BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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14 février 2023 — v12 installée, forum mis en activité libre. 19 octobre 2022 — préparation de la V12 et départ de mahrun. et midoriya du staff. 4 juillet 2022 — v11 installée, arrivée de castace dans le staff. 22 mars 2022 — v10 installée. 5 décembre 2021 — v9 installée. 13 septembre 2021 — v8 installée, départ de kazhan du staff. 21 février 2021 — v7 installée. 8 novembre 2020 — v6 installée. 2 août 2020 — v5 installée, départ de jeyne du staff, arrivée de tofu et jool. 1 mars 2020 — v4 installée. 19 octobre 2019 — v3 installée. 18 juillet 2019 — v2 installée. 12 avril 2019— ouverture du forum par mahrun, kazhan, midoriya, poupoune et jeyne. 16 mars 2019— préouverture du forum. juin 2018 — début du projet.
      
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stanislav tolkien
I've got my way with words, Don’t believe me, Pretend like I don't hurt, I don’t, I don’t, I don’t. I've got my way with pain, Don’t believe me, I numb myself to blame, I don’t, I don’t, I don’t.
tw: violence C'était un soir comme un autre : des cris, du sang, des litres de transpiration à même le ring de fortune érigé dans le sous-sol, des centaines de Gallions échangés à la faveur des paris et des salaires généreusement distribués par les Warlocks. Verdi avait regardé Lucia décrocher la mâchoire d'un vampire deux fois plus âgé qu'elle avec un sourire fendant son visage et des yeux brillants d'une admiration sensible : la vampire était l'une des championnes renommées de leurs combats, et l'une des favorites de Verdandi, qui ne manquait jamais de la baigner de compliments, un sourire enjôleur et charmé à la fois à la bouche, en lui remettant sa part du butin. "You never fail to please," avait-elle servi à la Hound avec un large sourire, ce soir-là, avant de caler sa cigarette entre ses lèvres, son regard déviant de la vampire à Stan, qui les observait depuis l'encadrement de la porte. "See you on Monday yeah?" Et elle poussa gentiment l'hybride hors du bureau improvisé, où se réglait les histoires de salaire et les éventuels litiges éclatant au sein du sous-sol.

Elle adressa un sourire à Stan, d'une teinte toute particulière ; un sourire qui ne dévoilait qu'à moitié ses dents blanches, arquant ses yeux en deux demi-lunes secrètes. C'est que Verdandi avait disparu pendant quatre jours, après avoir rapidement averti Stan et Carrie qu'elle avait « des trucs à faire », et était revenue quelques heures plus tôt reprendre ses fonctions comme si de rien n'était – elle avait navigué le regard sombre et les questions de Stan en arrivant légèrement en retard, se noyant dans la foule des clients après un bref "see you after work".

"Good night, wasn't it?" Elle récupéra le pochon contenant une partie de la somme des paris du jour, expirant la fumée de sa cigarette sorcière, qui se mua en un dragon opaque, allant s'enrouler autour de la silhouette longiligne du demi-vélane. "Lucia was oh, so dreamy", et elle roula légèrement des yeux avec sa nonchalance habituelle, écrasant avec culot son absence de plusieurs jours et son silence relatif (elle répondait aux messages d'urgence et aux appels désespérés de Stan et Carrie, lorsqu'on s'inquiétait trop, de "I'm fine, see you later" où ne filtraient que peu d'informations). "That jaw-breaking? Wish that had been me", conclut-elle en reposant son regard clair sur Stan, dégageant une mèche de cheveux blonds collée à son front. Entre la sueur des combattants qui se succédaient et le brassage surexcité de la foule, il faisait une chaleur étourdissante, à l'intérieur du sous-sol, dont elle pouvait voir également les vestiges sur la peau luisante de Stan, ses boucles humides et la façon dont sa chemise restait étroitement collé à son corps oh, so dreamy.
