femme ne voyait pas la matinée du même œil.
Un hibou hier ? le prewett n’en avait pas le moindre souvenir, pourtant il avait bien été informé de sa venue, haussant les épaules pour assumer son oubli. Le gosse avait toujours sélectionner les informations selon l’importance qu’il leur accordait et visiblement, vasi n’était pas dans ses priorités. maybe maybe. chuchota-t-il, le regard fuyard.

Roulant dans son lit tel un petit gueux, bartholomeus ricanait de ses propres bêtises qui n’amusaient visiblement que lui ; sa future, grisante, répondant à chacun de ses affronts, un rire jaune et menaçant pendant sur ses lèvres. Il agita ses bras faibles et maigrichons, tournant les poignets comme s’il mimait une marionnette. training baby, training. nargua le runiste sous les moqueries incessantes de la belle quant à son corps de lâche. Oh ça oui il s’était suffisamment musclé les avant-bras avec son imagination débordante et sa virginité éternelle. having a picture of you under my bed helped me a lot. un gloussement immature le fit presque tomber du lit : il se délectait de son air narquois face au visage désespéré de sa consœur et de ses blagues grivoises qui manquaient parfois de respect envers la gente féminine. Fallait dire que les seules femmes que bart respectait se résumaient à sa mère et sa sœur.

Finalement le garçon sortit de la chaleur de son lit, écoutant les dires de la stru qui le comparait (encore) à un cadavre. Elle n’avait pas tort ; le garçon n’était qu’un ramassis d’os qui geignait sa faiblesse réelle tant qu’il n’avait pas grignoter quelque chose à manger et qui réclamait toutes les cinq minutes de s’assoir parce que ses jambes le faisaient souffrir : fénéantise ou véritable carence, il ne se posait pas la question : il préférait de loin convaincre son entourage qu’il fallait écouter son corps et que maintenant, son corps lui disait de ne rien foutre et d’attendre cette nuit pour mettre le nez dehors. gngngngn. rétorqua-t-il alors qu’il ouvrait son armoire pour prendre les tenues les plus chaudes.

