BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
FORUM À ACTIVITÉ LIBRE — PAS DE RESTRICTIONS
14 février 2023 — v12 installée, forum mis en activité libre. 19 octobre 2022 — préparation de la V12 et départ de mahrun. et midoriya du staff. 4 juillet 2022 — v11 installée, arrivée de castace dans le staff. 22 mars 2022 — v10 installée. 5 décembre 2021 — v9 installée. 13 septembre 2021 — v8 installée, départ de kazhan du staff. 21 février 2021 — v7 installée. 8 novembre 2020 — v6 installée. 2 août 2020 — v5 installée, départ de jeyne du staff, arrivée de tofu et jool. 1 mars 2020 — v4 installée. 19 octobre 2019 — v3 installée. 18 juillet 2019 — v2 installée. 12 avril 2019— ouverture du forum par mahrun, kazhan, midoriya, poupoune et jeyne. 16 mars 2019— préouverture du forum. juin 2018 — début du projet.
      
Le deal à ne pas rater :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où acheter le coffret dresseur ...
Voir le deal


 

 Theodore » the silent one

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
Invité
Invité
Anonymous
Theodore » the silent one Empty
MessageSujet: Theodore » the silent one   Theodore » the silent one EmptyDim 14 Avr - 23:01
Theodore Nott
Not the « good Slytherin » you were looking for

 
clara
âge » vingt-trois ans. fréquence de connexion » 5/7. comment t'as connu le forum ? » « Je suis RPGiste et j’assume » sur FB. avatar » avan jogia. mon personnage est » [] inventé  [] un PV [X] un scénario [] un pré-lien [] tiré des livres.

pureblood
nom prénom(s)  » Theodore n’a rien d’un prénom plein de signification, il n’est la traduction d’aucun désir particulier, et son étymologie, « Don de Dieu » n’a jamais été importante. Nott est moins un nom de famille que la marque d’un certain statut social, et Theodore le porte en connaissance de cause, sans fierté déplacée mais en sachant ce qu’il lui doit. Jr., voilà les deux petites lettres qui le séparent d’être tout à fait son père. Sans ce « Junior », auquel personne n’oserait vraiment faire référence, il serait l’homonyme exact de son père. De fait, il s’est longtemps demandé s’il devait, histoire de se démarquer, adopter le nom de sa mère, Shafiq. C’est pour éviter de contrarier trop le patriarche qu’il s’en tient à Theodore Nott Jr. surnom(s)  » Ceux qui peuvent l’appeler « Theo » se comptent sur les doigts d’une main. Ceux qui ont osé l’appeler « Junior » se tiennent désormais à distance respectueuse. date de naissance » Si pour certains être né au milieu de l’été, comme 15 août 1980, serait une plaie, Theodore ne saurait en être plus soulagé. Il n’est pas obligé de supporter les vœux de parfaits inconnus, d’organiser une soirée mémorable, d’offrir des remerciements de circonstance. Quand il décide parfois de s’entourer, ça n’est que de ses rares proches, pour un dîner intimiste et rien d’autre. origines & nationalité  » Ses deux noms de famille indiquent des héritages à la fois nordiques et indiens, mais Theodore ne se sent rien d’autre que britannique. pureté du sang  » Sang-pur, des deux côtés de sa famille, et ce, aussi loin qu’il est possible de remonter. À ce propos, le jeune homme préfère ne pas penser aux risques de consanguinité. métier/études  » Brillant scolairement depuis toujours, puisqu’il s’est élevé seul grâce à la bibliothèque familiale, Theodore est sorti de la Maison Serpentard avec une écrasante majorité de O, sans aucune surprise, donc. La voie qui s’ouvrait à lui, toute tracée, l’a mené au Ministère, département de la Justice Magique, où il a commencé une tranquille carrière d’avocat. Il trouve parfaitement son bonheur dans les différentes tâches administratives – au point d’être parfois un peu ennuyé de devoir aller plaider. Comme lui (sauf capillairement parlant), son bureau est tiré à quatre épingles. orientation & état civil  » À l’âge où est Theodore, il est rare d’être encore célibataire quand on a le sang-pur. Mais jusque là, à sa grande satisfaction, celui-ci est parvenu à passer entre les gouttes. De fait, le brun ne manifeste aucun intérêt pour la chose, de sorte que personne ne lui a jamais connu de relations, ni avec une femme, ni avec un homme, et ce même à Hogwarts. Occupé par son travail, par ses lectures, par ses pensées (bien emmêlées depuis que son meilleur ami a pété les plombs), Theodore compte bien continuer le plus longtemps possible à échapper à l’infortune qui lui pend au nez. camp  » Quand on porte le nom de son père, on porte aussi sa Marque. Son allégeance à Lord Voldemort n’a jamais été ne serait-ce que questionnée par Theodore, qui a toujours lu partout que les né-moldus affaiblissent l’essence même de la magie. Il est donc un pur produit de la propagande des Death Eaters et peut agir, parfois, en véritable exalté, blâmant le sang moldu dès qu’il connaît un revers dans sa vie. baguette  » Theodore a pour sa baguette une tendresse qu’il n’a pour rien, pour personne d’autre. Dès ses sept ans, le petit garçon, puis l’adolescent qu’il est devenu s’est battu pour obtenir l’allégeance de la baguette de sa mère. Aucune autre ne lui serait allée, même si le poil ZouWu enfermé dans sa gangue de bois de sal de vingt-sept virgule huit centimètres se moque parfois un peu de lui. Cette baguette, qui aurait dû être enterrée avec Aurora Shafiq, lui avait déjà été léguée par sa mère. Son histoire remonte donc plusieurs générations en arrière, jusqu’au continent asiatique où elle a été créée. patronus  » Malgré ses efforts incessants et ses nuits sans dormir, Theodore est incapable de produire un patronus. Reste à savoir si c’est la Marque qui l’en empêche, ou si c’est qu’il n’a pas de souvenir assez heureux. épouvantard  » De père aimant qu’il a été pendant les sept premières années de la vie de son fils, Theodore Nott Sr. est devenu la plus grande peur de ce même rejeton. Homme froid, uniquement intéressé par la magie noire, les runes, la nécromancie, Theodore Nott Sr.  n’a plus jamais été le même après la mort de sa femme, et le petit Theodore a vite appris à craindre ses crises de rage, ses mouvements presque violents, ses moments de désespoir profond.particularité(s)  » Même si son père l’inquiète au point d’être sa plus grande peur, Theodore a hérité de sa passion pour les runes et la magie runique. Grâce aux cours intensifs et musclés de son père, il les lit et les écrit couramment, et il se sent proche, si proche, d’une réussite majeure dans leur maîtrise magique. Une réussite qui changerait profondément le monde sorcier.