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tw : violence, mention de drogue, sang, ptsd
Stanislav est au cabaret ce soir, comme tous les soirs. Il espère y retrouver Verdi, qui lui avait promis d'être là. Il a arrêté de compter le nombre de fois, où elle disparait de la circulation. Au début, il était fou, et tournait tel un lion en cage. Maintenant, il se fait toujours un sang d'encre, mais il a appris à relativiser. La plupart du temps, quand Verdi part en cavale, il passe du temps avec Carrie, pour que chacun ne pense pas à l'absence de leur troisième mousquetaire. Mais, ça fait trois mois, qu'ils ne se sont pas parlés ni vus. Carrie l'évite vraiment. Leurs relations sont tendues. Stan ne sait même pas, s'ils sont encore amis. Il préfère ne pas y penser. Il y a des combats ce soir. L'ambiance dans le sous-sol lui donne des flashbacks de cette fameuse soirée, qui a mis fin à beaucoup de choses. Il ne s'en est pas encore remis. Chaque nuit, il en cauchemarde. Il doit fumer de l'opium pour la douleur et boire des Glamours pour éviter toutes ces cicatrices. Revenir au Dancing Phoenix a été difficile. Il n'est pas encore totalement à l'aise, mais il ne montre rien, comme toujours. Son visage est fermé, impassible. Il continue à donner des ordres, et à renvoyer ceux qui foutent le bordel. Adossé à un mur, dans un coin de la pièce, il regarde les combats de loin. Les hybrides sont en forme ce soir. Le sang gicle et vient tapisser le sol. Des cris résonnent entre les murs. Et il fait chaud, terriblement chaud, aussi chaud qu'au Pegasus. Stan a toujours sa chemise ouverte de plusieurs boutons, mais il regrette presque de ne pas être torse nu. La soirée se passe, et il n'a regardé Verdi que deux fois. Elle semblait bien passionnée par les combats du soir. Un sourire se pose sur ses lèvres, quelques secondes.
Tout le monde décampe, et il ne reste plus que lui et elle, comme toujours. Verdi lui sourit, et tout s'illumine. Il lui rend son sourire, maladroitement. Elle tient le sac contenant la recette du soir. Nouveau flashback de cette soirée. Il secoue sa tête, pour revenir dans la conversation. ─ Not bad, it's true. Il étouffe un rire, lorsque la fumée de sa cigarette vient se frotter à lui. Et la voilà, à parler de sa Lucia. Il roulerait presque des yeux. ─ You're in love or what? Stan arque un sourcil. Il n'est pas jaloux, juste... précautionneux ? ─ I mean, you do what you want of course. But you seem obsessed with her. Don't get too attached. These hybrids never live very long. Il hausse des épaules, ayant l'impression d'avoir parlé pour les dix prochaines années à venir. Il attrape sa veste, mais ne la met pas tout de suite. Il fait encore trop chaud. Le cuir de dragon ne ferait qu'accentuer ça. Ce perfecto est le cadeau d'une ancienne amie, Moon. Une pop-star, qui a rendu Carrie absolument dingue. Ce souvenir le rend amer. Ne pas penser à Carrie. Ne pas penser à Carrie. Ne pas penser à Carrie. Ne pas penser à Carrie. Ne pas penser à Carrie. ─ After four days away from me, are you planning to go back to the flat? Or are you going to leave me alone again? Il ne dit pas ça sur un ton jugeant du tout, elle le sait bien. Il la taquine. Il préfèrerait, qu'elle reste avec lui tout le temps, mais il ne peut pas l'obliger. Stan espère secrètement, qu'elle finira par choisir de ne plus jamais le quitter, d'elle-même. ─ I think I have some sweets at home. Il lui fait un clin d'oeil.
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stanislav tolkien
I've got my way with words, Don’t believe me, Pretend like I don't hurt, I don’t, I don’t, I don’t. I've got my way with pain, Don’t believe me, I numb myself to blame, I don’t, I don’t, I don’t.
C'était ce qu'elle aimait, chez lui : l'aisance avec laquelle il pouvait se fendre d'un sourire en sa présence, quand bien même elle avait disparu sans plus d'explication, en l'abandonnant aux Glamours et à sa solitude (relative, Stan savait combler le vide léger qu'elle pouvait laisser derrière elle). Carrie et Stan, aussi intenses qu'ils pouvaient l'être, se révélaient, avec elle, d'une tolérance qui dépassait aisément leur seuil habituel (réduit, voire inexistant)  – de la même façon que Verdandi se révélait attentive, patiente, voire attentionnée avec les deux demi-Vélanes. "You're in love or what?" Au sourcil arqué de Stan, Verdandi répondit par une expiration amusée, le regardant comme s'il avait évoqué une absurdité sans fondement. "Love?" "I mean, you do what you want of course. But you seem obsessed with her. Don't get too attached. These hybrids never live very long."

