BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 heron ⊹ what you had, and what you lost.

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herbert slughorn
Humans were so circular; they lived the same slow cycles of joy and misery over and over, never learning. Every lesson in the universe had to be taught billions of times, and it never stuck. Maybe it was good that the world forgot every lesson, every good and bad memory, every triumph and failure, all of it dying with each generation. Perhaps this cultural amnesia spared them all. Perhaps if they remembered everything, hope would die instead.
2004. Quon a fini par parler des potions à Wei, parce qu'il avait trop peur que son père le découvre et lui tire les oreilles - et Quon préfère amplement avoir des remords que des regrets, surtout avec la peur lancinante que chaque erreur pourrait être fatale à sa place au sein de sa famille. Si, au début, son père a été un peu réticent à l'autoriser à consommer la potion et lui a demandé d'attendre sagement avant de la goûter pour la première fois, il a fini par accepter - un Quon un peu moins aveugle aurait peut-être pu comprendre que Wei avait vu combien cette perspective lui faisait plaisir et l'y avait autorisé dans cette optique aussi.
Et c'est vrai que c'est pratique, cette potion Penspasbete. Quon a peur d'oublier certaines choses et même si il sait que c'est improbable et impossible parfois, l'angoisse est toujours présente, s'étant installée un jour dans un tréfond de son cerveau. Après tout, on ne sait pas ce qu'on oublie, non? Autant ne pas prendre de risques.

Un jour où il ne trouvait pas d'apothicaire qui en vendait, il est tombé carrément sur la boutique à l'origine de la potion, Slughorn Apothecaries, et, surtout, son créateur - un énergumène nommé Herbert (Herbert) éparpillé dans tous les sens et pourtant brillant. Quelques conversations et stocks de potions plus tard, Quon avait décidé qu'il aimait bien Herbert et ce dernier lui avait proposé de devenir un cobaye pour sa prochaine potion - une concoction pour se remémorer des souvenirs effacés ou enlevés.
De ça, il n'en a pas parlé à Wei.

Ce n'est pas tant qu'il ait peur que son père lui ait retiré des souvenirs, ou qu'il les ait modifié, ou qu'il ait de plus en plus de mal à invoquer dans son esprit le visage de ses parents d'avant mais... "Heyyyyy buddy!" Il ouvre la porte d'un grand geste - sourcillant à peine en voyant qu'il n'y a aucun client, il n'aurait pas agi différemment si ça avait été le cas - avant de se faufiler à l'intérieur en faisant tinter la clochette à l'entrée. "Herb?" Quon adore le prénom du potioniste, qui se prête à bien des surnoms aussi agaçants qu'improbables, et continue donc sa progression dans l'échoppe en faisant bien attention à ne rien renverser et en gardant un oeil intéressé et curieux à toutes les fioles et autres récipients fragiles. Quand il arrive au comptoir et qu'il ne voit toujours pas Herbert, il frappe des mains dessus avant de décider de simplement aller voir dans l'arrière-boutique ce qui s'y passe.
Il allonge un petit sourire en voyant Herbert penché sur un potion et croise les bras en le regardant, se laissant aller contre l'encadrement de la porte. "Did you remember that I was coming today?" Et son sourire s'agrandit alors qu'il lui adresse un clin d'oeil. "See what I did there? Remember. You know, because you do memory potions and all." Quon se trouve plutôt drôle. "Thank God I remembered to drink my make-you-funny potion this morning. What are you working on?"
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herbert slughorn
herbert slughorn
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Profitant du calme qui régnait dans la boutique, Herbert avait abandonné son poste derrière le comptoir - incapable de rester en place, immobile et patient - pour se diriger dans l'arrière-boutique où il pouvait se donner corps et âme dans ce qui l'intéressait bien plus que la vente, à savoir la création de potion. Infructueuse activité certes, puisqu'il n'arrivait toujours pas à trouver les bons ingrédients et qu'il s'était retrouvé plus d'une fois le visage noirci des restes d'une légère explosion (Seamus aurait sans doute apprécié cela) et la frustration de n'avancer qu'en reculant. Ce n'était pas lié à une quelconque maladresse de sa part, puisque le potioniste se considérait (très) bon dans ce domaine, mais plutôt à la difficulté des doser correctement les plantes pour une potion si complexe que celle qu'il s'était mis en tête d'inventer. Jouer avec la mémoire et les souvenirs, c'était un peu comme s'amuser avec les fils d'une bombe à retardement ; un seul faux pas et le cerveau en question ferait boum.