pensieve
Spoiled child ?  » Enfant unique arrivé assez tard dans le mariage inégal entre une mère richissime et un père presque trop âgé pour elle, Theodore a été, pendant sept ans, l’enfant adoré, choyé, gâté à l’extrême, la prunelle des quatre yeux de ses parents – heureux, si heureux l’un avec l’autre malgré leur différence d’âge. À bientôt vingt-six ans, Theodore sait, sans pouvoir se souvenir d’une image en particulier, que les premières années de sa vie ont été les plus heureuses, et qu’il peut bien vivre jusqu’à cent ans qu’il ne retrouvera jamais cet état d’innocence, et de bonheur pur. Par ce qu’il a fallut que cet état prenne fin. La richesse, la jeunesse, la beauté, la pureté du sang, l’amour qu’on porte et qui nous est porté, rien de tout cela ne protège de la dragoncelle. Aurora Nott a contracté la maladie mortelle, dans sa forme la plus grave. Les meilleurs médecins de Sainte-Mangouste se sont inclinés devant la rapidité de son apparition, et les deux Theodore n’ont eu d’autre chose à faire que de s’incliner devant le cercueil en bois de sal. Grâce à son oncle paternel, et grâce à sa famille, Theodore n’a jamais été vraiment seul, l’éloignement, la brusquerie de son père l’a bouleversé profondément. S’il avait jamais été ouvert, enthousiaste, il s’est renfermé et n’a plus eu d’autre passion que les livres de la bibliothèque familiale. On repassera pour l’enfant gâté.

Popular kid ?  » En entrant dans Hogwarts Express, à onze ans, Theodore savait presque déjà tout de la théorie de la plupart des cours qu’il aurait à suivre au cours des trois premières années d’école. Il n’en a jamais tiré aucune gloire, sauf, peut-être, quand il apprenait qu’il avait été meilleur que cette petite je-sais-tout d’Hermione Granger. Mais de là à être une mascotte comme cette né-moldue, il y a un monde. Un élève intelligent, on le porte en triomphe quand il veut bien partager ses devoirs : or, Theodore n’a jamais, jamais, autorisé une telle chose. On est responsable de soi-même, il l’a appris à ses dépends. Ni Blaise, ni Pansy, ni personne n’a pu jeter ne serait-ce qu’un coup d’œil sur ses parchemins. Entre ceux que ce comportement a excédés, et ceux que ça a fascinés, Theodore a fait son chemin à Hogwarts de façon brillante, et discrète. Peut-être a-t-il été un peu piqué de ne pas se voir offrir le badge de préfet au début de sa cinquième année ; mais avec le vieux Dumbledore aux commandes, pouvait-on s’attendre à un choix raisonnable ? Solitaire, en tête de classe, Theodore sait qu’il n’aura pas marqué l’histoire de l’école… et, secrètement, oui, il blâme Hermione Granger.

Secret lover ?  » Quand on est jamais vu en compagnie d’une femme, même à l’époque… effrénée de l’adolescence, même quand on est joli garçon, même quand on a le sang pur, les rumeurs commencent à courir. Theodore s’est donc vu au cœur d’un paquet d’histoires ridicules, qu’il ne s’est jamais donné la peine de démentir, ne serait-ce que parce que ça l’arrange bien. On l’a dit en couple avec des femmes âgées, parfois beaucoup plus âgées que lui, on l’a dit libertin, ou entretenant depuis son adolescence une relation avec une femme mariée et très bien positionnée dans la société sorcière. On l’a dit fiancé depuis son plus jeune âge avec une princesse indienne, ou avec une étudiante de Durmstrang de sept ans sa cadette. Il n’y a jamais fait attention, même pas pour s’amuser du fait que personne n’a jamais osé imaginer quelque chose de plus simple – qui aurait été la vérité. Theodore n’a jamais été intéressé par les femmes, ni par les hommes d’ailleurs, et s’il n’a jamais été vu avec personne, c’est qu’il n’a jamais été avec personne. Mais les rumeurs et ceux qui les propagent se gardent bien de froisser l’héritier des Nott en laissant entendre qu’il serait encore vierge à vingt-six ans. Encore que, même si ça se savait, Theodore n’en dormirait pas plus mal la nuit.