Verdandi récupéra sa veste puis son sac, échoué au pied du bureau, et agita légèrement la main qui tenait sa cigarette en se redressant, son regard clair revenant sur Stan. "You know me", il connaissait son détachement quant aux sentiments, cette distance qu'elle gardait par le biais de ses (trop nombreux) sourires, le contrôle qu'elle exerçait dans le choix de ses partenaires, l'attachement léger qui, jamais, n'avait l'occasion de se transformer en autre chose, avec ces sorciers et sorcières récupérés sur le côté, "and I know you wouldn't get jealous over a random hybrid, would you?" Ses sourcils se haussèrent légèrement en le considérant derrière l'épaisse fumée, qui prit cette fois la forme d'une licorne, que Verdandi envoya galoper au-dessus de sa tête, fronçant légèrement les sourcils à l'interruption – il y avait une hiérarchie bien établie, dans le cœur de Verdandi, où trônaient les indétrônables Stan et Carrie, puis le reste du monde, où s'entremêlaient le reste des Warlocks et sa brochette de Moldus souvent trop jeunes et trop naïfs. Toute glorieuse et rayonnante fut-elle, Lucinda n'aurait droit qu'aux sourires enjôleurs et aux regards indubitablement intéressés de la harpie – et l'éclat dans ses yeux, tandis qu'elle regardait Stan, était, lui, tout particulier, un mélange entre l'affection brûlante qu'elle lui portait et la conviction peinée qu'elle ne pourrait jamais totalement s'y laisser aller.

Ils n'étaient pas taillés pour l'amour – Verdandi l'avait durement compris durant leur captivité étouffante, chez les Doves. On avait cassé leurs radars dès leur plus jeune âge, et il était miraculeux qu'il puisse encore éprouver quoi que ce soit pour quelqu'un d'autre. "After four days away from me, are you planning to go back to the flat? Or are you going to leave me alone again? I think I have some sweets at home." Verdandi, qui s'était approchée de lui en ouvrant son sac à dos, eut un léger roulement d'yeux devant ce choix outrageusement tragique. Un léger sourire ornait néanmoins ses lèvres, le témoin discret que ce I've missed you en filigrane lui réchauffait le cœur."Old perv', trying to bait young girls into your flat", fit-elle en faisant disparaître le pochon à l'intérieur du sac, avant de le passer sur son dos, "unfortunately I'm more into whisky and no sweet can actually compare to you, sugar." Et un nouveau sourire étira ses lèvres, tandis qu'elle se plantait devant lui ; sa main glissa naturellement sur son visage lisse (désespérément lisse, quand aux gênes vélanes s'était rajouté l'utilisation des Glamours), rabattant une mèche de cheveux humide en arrière, sa cigarette coincée entre ses doigts. Puis elle se mit légèrement sur la pointe des pieds pour venir embrasser ses lèvres, passant son autre bras autour de son cou moite.

Ils évitaient, pour des raisons évidentes, les marques d'affection explicites, au sous-sol ; mais lorsque ce dernier retrouvait le calme trompeur de l'après-fête, Verdandi ne se gênait plus pour couver Stan d'un regard énamouré, l'entourant de ses gestes tendres et de remarques sensiblement éloquentes. Elle le relâcha à peine, en rompant le baiser, ses doigts dans sa nuque et ses yeux dans les siens. "I got you that Muggle protein drink you like", fit-elle avec un sourire en entreprenant de détailler ses traits, qu'elle connaissait par cœur, à force de les étudier de près depuis six longues années, revenant finalement à ses yeux sombres, "you know you're not alone, even when I'm not with you." Il y avait Carrie (enfin, quand ils se parlaient, d'habitude), Jin, Kamala, Mao, les Good Children, leur famille – et il y avait elle, quand bien même elle était ailleurs, ses pensées revenant immanquablement à Stan et Carrie, au détour de la devanture d'une salle de sport (Stan would like that) ou d'une pâtisserie (Carrie would definitely crash that).
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tw : softtttttt
Stanislav est incapable d'en vouloir à Verdi. Il suffit de la regarder pour comprendre pourquoi. Avec ses grands yeux clairs, et son minois, impossible de lui dire non ou d'être fâché contre elle. Cela fait bien longtemps, qu'il l'a compris. Stan n'a jamais su s'oppose à celles, qu'il considère comme ses femmes, et cela inclue Nina. Il ne lui reste plus que Carrie et Verdi, et il y fait attention comme à la prunelle de ses yeux. Ces trois mois, passés sans sa blonde, sont probablement les plus difficiles de sa vie. Il a vécu des choses terribles, mais il les avaient toujours elles à ses côtés. Verdi est la seule à ne jamais avoir failli à la tâche. Il sait, qu'il n'est pas toujours un cadeau, mais il apprécié sa dévotion et sa loyauté. Il l'apprécie pour de nombreuses autres choses. Verdi est un de ses points de repère parmi les plus indispensables. Sans elle, Stan ne sait pas ce qu'il ferait ni même où il serait actuellement.