Des bouquins étaient éparpillés sur la table, tâchés des nombreuses déjections du grand chaudron bouillonant au centre de la pièce qui apparaissait bien plus petite qu'elle ne l'était en raison de tous les objets qui l'encombrait sur le sol, les étagères et partout où cela était humainement concevable. Et pas que, puisque flottaient également des planches de bois envahies d'ingrédients entassés de manière bien précaire autour de la tête du Slughorn. Laquelle était penchée au dessus d'un petit carnet, les sourcils et les yeux masqués par d'épaisses lunettes de protection qui donnaient à son visage fin le style très distingué du scientifique fou dans son laboratoire prêt à rendre la vie à un corps rapiécé. Pour une fois, aucune musique classique ne venait rompre le silence quasi-sâcré qui régnait en maître dans la pièce, et c'était simplement dû à son extrême concentration - et sa difficulté à allier plusieurs choses à la fois - que Herbert n'entendit pas la cloche sonner dans l'entrée, ni un de ses nombreux surnoms prononcés par une voix bien connue, et encore moins les pas qui se rapprochaient de lui.


C'est donc tout à fait attendu de le voir sursauter éhontément et renverser une des fioles posées en hauteur en constatant qu'il n'est plus tout seul et ce depuis quelques minutes. Herbert relève les yeux vers l'intrus et un grand sourire s'allume sur ses lippes en constant qu'il s'agit de Quon. Ils devaient se voir aujourd'hui ? Se demande-t-il en frottant son épaule rendue endolorie par le contact brusque et soudain avec l'étagère enchantée avant de reprendre un peu contact avec la réalité. L'expression se perdre dans ses pensées avait sans doute été inventée pour lui. Le rire d'Herbert s'étend dans l'arrière-boutique devant les calembours de son ami, impressionné comme toujours par sa vivacité d'esprit, une des raisons pour lesquelles il aimait passer du temps avec le sorcier - en plus du fait qu'il avait accepté d'être le cobaye de ses expériences douteuses. "I'd like to say I didn't, just so you'd keep admiring me and my perfection." il lui renvoie son clin d'oeil en enlevant ses monstrueuses lunettes. "But that would be a lie. And good boy don't lie. Do you honestly believe I would have invented this particular potion if I hadn't needed to use it for myself. I am very much self-centered after all." En refermant d'une main quelques livres, Herbert s'approche de Quon et ajoute sur le ton de la fausse inquiétude "I hope that's the only thing you took, your potionist never told you that mixing potions is bad for your health?" il secoue la tête devant sa bon'e blague avant de reprendre.  "I'm working on your potion, if I succeed one day, I'll name it Quonsomething. I'm glad you're here mate." Il n'y avait pas plus honnête, depuis qu'Herbert avait repris la boutique de son père, il se retrouvait bien trop souvent enfermé entre quatre murs avec pour seule compagnie ses pensées chaotiques et des potions silencieuses. La solitude et Herbert n'avaient malheureusement jamais fait bon ménage et toute intrusion était la bienvenue, surtout quand celle-ci portait ce nom et ce regard.
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Voir Herbert sursauter et se cogner inquiète un peu Quon qui s'approche d'un air incertain, se sentant un peu coupable que ce soit de sa faute. "I'd like to say I didn't, just so you'd keep admiring me and my perfection." Quon rit un peu en s'approchant, surtout quand Herbert lui fait un clin d'oeil et qu'il voit son énorme oeil bleu déformé par ses lunettes épaisses. Il les enlève, bien heureusement - il ressemblait un peu à un énorme crapaud avec, d'après Quon. "But that would be a lie. And good boy don't lie. Do you honestly believe I would have invented this particular potion if I hadn't needed to use it for myself. I am very much self-centered after all. - Isn't everyone?" Quon hausse les épaules avec un grand sourire à son adresse. Il aime bien Herbert, qu'il trouve très intelligent et drôle - et ses clins d'oeil et petits sourires ne le rendent pas trop mauvais à regarder, même si Quon ne tape pas dans cette équipe. Il a une énergie qu'il apprécie, parfois aussi éparpillée et intense que la sienne, mais souvent bizarrement rassérénante, à défaut d'être apaisante. Malgré le fait que leur relation soit basée sur un mensonge (Quon lui a raconté qu'il était un livreur pour une compagnie de parchemins et de papeterie sorcière) et qu'ils ne se connaissent pas tant que ça, Herbert lui donne l'impression sans doue erronée qu'il le comprend.