Best friend ?  » De ses années à Hogwarts, Theodore n’a gardé que de rares relations, qui lui servent principalement dans son métier au Ministère. Il s’en félicite régulièrement, et à plus forte raison depuis quelques mois. Des trois personnes dont il se considérait proche – l’une d’elle étant sa cousine, deux l’ont déçu terriblement. Car sans être le type le plus sociable de Serpentard, sans oser non plus s’avouer l’ami de qui que ce soit, Theodore, Theo de fait, avait autorisé Draco Malfoy, Blaise Zabini et Pansy Parkinson à le connaître un peu mieux que les autres. Avec eux, il s’autorisait à sourire, parfois, il acceptait de passer un moment avec eux en soirée, il permettait les familiarités comme les surnoms. Et tout ça pour quoi ? Pour que l’un s’avère être un vulgaire sang-mêlé malgré ses qualités indéniables, et pour que l’autre ait, à propos de lui, des pensées honteuses, sales, impures. Ces deux trahisons ont poussé Theodore dans les affres de la réflexion. Et elles lui ont surtout donné raison : on ne peut compter que sur soi-même. Après ça, finies les relations, c’est définitif. Theodore a intimé à Draco de ne plus tenter de le contacter, et il a quitté l’appartement qu’il partageait avec Pansy et Blaise. La honte de s’être fait avoir, d’être ridiculisé a vacciné Theodore. Il se consacre, plus que jamais, à son travail et à ses recherches.

Death Eater ?  » Parfois, au milieu des mensonges, des vérités importantes apparaissent, auxquelles on préfèrerait ne pas croire. Mais Theodore n’a aucune honte à afficher sa Marque. L’allégeance à Lord Voldemort est pour lui une évidence, et il fait partie de ses plus fervents partisans, sans être au premier rang des meetings politiques. Il aide à faire fonctionner le système, en bon soldat. Étrangement, si son père faisait partie des premiers fidèles, ça n’est pas par lui que Theodore a gagné les rangs du Mage noir. Son formateur au Ministère, mieux que son paternel, a su trouver les mots pour le convaincre. Theodore n’a aucun doute de la puissance du Lord, il est reconnaissant du pouvoir que lui a apporté la Marque, il croit profondément à sa cause. C’est peut-être là que se trouve la plus grande des contradictions en ce qui le concerne. Qu’un type aussi intelligent, aussi curieux, aussi cultivé, soit aussi aveugle face à la propagande des Death Eaters. Heureusement, il n’y a personne autour de lui pour le lui faire remarquer.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Theodore » the silent one Empty
biographie
quote quote quote
07/05/1987
« Mommy ! Mommy ! They are born ! The kitten are born ! All black, just like Hera ! » Si le bruit de ses pas est étouffé par l’épaisse moquette du couloir, le petit garçon ne se laisse pas ralentir. Il n’arrive pas à croire ce à quoi il vient d’assister, la naissance des trois petits chats pile sous le poêle de la cuisine. Et dire qu’il a failli rater l’événement, à cause de ce stupide elfe de maison ! Il lui avait pourtant demandé, non, ordonné, de le tenir au courant de l’évolution de la situation. Et ça n’est pas parce que la maison, en ce moment, est pleine de médecins et d’amis de ses parents qui n’en finissent pas d’exiger, d’un ton impérieux, des services à la petite créature que celle-ci doit oublier qui est le maître ici. Enfin, le deuxième maître, après papa.
Mais heureusement, comme tout le monde est occupé à autre chose, Theodore peut passer tout le temps qu’il veut devant la boîte qu’il a confectionnée il y a un mois avec maman. C’est vrai qu’on ne s’occupe pas beaucoup de lui, mais il paraît qu’il faut qu’il fasse avec, juste pour une semaine ou deux. Après, il pourra recommencer à demander un bisou avant de dormir à sa maman, ou à son papa de le faire sauter dans les airs avec sa baguette. En plus, c’est plutôt pratique de ne pas être surveillé. Il lit ce qu’il veut dans la bibliothèque, il peut choisir ce qu’il veut manger directement dans les placards de la cuisine, et alors qu’il devrait être au lit, il peut s’échapper de sous la couette pour aller regarder les chatons naître.