Il étouffe un rire presque gêné, quand ils évoquent l'amour. Oh oui, il sait. Ils sont tous dans la même situation, tous les good children et les autres aussi. Ce qu'ils ont vécu, aucun enfant ne devrait subir ça. Ils ont repris le contrôle de leur vie, grâce à la Purge, mais ils ont des traumatismes ancrés en eux, qui seront toujours présents. Il n'y a que Carrie ou Verdi, qui peuvent comprendre ce qu'il a vécu. Et, c'est aussi pour ça, que ses autres relations n'ont jamais vraiment fonctionné. Avec le temps, Stan en a accumulé. Il est presque difficile de toutes les citer. Ils sont presque maudits. Verdi dit plutôt, qu'il s'agit d'un méchanisme de psychologie, et que tout est expliqué dans les magazines moldus, qu'elle s'amuse à voler. Cela le fait surtout sourire. Peut-être, qu'il pourrait s'en sortir, en suivant les conseils de ces soit-disant moldus. Peut-être. Mais, Stan a toujours réussi à s'en sortir seul ou avec les Warlocks. Il n'a pas besoin de ça. Il s'est d'ailleurs promis, de ne plus chercher plus que du sexe, avec les étrangers. Il a vu, ce que Dennis lui a fait. Il a vu, ce qu'il a fait à Caleb. Ca ne fonctionne pas. Ca ne fonctionne jamais. Alors oui, il sait, ce que Verdi pense sur le sujet. Il le sait, parce qu'il pense la même chose. Il fronce son regard, et sort de ses pensées, lorsqu'elle parle de jalousie. Stanislav a toujours prôné le libertinage, et le partage. Pourtant, oui, il ne peut pas s'empêcher de ressentir une pointe de jalousie, quand Verdi parle de cette hybride. Il reconnaît lui-même, qu'elle est très jolie et engendre beaucoup d'argent. And yet. Il s'humidifie les lèvres. ─ Jealous? Me? Bullshit. Besides, everybody knows that veelas are much better than vampires. Il brasse de l'air avec sa main, tout en lui répondant. Stanislav Tolkien n'est jamais jaloux, de rien ni personne.

Néanmoins, il est heureux de savoir, que c'est chez lui, qu'elle va venir ce soir, et tous les autres soirs qui suivent. ─ I may be an old perv' but I've always had who I wanted like that. Il hausse un sourcil tout en la regardant. ─ Sweets, whisky, french fries, sex. I always have everything you want. Il se plie en quatre pour elle, comme pour Carrie. Preuve en est, il achète chaque semaine une putain de bouteille de lait à la fraise, alors qu'il trouve ça immonde, dans l'espoir que la tornade blonde débarque à l'improviste. Pathétique, il le sait. Verdi se rapproche un peu de lui, le regarde dans les yeux, malgré son mètre cinquante-sept. Délicatement, elle pousse une de ses mèches de cheveux. Son gel ne tient jamais jusqu'à la fin des combats, trop d'humidité. Et puis, elle l'embrasse. Stan est d'abord surpris, puis il passe son bras contre sa taille, pour la rapprocher encore plus. Il approfondi son baiser, et le fait durer. Quand ils se détachent légèrement, il aurait pu glisser un I love you. Cette réflexion le fait tiquer. Il préfère passer à autre chose. Stan garde sa main autour de sa taille, alors que Verdi lui effleure toujours la nuque. Il rit, quand elle lui parle de sa boisson protéinée. ─ You're the best. Son escapade a parfois des effets bénéfiques. Il soupire à sa seconde remarque. Il n'est jamais vraiment seul, c'est vrai. Mais, il a déjà perdu Carrie, et son absence, combinée à celle de Verdi, le pèse beaucoup. ─ I know. It's not that I'm alone, it's that I-I feel lonely you know. Il déglutit, avant de reprendre son sourire habituel. ─ Anyway. I know you always come back. That's what matters. Stan la presse contre lui, et l'embrasse à son tour, lui donnant un avant-goût de ce qui l'attend chez lui. Il ne veut pas arrêter leur baiser, mais il finit par détacher ses lèvres des siennes, à contre-coeur. ─ We should go home.
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stanislav tolkien
I've got my way with words, Don’t believe me, Pretend like I don't hurt, I don’t, I don’t, I don’t. I've got my way with pain, Don’t believe me, I numb myself to blame, I don’t, I don’t, I don’t.
"I may be an old perv' but I've always had who I wanted like that." "Have you now?" demanda-t-elle en haussant les sourcils d'un air faussement inquisiteur, son indécrottable sourire aux lèvres en le considérant. Stan était, à ses yeux entraînés, l'incarnation d'une beauté éclatante, une perfection physique qu'on ne croisait que dans les musées de sorciers snobs, dont la visite aux galeries des statues était la seule activité vaguement sexuelle de leur triste existence ; Verdandi avait, une fois, presque par erreur, mis le pied dans ces musées alors ouverts aux hybrides, en compagnie de Carrie, Nina, et Stan. Ses regards avaient accroché le marbre blanc de ces statues exposées, semblait-il parfois contre leur gré (certaines cherchaient à se rhabiller avec le maigre morceau de tissu laissé par l'artiste, sous les gloussements des quatre sorciers) – puis le regard de Verdandi était retombé sur Stan, dont la ressemblance avec les sculptures l'avait frappée, sur l'instant, comme si elle avait été, elle aussi, happée par le charme surréel des descendants de Vélanes.

