BIENVENUE SUR SMOKE & MIRRORS. Un forum Harry Potter alternatif qui diverge du canon à partir du tome 5 où Harry est capturé par les Death Eaters lors de la bataille du Département des Mystères. L'action se situe 12 ans après, en 2008, dans un Royaume-Uni gouverné par Lord Voldemort.

Le forum a pour but d'être collaboratif et possède donc un système de collaboration participative où tous les membres peuvent proposer des nouvelles annexes, évènements, voire même des idées de personnages pour les futur.es joueur.euses !

Malgré son contexte sombre et mature, SM, c'est une communauté qui aime le drama et les rebondissements et qui a un Discord très actif sous l'égide du safe space et de la communauté bienveillante. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ?
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 low (mascimiliano)

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Léonilde Oliveira
VOLDEMORT SYMPATHISER
Léonilde Oliveira
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Âge : 35 ans. (25 juin 1972)
Occupation : présidente de la ligue britannique et irlandaise de quidditch. membre de l'angelus.
Allégeance : voldy les bons tuyaux.
Particularité : occlumancie (maître)
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MessageSujet: Re: low (mascimiliano)   low (mascimiliano) - Page 2 EmptyVen 31 Déc - 18:18
low » juillet 2007
La gamine de Mascimiliano semblait parfaitement adorable, cependant Léonilde ne possédait pas un intérêt très fort pour les poupons. Sa fille lui suffisait très largement, mais pour le brun, elle faisait l’effort de se montrer bienveillante. Elle savait ce que c’était d’être seule avec un gamin à occuper, et malgré son manque d’empathie, Léonilde se voulait comme un véritable soutien. «‌ ‌‌‌‌Des fantômes ? Tu devrais l’amener à Edimbourg, c’est une ville avec plein de fantômes. ‌‌‌‌ ‌»‌ Edimbourg était la ville où elle avait décidé de poser bagage, la même que ses parents, et même si le soleil du portugal lui manquait parfois, il y faisait plutôt bon vivre. «‌ ‌‌‌‌Si tu veux, tu pourras passer au manoir, Simone jouera avec elle.‌‌ ‌»‌ Le manoir de Léonilde était beaucoup trop grand pour deux personnes, mais cet outrage ne la dérangeait absolument pas. Cette demeure, elle la méritait, elle qui travaillait comme une acharnée.

Savoir que personne ne se plaignait la rassurait, au moins, elle n’aura pas à jouer les assistantes sociales pour remettre les troupes au travail. Si tout allait bien, alors inutile de parler du travail plus longtemps. «‌ ‌‌‌‌¡Salud! ‌‌‌‌ ‌»‌ Sans se faire prier, elle leva son verre, avant de s’allumer à son tour une cigarette. Du coin de l'œil, elle remarque le regard insistant du brun sur la jupe de la serveuse, ce qui ne manqua pas de lui faire lever les yeux au ciel. Féministe dans l’âme, elle n’avait jamais beaucoup aimé ce genre de comportement, encore moins quand la pauvre dame était obligée de porter une telle tenue pour son travail. «‌ ‌‌‌‌Je vois que la compagnie de la plus jolie femme de la soirée ne te suffit pas.‌‌ ‌»‌ Léonilde n’attaquait pas le jeune homme. Elle jouait de l’humour pour lui faire remarquer son impolitesse. Non seulement, il se comportait comme un animal en chasse, mais en plus, il détournait son regard de Oliveira, ce qu’elle n’aimait pas vraiment.

Léonilde ne doutait pas de ses charmes, mais se savait un peu vieille pour le brun. Il était normal que ce dernier s’attarde sur une femme de son âge. Un peu blasée, elle se pencha vers lui pour lui souffler sa fumée dans le visage. «‌ ‌‌‌‌Si tu veux la convoiter, tu ferais mieux de lui offrir un verre, plutôt que de dévorer ses jambes des yeux.‌‌ ‌»‌ La brune ne critiquait aucunement les coups d’un soir, elle en était d’ailleurs une fervente utilisatrice. Seulement, elle préférait que cela se fasse dans le respect de l’autre, que simplement pour assouvir une pulsion personnelle. La plupart du temps, quand elle avait envie de se changer les idées, elle fréquentait des moldus. Ils avaient l’avantage de ne pas la connaître, mais surtout de ne plus vivre au 17ème siècle, comme beaucoup de sorciers, tout particulièrement ceux qui répondaient aux appels du Lord. Elle en connaissait un rayon sur ces idiots, sûrement parce qu’elle avait été mariée, bien trop longtemps, à un abruti. «‌ ‌‌‌‌Tu as de la chance d’être charmant, sinon elles seraient bien moins serviables.‌‌ ‌»‌ Le joli minois du chilien l’aidait comblait très certainement sa maladresse, mais pas assez pour me faire rester en couple. Pour le coup, elle critiquait, mais n’était pas la mieux placée pour parler relation longue, elle qui éprouvait certaines difficultés dans les relations sociales.
(@mascimiliano palazuelos)
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MessageSujet: Re: low (mascimiliano)   low (mascimiliano) - Page 2 EmptySam 29 Jan - 0:34
low
@Léonilde Oliveira | juillet 2007