Ou du moins, qu'il s'intéresse à lui - ce qui, au final, plaît tout autant à Quon. "I hope that's the only thing you took, your potionist never told you that mixing potions is bad for your health?" Quon rit d'autant plus. "My potionist is a very self-centered man who tends to forget such important details." Il arque un sourcil à son adresse, sans cesser de sourire - quelque chose de symptomatique en sa présence. "I'm working on your potion, if I succeed one day, I'll name it Quonsomething. I'm glad you're here mate." Quon se mord l'intérieur de la lèvre pour ne pas se mettre à trop sourire tout de même: avoir l'impression d'être désiré quelque part est une impression nouvelle et bienvenue, rassurante. "I'm glad I'm here too." Il finit de s'approcher de l'énorme chaudron bouillonnant et se met sur la pointe des pieds pour prétendre jeter un coup d'oeil à son contenu. "You could call it the Quonnite or something. The Quoniac. The QuonBrain?" Il grimace un peu quand une effluve de la potion lui effleure la narine et tousse en se détournant. "Jeez, that stinks." Il fait le tour de la table avant de rejoindre Herbert de nouveau, le dévisageant pendant un bref instant. "I'm going to need something sweet if that tastes as bad as it smells. Do you have tea? Also, nice goatee and 'stache, what is this, the 60s? the 1860s?" Quon se moque gentiment en levant la main pour tirer sur le bout de son bouc, près de son menton. "I wish I could grow a mustache. Or any sort of facial hair for that matter..." Sa main retombe et va caresser sa propre mâchoire. "Does my potionist have any potion for that? I feel like I could rock some mean sideburns."
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herbert slughorn
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L’atmosphère est bien plus respirable depuis l’arrivée de Quon dans son arrière-boutique. Non pas qu’il étouffait, mais Herbert apprécie avoir une audience autour de lui - surtout quand il travaille - et la lassitude de ne pas avancer d’un iota commençait à se faire sentir un peu trop pour sa relative sanité. "My potionist is a very self-centered man who tends to forget such important details.” “You should change then. Never buy something from a self-centered person, they’re certainly trying to rip you off. What would you do without my advice, I wonder.” Qu’il répond en secouant ses longs cheveux - que sa mère déteste bien entendu, et non il n’a aucun problème avec sa mère - alors qu’il dépose ses lunettes sur la table sans leur accorder un autre regard, dans quelques heures il les cherchera en vain.

Le potioniste voit avec plaisir le sourire de Quon s’élargir et répond par un de ceux dont il a le secret quand celui-ci lui indique être heureux d’être ici aussi. Non pas qu’il en doutait, après tout qui ne le serait pas en se retrouvant à la merci des expériences foireuses d’un savant exubérant ! Maybe he’s a masochist? Or just really bored? Il hausse d’une épaule métaphorique pour se concentrer sur son invité avec un peu plus d’attention qu’il n’en est peut-être capable. “The Quonnite sounds too much like a disease.” Il grimace. “The QuonBrain is better, or we could call it The Quonert like with both of our names, because well I’m still the genius who's inventing it you know.” Ses mains forment une pancarte imaginaire où apparaitrait le nom de la Potion alors qu'il fait semblant de remercier une foule en délire, pendant que son comparse s’approche de la potion et la renifle avec dégoût.