Elle le voyait encore, dans ses yeux sombres où brillait une lueur tendre, adoucissant ses traits pour les mâtiner d'un éclat presque solaire, changeant de cette expression dure (et à tomber, accessoirement) qu'il arborait lorsqu'il enfilait son masque de Wolf. Que Stan obtienne ce qu'il désirait, qui il désirait, était la moindre des choses, la conséquence naturelle de ce physique que Verdandi, de longues années, avait admiré de loin, son regard perdu entre deux sortes d'envie : celle de lui ressembler, et celle de l'embrasser pour le faire sien, au moins pour quelques minutes. "Sweets, whisky, french fries, sex. I always have everything you want." Et voilà où Verdandi en était rendue, désormais ; Stan la regardant avec un intérêt notable, lui promettant tout ce qu'elle désirait – à boire, à manger, lui. Elle en avait parcouru, du chemin, depuis ce discret et complexe désir qu'elle avait gardé pour elle – à la pensée qu'elle aussi, au final, pouvait obtenir ce qu'elle voulait, Verdandi esquissa un sourire, avant de venir l'embrasser.

You're the best. Verdandi eut une moue de contentement à ce compliment venant auréoler ses efforts, la consécration qu'elle avait, dans la vie du demi-Vélane, une place aussi importante qu'il ne pouvait en avoir dans la sienne – et ce en dépit de ses absences impromptues, brutales, parfois, où elle réapparaissait sans qu'il ne lui en tienne rigueur. Stan, comme Carrie, comprenait – et c'était là la différence avec les autres, qu'en dépit des râleries de la seconde, et des remarques du premier, ils savaient que leur lien allait au-delà de ces sentiments de rancoeur tenaces, qui finissaient, lorsqu'ils se déclaraient, immanquablement par disparaître. "I know. It's not that I'm alone, it's that I-I feel lonely you know." Les doigts de Verdandi caressèrent avec douceur la peau chaude de Stan, ses yeux dans les siens, à la recherche de cette solitude qui les poursuivait tous – et les rattrapait parfois, souvent, sans distinction d'heure ou de jour. "I know baby, I know," fit-elle avec une voix plus tendre, gonflée d'une affection certaine, la pomme d'Adam de Stan remontant difficilement sous cet aveu qui lui brisait le cœur, et l'empêchait de lui dire qu'elle avait eu, ce soir, d'autres plans que lui. "Anyway. I know you always come back. That's what matters."

Ses lèvres trouvèrent les siennes de nouveau, et Verdandi oblitéra tout ce qui n'était pas Stanislav, sur l'instant ; le contact de sa bouche contre la sienne, ses mains dans son cou moite, une physicalité qui pulsait contre son corps avec la même intensité depuis de longues années, une chaleur infernale qui contrastait avec la tiédeur des gestes de Carrie, oscillant entre tendresse et dureté sans transition. "We should go home." "Hm-hm," accepta-t-elle avec un léger hochement de tête, avant de le relâcher pour prendre sa main dans la sienne – les lieux étaient déserts, désormais, et ces contacts étaient devenus une habitude. "you haven't heard from the Fox then?" Ses yeux restèrent dans les siens, tandis qu'elle portait de nouveau sa cigarette à ses lèvres. "I may have spent some time with her, at her studio, and we may have talked about you, just a little bit", conclut-elle en plissant légèrement les yeux, relâchant sa main pour sortir du bureau la première, lui offrant un léger sourire comme pour s'excuser (non) de cette obsolescence d'explication presque volontaire.