Il s’enferma ensuite dans sa salle de bain pour se changer tel le grand dadais docile qu’il était. so, what’s the plan today ? are you going to let me in the woods for one week and wait until i starve or ? il passa son visage de sagouin dans l’ouverture de la porte. or, you will take me for a ride with your impressive baby ? il parlait de sa moto bien sûr, se moquant de vasi pour cette passion bien trop masculine sans pour autant cacher une pointe d’envie dans la voix.
i’m ready mister. bart pointa enfin le bout de son nez, habillé tout en noir, couvert du cou aux chevilles pour ne pas attraper la mort par ce temps, il tourna autour de la tornade, ricanant avant de passer la porte de sa chambre. hurry ! i have to be at home for lunch. paroles de feignant : ce gamin se foutait vraiment de la gueule du monde.
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Il y avait des claques qui se perdaient, y avait pas à dire. Vasilisa tenta de trouver dans ses connaissances une sorte d’équivalent à Bartholomeus mais entre son air indolent, les médicaments qui s’amassaient comme une tour de Babel moderne sur sa table de nuit et ses piques de môme pourri-gâté il lui apparaissait comme un étrange mélange entre plusieurs gamins de Koldovstoretz et Brygida, ce qui n’était pas le mix le plus heureux on n’allait pas se mentir. Il lui rappelait aussi un peu Fryd, mais ça c’était sans doute le côté filiforme chevelu. "Training baby, training," qu’il se moque en agitant les petites brindilles qui lui servent de bras. "Yeah, it wasn’t really effective so far…" "Having a picture of you under my bed helped me a lot." Mais quel petit con vraiment. Son sourire ressemble un peu plus à une grimace quand elle reprend machinalement : "Be cautious, it may be a cursed picture. T’will come to life and stab you in your sleep." C’était ce genre d’histoire d’horreur à la con qu’elle avait pu raconter à Zoya quand elle était toute petite. Fais attention Zozo, parce que les portraits deviennent vivants en chair et en os et vont venir t’étrangler dans ton sommeil si tu progresses pas en magie. Eh bien quoi, on motivait les siens comme on pouvait. Pas sûr que ça marche avec un rejeton plus vieux comme Bart, ce qui était bien dommage, ça l’aurait au moins empêché de s’esbaudir comme s’il venait de faire la blague du siècle. De fait Vasilisa aurait bien aimé le choper par le col de son petit pyjama soyeux pour le secouer et lui remettre les idées en place mais il y avait de certaines lois de politesse à respecter, surtout qu’elle n’était pas chez elle.
Pendant un instant elle pense même qu’elle va devoir se bouger le cul pour qu’il se lève, mais au final il finit par s’extraire de sa couette sans trop protester hormis des articulations incompréhensibles à base de gn et autres gn. Très versé dans la rhétorique ce petit… après on ne lui avait pas vendu comme étant une lumière, même si elle aurait aimé à défaut d’épouser un mec un peu canon, ou riche, ou important (s’il fallait se résoudre à épouser un homme ma foi…) au moins en avoir un qui ne soit pas trop à la ramasse, mais au lieu de ça on lui donnait une poupée toute sèche et plus cassable encore semblait-il que celles en porcelaine.
Elle ouvrit plus grand la fenêtre encore quand il se dissimula dans sa salle d’eau pour aérer davantage, et agita sa baguette juste pour refaire le lit, bien étirer la couette pour qu’aucun pli ne soit visible. Là encore une habitude de Koldovstoretz qui restait bien ancré dans son esprit, un esprit sain dans un corps sain, et un environnement sain pour une vie saine, la base de toute chose. Elle était en train d’observer le cagibi (un cagibi d’une très large dizaine de mètre carré mais un cagibi pour elle tout de même) qui servait de chambre à son promis lorsqu’elle entendit sa petite voix passer par l’embrasure de la porte — avec son museau en bonus. Le programme ? Well… son programme au long-terme était de lui faire augmenter sa masse musculaire de cent cinquante pourcent environ, afin qu’elle ne soit pas accusée de meurtre le jour où elle lui marchera par inadvertance sur le pied et que ça le tuera sur le coup. Mais sur le moment… elle ne savait pas vraiment ce qu’elle avait espéré. Ce genre de rencontre entre futur, c’était surtout une occasion un peu gênante pour essayer de découvrir l’autre, ses passions et ses envies pour construire un avenir ensemble. Mais Vasilisa n’avait pas vraiment envie de s’asseoir sur le rebord du lit pour l’entendre parler de sa grosse angine de quand il avait eu cinq ans et qui depuis l’avait laissé traumatisé de respirer trop fort ou quelque chose du même genre. "Are you going to let me in the woods for one weej and wait until I starve or ?" Elle hoche la tête, dead serious : "That’s actually a pretty nice idea. My sister told me you brit have a forest near your school. It should be fun." Mais elle n’était pas certaine que future belle-maman accepte ce genre de bail. Hi madam, yes I really want to kill your weak excuse of a son. "Or, you will take me for a ride with your impressive baby ?" Ah sa Harley, bien sûr. Bart ne sera pas le premier sorcier anglais à parler comme ça de sa moto, elle avait compris qu’ici on ne faisait pas passer le code aux étudiants qui en restaient aux balais et au transplanage et qui donc loupait du même coup la très grande joie de slalomer sur les routes avec un engin à quelques cinquante mille balles. Les balais c’était bien beau, mais ça ne ronronnait pas ni n’explosait pas comme un bon moteur. "I could… Perhaps it’s better to keep the whole dark forest survival for the honeymoon." Elle en était capable. C’était même selon elle une des seules choses qui pourraient rendre leur lune de miel agréable. Mais mieux que la forêt pseudo-interdite de leur école, elle pourrait trouver sans doute des lieux plus intéressant à d’autres endroits du monde. Elle verrait avec Nadya qui avait souvent de très bonnes idées pour ce genre de choses. "Go for the ride then," qu’elle lâche alors qu’il lui revient tout habillé, en noir — ce qui lui allait plutôt bien, et couvert comme s’il allait affronter un hiver sibérien. Vasilisa, elle, était bien plus light sur les fringues, il fallait dire que le climat anglais lui semblait doux. "I’m ready mister." "At last…" Elle ne relève pas le mister mais se dit que s’il aime les titres elle va finir par lui apprendre à s’adresser à elle uniquement en disant madam ou boss pour lui apprendre la vie. Sans s’imaginer qu’il aimerait sans doute ça, le sale môme. Et maintenant qu’il était tout prêt et pomponner il semblait avoir une nouvelle énergie. Jusqu’à presque la houspiller pour qu’elle se dépêche de partir, eh bien. "Yeah, we’ll see. If I return you in one piece it’d be good enough." Alors les horaires hein… Ils passent le couloir, l’escalier, salue rapidement (future)belle-maman avant de sortir de la baraque. "Have you ever been on a Harley before ? Or any motorbike ?" qu’elle lui demande en se rapprochant de son engin bien gentiment garé et entouré de tous les sorts de protection nécessaire pour que personne ne vienne le lui piquer. "I know english wizard have really no fucking clue when it comes to cars and the like." Et Bart n’avait pas l’air de quelqu’un qui irait même faire du vélo.
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Leurs échanges se résumaient en une bataille, une lutte, ou plus populairement parlant à une série de clashs, de reproches dissimulés mais surtout de préjugés l’un sur l’autre : le premier paraissant fragile et stupide, la deuxième brutale et vide. Etait-ce de cette manière un peu primaire et surtout désagréable qu’ils avaient de se découvrir ou de s’apprivoiser ? bart le pensait en tout cas : car, quand on n’était pas en confiance avec quelqu’un, la meilleure façon dont les humains agissaient pour se sentir important et pas trop nul était de rabaisser l’autre coûte que coûte ; il en était ainsi avec le physique, le mental, les goûts divers jusqu’à être simplement blessant. O le garçon n’était nullement confus ou vexé des désobligeances de sa future femme, loin de là, il était d’ailleurs maître en la matière de faire sortir quelqu’un de ses gonds. Mais il n’était pas temps d’énerver vasi, parce qu’elle allait bientôt avoir l’ascendant sur lui, et le runiste n’avait certainement pas envie de terminer au fond d’un ravin, abandonné sur une route ou avec une jambe en moins.
Il capitula alors, pour le moment, et partit se préparer dans sa salle de bain, luttant (comme tous les matins) pour ne pas passer des heures à inspecter son corps de lâche avec cet irrépressible désir de vomir face au moindre défaut inquiétant qu’il grillera de ses pupilles paranos et expertes. Non, aujourd’hui, il ne frottera pas jusqu’au sang ce nouveau grain de beauté qui venait d’apparaître sur son flanc.