cw. propos un peu sexiste, objectification des femmes.

Ça ne faisait aucun doute pour personne qu'Ofelia était sa plus grande fierté, il suffisait de l'écouter trente secondes parler de sa fille pour comprendre que rien ne le rendait plus heureux que d'être son père. Alors maintenant qu'il avait la chance immense de l'avoir dans le même pays que lui et de ne plus seulement avoir de ses nouvelles grace aux lettres et photos envoyé par sa femme, mais qu'il pouvait passer du temps avec elle pour de vrai et la voir évoluer sous ses yeux, il ne comptait certainement pas s'arrêter de fair son éloge à tout le monde. «‌ ‌‌‌‌Des fantômes ? Tu devrais l'amener à Edimbourg, c'est une ville avec plein de fantômes. ‌‌‌‌ ‌»‌ Il acquiesca à la première question, la gamine était dans sa phase halloween un peu en avance et lui était en train de collectionner les gribouillages de fantômes. « Oui oui des fantômes. » Il confirma. « Oh, je note de faire un jour ça alors, je suis certain qu'elle adorerait ! » Le brun répondit, véritablement emballé par la perspective de partir en vacances avec sa gamine dans une ville hantée. Franchement, à qui ça ne plairait pas une sortie en famille un poil lugubre ? Certainement pas à lui, puis si ça faisait plaisir à sa gamine il signait direct. «‌ ‌‌‌‌Si tu veux, tu pourras passer au manoir, Simone jouera avec elle.‌‌ ‌»‌ Garçon qui gratifia Leonilde d'un sourire ravi. « Ça serait avec joie ! Elle adore rencontrer de nouveaux enfants en plus, je suis sûr qu'elle sera ravie de jouer avec Simone. » Il lui répondit, toujours souriant.

Pas de soucis au boulot, ou aucun dont il était au courant en tout cas et juste comme ça la discussion sur le travail fut abandonnée, ce qui en soit lui allait très bien, il passait ses journées là bas déjà, il aimait bien ne pas non plus passer ses soirées à débriefer. Et une serveuse pas trop moche vint leur apporter leurs verres et il ne put résister à se la jouer gros charo, parce qu'on ne se refait pas et que s'il ne fait pas savoir à une parfaite inconnue qu'il la trouve belle comment peut- il survivre lui ? Il peut pas, voilà. Puis bon la dame ne pouvait qu'en être flattée de recevoir son attention, c'était évident (non). «‌ ‌‌‌‌¡Salud! ‌‌‌‌ ‌»‌ Il fit tinter son verre contre celui de la brune après avoir détaché ses yeux des jambes de la serveuse pour revenir les poser sur Leo. «‌ ‌‌‌‌Je vois que la compagnie de la plus jolie femme de la soirée ne te suffit pas.‌‌ ‌»‌ Il dévisagea Leonilde, air à moitié désolé, à moitié amusé qui se peint sur ses traits. « Bien sûr que si ta compagnie me suffit Hermosa. » ll lui assura, sourire charmeur lancé à Léonilde. « Je profite juste aussi des jolies choses que propose le bar, c'est tout. A part ça, je suis tout à toi. » Qu'il rajouta en prenant une gorgée de son cocktail, attention de nouveau complètement dirigée vers la brune, la serveuse n'était de toute façon plus dans son champ de vision, dommage.