Après un dérapage contrôlé, malgré la moquette, Theodore fait irruption dans le couloir sur lequel ouvre la chambre de sa mère. Il est bien décidé à lui faire la surprise – et même s’il sait qu’il n’a pas le droit, il porte dans ses mains l’un des petits nouveau-nés. Beaucoup plus discret, il avance vers la porte fermée, et de sa volonté, il parvient à faire appel aux étincelles de magie qui ont commencé à apparaître en lui. Il a tellement envie que ça s’ouvre, que le loquet saute. À sept ans, Theodore ne se demande pas pourquoi la porte de la chambre de sa mère est fermée à clefs. Il ne sait pas que, dans le petit salon d’à côté, le médecin de famille est en train d’annoncer à son père que sa chère femme ne tiendra pas la nuit. Qu’il a fait tout ce qu’il a pu, mais qu’il est incapable de sauver Jaya Shafiq. Les deux infirmières qui l’accompagnent posent prudemment, et discrètement, une main sur leur baguette : on ne sait jamais comment vont réagir les animaux blessés à ce point-là.
Mais Theodore Jr., lui, ignore cette scène. Il étouffe un bâillement et passe la porte. Il n’a pas vu sa maman depuis une semaine et demie, parce qu’il était chez son oncle Perseus et sa cousine Pansy. Bien entendu, il ne sait pas que c’était le seul moyen de l’éloigner de manière assez efficace : on ne demande pas à un garçon de sept ans de respecter une quarantaine. La chambre est plongée dans le noir, mais pas dans le silence, et la respiration sifflante de Jaya présage du pire. Mais Theodore continue de ne rien remarquer, il n’est concentré que sur la petite vie qu’il serre dans ses mains. « Mommy ? Mum ? Are you sleeping ? You said you reeaaaally wanted to see the birth, but you’ve missed it, so I brought you one of the kitties. »
Seules les paupières de Jaya bougent, quand son fils escalade tant bien que mal l’immense lit. Ses yeux, plongés dans l’ombre, sont pleins d’horreur. Elle ne voulait pas qu’il la voit, surtout depuis qu’elle se sait condamnée, elle ne voulait pas que son petit Theo garde en mémoire l’image de son corps ravagé par les cicatrices des boutons, de ses yeux cernés, de ses joues creusées. Elle ne voulait pas qu’il puisse l’imaginer mourir. Elle voulait le protéger. Theodore, assis sur les couvertures, toujours aveugle à ce qui se passe, dépose la petite bête sur la poitrine de sa mère, certain que ça va provoquer son réveil. Mais Jaya, incapable de bouger, assiste impuissante à la surprise de son fils. Elle le voit pencher la tête, se redresser, s’avancer un peu vers elle. Elle sent sa petite main qui la chatouille, puis qui la pousse un peu plus fort, pendant que résonne les : « Mum ? » de plus en plus surpris, et puis inquiets. Elle le voit se mettre à quatre pattes et s’avancer vers son visage ; et puis, elle le voit la voir. Ses grands yeux qui s’écarquillent d’horreur, sa bouche qui s’entrouvre pour que s’échappe un gémissement, ses prunelles qui se mouillent de larmes, et puis le cri, déchirant, qui sort de sa gorge. Elle ne peut rien faire que de le regarder, avant de devoir brusquement fermer les paupières quand la porte qui donne sur le salon s’ouvre en laissant entrer une lumière éblouissante. Les infirmières, le médecin et Theodore Sr. font irruption dans la chambre, et avant que quiconque ait le temps de réfléchir, le patriarche fonce sur le lit et repousse son fils avec une telle puissance que le petit garçon va s’écraser par terre. Et quand l’homme distingue le chaton sur la poitrine de sa femme, poitrine qui monte et qui descend de plus en plus faiblement, il a le même geste.

Le bras sans doute cassé, du sang s’échappant de ses narines, incapable de comprendre ce qu’il se passe, Theodore se met à pleurer. Le médecin et les infirmières n’osent bouger, Theodore Sr. a la main sur sa baguette, les yeux sur sa femme. Est-ce la lumière trop vive, l’irruption de trop de gens ou le choc causé par la vision de son mari frappant son fils ? Est-ce la faute de l’un, de l’autre, est-ce la faute du chaton ? La respiration sifflante de Jaya se transforme en râles de plus en plus douloureux. Le bruit est tel que les pleurs de Theodore s’arrêtent. Il se remet debout, et regarde le lit. La scène dure bien cinq, sept, dix minutes. Dix minutes de silence ou personne n’ose faire un mouvement, provoquer un son. Dix minutes d’agonie pour Jaya, mais aussi pour son mari, et pour son fils qui a enfin compris ce qui se joue. Quand la poitrine de la jeune femme se vide une dernière fois, que trop de temps se passe pour que quiconque ait encore l’espoir de la voir bouger à nouveau, Theodore Nott Sr. tourne le regard vers son fils, vers son bras ballant, vers ses yeux mouillés. Il ne dit rien, mais tout crie : « Your fault. »
Quand son père se détourne enfin, revenant à sa femme, l’une des deux infirmières avance timidement vers Theodore, et lui tend la main avec gentillesse, mais le garçon l’ignore. D’un pas traînant, il marche vers le corps immobile du chaton nouveau né, et le ramasse avec douceur. Son duvet noir est doux dans sa main, mais il commence déjà à refroidir. Il faut le ramener près du poêle. Il faut le ramener à sa maman. Il faut le sauver. Les mains tremblantes, mais pleines de ce qu’il sait être, malgré tout, malgré sa foi, un petit cadavre, Theodore laisse celui de sa mère derrière lui.

01/09/1991
Pansy lui a bien fait comprendre que, s’il veut s’asseoir avec elle dans le Hogwarts Express, il devra laisser tomber ses satanés bouquins, comme elle les a appelés, et faire un effort de sociabilité. Sinon, et là encore elle a été claire, elle n’hésitera pas à se servir de son arme secrète : le surnom dont elle l’a baptisé quand ils avaient sept ans. Autant de raisons, donc, qui ont étouffé dans l’œuf toute envie qu’aurait pu avoir Theodore de s’installer près d’elle pour le voyage. De toute façon, il a ce qu’il faut pour s’occuper : un manuel de numérologie et grammaire, destiné aux élèves de troisième année, qui lui donne du fil à retordre depuis quelques jours, et un dictionnaire de runes qu’il a volé dans le bureau de son père au début de l’été. Le jeune adolescent veut absolument savoir ce que son père leur trouve de si passionnant depuis tant d’années.
Il est l’un des premiers arrivés sur le quai. Son père l’a déposé devant la gare moldue d’un coup de transplanage, et il a disparu sans même un au revoir. C’est tout seul, tirant sa malle, que Theodore a trouvé l’entrée de la Voie 9 ¾. Et cela lui va très bien. Dans un dernier effort, il monte sa valise dans le train, s’installe dans la première voiture qu’il trouve et, aussitôt, sort le manuel. Alors que les autres élèves arrivent, se saluent sur le quai ou découvrent l’endroit avec des yeux ronds, passent dans le couloir à la recherche de leurs amis ou d’une place libre, Theodore commence à forger sa réputation de premier de la classe. Il ne lève pas une seule fois les yeux de son livre, même quand des gens viennent frapper à la porte pour demander s’il attend quelqu’un ou si c’est libre. D’ailleurs, il ne répond pas, la plupart du temps. Il n’y a que quand une fille se penche, de façon très assurée, au dessus de son épaule pour voir le titre de ce qu’il lit et balance un : « Oh, yeah, I know this one. I’ve read it twice, just for fun ! » qu’il lève un peu les yeux. Il la foudroie du regard, cette gamine avec ses joues rondes et ses dents de lapin, histoire de bien lui signifier qu’elle peut aller au diable, qu’il ne cherche pas à se faire des amis. Elle recule, sans même avoir l’air effrayé, et disparaît dans un tourbillon : « I’ll leave you alone, if that’s what you want. Dear God, I hope we won’t be sorted in the same house ! »

