pureblood

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nom prénom(s)  » Crabbe. Famille tombée dans la ruine, nom tâché de liquide carmin. Le mépris se lit dans le regard de ceux qui les observes, qui considèrent cette famille comme un rejet d’une société bien trop cruelle. Un fardeau sur les épaules d’un gosse qui ne rêve que d’oublier, d’effacer les fautes de ses ancêtres et exister par autre chose que sa famille. Vincent. Court, banale, basique. Ça lui va bien, ça ne représente rien et ça fait bien trop souvent ricaner ceux qui doutent de sa gueule d’ange. surnom(s)  » L’imbécile, le Troll, l’incapable. Bien des surnoms qui n’ont rien de glorieux, qui ont survécus avec le temps. Néanmoins, aujourd’hui, il défie quiconque d’oser manifester ne serait-ce que l’envie de l’appeler de la sorte…Le gosse a bien grandit, il coupera la langue des bavards. date de naissance » C’est la belle Angleterre qui vit Vincent arriver sur ses terres, lui offrant ainsi généreusement la nationalité Anglaise en 1980, une nuit de juin alors que la chaleur était étouffante et vivace. Joyeux anniversaire Vincent, ta date tant redoutée sera le 24 Juin. origines & nationalité  » Anglais jusqu’aux bouts des ongles, que ça soit par le sang ou sur les papiers. pureté du sang  » Sang souvent remit en question par de nombreuses personnes, causant la perte des siens. Pourtant, le liquide vital est aussi pur que du Crystal. Pas de mélange, pas de conneries de ce genre, du moins, pas dans sa branche. Non, Vincent possède un sang totalement pur et vous savez quoi ? Il s’en fou royalement. métier/études  » Handler. Vincent traque, vincent est dangereux…Il torture si nécessaire, fait souffrir plus que demandé. Parce qu’il est ainsi, parce que sa vie a été basée sur la violence et l’amertume et c’est probablement ce qui fait de lui un élément redoutable. Ancien étudiant à Poudlard, monsieur étudiait le Cursus Étude théorique de la Magie Noire et de ses applications. Les combats, les duels, ça le connait même si beaucoup n’auraient jamais cru ça de lui. Ironique non ?orientation & état civil  » Bisexuel. La question ne s’est pas posée très longtemps, au contraire. Vincent a rapidement compris que les courbes féminines le faisaient rêver, mais que les muscles masculins le faisaient également frissonner. Un secret qui n’en a jamais été un, il est ce qu’il est, simplement. Célibataire, en proie à des fiançailles arrangées. Le cœur qui n’a été épris qu’une seule fois, qui a laissé des traces indélébiles, violentes, virulentes. Aujourd’hui, papa cherche une fiancée, estimant que Vincent a eu assez de temps pour se marier de lui-même. camp  » Mangemort, comme beaucoup des siens, par obligation au début, peut-être, par envie, mais avec les années, sa passion s’est effritée. Aujourd’hui, il est fatigué…fatigué de ces conneries, fatigué de tout ce sang et la neutralité envahi ses veines comme un poison enchanteur et dangereux. baguette  » Baguette de vingt-neuf centimètre en bois de Saul Cogneur, un crin de sombral en son cœur. Rigide, mais pas totalement, laissant un caractère bien trempé, mais également, une loyauté sans égale à son sorcier. patronus  » Son patronus, aussi risible que cela puisse paraître, représente une Sauterelle…Du moins, représentait. Aujourd'hui, il est incapable d'en avoir un  épouvantard  » Son père et la ceinture qu’il tient entre ses mains, cette ceinture qui claque sur sa peau, encore et encore, alors que son propre géniteur le méprise, le déteste, lui annonce qu’il n’est bon à rien. particularité(s)  » répondre ici.

Family » Déchue, méprisée. Famille loin d’être unie contre l’adversité, les Crabbes ne sont plus ce qu’ils étaient. Pauvreté qui s’est infligé avec les années, le sang tâche les mains d’une famille poisseuse et sournoise. Père violent aux accès de colère, mère absente et trop souvent aveuglé par ses propres soucis. Fils unique, seule déception, seule oppression. Il n’a pas eu la chance de partager ses propres tourments, ses propres silences. Il a accusé les coups à répétition là où la douceur aurait dû régner, la colère bien trop ancrée dans les veines des ses paires. Ils en veulent au monde entier, Vincent a fini par accepter la rage des siens pour la faire sienne. Comme un héritage, un partage. Rien que des zombies qui ne rêves que de ce sang, de redorer l’emblème ternie avec les accusations des Nott, cette guère sans fin qui règne encore aujourd’hui au cercle vital des Crabbes. Trop d’exigences, traité trop souvent d’incapable, de bon à rien. Relégué au second rôle, sans cesse dans l’ombre. Vincent n’a jamais vraiment vu la lumière, a apprit à ramper, à ne pas pleurer. Il n’a jamais été source de joie auprès de ses géniteurs, il l’a rapidement compris. Bisexuel, pas très futé en apparence, pas musclé à l’école…rien du fils prodigue, juste bon à faire bonne figure et encore. Mais la donne à changer, le corps s’est modifié, l’esprit s’est renforcé. Le cœur a assez souffert, s’est brisé pour se reforger, pour barricader son organe vital. L’ancien Crabbe est mort, brisant ses liens familiaux, du moins, assez pour qu’on lui foute la paix jusqu’à aujourd’hui. Pas marié, pas d’enfants, une nouvelle déception que son père veut modifier, veut y remédier. Gueule d’ange, physique ravageur, il cherche à unir son fils bon à rien à une autre famille de sorciers purs. Les mélanges sont interdits, les fiançailles ne sont pas loin…alliance cuisante qui va l’oppresser, mais n’est-ce pas mieux que crever par amour comme il l’a déjà fait ? Probablement.