Il sortit donc relativement rapidement de la pièce, préparé et gominé, prêt à enfoncer un peu plus son bonnet sur sa tête, grimaçant de frustration de n’avoir pu surveiller les changements sur sa peau (hypocondriaque vie).
Il ricana quand il entendit le mot école : elle le prenait véritablement pour un gamin dans la fleure de l’âge, et il ne pouvait pas lui en vouloir. Puis il pensa à reinir et à cette forêt voisine qu’il ne connaissait que trop bien puisqu’à la plus grande surprise de vasilisa il l’avait retournée encore et encore. yes i know this forest pretty good, a friend of mine keeps teaching me how to be the best runist. en tout bien tout honneur évidemment.
Il fronça le nez et s’approcha de la fenêtre de sa chambre qui donnait sur la cour du manoir pour admirer un peu plus la moto qui se tenait là, bien sage, bien en sécurité sous les yeux aguerris de sa maîtresse. Bart aurait voulu dire qu’il était impressionné, mais toujours dans le calcul, il ne voulait pas donner trop la confiance à la stru, qui serait capable de faire semblant de ne pas fanfaronner. Au lieu de ça, il adressa un sourire à l’engin.
Puis, encore une perche tendue sur la lune de miel : oh, so you don’t know the ritual in the prewett family ? questionna le jeune homme innocemment, pivotant vers sa consœur we don’t really go to a honeymoon. Actually, after the dinner, the parents and us, go to a special room and they stay all night long to control if we consume the wedding. au fond de lui, il espérait être convaincant mais il sentait bien que la dame n’était pas dupe, ce qui était dommage d’un côté, car ses farces lourdes étaient moins efficaces (surtout par rapport à sa sœur qui lui donnerait le bon Dieu sans confession et qui avait toujours eu l’habitude de boire ses paroles).

Ils quittèrent la chambre et s’avancèrent finalement dans les couloirs, croisant par ailleurs myrth que bart salua d’un regard plutôt tendre (malgré ce mariage forcé) avant de sortir de la maison, grimaçant soudainement sous le froid hivernal qui frappa de plein fouet son visage de poupon. Il enfonça les mains dans son blouson et se planta à côté de la bécane. Aux questions de vasi, il fit un non catégorique de la tête avant d’approcher une main sur le siège en cuir, main qui fut accueillie par une secousse, comme électrique, douloureuse, qui fit se reculer le garçonnet. shit ! beugla-t-il, sous le sort de protection qui l’avait surpris. Il se tenait le poignet, chouinant presque. oh damn, my hand is done.