Bebert lève les mains face au petit reproche, mais n’a pas le temps de répondre que déjà Quon se rapproche et change de sujet en tirant sur son bouc. "I'm going to need something sweet if that tastes as bad as it smells. Do you have tea? Also, nice goatee and 'stache, what is this, the 60s? the 1860s?" Herbert prend un air outré. “You’re just jealous.” Il aime bien les contacts physiques - comme tous les sangs-purs élevés dans des familles peu affectueuses selon son expérience - donc se laisse faire jusqu’à ce que la main aventureuse s’éloigne, laissant la trace invisible d’un manque dans son sillage. “And to answer your many questions, I have both tea and growing potions, not only for hair and moustache by the way. I mean, if there’s something else - anything - you need to sprout, grow or enlarge, I have what you need.” Ses sourcils se soulèvent l’un après l’autre avant qu’un rire idiot ne s’échappe de ses lèvres. S’il est pas peu fier de son trait d’humour, le sorcier s'en retourne néanmoins rapidement à un état plus calme. Pour une raison qu'il ne saurait expliquer, Herbert se sent assez à l'aise en présence de Quon pour enchaîner les blagues et certaines remarques sans se soucier de ce que le sorcier pourrait penser de lui, pour quelqu'un habitué à faire attention, à mentir et se cacher il y avait un il-ne-sait quoi assez libérateur dans ces échanges. “Seriously, I have something if you want to try sideburns or even a beard. But I wouldn’t worry about that if I were you, you’re perfectly handsome as you are. Not as good-looking as me and my how did you put it, ah yes 1860s look, but pretty okay nonetheless.” Comme par exemple lui faire ce genre de compliment sans réelle arrières-pensées puis de passer à son tour une main contre la joue de son cobaye préféré - bien que le seul. herbert se dirige ensuite vers une des nombreuses étagères à potion en quête de la bonne. On ne peut jamais pousser une blague trop loin. Enfin presque. Ce n’est pas comme si Herbert le forcerait à boire un breuvage sans son consentement de toutes façons. Ainsi, il profite de ces quelques minutes de répit où il n'a pas à penser à son travail ou la vacuité de sa vie, et où il peut simplement profiter d'une personne qui, s'il ne le connait pas depuis de trop nombreuses années, sait égayer ses après-midi.
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Quon envie un peu la manière facile et naturelle qu'Herbert a à évoluer dans le monde et sa vie, comme si rien ne lui importait réellement ou le touchait: il ignore si il est inconscient, trop focalisé sur son travail ou simplement quelqu'un de suffisamment confiant en lui pour ne pas s'inquiéter de ce qu'il ne peut pas changer. Quon le trouve charmant, charismatique comme son frère Zhang mais d'une autre manière; Quon a l'impression d'être attiré par lui comme une comète passant trop près d'une planète, se retrouvant piégée dans sa force gravitationnelle. “You’re just jealous.” Quon fait la moue, pris sur le fait. "Okay, maybe I am jealous," marmonne-t-il, caressant sa propre mâchoire avec une grimace. Il a bien essayé, à plusieurs reprises, de se faire pousser une moustache et une barbe et ses essais n'ont pas été concluants (surtout si c'était pour se faire moquer par Zhang et Feng tous les matins à la table du petit-déjeuner). “And to answer your many questions, I have both tea and growing potions, not only for hair and moustache by the way. I mean, if there’s something else - anything - you need to sprout, grow or enlarge, I have what you need.” Quon rit de concert avec Herbert, avant de secouer la tête et de soudainement prendre un air sérieux. "Wow, did you really make an 'asians have small dicks' joke? Jeez, Herb, wayyyyy to go." Pas offensé pour autant, Quon rit un peu plus après coup en secouant la tête.

Il faut dire qu'ils sont tous les deux, généralement, sur la même longueur d'onde - ils se complètent bien au final, même si ils appartiennent à deux mondes complètement différents. Et Quon pense qu'Herbert est définitivement un génie: rien que la Penspabete lui permet de se rappeler de plein de détails, et il est plutôt curieux de cette nouvelle potion qu'ils préparent, dont ils ont un peu parlé tous les deux. Il espère qu'il l'appellera la Quonert, il trouve que ça sonne bien, et un mélange de leurs deux prénoms... cette idée lui plait.
Ils reprennent leurs sérieux au bout d'un moment, néanmoins - il faut bien, quand on est là pour bosser. Mais Quon aime bien mélanger plaisir et affaires: c'est comme ça qu'on obtient les meilleurs deals. “Seriously, I have something if you want to try sideburns or even a beard. But I wouldn’t worry about that if I were you, you’re perfectly handsome as you are. Not as good-looking as me and my how did you put it, ah yes 1860s look, but pretty okay nonetheless.” Le sourire de Quon s'élargit sur ses lèvres, et même si ça le prend au dépourvu, il se surprend à apprécier la main qu'Herbert passe rapidement sur sa joue dans un geste presque tendre, avant de se détourner. Il ne croit pas que quiconque l'ait jamais appelé pretty, et il découvre qu'il aime bien. "Careful, that almost sounds like you have a crush on me, Herbert," fait-il d'un ton enjoué en le suivant, avant de le laisser aller à son étagère et aller sauter sur une table miraculeusement pas empêtrée d'objets et de fioles pour s'y asseoir.

"So, be honest." Il croise les bras en le regardant faire, ne se gênant pas pour le détailler des pieds à la tête. Lui aussi il trouve qu'Herbert est beau, handsome, pretty aussi. Mais il ne va pas le dire à haute voix, c'est bizarre, non. "Are you like, a vampire or something, who was turned in the nineteenth century and who decided to become a mad potionist of sorts?" Quon sourit un peu, distraitement, en le regardant s'affairer dans son petit atelier. "Also I feel compelled to say it now that it's up in the air but, truly, don't worry about my needing to enlarging anything down there: I'm packed, mate," prétend-t-il, habitué aux boutades du genre. "So I really hope the potion you're fetching just now is either your latest batch for your little project, or something that could make my facial hair as lustrous as yours."
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herbert slughorn
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Le rire de Quon est une douce musique à ses oreilles. Savoir qu'il en est à l'origine le flatte d'une manière bien particulière, intensifie son sourire et creuse les fossettes sur ses joues. Herbert se tient à distance raisonnable de tout ce qui pourrait le rendre malheureux, il a son compte chez lui ; Quon est comme une potion de bonheur, il pourrait en reprendre encore et encore sans jamais s'arrêter. Il est soulagé que celui-ci ne s'offusque pas face à la blague déplacée formulée, c'est ce qui arrive quand on ne tourne pas sa langue dans sa bouche avant de l'ouvrir. 

