| | | théa rowle elise kruse - moses. NEW ORDER nom prénom(s) » première née de rodric rowle, thea pour une défunte d'un arbre généalogique si étendu qu'on ne saurait savoir si on embrasse un cousin. surnom(s) » libre date de naissance » mai 1982. origines & nationalité » coréenne de sa mère, anglaise de son père. pureté du sang » sang pur. métier/études » au choix, quelque chose de minutieux, mais pas architecte. orientation & état civil » pour le moment célibataire, impatiente d'être fiancée, pour l'image. camp » au choix, tout peut être une façade, même si, selon moi, elle oscille entre la neutralité et le soutien au gouvernement, à voir avec qui elle sera mariée je pense. baguette » libre. patronus » libre. épouvantard » libre. particularité(s) » une malédiction qui l’entraîne dans un fou rire à chaque fois qu'elle ment. Un sort étrange suite à la convoitise d'un objet trônant sur la coiffeuse de sa soeur. Cette dernière ne l'avait pas encore saisi, la tiare fragile et attirante, un achat à un drôle de bonhomme qui avait promis la double vue à Lyra. HISTOIRE. née d'une mère déçue de son propre mariage, dans l'attente d'un talent divin de dessin qui n'arriva jamais, elle a tenté d'avoir de jolies filles qui se taisent. L'entreprise est plus réussi avec théa qu'avec lyra, même si c'est loin d'être ce qu'attendait. Un père alcoolique, une mère opportuniste, et une soeur dégénérée. Serpentarde agile et rusée, elle a toujours eu la langue bien pendue, très protectrice de son foyer, une louve aux crocs venimeux, mais l'espoir d'être toujours la mieux placée, la plus tentatrice. Soignant son image, travaillant ses joutes verbales, elle était une vile vipère, peu venimeuse mais effrayante. Son diplôme validé, ses amitiés soigneusement constituées, elle a avancé de manière stratégique dans sa vie bien rangée. A côté de son côté si organisé, elle aimait profondément les femmes qui l'entouraient : Lyra, Astoria. Elles l'inspiraient à leur façon, elle apprenait de leurs erreurs. Elle a vu astoria s'effondrer, puis lyra être fiancée, alors que de son côté, rien, rien ne la raccrochait à son existence décousue. Elle avait perdue sa plus proche amie, et voyait disparaître sa soeur dans le fantôme d'une voyante disparue. Et pour combler sa triste fortune, un drôle de sort la forçait à rire à chaque mensonge, rendant l'entreprise bien compliquée. Encore heureux que sa position professionnelle la sauvait du trépas, sinon la honte l'aurait déjà dévorée. Alors elle s'applique à travailler son image, tentant de chasser son père malade, d'être liée au plus sain partie... Sans vraiment savoir qu'une malédiction la poursuit. carnet d'adresses LYRA ROWLE (adeline rudolph) » soeurs amies, soeurs ennemies, la jalousie les dévore de façon réciproque, mais elles se soutiennent de chaque côté, dans l'enfance incongru d'une famille abîmée, qui ne s'est jamais aimée. Dans l'enfance, elles étaient compagnes de jeux, gardiennes de secret, adolescentes, la louve serpent théa protégeait sa soeur des viles hommes et des sorcières de femmes, et adulte, les deux se perdirent dans leurs ambitions respectives : celle de théa, devenir une femme forte, de pouvoir au bras d'un parti respectable, et lyra, une quête vaine vers la voyance. Les choix de l'une entraînaient les jugements de l'autre, la scission se créa, seul dessin franc qu'elles n'ont jamais réussi à étendre. Relation fragile, brisée par la terrifiante idée de perdre lyra, seul repère aux yeux de théa, par l'envie, de la voir choisie avant elle, l'ainée pour être mariée en premier, par la peur, de la voir courir à la perdre des Rowle par sa folie dangereuse. - Spoiler:
Mes nuits blanches ne sont pas blanches, à peine clairsemées d’étoiles. On parle d’enfance dorée et de couverts d’argent, elle n’y a vu que dur labeur et discipline. Rien d’insurmontable, rien d’insupportable, mais Lyra se savait attendu au tournant, dans l’attente d’un talent au poignet, stricte et gracieux, porter le flambeau d’une famille désuète, dépassée par un frère meilleur que le père. Elle s’y voit encore, gratter le papier d’autres choses d’une construction de béton, le voir s’enflammer sous la baguette d’une mère mise à l’épreuve d’un fardeau tel que son mari, priant secrètement pour relever la barre avec ses enfants. La voilà abandonnée avec deux gamines qui ne souhaitent qu’une chose, coiffer leurs cheveux et lire des ouvrages abimés, sans once de talent artistique, et un homme grossier à ses côtés, sans délicatesse dans ses œuvres, elle qui souhaitait reconnaissance et beau gala. Un alcoolique et des filles graciles. La déception continuelle, quand alors Lyra se retrouva chez les bleus et argent, et s’agglutina d’une sang mêlée pour unique amie. Petits trous dans la toile étanche, tristes strates sur le voile. Comparse de toujours, un peu jalouse l’une de l’autre, l’une avec l’autre, Thea et Lyra se cherchent, se trouvent et s’amourachent des corps similaires, parfois les mêmes, dans une vue enfantine de l’amour, ou de ce qui s’y croise dans le méandre des émotions humaines. La benjamine pense souvent à l’échange des fluides