Theodore sait déjà quelle maison l’attend, le suspens est mort depuis plusieurs années déjà. Il ne sait plus qui le lui a dit, mais le Choixpeau n’est pas aussi inflexible qu’on peut le croire : il suffit de savoir ce qu’on veut. Quand le professeur de métamorphose pose le vieux bout de tissu sur ses cheveux noirs, le garçon fixe toutes ses pensées sur Serpentard. Il a peut-être l’air idiot, vu de l’extérieur, peut-être même constipé, mais peu importe. Il ne se laissera pas envoyer chez… « You’d fit just right in Ravenclaw, you know that, young man ?Slytherin. Slytherin. Slytherin.You are bright, cultured, curious, a true bokworm, I see.Slytherin. Slytherin. Slytherin.Nott, she said ? Well, I don’t have a choice, have I ? SLYTHERIN ! » Sous les hourras de sa nouvelle maison, Theodore rejoint sa table. Il y retrouve des visages, mais surtout des noms qu’il connaît : Crabbe, Goyle, Malfoy. Bientôt, Pansy le rejoint, et s’assoit en face de lui avec un rictus fier. Le garçon qui vient s’installer à sa droite, Blaise Zabini, lui tend la main d’un geste autoritaire mais avec un sourire sympathique. Theodore la serre, se force à la serrer – il ne peut pas être grossier le premier soir – mais quand la nourriture apparaît et que tous se mettent à deviser joyeusement au sujet de l’école, des cours, mais surtout de Harry Potter, assis à quelques tables de là, le brun cesse d’écouter. Il hoche la tête, donne le change, mais toutes ses pensées sont occupées par les premières pages de son dictionnaire de runes. Il pressent, à onze ans seulement, qu’il vient de mettre le doigt sur quelque chose de majeur.


15/08/1996
« Not that you’re not important… You are, Nott. You are not not important, Nott. In fact, you, Nott, matter so much. D’you get me… or not ? » Au milieu des gloussements de ses amis, provoqués par le discours idiot de Blaise, Theodore s’autorise un sourire. C’est sans doute la première fois, depuis ses sept ans, qu’il fête son anniversaire pour de vrai. Les invités ne sont pas nombreux : Blaise, Draco, Pansy. Les trois à être au courant de la date. « What was I saying ? » reprend son meilleur ami, « Ah, right. Nott. » Nouveau ricanement. Il n’y a qu’eux qui ont, à peu près, le droit de faire ce genre de blagues. Le discours continue, émaillé de ricanements, et la soirée continue avec un dîner excellent préparé par le vieil elfe de maison, et une quantité astronomique d’alcool que Blaise a apportée avec lui. Le temps de l’anniversaire, les quatre jeunes gens oublient le climat politique tendu, la disparition de Harry Potter, la disparition du Lord, l’excitation de leurs parents. Ils boivent à se rouler par terre, à en perdre la tête et la mémoire. C’est peut-être, pour Theodore, la première et la dernière fois. Quand ils s’écroulent, ivres mort, morts de rire, sur les matelas apportés par le serviteur de la maison, les regards que lance le brun à son meilleur ami disent pour la première fois à quel point il est heureux de l’avoir laissé rentrer dans sa vie. Ce qu’il n’avouera jamais à haute voix, et qu’il ne montrera plus jamais non plus. La soirée est exceptionnelle à bien des égards.

Le lendemain, dans le bureau de son père, plongé dans l’obscurité et le chaos, Theodore se tient droit sur ses jambes, les mains croisées dans le dos, et ce malgré la gueule de bois qui lui laboure le crâne. Ses amis sont partis quelques heures auparavant, le visage ravagé par la fatigue. Theodore Nott Sr., l’air glacial comme à l’ordinaire, est vieux, sévère, mesquin, parfois violent, et son fils a appris à se méfier de lui, même s’il pourrait sans doute le maîtriser si le besoin se faisait sentir. Mais le patriarche n’est jamais aussi violent qu’en paroles, et jamais autant que le lendemain de l’anniversaire de son fils. Pendant une heure, Theodore reste de marbre sous la pluie d’insultes qui s’abat sur lui. Il ne répond rien, ne cille pas, malgré la mesquinerie des attaques de son père. Il sait bien que son père le considère responsable de la mort de sa mère, et chaque année de vie en plus pour lui approfondit la blessure de son père. Il a l’habitude de ce déchaînement, et au lieu d’écouter le vieil homme, il se répète, en boucle : « In fact, you, Nott, matter so much. »