Sa compagnie est une agréable distraction pour la frustration qui le suit partout ces dernières semaines. Herbert les a passées entre ces quatre murs, et le contact humain lui manque plus qui n'oserait l'admettre. Gabriel ne l'a pas contacté une seule fois, et ce n'est pas comme si un membre de sa famille allait venir lui rendre visite. Donc mis à part le sorcier présent actuellement, le potioniste n'a vu que les visages flous de ses clients. Il fait donc tout son possible pour retarder le moment où ils en viendront à la réelle raison de la venue du sorcier en ce lieu, à savoir le grand et génial projet du Slughorn. Tant qu'il peut se convaincre que Quon est avant tout là pour sa personne - ce qui est chose aisée quand on s'appelle Herbert et qu'on considère être assez extraordinaire et pas désagréable à regarder. Les deux plaisantent aisément jusqu'à ce que Quon ne l'interpelle sans le savoir. "Careful, that almost sounds like you have a crush on me, Herbert," Il plisse les yeux, et y réfléchit quelques secondes. Herbert n'y avait pas songé deux secondes tant tout son être est empli de la présence palpable de son ami d'enfance même durant ses longues absences, dans chacune de ses inspirations, dans chaque parcelle de sa chair. Pourtant, il doit bien reconnaître que ce qu'il ressent pour le brun dépasse les simples relations professionnelles d'un potioniste avec son cobaye. Cela ne serait pas la première fois qu'il développe un tel crush et cela ne sera pas la dernière. Herbert prend donc le chemin rassurant de la plaisanterie. "Wouldn't you like that?" un autre clin d'oeil avant de se diriger vers les étagères. 

"Are you like, a vampire or something, who was turned in the nineteenth century and who decided to become a mad potionist of sorts?" Une main dramatiquement sur son front, Herbert arrête un instant sa recherche de potion pour lui lancer. "Oh nooo my darkest secret is out, how did you know? To think that I was this close to put you under my spell and have my way with you" sans doute a-t-il vu trop de films moldus sur les vampires, bien qu'il ne l'avouera pas à haute voix, et il s'imagine le côté glamour de la chose, Brad Pitt et Tom Cruise avec leurs petites chemises blanches ouvertes. En réalité, Herbert connait bien peu de choses sur ces créatures de la nuit, mais l'idée d'en être un ne lui déplairait pas, si cela peut lui permettre de vivre encore de nombreuses années sans vieillir, et rien que d'imaginer la tête de sa famille, priceless. Le potioniste continue sa fouille dans les étagères, les seuls meubles de la pièce qui ne sont pas dans un désordre complet, un miracle pour celui qui se laisse facilement disperser.  "Also I feel compelled to say it now that it's up in the air but, truly, don't worry about my needing to enlarging anything down there: I'm packed, mate," "Suuure, because that's not what all guys think about their dick" Il met la main sur ce qu'il recherche mais s'arrête en entendant Quon. Un sourire malicieux s'élargit sur son visage, dans ses prunelles brillent un petit quelque chose d'indéfinissable. "So I really hope the potion you're fetching just now is either your latest batch for your little project, or something that could make my facial hair as lustrous as yours." Herbert se retourne, la potion dans une main, il penche la tête en observant Quon perché sur sa table. Le tableau qu'il renvoie est assez... Fuckable. Non pas qu'il le lui dirait. Ils peuvent plaisanter sans soucis, mais une certaine inhibition demeure, tout le monde ne réagit pas bien, tous ne sont pas ouverts d'esprit, Bebert l'a appris à ses dépends. Il s'approche lentement, agitant la main contenant le breuvage magique, et se place à quelques centimètres du corps de Quon. Pas trop proche pour que cela devienne indécent, mais juste assez. "Anyway, it's not the size that matters you know. It's what you do with it and there's no potion in the world for that." lui tendant la potion, Herbert ajoute. "Soo, do you want to try it?" et après un petit temps. "It's for the sideburns of course."
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C'est si simple de rire et de parler avec Herbert, et terrible distrayant quand ils semblent souvent être sur la même longueur d'ondes. Quon rit franchement à la moindre de ses bêtise, n'hésite jamais à lui dire ce qu'il pense ou à partager toutes les blagues qui lui viennent: il a l'impression qu'Herbert ne le juge pas, chérit sa présence, et comme c'est réciproque, c'est d'autant plus présent.