Anxieux, il agita ses doigts pour voir s’ils répondaient toujours. you better keep me alive. ; i never did that before. et il n’était certainement pas prêt à ce qui l’attendait niveau vitesse et sensation.
Il aperçut un casque et allait le saisir dans la précipitation avant de se raviser ; il le pointa finalement du doigt. i want that ! it seems safe. on aurait dit un enfant, toujours face à l’inconnu.
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Tranquil as a forest but on fire within Once you find your center, you are sure to win You're a spineless, pale, pathetic lot And you haven't got a clue Somehow I'll make a man out of you

On n’allait pas se mentir, ça la surprend un peu quand, à l’énième mention de la forêt interdite qui a tant fait rouler des yeux les enfants Stru quand Zoya et Izar sont partis à Hogwarts, Bart lui fait remarquer qu’il connait un peu le coin. Ah ben pour la coup… Elle penche un peu la tête de côté, un sourcil baissé, l’autre légèrement élevé, comme si elle tentait de renifler sans trop le montrer le taux de bullshit dans l’air quand le petit Prewett parlait ainsi. Mais autant Bart semblait être du genre à raconter de la merde, autant il avait l’air assez détaché à cet instant pour être sincère. Ses lèvres s’allongèrent dans une moue entre le doute et une milli-once d’approbation : "Right… ok, seems like the best way to learn runes. That’s how I would do it probably." Elle ne plaisantait qu’à moitié, il n’y avait rien de plus stimulant que d’apprendre dans un environnement où il fallait être tout le temps sur ses gardes, elle était certaine que ça permettait d’acquérir les concepts plus rapidement. Bientôt elle écrirait des livres de pédagogie qui deviendront des best-sellers à n’en pas douter.
En tout cas, la conclusion était qu’il n’était pas complètement à jeter, s’il ne bidonnait pas sur toute la ligne — et user de legilimancie simplement pour vérifier que son futur conjoint ne fanfaronnait pas dans le vide semblait être un usage peu intéressant, raisonnable et fructueux alors elle se contint. Elle dut aussi contenir encore plus fermement son envie de le balancer par la fenêtre de sa chambre lorsqu’il se mit à ricaner à propos d’un pseudo-rituel de lune de miel dans la famille Prewett. Si pendant quelques secondes elle crut qu’il allait sortir quelque chose de vrai sa petite description qui fleurait bon la scène gênante dans les romans à l’eau de rose qui se passait au dix-huitième siècle lui fit vite comprendre que la crédibilité n’était pas l’objectif de la mission. Elle eut un sourire un peu acerbe avant de répliquer : "Yeah… I can talk about some of my family rituals if you want to be entertain too." Avant de reprendre toujours sur le même ton : "And we won’t spend the wedding night in here… nor any night at all. I won’t sleep in a shack." Bon, l’appellation était peut-être exagérée mais il l’avait cherché. Si c’était ainsi que leur vie devrait se mener, cela ne serait pas si terrible, au moins le jeune Prewett avait une once de répartie et malgré l’humour douteux il y avait un peu de cran à trouver là-derrière si on grattait. C’était suffisant pour que Vasilisa n’ait pas envie de le jeter aux chiens ou de lui rouler dessus avec sa Mercédès. Ekaterina serait très satisfaite de voir les efforts de sa fille pour faire fonctionner la relation.
Ils finirent donc par descendre et alors qu’elle lui présentait la bécane et qu’il admettait d’un geste de la tête qu’il ne s’y connaissait pas trop dans ce genre de chose il tendit la main vers la Harley. Vasilisa n’eut pas le temps de lui taper sur les doigts avant que la décharge ne le fasse reculer et geindre comme un pauvre animal blessé : "Oh damn, my hand is done." "We’ll have to cut it I guess," commenta-t-elle avec un peu trop de désinvolture. Le sort n’était pas fait pour le réduire en poussière, simplement pour dissuader quiconque ne serait pas propriétaire de toucher l’engin. Elle roule des yeux quand il se mit à bouger sa main, comme s’il tentait de vérifier qu’elle fonctionnait toujours. "You better keep me alive. I never did that before." "Don’t worry, just do. not. touch. without my permission," elle martèle avant de lever le sort d’un mouvement de baguette qu’elle dégaina puis rengaine avec la facilité de la Hit Witch qu’elle était. Juste au moment où il pointait le casque du doigt sans oser le toucher, prudent jeune homme. "I want that ! It seems safe." Elle attrape le casque et le fait tourner un peu dans sa main avant de la lancer à Bart : "There, put it on. It should protect your pretty face and dumb brain well enough." Elle sourit, presqu’adoucie de se retrouver aussi proche de sa moto. Avant de faire apparaître le casque jumeau de celui qu’elle avait donné à Bart et de le mettre sur son crâne à son tour. Puis elle enfourche la Harley, les mains sur les poignée du guidon avant de faire signe à Bart de se rapprocher : "You can come, I lifted the anti-thief charm. Just get behind me, and hold tight." Elle rajoute avec un petit rire : "Don’t let go, I won’t stop if you fall." Elle ne pensait pas que cela arriverait, même si Bart ne semblait pas avoir beaucoup de muscle, il avait l’instinct de survie et cela en règle générale suffisait. Puis, d’un mouvement, elle fit gronder et cracher le moteur, prête à démarrer.