14/10/2003
Entrer au Ministère de la Magie n’a été qu’une formalité, et depuis cinq ans qu’il y est, Theodore n’a pas vu le temps passer. Ce matin là, en s’habillant, il fait encore un peu plus attention que d’habitude. La convocation qu’il a trouvée, la veille au soir, sur son bureau, l’a mis dans tous ses états. Que peut bien lui vouloir Thomas Selwyn, son formateur, de façon aussi officielle ? Il n’a jamais eu besoin de lui écrire pour prendre rendez-vous. Malgré son caractère calme et posé, d’habitude, Theodore a eu du mal à dormir, tournant et retournant dans sa tête tous les évènements des dernières semaines. C’est vrai que Thomas a été particulièrement attentif à lui, se montrant à la fois sévère mais encourageant, et, surtout, très intéressé en découvrant sur son bureau un livre écrit tout en runes. Il n’a caché ni sa curiosité ni sa stupéfaction en découvrant le niveau de son poulain.
Sans avoir à se faire prier, Theodore a répondu à toutes ses questions, lui expliquant son intérêt pour la magie runique et d’autres encore plus… déviantes aux yeux de certains. Mais Thomas Selwyn est un ancien proche de son père, un partisan du Lord qui porte la Marque, et un homme qui lui a donné toutes les raisons de lui faire confiance depuis qu’il est son formateur. Et depuis cette discussion, le regard que l’homme porte sur lui a véritablement changé.

Avant de se rendre au Ministère, Theodore transplane depuis le Chemin de Traverse où il vit avec Pansy et Blaise jusqu’à chez son père. De l’extérieur, le manoir est minable, il n’y a pas d’autre mot. Comme à chaque fois qu’il y vient, le brun réfrène un frisson. Sa relation avec son père s’est améliorée de façon aussi significative qu’étrange, depuis sa sortie d’Hogwarts, mais les années douloureuses ne veulent pas s’effacer de sa mémoire pour autant. De même, quand il pousse la porte, l’odeur lui fait un choc. Combien de fois devra-t-il entrer pour ne plus vaciller en franchissant le seuil ? Ses pas le portent jusqu’au bureau de son père, encore un peu plus bordélique que la fois précédente. Pour un maniaque comme Theodore, l’enchevêtrement des livres, des chaudrons sales, des craies, des bougies et des restes de repas est difficile à supporter. Une seconde avant qu’il ne pose les yeux sur la silhouette rabougrie de son père, il se dit qu’il aurait dû prendre un costume de rechange, au cas où.
Theodore Nott Sr. est assis dans son vieux fauteuil, il peine à se tenir droit mais parvient à se redresser quand son fils s’approche. Il le regarde sans un mot extraire un petit livre de sa poche, et le poser sur le bureau. « Did you understand ? » demande-t-il seulement, après trois minutes de silence. « I did. », répond Theodore. L’aspect discret du livre est trompeur, et ça n’est pas parce qu’il est écrit en runes que le brun a eu du mal à le lire. Chaque page, protégée par un sort incompréhensible à qui n’est pas lecteur aguerri du langage millénaire, renferme des secrets dangereux, terribles. Un genre de « Manuel du petit nécromancien » pour les cœurs bien accrochés. Et Theodore a enfin compris quel but poursuit son père depuis la mort de sa femme. Il a compris la raison de la transformation, physique et morale, de l’homme qu’il a en face de lui. On ne peut pas lire, comprendre, appliquer les horreurs contenues dans le livre, et s’en sortir indemne. Et pourtant : « Will you work with me, son ? – I will, father. »

Une heure plus tard, en arrivant au Ministère, Theodore a presque oublié le rendez-vous avec Thomas. Ca n’est qu’en croisant sa secrétaire qu’il prend conscience de son retard, et il se précipite dans le bureau de son formateur. Par chance, il n’est pas en retard, et le temps que l’avocat ouvre sa porte, le brun a eu le temps de se recoiffer et de reprendre son souffle. « You don’t know why I asked you to come today. » C’est une affirmation. Avare de mots, une qualité qu’il sait appréciée, Theodore hoche la tête. « Theodore, you are a bright young man. A truly valuable asset in this department. And I believe, along with other… important individuals, that you could be useful in another sector. » Une seconde, le brun se demande s’il va être transféré vers un autre département. Mais le regard entendu de Thomas, puis sa main droite relevant sa manche gauche, laissant apparaître la Marque, lui permet de comprendre rapidement de quoi il retourne. « It is the runes, isn’t it ?The runes, exactly. Before you say anything, let me tell you that you would really benefit from the Mark. Power, recognition, endless means and knowledge. You’d have all that, and more, in exchange for your loyalty. It’s a formality, and also your biggest commitment. » Theodore sait qu’il va accepter. La simple idée de voir sa puissance magique se développer le séduit plus que raison – surtout s’il pense aux quelques mots échangés avec son père.
Et si la Marque est celle d’une idéologie, cette dernière n’a rien d’aberrant à ses yeux. Les nés-moldus, les hybrides, les rebelles, tous ceux là sont de la vermine, une vermine qui n’a pas même le bon sens de voir le mal qu’elle fait à la magie. C’est pour ça qu’il aime tellement les runes, parce que c’est un pouvoir assez ancien pour ne pas avoir été souillé.

En sortant du bureau de Thomas, Theodore vacille un peu sur ses jambes. Il vient de traverser, avec succès, la matinée la plus importante de sa vie. Bientôt, son bras portera la Marque du Lord, et travaillera la main dans la main, ou presque, avec son père. Lui qui a toujours cru avoir une ambition raisonnable, malgré sa répartition chez Slytherin, ressent pour la première fois la délicieuse chaleur dans son ventre, dans sa poitrine. Il va devenir quelqu’un, quelqu’un qui fait de grandes choses.