Quon balance un peu ses jambes, assis au bord de la table, et regarde le potioniste venir vers lui avec intérêt, s'immobilisant en le voyant s'approcher. Un peu, beaucoup, assez pour gêner un peu Quon et l'intriguer aussi, se demandant ce qu'il est en train de faire. "Anyway, it's not the size that matters you know. It's what you do with it and there's no potion in the world for that." Quon sourit en l'entendant, attrapant la potion en effleurant la main du potioniste. "Soo, do you want to try it? - Sure!" Il lève au la potion au niveau de ses yeux pour l'observer d'un air méfiant, avant d'arquer les sourcils en direction d'Herbert. "It's for the sideburns of course. - Of course." Quon s'esclaffe et baisse la potion pour l'ouvrir et, sans hésiter, l'apporter au niveau de son nez. Au moins, ce n'est pas aussi dégoûtant que l'autre potion qui attend sur l'établi... "Alright..." Il a entière confiance en Herbert alors il apporte la fiole à ses lèvres et renverse la tête en arrière pour avaler son contenu d'un coup.

Il refait de nouveau face à Herbert et lui sourit. "So?!" Il repose la fiole vide et lève la main pour caresser sa mâchoire, cherchant déjà des poils qui ne sont pas là. "Do I have to do anything? Is it working? Wait, is it going to grow all of my hair?!" Il ne sait pas trop si c'est une bonne idée: si Zhang, porte très bien le catogan, lui... pas tant que ça. "How long do I have to wait?" Et déjà il chouine, bien trop impatient pour l'art raffiné et lent des potions et de leurs effets.
Il adresse une petite moue à Herbert, mais est bien incapable de réprimer les pétillements dans ses yeux et les coins de sa bouche qui se retroussent comme à chaque fois en sa présence. Il bouge un peu son genou, effleurant la cuisse d'Herbert avec un petit sourire exaggérément suggestif. "All of that talk of dicks, you wondering about my stroke game, you obviously pining me down on this beautiful here table... oh, say, mister Slughorn, wouldn't you be trying to hit on me?" Imitant sa gestuelle, Quon lève une main dont il pose le dos sur son front d'un air dramatique. "Scandalous!" Il rouvre les yeux en riant avant de froncer les sourcils... "Wait... oh, it's tickling! Hey, it's working!!" Il éclate de rire en retournant caresser sa mâchoire, sentant enfin des poils commencer à pousser de manière surnaturelle entre ses doigts. "Herbert, you are a genius."
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Il exagère quand il dit vivre une vie difficile, après tout Herbert jouit d'un nom qui lui ouvre de nombreuses portes - celles qu'il souhaite emprunter en tout cas et d'autres dont il ne veut pas s'approcher - mais également d'une certaine renommée grâce à son invention, et enfin d'une liberté relative tant qu'il file droit (en apparence) et se fait autant que faire ce peut oublier par sa mère. En outre, grâce à l'algorithme, l'héritier Slughorn a échappé à un mariage arrangé avec une personne qu'il n'aurait pu aimer. Il s'en sort plutôt bien donc, mais Herbert a toujours eu un don fâcheux pour la dramatisation, comme aime lui répéter Gabriel (fugitif, hybride recherché, dont le clan a été décimé) et il ne se pose jamais assez longuement pour réfléchir à tout ceux qui souffrent plus que lui, dans son univers il est celui à plaindre. Quon est cependant la diversion parfaite à ses états-d'âme, ils plaisantent, se taquinent, se parlent sans retenue de choses et d'autres qui ne comptent pas (car le livreur reste un mystère entier à ses yeux). Il s'en fiche un peu d'ailleurs, Bebert prend ce qu'on lui donne quand on lui donne, et les grandes confessions n'ont jamais fait partie de son quotidien.