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Bart était décidément un adepte de la marche à pied, il ne comprenait pas comment l’on pouvait contrôler un engin sans avoir les deux jambes clouées au sol. C’était certainement pour cette raison d’ailleurs qu’il n’avait jamais été un grand adepte du quidditch. Il valait mieux passer son temps sous terre que dans les airs ; bien que les nuisibles y avaient l’air beaucoup moins nombreux. Pour ce qui était de la mécanique, l’incompréhension réduisait inexorablement la confiance qu’il pouvait porter mais à l’heure actuelle, le garçon n’avait pas vraiment le choix. Il écouta d’une oreille vasilisa, l’esprit embrumé par les nombreuses questions qu’il n’osera jamais poser : est-ce que c’est vraiment sûr ? quelle est la proportionnalité d’accidents mortels ou handicapant avec ce moyen de locomotion ? Ne fallait-il pas mieux que bartholomeus se résolve à garder sa vie entre ses mains plutôt que de la confier à cette sadique sorcière ? Quand il ressortit de ses pensées, il était déjà assis derrière la stru, les bras bien serrés autour de sa taille, grimaçant d’ironie et d’effroi face à son abus de pouvoir évident. Il avait bien envie de réduire sa bécane d’un coup de baguette mais il risquait d’en payer le prix fort et il avait promis à myrth de se tenir relativement tranquille.

La machine gronde et bientôt les voilà partis au loin, vers la forêt interdite. Le prewett est absolument silencieux pendant le trajet : tous ses efforts sont mis en œuvre pour rester en vie et ne pas glisser de la scelle, se retrouvant alors la gueule dans le bitume de la route et son magnifique visage complètement en bouilli. Le garçon était affreusement tendu, et pire, il ne savait pas quel dieu prier pour rester en vie et indemne. Alors il se contenta de serrer les cuisses et les mains ; l’intégralité de son corps étant devenu moite et transpirant, la fraîcheur du matin lui laissant une désagréable sensation d’humidité glacée qu’il haïssait par-dessus tout. Les ongles rentraient dans sa peau. Il ne savait pas s’il devait fermer les yeux ou les garder bien ouverts afin de surveiller les moindres faits et gestes de la conductrice, alors il en laissa un clos. Son souffle était court : la moto allait vite et faisait un bruit d’enfer.

Enfin ils se stoppent et se garent. Vasilisa allait entendre longtemps parler de cette expérience désagréable. Bart souffle un coup, il est tétanisé par les grondements et le défilé de sa vie qui lui avait offert un spectacle déplorable. Il reste stoïque sur la moto, cherchant la pire des vacheries à balancer à la jeune femme pour lui faire comprendre qu’il n’avait pas du tout apprécié se trouver dans une telle dépendance à la survie.
Il lève une jambe et retrouve enfin la terre ferme. my spirit must be too developped to appreciate that rude and vulgar kind of trip. grogne le sorcier, se libérant de son casque. Il passe une main dans ses cheveux soigneusement gominés et tapote it has ruined my hair. Fuck !
Le gosse crache son venin, adressant un regard désapprobateur à la jeune femme. Ses yeux étaient plissés sous la méfiance ; il n’assume clairement pas de s’énerver à cause de la peur et du manque de contrôle qu’il a ressenti pendant qu’il était derrière elle. Mais la forêt le sort peu à peu de ses tourments. Il reconnaît bien là l’entrée qu’il utilisait quand il allait rejoindre reinir et il ne supporterait pas d’en prendre une autre : il lui fallait, maintenant, patauger dans des lieux qu’il connaissait pour se remettre de cette brève aventure.

Bartholomeus vérifie que sa baguette est toujours bien à sa place, souffle un bon coup et pénètre dans la forêt soooo, any stories or legends you could know about this forest ? i heard a troll named vasilisa strugatsky is actually haunting this place.
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