10/03/2006
Si Theodore déteste bien une chose, c’est de ne pas être au niveau – un sentiment qu’il a, de fait, rarement ressenti. Mais depuis quelques mois, depuis son introduction dans le cercle de Selwyn, le brun a toujours l’impression d’avoir quelque chose à rattraper. Une fois, c’est un sort qu’il ne connaît pas, une autre, une référence qu’il ne comprend pas, une autre, une blague qui lui passe au dessus de la tête. La liste est longue, et la dernière lacune en date concerne la Légilimencie. Tout le monde n’a que ce mot à la bouche, on pourrait même dire aux pensées. Alors, Theodore va apprendre, c’est une évidence. Il va apprendre, et devenir le meilleur à ça aussi – depuis qu’il se sait ambitieux, plus rien ne l’arrête.
Le brun ne voit qu’une seule personne à qui demander ça : Blaise. C’est son plus ancien ami, surtout depuis la défection de Malfoy – qu’il aille au diable, le seul qui connaisse déjà son histoire et la plupart de ses secrets, et surtout le seul qui s’est déjà essayé à l’Occlumencie. Et puis, après tout, pas besoin de raisons particulières : Blaise, c’est Blaise.
« I know you’re not too busy. Say yes, please. » Theodore n’a pas l’habitude de prier, et à plus forte raison de supplier, mais là, c’est vraiment, vraiment important. Et ça marche. Avec une moue faussement ennuyée, Blaise accepte.

Il avait imaginé le déroulement de la séance. Il s’était imaginé réussir à lire les pensées de son meilleur ami. Il s’était attendu à, peut-être, un peu de gêne, après la découverte d’un souvenir de jeunesse gênant.
Mais jamais, jamais, il ne se serait attendu à ce qu’il a vu.

Allongé sur son lit, celui qui se trouve dans son ancienne chambre, au cœur du manoir Nott, où il a ré-emménagé en urgence la veille, le brun se tient la tête à deux mains et se retient de hurler. Encore une fois, son monde vient de voler en éclats. Le plus affreux, c’est que maintenant, alors même qu’il est sorti de la tête de Zabini, les images sont inscrites, comme au fer rouge, dans son esprit à lui. La bouche de son ancien ami sur la sienne, ses mains sur son corps, et leur lenteur exaspérante, dégoûtante, ses doigts sur la braguette de son pantalon… D’un seul mouvement, Theodore se tourne sur le ventre et hurle dans son coussin. En lui, le dégoût le dispute à la douleur de la trahison, et son esprit n’arrive à fixer aucune image. N’ayant jamais été intéressé par l’idée d’être avec quelqu’un, homme encore moins que femme, il n’a jamais imaginé de situation pareille. La simple idée de l’intimité lui est étrangère, et s’être vu, ainsi utilisé, dans les pensées de son meilleur… ex meilleur ami l’écœure. Sa vie ne sera plus jamais pareille. Ses pensées s’emballent.

Merlin tout puissant, et si un Legilimens du cercle tombait sur ces images ? Il lui faut absolument apprendre à cacher ses pensées. À mieux les cacher que Zabini.
Et si ce dernier n’avait, justement, pas voulu les cacher ? Il avait l’air misérable, après leur découverte, mais c’était peut-être juste à cause du coup de poing, et de la violence avec laquelle il lui a parlé.
Avec laquelle il l’a repoussé. Comme son père l’a poussé lui, quand il avait sept ans.
Et en parlant d’années, depuis combien de temps Zabini entretient-il ces pensées affreuses ? A-t-il pensé à…

Le flot de pensées s’arrête brusquement. Pansy. Sa cousine, sa meilleure amie. Presque mariée à un déviant, pervers. Theodore se jette hors de son lit, incante un parchemin, une plume, et écrit tout ce qu’il y a à écrire. Il ne pense pas à la peine, ou à la colère, que son mot risque de lui causer. Il ne penser qu’à la tirer des griffes souillées de ce type en qui ils ont tous eu confiance. Comme ils avaient confiance en Draco.
Theodore a toujours eu la trahison en horreur, depuis la mort de sa mère, depuis le retournement de son père. On ne peut compter sur personne, voilà encore qui lui donne raison. Cette lettre, trahison envers Blaise, risque d’éloigner Pansy par la même occasion. Mais tout ça a du bon : quand on est seul, il n’y a plus personne pour vous faire du mal.


Dernière édition par Theodore Nott le Mar 16 Avr - 21:21, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Priamhark Nundinarius
BACK FROM THE GRAVE
Priamhark Nundinarius
Date d'inscription : 13/09/2017
Messages : 411
Crédit : andthesunrisesagain (av). tumblr (gifs). tumblr & phoebe bridgers (quotes).
Âge : vingt-sept ans (28/08) mais morte depuis le 15/07/07 donc techniquement vingt-six...?
Occupation : mopey ghost.
Allégeance : à Morgana.
Particularité : revenante + maudite (ancienne outre-tymbiste).
Theodore » the silent one Empty
GNNNNN FIRST
Revenir en haut Aller en bas
Draco Malfoy
DEATH EATER
Draco Malfoy
Date d'inscription : 04/11/2018
Messages : 593
Crédit : james and the moon (avatar) & wiise (signature)
Âge : 05/06/1980 (vingt-sept ans)
Occupation : il a décidé de quitter son ancien poste après le scandale sur son père. draco se cherche un peu.
Allégeance : deatheaters
Particularité : occlumens et sa mère lui a appris les bases de l'alchimie.
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t156-draco-you-ll-never-b
Theodore » the silent one Empty
ON A ÉTÉ COUPAIN Theodore » the silent one 422440023
(voilà mon intervention)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Theodore » the silent one Empty
@Blaise Zabini ALWAYS FIRST IN MY HEART

@Draco Malfoy On verra si on le redevient, hein !