Faire du gringue à son cobaye par contre semble être une nouveauté à laquelle il ne s'attendait pas et qu'il ne sait pas trop comment gérer. Positionné à quelques centimètres à peine du corps de Quon, Herbert lui tend la potion, leurs doigts se frôlent, un de ses sourcils se soulèvent plus suggestif qu'interrogateur, allez savoir pourquoi. Avant même qu'il n'ait pu en placer une, le sorcier boit le contenu de la fiole sans même demander si c'est bien ainsi qu'il fallait faire, tout impatient, un peu étourdi aussi sans aucun doute. C'est fou comme ils se ressemblent tous les deux, plus que l'ancien Serpentard ne l'aurait jamais cru possible. Quon est par exemple la seule personne au monde qui parle plus vite et change plus de sujets à la minute que lui et il n'a même pas le temps de lui répondre sur le temps que prendra la potion à agir (quelques secondes, une minute), et sur les autres effets (aucun quand on ne s'enfile pas toute une fiole d'un coup) que son mystérieux cobaye change encore une fois de sujet. Ce changement est aussi soudain que le frisson qui parcourt le corps d'Herbert quand leurs cuisses se frôlent dans ce qui ne semble pas être un accident. "Are you flirting back? I have a reputation to maintain, it's very hard sometimes. What's your excuse?" Sa langue roule contre son palais, quand la potion fait enfin effet. "Oh by merlin's thong!" Le trouble précédent est oublié au profit du rire incontrôlable dont il devient la victime. Herbert est plié en deux, une main posée sur la table à côté de Quon, tandis que son corps tout entier est agité de soubresauts. "It's priceless mate ... I should... have told you ... that... you had to drink only half of it... I mean ... The sideburns are ... but .... Oh you ... I don't have the words to describe this. Wait ..." Herbert sort sa baguette de son long manteau de scientifique "Accio mirror." Hilare, il lui tend la glace, en tentant en vain de contrôler les tremblements de son corps et la larme rebelle qui s'échappe de ses yeux.

En réalité, le résultat final n'est pas si chaotique que cela, et Herbert trouve même que cela lui donne un genre qui lui plaît bien à lui.  "You're cute in a really really really funny way. You'll break more hearts than ever with that look, I really am a genius, aren't I." Et en changeant une fois de plus de sujet. "you better get used to it, I mean you took the entire flask so it's going to last at least a couple of days. Sorry." Mais il ne l'est pas, pas complètement. Il aurait presque envie de passer sa main sur those littles sideburns, just to see if they are as soft as his hair seem to be.
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"Are you flirting back? I have a reputation to maintain, it's very hard sometimes. What's your excuse?" À ça, Quon n'a pu qu'hausser les épaules d'un air angélique. "Guess I'm just lovable that way." Il ne pense pas qu'il y ait beaucoup d'ambiguïté entre lui et Herbert. Après tout, ils sont plutôt bons amis et s'entendent très bien, ce n'est que des plaisanteries... n'est-ce pas? Quon plaisante toujours, avec tout le monde, surtout avec ses amis qui trouvent ça parfois gênants - parce qu'il n'y a rien qu'il aime plus au monde que les farces et les blagues qui mettent un peu mal à l'aise, quand elles vont trop loin. Herbert, lui, n'a jamais l'air mal à l'aise, et il adore ça chez lui.

Quand les poils se mettent à pousser sur sa mâchoire, Quon oublie toutes ces pensées parasites pour se focaliser sur ce qu'il sent sous ses doigts, en rant d'abord, puis avec un air d'effarement profond s'inscrivant sur son visage. Ça pousse... ça pousse... ça pousse, de manière effarante, et bientôt une petite panique vient rider son front d'un froncement de sourcils. "It's priceless mate ... I should... have told you ... that... you had to drink only half of it... I mean ... - What?! Herbert! - The sideburns are ... - It keeps growing! - But .... Oh you ... I don't have the words to describe this. Wait ..." Quon ne peut rien voir, mais il sent déjà des longs poils soyeux sortir d'entre ses mains plaquées sur son visage, et il a un peu peur du résultat des courses quand Herbert appelle un miroir et le place devant lui.

"Oh, shit, man." Quon relâche lentement son emprise sur ses nouvelles rouflaquettes pour mieux les observer. C'est un peu... trop, mais en même temps, c'est pas trop mal - dans le genre vieillot et obsolète. "You're cute in a really really really funny way." Quon lui jette un regard en biais, presque vexé - il ne veut pas être mignon, il veut être beau et viril. "Dude. - You'll break more hearts than ever with that look, I really am a genius, aren't I. You better get used to it, I mean you took the entire flask so it's going to last at least a couple of days. Sorry. - A couple of DAYS? Mate, I swear to fuck..." Et pourtant il rit un peu, passant ses mains dedans à plusieurs reprises pour les lisser, prenant le miroir tenu par Herbert d'une main. "Come on, you can pet them, they feel a bit... silky," l'encourage-t-il en tendant sa joue vers lui, faisant mine de se presser contre sa main quand elle s'approche de sa joue.