sans y voir des conséquences potentiellement traumatisantes, elle voudrait utiliser sa carcasse qu’elle trouve si inutile et dénuée de sens dans un autre principe que celui de la porter au quotidien, sans écouter la sagesse tenu de son ainée, qui lui déconseille tant de s’échanger à des plaisirs fugaces et charnelles sans réfléchir, mais adolescente, coincée dans un château de pierre glacée, elle cherche à réchauffer son âme et le reste auprès de bras carnassiers. S’en suit l’eternel lynchage patriarcal qui la couvre de honte, qu’elle n’arrive qu’à évacuer dans les jupes de celle qui fit toujours tant pour elle. Dois-je recourir à la science ? Anesthésier l’insomnie ? Il fait noir. Puis jour. On leve des mains noircis par l’encrier, des phrases résumés par des caractères dansants, sans aucun sens. La plume volette à côté, comme par magie. Magie ? Toussotement, on fronce les sourcils, rien n’est très réel, si tenter que quoique ce soit soit réel. Etait-ce cela, que Cordélia vivait ? Un effondrement dans un fracas ignoble, elle est si proche, elle s’endort presque. Théa porte sa tête, d’où vient-elle ? Elle s’inquiète et l’osculte presque, puis hurle. Que crie-t-elle ? La potion n’avait pas du tout l’effet escomptée, elle avait juste l’impression… Quelle impression déjà ? Elle ferait mieux de fermer les yeux, c’est plus simple, oui. Dormir… Ceux qui rêvent ont bien de la chance, quant à moi j’ai des insomnies. « Elle est médicomage » Thea éclata d’un rire sarcastique et lève les yeux au ciel de manière désobligeante. Lyra se rendait dans la bibliothèque de leur demeure et s’arrêta net quand elle comprit qu’on parlait d’elle. « Médicomage légiste, pas soigneuse. » Sowon soupira et invita son ainée à s’assoir dans un des fauteuils victoriens, proche de la cheminée. Elle plia ses jambes avec bienséance à son tour et regarda d’un air grave la fille. Lyra ne pouvait plus voir Théa mais fixa son attention sur le discours de sa mère. « Le gamin est hypocondriaque, cela rassurait Myrthild de savoir son fils entre des mains plus connaisseuses. » Bart et Théa avaient été au même moment à Poudlard et sa sœur n’avait jamais montré d’intérêt pour son futur mari. Lyra était bien prête à lui laisser l’énergumène si cela lui tenait tant à cœur. Elle se tapit contre le mur afin de suivre cette conversation attentivement, en priant pour qu’un elfe ne passe pas par-là entre temps. « Voyons mère, je ne comprends pas pourquoi elle avant moi, ne suis-je pas la première née ? » Sowon se pencha vers Théa d’une manière si maternelle que cela étonna Lyra, jamais elle n’avait eu un comportement si tendre à son égard. Elle caressa ce qu’elle imaginait être le visage de sa sœur avec une moue attendrie. « La n’est pas la question, ma chère. » Théa, dans tout son caractère volcanique, se leva d’un bond brusque en vociférant « Alors où est le problème ? » Ses cheveux de jais, propre aux origines de sa mère, fouettèrent son visage dans sa colère enfantine, et Lyra fut frappé par la beauté de sa sœur en toutes circonstances. Ce qui l’amena elle aussi à se demander pourquoi à son tour. « Myrthild et moi-même étions confrontés à un problème de taille quant à l’assurance de trouver un parti respectable à nos enfants. Lyra et Bartholomeus n’étant pas les enfants les plus simples, il apparaissait ici plus simple de les joindre à se marier. » Sowon caressa doucement les cheveux de Théa, et précisa « Je te promets un parti si fantastique que tu me remercieras toute ta vie de t’avoir fait attendre un peu, mais aussi d’avoir envoyé ta benjamine loin de notre famille. Ce n’est qu’une question de temps avant que Lyra implose sous nos yeux, et je préférerais grandement que cela soit sous le nom Prewett. » Sa sœur sembla vouloir contester, mais Sowon, arrêta ses caresses pour saisir la crinière de sa fille et tirer sans ménagement dessus. « Théa, conteste à nouveau mes décisions, et tu le paieras d’un tribut bien plus fort que celui de ta sœur et de ses fiançailles. Entends le bien. »
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| | | nota bene HELLO Je suis ravie de te voir jusqu'ici. Il y a tant de choses à faire avec théa, surtout que je laisse beaucoup de choses libres. Mais au vu de la démence de lyra, il fallait bien cadrer un peu. J'aime l'idée qu'elle soit maudite par sa curiosité maladive, son besoin de tout savoir. C'est pas la pire des maledictions, mais quand on connait son souhait de perfection, ça fait tout de suite tâche. PSEUDO » théa est un prénom tout à fait négociable, essaie simplement d'en choisir un qui fini par a. merci quant à rowle, c'est pas négociable AVATAR » ALORS LA NON. JE ME SUIS CASSEE LE CUL A TROUVER UNE EURO COREENNE QUI RESSEMBLE A ADELINE ALORS TU VAS ME FAIRE LE PLAISIR DE GARDER ELISE. bon, elle est négociable avec jennifer koch. c tout. LE RESTE » Je te casse pas trop les pieds, respecte les règles du forum et ce sera au top. Ici, tu seras heureux.se, les membres sont des amours, l'ambiance est folle et les plumes magiques. Rejoins nous, même si c'est pas avec théa. |
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