Poudlard » Gosse rondouillet, physiquement grand, une armoire à glace mais davantage un tonneau. Les rondeurs sont évidentes. Enfant de Serpentard, le vert et argent lui collera à la peau comme une étiquette de faux semblants, de conneries qui s’accumulent. L’enfant n’est pas fait pour les études, ne brille pas pour ses bonnes notes. Non, Vincent n’aime pas rester sans rien faire devant une table, ne parvient pas à assimiler toutes les sections, les bouquins, les lignes. Il se perd dans cet apprentissage qui n’est clairement pas fait pour lui, en arrive à redoubler sa cinquième année, n’offrant qu’une énième déception chez les siens. Le gosse n’a rien d’une lumière à première vue, mais n’est pas stupide pour autant. Oh que non. Le système n’est pas fait pour ses beaux yeux, il préfère le terrain et se montre plus forts quand il s’agit de duels ou encore, de pratique. Enfant qui reste dans l’ombre d’un dragon à la chevelure dorée, paire avec cet ami qui sera sûrement le meilleur qui soit, Gregory. Un trio qui ne passe pas inaperçu, qui fera probablement parler de lui. La réputation n’est plus à faire, les murmures vont et viennent, ne sont pas spécialement glorieux. Mais qu’importe, ces années le renforces en quelque sorte, font de lui un homme probablement plus fort, moins pathétique. Il grandit, son corps change et à la surprise générale, il intègre l’équipe de Quidditch. La terreur, la colère, la rage. Les émotions s’accumulent, les émotions se profilent dans ses veines, se frayent un chemin dans son cœur. Seul cet homme réussira à le faire vraiment sourire, lui et son amitié qui changera au fil des années. En attendant, Vincent reste l’un de ces colosses protégeant le blondinet.

Love story » L’amour. Sentiment violent, qui détruit, qui bouffe de l’intérieur. Il n’y a gouté qu’une fois, pauvre fou qu’il est, s’amourachant de cet homme aux émotions cachées, enfouies. Il ne l’a pas aimé tout de suite, pas vraiment. Un ami, rien de plus, son compère, son plus fidèle compagnon. Mais les choses ont changé, leurs regards également. Gregory s’est penché, lui a montré maladroitement que l’attirance existait, que les années ont laissés places à quelque chose d’autres. Vincent a commencé à le regarder également autrement, ils se sont rapprochés dans l’ombre des couloirs jusqu’à ce que leurs lèvres se trouvent. L’attraction se change en sentiments. Il n’y avait plus que lui, rien que lui et ce, même si la relation restait secrète, silencieuse. Personne ne devait savoir, personne ne devait comprendre et Vincent en souffrait de plus en plus. Quatre ans. Quatre longues années à s’aimer, à s’imaginer, peut-être, un avenir ensemble. Mais du jour au lendemain, l’ami s’enfuit, l’amant disparait, met fin à cette relation d’une façon violente. Il a essayé de le retenir, provoquant un duel, de la violence, des cris. Le cœur se brise en milles morceaux, les larmes coulent sans pouvoir se contenir durant bien des semaines…Vingt-deux ans. Il avait vingt-deux ans lorsqu’il comprit ce que peine de cœur voulait dire. Il l’a regardé partir, s’éloigner, ne plus jamais revenir. Depuis, Vincent refuse d’aimer, s’est forgé une carapace bien solide…son cœur n’est plus qu’un organe vital, il se joue des corps pour assouvir des besoins primaires, mais l’attachement est devenu un rappel à l’ordre : aimer détruit, il ne veut plus être détruit.

descent into hell » Mangemort. Mot qui claque, qui frappe, qui fait frissonner. La marque n’est pas encore sur sa peau, ne s’est pas vraiment imposée à lui. Il doit faire ses preuves…C’est ce que les murmures disent, la réputation de sa famille n’a rien de glorieuse, seuls ses actes comptes, doivent prouver que son cœur va à Voldemort. Au début, c’était le cas. Aveuglé par l’envie, d’enfin plaire aux siens, il a suivi sa famille dans ce tourment général. Mais plus le temps passe et plus, Vincent, est fatigué par la guerre, par la traque, par le sang qui couvre ses mains. Handler…il torture comme pas, il traque comme jamais, mais n’y prends plus de plaisirs. Il aimerait échapper à sa routine, tourner le dos aux idéaux autrefois mis en avant. Mais comment faire quand, aujourd’hui, il se sent enfermer, emprisonner ? Dans ces moments-là, il écrase tout, il repousse ses émotions, ses sentiments et se dit que sa vie est celle-ci, qu’il l’aime ou non…Personne ne prend attention à son avis, ce n’est pas nouveaux, il doit accepter l’évidence même de cette réalité. Alors oui, sa descente en enfers a commencé, elle l’oppresse, l’empêche de respirer, de remonter. Il se sent noyer dans un océan de tourments et plus ça avance, plus la froideur prends sa place. Son âme lui échappe.