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tw : softtttttt
Avec les années, Stanislav avait appris à faire la différence, entre être seul et se sentir seul. Il a, pendant longtemps, confondu le premier avec le second. Il a expérimenté, ce que c'est, que d'être seul, sans absolument personne. Ses premiers mois au sein des Warlocks furent compliqués. Cela l'a poussé à s'endurcir, à trouver les ressources nécessaires seul. Il a mis du temps, avant de se lier à d'autres good children, comme lui. La solitude a quelque chose de rassurant. On ne met pas sa confiance entre les mains d'autres personnes. On ne peut s'en vouloir qu'à soi même, si quelque chose arrive. Il n'y a pas de sentiments, qui rentrent en compte. Tout est plus facile, en quelque sorte. Stan a aussi appris, qu'il a besoin des autres pour avancer. C'est là, qu'il a trouvé ses plus fidèles alliés, ceux pour qui, il donnerait sa vie sans hésite une seule seconde. Et, pour ça, il sera toujours reconnaissant, d'avoir croisé leurs routes. Accepter, qu'il n'allait plus s'inquiéter que pour sa propre vie, fut un long chemin. Maintenant, il se rend compte, qu'il a peut-être trop orienté sa routine vers elles. Ces trois mois sans Carrie ont rendu les absences de Verdi encore plus difficiles. Il ne se livre pas facilement, pour ainsi dire presque jamais. Il a l'impression de passer pour un con, et un faible, quand il fait ça. Pourtant, les mots sont sortis tout seul face à Verdi. That's not really surprising. Trois mois, qu'il garde ça pour lui. Quand elle n'est pas là, il tourne tel un lion en cage. Son appartement lui paraît immense, comme le lui disait souvent Carrie. Penser à elle, lui serre l'estomac. Quand il se met à nue face à la demi-harpie, elle caresse naturellement son visage. Il ferme ses yeux quelques seconde, avant de les rouvrir, pour les planter dans les siens. Stan déglutit. Il sait bien, qu'il n'est pas forcément sa priorité, et il a toujours été fine avec ce constat. Ces derniers temps, c'est beaucoup moins le cas. Il met ça sur le compte de son accident, de sa prise d'opium ou de Glamours. Stan préfère ne pas y penser, et refouler ces pensées au plus profond de lui-même, jusqu'à ce qu'elles lui éclatent au visage, comme toujours. Il caresse aussi le visage de Verdi, avant d'ajouter que le principal, c'est qu'elle revienne toujours.

Instinctivement, elle se met légèrement sur la pointe des pieds pour l'embrasser, encore. Chacun de ses baisers lui donne une vague apaisante de chaleur. Il se sent pousser des ailes, et a l'impression, pour une fois, de vraiment compter pour quelqu'un. C'est sûrement stupide de penser ça, alors qu'il a toujours prôné les relations plus que libres, le libertinage et les partenaires multiples. Mais, la vérité, c'est que Stanislav Tolkien a, lui aussi, envie de connaître ce sentiment si galvanisant qu'est l'amour pur et véritable. Il entend déjà Carrie le traiter de culcul dans sa tête. Elle a probablement raison.
Stan lui rend son baiser, en passant une main contre sa nuque, la dégageant de ses cheveux. Il lui proposant de rentrer à la maison. Il a presque envie de dire leur maison, mais il sait, que Verdi n'a pas de home à proprement parlé, qu'elle préfère vagabonder. Il l'envie presque. Ils finissent par se détacher à contre-coeur. Verdi évoque enfin Carrie. A vrai dire, Stan se demandait, quand est-ce qu'elle allait le faire. Elle a mis plus de temps, qu'il n'aurait pensé. Une grimace déforme son visage. ─ Really? Il arque un sourcil. ─ But no, I haven't heard from her. Il hausse ses épaules. Carrie ne viendra jamais d'elle-même, il la connaît bien. Stan ne fera pas le pas non plus, pas cette fois. Et puis, c'est elle, qui l'a sagement évité pendant presque trois mois, si l'on exclue cette gifle injustifiée. ─ I don't really want to talk about the Fox. Il n'a pas envie de s'agacer ou d'être sur les nerfs. Le sujet Carrie est trop sensible. Ce n'est pas qu'une question d'ego, mais plutôt d'amitié. Il aurait tout donné pour elle, et quand il a besoin d'une minuscule attention, elle se défile. Stan n'a pas besoin de plus. ─ Squeeze my hand. Puis, en un claquement de doigts, ils transplanent ensemble dans son appartement. Il n'est pas spécialement doué, mais il fait avec. Une fois dans les lieux, ils vacillent un peu, mais ont toujours leurs mains ensemble. ─ Would you like something? lui demande-t-il, tout en retirant ses chaussures, puis sa veste.
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stanislav tolkien
I've got my way with words, Don’t believe me, Pretend like I don't hurt, I don’t, I don’t, I don’t. I've got my way with pain, Don’t believe me, I numb myself to blame, I don’t, I don’t, I don’t.
tw: tca "Really?" Verdandi opposa à son sourcil interrogateur, à la fois dubitatif et intéressé, un sourire qui voulait dire tout et son contraire ; elle ne pouvait prédire exactement quand Carrie allait revenir auprès de Stan, comme elle s'y était résignée quelques jours plus tôt. Un jour, une semaine, deux mois, sept - la sorcière espérait secrètement que la réalité de cette promesse qu'elle lui avait faite pèse rapidement sur l'esprit à la fois désespérément rangé et terriblement désordonné de la Fox. "But no, I haven't heard from her." "She's probably still fighting with her ego about the best way to come back to you without talking about her feelings." "I don't really want to talk about the Fox." "As you wish", répondit-elle avec l'étrange impression d'emprunter ces mots à quelqu'un d'autre (en autrement moins sincère, sûrement - Verdandi revenait toujours à la charge), un écho mimétique qu'elle chassa en glissant sa main dans celle de Stan. "Squeeze my hand."