Les doigts de Herbert sont un peu calleux, mais Quon aime bien la sensation de les sentir sur les poils désormais démesurés de sa barbe, et sur sa joue aussi, quand ils l'effleurent légèrement. "Say, Herbert," dit-il d'une voix différente, un peu plus sérieuse. "Are you actually flirting with me?" Il arque les sourcils dans sa direction. Et si il a toujours un sourire sur les lèvres, il n'a rien de la moquerie extatique d'avant; juste une incertitude curieuse, un peu hésitante, des lèvres pincées et légèrement crispées. "I'm not into guys, I mean, I don't think I'm into guys." Il repense vaguement aux longues conversations avec son frère Zhang, les mathématiques difficiles qu'il avait dû faire pour comprendre que son frère était hétéro, mais que bon, comme il disait "un trou est un trou", et que ça comptait pas quand on était "le top" (un truc que Quon n'avait pas compris et n'avait pas osé expliciter). "But... I think it's working. Your fingers are very soft..."


Dernière édition par Quon Wang le Ven 6 Nov - 5:27, édité 1 fois
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herbert slughorn
herbert slughorn
Date d'inscription : 23/08/2020
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Âge : La trentaine approche, bien qu'il ne vieillisse plus autant (9 septembre 1977)
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Allégeance : Sa personne. lui aussi. Sa deuxième mère. les souvenirs des slughorn, les résistants de Gracefield. Personne et tout le monde à la fois.
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C’est indéniable qu’il est loveable Quon. Dans son naturel entrain, et son optimisme à toute épreuve. Dans cette façon bien unique qu’il a d’égayer les lentes journées de travail d’Herbert et dans sa présence. Dans ses réactions comme à l’instant lorsque les poils de son visage poussent démesurément parce qu’il était trop impatient pour attendre et qu’il passe en quelques secondes de l’effarement la plus complet à un rire qui allège la lourdeur de la pièce. Tellement qu’il faut encore un peu de temps avant qu’Herbert n’arrive à reprendre son sérieux, que le fou rire s’amenuise jusqu’à disparaître complètement "Come on, you can pet them, they feel a bit... silky,". Il penche la tête sur le côté à cette invitation, mais sa main s’avance d’elle-même et rejoint à mi-chemin la joue de Quon. “Oh, yeah they do are silky.” Il n’est pas hésitant Bebert, ne l’est jamais vraiment, pas subtil non plus et ses mains s’aventurent sur les douces bouclettes magiques, glissent un peu sur la joue, par mégarde mais pas tout à fait. Il ne sait pas très bien ce que cela signifie pour lui tout ça, ni pour Quon non plus d’ailleurs. N’y réfléchit pas plus de quelques secondes tout en continuant ses caresses. Son corps s’avançant encore pour ne plus avoir à autant tendre le bras. Pour rompre encore un peu plus cette distance entre eux deux.

"Say, Herbert," “Hm?” "Are you actually flirting with me?" Le changement dans le ton de la conversation est aussi notable que les approches peu discrètes d’Herbert. Il garde son sourire en place, pas gêné par cette question. Il le serait peut-être en d’autres circonstances, avec une autre personne. Mais c’est de Quon dont il parle et si jamais il le recale, le potioniste est persuadé que cela n’affectera pas leur relation, qu’il ne perdra ni son cobaye préféré ni les plaisanteries que les deux partagent et que celui-ci n’irait pas le dénoncer auprès de sa famille. Il se sent étrangement assez en confiance pour lui répondre. "I'm not into guys, I mean, I don't think I'm into guys." Well, au moins maintenant il sait qu’il se fera recaler. Cela n’empêche qu’il répond tout naturellement, presque comme s’il lui indiquait avoir mangé une pomme pour le petit-déjeuner. “Yeah I am. I didn’t think I was, but I am.A crooked smile kinda cocky kinda guilty on the lips. "But... I think it's working. Your fingers are very soft..." “What’s working? This?” Il suit sa question d’une caresse un peu plus appuyée mais à peine plus qu’un soupir. Son pouce dessine les contours de sa mâchoire, et s’approche des lippes de Quon avec une lenteur délibérée. Il imagine ses lèvres remplacer ses doigts sur la peau du sorcier. “Does that make you unconfortable? I can stop if you say so.” Et il hausse une épaule, sa deuxième main abandonnant la dureté de la table où est perché Quon pour s’approcher de sa cuisse. “If you’re sure you’re not into guys, that’s okay. But, if you want to try. My pleasure. Always happy to serve, you know me. They say my lips are even softer than my fingers.Yeah, and Quon’s lips are like an invitation. As his neck he’s already imagining kissing and licking… If he was a vampire he would have bitten it long long ago.
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