Mais vous êtes plus rapides que la lumière ici ! Je suis trop trop trop contente d'être là Theodore » the silent one 1215722860 Theodore » the silent one 1215722860 Theodore » the silent one 1215722860 Theodore » the silent one 1215722860
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Theodore » the silent one Empty
Theodore Nott a écrit:
Il n’en a jamais tiré aucune gloire, sauf, peut-être, quand il apprenait qu’il avait été meilleur que cette petite je-sais-tout d’Hermione Granger. Mais de là à être une mascotte comme cette né-moldue, il y a un monde. [...] Solitaire, en tête de classe, Theodore sait qu’il n’aura pas marqué l’histoire de l’école… et, secrètement, oui, il blâme Hermione Granger.

Theodore » the silent one 1029237966 Theodore » the silent one 1029237966 Theodore » the silent one 1029237966 Theodore » the silent one 1029237966 Theodore » the silent one 1029237966

MOI QUI VENAIS AVEC UN BEAU GIF DE LA RÉCONCILIATION

Theodore » the silent one Tumblr_pbbfkrj31D1vjkgd8o4_250

CHOQUÉE DÉÇUE Theodore » the silent one 2839299746 Theodore » the silent one 2839299746

(en vrai qsdjkgbjdskbgsk TROP CONTENTE QUE CE SCÉNARIO SOIT PRIS) (IL EST BEAU) (ptn et son lien avec blaise JE MEURS) (trop hâte de lire ta fiche dans son intégralité) (je sens que ça s'annonce bien) (bienvenue à la maison et bon courage pour la suite de l'écriture) Theodore » the silent one 1215722860
Revenir en haut Aller en bas
Draco Malfoy
DEATH EATER
Draco Malfoy
Date d'inscription : 04/11/2018
Messages : 593
Crédit : james and the moon (avatar) & wiise (signature)
Âge : 05/06/1980 (vingt-sept ans)
Occupation : il a décidé de quitter son ancien poste après le scandale sur son père. draco se cherche un peu.
Allégeance : deatheaters
Particularité : occlumens et sa mère lui a appris les bases de l'alchimie.
https://smokeandmirrors.forumactif.com/t156-draco-you-ll-never-b
Theodore » the silent one Empty
Mais plus sérieusement bienvenuuuue officiellement sur SM Theodore » the silent one 422440023 je valide ton choix à 300% (l'autre aussi, j'aurai validé, t'as des bons goûts Theodore » the silent one 1105522298) si t'as des questions, tu sais où nous trouver Theodore » the silent one 736882016 bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas par ici Theodore » the silent one 2223887705
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Theodore » the silent one Empty
Attendez, je suis SÛRE que je vais me plaire, ici. Vous avez vu l'accueil que vous me réservez ? Je suis plus qu'aux anges. Heureusement que j'ai cours demain, parce que sinon je passerais la nuit à écrire la deuxième partie de ma fiche. Parce que j'ai trop hâte de vous faire ador-haïr Theodore.

J'en reviens pas qu'il soit arrivé sur le forum PILE en même temps que moi. J'hésiterai pas à venir gratter à votre porte si le besoin se fait sentir. Mais j'ai surtout hâte de RP avec vous comme des oufs !

@Hermione Granger : la jalousie est une sacrée forme de reconnaissance, surtout de la part de Theo ! Moi aussi j'adore le lien proposé, je suis en admiration t o t a l e.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Theodore » the silent one Empty
Theodore » the silent one 1105522298 Theodore » the silent one 1105522298 Theodore » the silent one 1105522298 Theodore » the silent one 1105522298

si c'est de la reconnaissance alors... je t'accepte. Theodore » the silent one 2570323690

sjfbdsjfdskf TROP CONTENTE ENCORE UNE FOIS Theodore » the silent one 941336645 Theodore » the silent one 1172237334
Revenir en haut Aller en bas
Priamhark Nundinarius
BACK FROM THE GRAVE
Priamhark Nundinarius
Date d'inscription : 13/09/2017
Messages : 411
Crédit : andthesunrisesagain (av). tumblr (gifs). tumblr & phoebe bridgers (quotes).
Âge : vingt-sept ans (28/08) mais morte depuis le 15/07/07 donc techniquement vingt-six...?
Occupation : mopey ghost.
Allégeance : à Morgana.
Particularité : revenante + maudite (ancienne outre-tymbiste).
Theodore » the silent one Empty
JE VEUX T'ADOPTER ton message est beaucoup trop cute jpp. Theodore » the silent one 2651298872 et ce début de fiche... je n'en PEUX PLUS. don't talk to me or BIENVENUE PARMI NOUS OFFICIELLEMENT et bon courage pour cette fiche, tu sais où nous trouver, mp, discord, pigeon voyageur, on est là. :suspect: j'ai trop hâte de tout lire, j'ai trop hâte de jouer avec toi, ton theodore est PARFAIt et je suis trop CONTENTE VOILÀ. Theodore » the silent one 1566152604 Theodore » the silent one 1566152604 Theodore » the silent one 1566152604 BON COURAGE. :doit:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Theodore » the silent one Empty
Revenir en haut Aller en bas
 

Theodore » the silent one

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

SMOKE AND MIRRORS :: THEN IT WAS DARK :: THE SORTING HAT :: AVADA KEDAVRA