Elle serra ses doigts dans les siens devant le transplanage maladroit - et encore, Stan était le plus soigneux d'eux deux. Verdandi relâcha la main du Wolf en embrassant l'appartement impeccable du regard - il flottait comme souvent (lorsque le fumet de la cuisine délicieuse de son propriétaire n'emplissait pas les lieux) cette odeur caractéristique, aussi agréable que déstabilisante, qui chatouillait un coin condamné de sa mémoire, encombré par le travail des sorts de confusion et d'Oubliettes jetés pêle-mêle. Home sweet home. "Would you like something?" "I'm starving! That's why I hate noodles, I get hungry barely in a few hours", geignit-elle en se débarrassant gauchement de ses baskets, les envoyant paître dans l'entrée propre de ses pieds, avant de pénétrer à l'intérieur du studio de son pas décidé, se défaisant de son sac et de sa veste contre l'un des fauteuils en cuir de dragon, avant de bifurquer en direction de la cuisine qui devait, à elle seule, faire la taille du studio ridiculement petit de Carrie. "You haven't been to her place, haven't you?" demanda-t-elle en ouvrant les placards au-dessus de sa tête d'un rapide geste de la main, en faisant claquer les portes sans douceur - et la promesse de ne plus aborder le sujet sensible de Carrie. "It's so small, you would barely fit in there with those arms of yours... Fuck yes," fit-elle en attrapant un paquet de chips saveur citrouille, qu'elle ouvrit dans une explosion peu discrète. "She'll come back soon, for the luxury of slouching on your couch at leacht." Ses yeux gourmands parcoururent les vivres avec impatience tandis qu'elle enfournait une première bouchée de chips, dressant un inventaire précis de ces dernières avec, immanquablement, le calcul des calories qui allait avec - les chiffres n'avaient pas d'importance, encore, à ce stade, et feraient comme toujours surface pour la hanter plus tard, jusqu'à ce qu'elle aille chercher une potion Drainante.

Elle se retourna vers Stan, mâchonnant ses chips avec les yeux brillants d'un éclair de génie, lui tendant le paquet ouvert en sachant pertinemment qu'il les avait uniquement achetées pour elle. "Feed me pach'tas, with that italian dreching with hm, shtuff in it", fit-elle en moulinant de sa main libre, sourcils légèrement froncés pour désigner ces pâtes savoureuses qu'il lui avait faites auparavant, en se laissant aller contre le comptoir.
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Stanislav n'a pas envie de parler de Carrie, encore moins avec Verdi. Quand il est avec elle, tout ce qu'il veut, c'est se concentrer sur elle et uniquement elle. La harpie passe tellement de temps dans le monde moldu, qu'il profite du moindre moment avec elle. Avec Verdi, tout est toujours plus simple. Stan a l'impression de ne pas avoir à faire semblant. C'est naturel.
Sa main dans la sienne, ils transplanent maladroitement jusqu'à chez lui. Il sait qu'elle ne lui en tient pas rigueur. Ils auraient probablement terminé à l'autre bout de l'Angleterre, si c'était elle qui les avait fait transplaner. Stan retire sa veste en cuir et la range sur le porte-manteau. Il retire également ses chaussures, et lève ses yeux au ciel lorsqu'il voit Verdi tout envoyer valser. Classique. En allant vers la cuisine, il lui demande si elle a envie de quelque chose. En même temps, il remonte les manches de sa chemise, et défait deux boutons. Il se sent déjà plus lui comme ça. Stan essaye d'avoir une allure à peu près correct au travail, même s'il bosse pour un gang. Il doit inspirer le respect, et porter une chemise grande ouverte sans rien en dessous n'aide pas forcément. Chez lui, il s'en fout. Il vit la plupart du temps complètement nu. Sa chemise met en valeur les muscles de ses bras. Carrie s'en moque souvent. Enfin, s'en moquait plutôt.
─ Ugh, you have to stop eating those noodles. You should eat protein bars instead. Il sait, que ses paroles rentrent par une oreille et ressortent par l'autre. Stan ouvre son immense frigo américain et y prend une bouteille d'eau pétillante. Il s'empresse de retirer le bouchon et d'en boire plusieurs gorgées. Tout en buvant, il ferme le frigo et se tourne légèrement en direction de Verdi. Elle commence déjà à chercher ce qu'il y a de bon dans ses placards, tout en lui parlant innocemment de Carrie. Stan roule des yeux. ─ No, I didn't go to her flat. She didn't invite me, remember. Il arque un sourcil, avant de sourire lorsqu'elle trouve son snack préféré. Stanislav en a toujours de côté, idem pour ceux de Carrie. Même durant ces trois derniers mois, il y a toujours eu une boite de macarons ainsi qu'un régiment de briques de lait à la fraise. ─ I don't think she will. It's already been three months. Sa voix est tendue lorsqu'il parle d'elle.
Verdi lui tend son paquet, mais il décline. ─ I don't buy them for myself, you know. Il lui adresse un petit sourire en coin des lèvres. Elle lui réclame maintenant les pâtes à l'italienne de la dernière fois. Evidemment. ─ Hm I don't know if you deserve it.. Il fait exprès de prendre un ton mélodramatique et mystérieux à la fois. Stan arque un sourcil. ─ Maybe you should kiss me. It would help me to know if you deserve these pasta or nah. Stan se rapproche d'elle, posant ses mains sur le comptoir à sa gauche et sa droite, l'encadrant de ses bras. ─ I want a real kiss, Muffin.
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stanislav tolkien
I've got my way with words, Don’t believe me, Pretend like I don't hurt, I don’t, I don’t, I don’t. I've got my way with pain, Don’t believe me, I numb myself to blame, I don’t, I don’t, I don’t.
tw: mention de tca Verdandi avait laissé couler sur elle le sel amer de Stan sans en prendre ombrage ; s'il était idiot de penser que Carrie le tiendrait à distance pour le reste de leurs jours, elle ne pouvait que comprendre le ressentiment du Wolf à l'égard de la Fox (une histoire de chien et chat jusque dans leurs titres respectifs). "I don't buy them for myself, you know." Les yeux de Verdandi s'arquèrent en deux demi-lunes à son sourire en coin significatif de tout ce que contenait ce simple paquet de chips dans ses placards healthy à en pleurer ; de la même façon qu'elle avait pris soin de lui ramener de ces barres protéinées qu'elle abhorrait personnellement – un échange de bons procédés, si ce n'était la marque de l'affection sincère, solide, qui s'était tissée entre eux au fil des épreuves et des ans. "Hm I don't know if you deserve it..." Verdandi considéra le regard soudainement bien trop sérieux de Stanislav, en frottant le bout de ses doigts où s'était déposée la poudre des chips lors de sa première fournée, déglutissant ses chips l'empêchant de tenir une conversation décente – pour notamment lui réclamer ces pâtes en dépit de ses longs jours d'absence. S'il n'y avait que ça pour se faire pardonner... "Maybe you should kiss me. It would help me to know if you deserve these pasta or nah." Un fin sourire vint étirer ses lèvres en le voyant approcher dangereusement, ses mains sur son pâquet de chips tandis qu'il l'entourait de ses bras en une étreinte indirecte. Stanislav était d'une beauté à couper le souffle, et si Verdandi n'était pas victime de ce charme magique, irréel des Vélanes, elle était néanmoins soumise à celui de ses yeux bruns rivés dans les siens, de ses pommettes hautes et de ses traits fins, sous ses boucles brunes entretenues avec soin. "I want a real kiss, Muffin."

Les sourcils de Verdandi se haussèrent à retardement, son cœur fondant sous ce surnom affectueux dont il la couvrait sans faillir – entre eux deux, devant Carrie et le cercle proche du gang. "I don't feel like I have much of a choice," soupira-t-elle en baissant les yeux sur le paquet ouvert comme si Stanislav l'en avait arrachée de force en la faisant chanter pour un baiser, passant sans grande classe sa langue sur ses dents, dans sa bouche close, pour en chasser les derniers vestiges des chips. Puis elle déposa le paquet derrière elle avec un soin qui lui faisait habituellement défaut, chaque geste un pas de plus vers Stanislav, avant de revenir à ce dernier en glissant ses mains sur ses hanches, son regard remontant jusqu'au sien pour s'y ancrer finalement. "I didn't know you were into crisps kisses, isn't that breaking your diet somehow?" Elle fronça les sourcils et inclina légèrement la tête, faussement inquiète de la bonne tenue du régime strict de Stan, ses mains remontant le long de son torse en une caresse contradictoire au semblant de résistance qu'elle lui opposait – un leurre qui ne trompait certainement ni l'un ni l'autre, une ombre de sourire dans le regard de la harpie.
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