Le verre posé sur la table alors qu'il tirait sur sa clope, fumée recrachée sur le côté avant de se retourner vers Leonilde qui s'était penchée vers lui, légère grimace en se recevant la fumée de sa cigarette dans le visage. «‌ ‌‌‌‌Si tu veux la convoiter, tu ferais mieux de lui offrir un verre, plutôt que de dévorer ses jambes des yeux.‌‌ ‌»‌ Le garçon laissa échapper un ricanement au conseil que sa boss lui donnait, franchement amusé que l'on puisse penser qu'il ne savait pas comment s'y prendre pour ramener des meufs dans son lit. « C'est sympa, vraiment, mais je comptais pas la convoiter. Ou pas ce soir du moins, je t'ai déjà toi pour illuminer ma soirée, j'ai pas besoin d'aller offrir des verres à qui que ce soit d'autre. » Mili lui répondit, reprenant une gorgée de sa boisson. « Puis t'as pas trop de soucis à faire, normalement j'arrive à pas trop mal m'en sortir quand je veux me sustenter. » Il ajouta, rictus suffisant qui vit étirer le coin de ses lèvres. Parce que Mascimiliano s'il voulait ken quelqu'un en général il n'avait pas trop besoin de conseil pour savoir comment s'y prendre, ses méthodes fonctionnaient pas trop mal, voir même plutôt très bien. «‌ ‌‌‌‌Tu as de la chance d'être charmant, sinon elles seraient bien moins serviables.‌‌ ‌»‌ Ok, il était presque vexé, avait définitivement enclenché le mode full drama queen pour regarder Leo avec son regard le plus offensé possible. « Je ne suis pas juste charmant, je suis impresionante, évidemment qu'elles sont aimables. J'ai même pas besoin de leur payer de verres pour qu'elles tombent toutes à genoux devant moi. Mira ce visage, irresistible. » Il lui dit dans une exclamation bien trop exagérée.
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Léonilde Oliveira
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MessageSujet: Re: low (mascimiliano)   low (mascimiliano) - Page 2 EmptyMar 1 Fév - 20:37
low » juillet 2007
Pas du genre à traîner pour trinquer, Léonilde imita le plus jeune tout en s’assurant de boire une bonne gorgée avant de poser son verre. Loin d’être superstitieuse, elle savait pour autant suivre les conventions sociales quand il le fallait, notamment les normes moldus, presque plus nombreuses que celles qui rythmaient la vie des sorciers. Pour autant, il existait une tendance qui occupait les de mondes à savoir une culture misogyne qui la mettait bien trop souvent en rogne. Féministe dans l’âme, elle refusait qu’une femme puisse être traité comme un morceau de viande, un pot de fleur ou tout simplement le faire-valoir de son homme. Elle se battait pour son indépendance, mais aussi celle des autres. Mascimiliano n’était sûrement pas l’homme le plus patriarcal du monde, pour autant, à sa réaction, Léonilde se doutait qu’il ne voyait aucunement le mal que pouvait avoir un regard furtif sur les jolies gambettes d’une serveuse qui ne demandait rien d’autre qu'à encaisser son salaire à la fin de la journée. «‌ ‌‌‌‌Hm, je préfère ça. Tout le monde n’a pas la chance de boire un verre avec Léonilde Oliveira.‌‌ ‌»‌ La brune ne doutait pas d’être la meilleure compagnie des lieux, pour autant, elle voyait bien que l’attention de l’autre était troublée par un élément, malgré lui, perturbateur.

Macsimiliano expliquait jeter un simple regard, comme il le ferait pour une œuvre d’art. Un commentaire qui ne manqua pas de faire sourire la brune, amusé par les propos simplistes de son partenaire de soirée. «‌ ‌‌‌‌Je vois, c’est donc une démarche totalement contemplative.‌‌ ‌»‌ Elle parlait avec un ton légèrement sarcastique, mais aucunement agressive. Oliveira ne jugeait pas, elle constatait. Les discours moralisateurs et les points éducations, elle les gardait pour sa fille, qui tout comme elle, allait devoir se construire en tant que femme dans une société dominée par des dictats masculins. Pour faire oublier ses yeux baladeurs, le brun usait de compliments, afin de souligner à quel point cela lui suffisait de partager un verre avec sa plus ou moins supérieure.

«‌ ‌‌‌‌Stop les compliments, je vais commencer à douter de leurs véracités.‌‌ ‌»‌ Léonilde avait confiance en elle et n’avait aucunement besoin qu’on la flatte, encore moins si on ne le pensait pas réellement. Mascimiliano était divertissant, mais un peu limité. Pour dire vrai, elle qualifiait souvent les autres avec ces deux adjectifs. En dehors de quelques élus, tous n’étaient qu’une aparté amusante dans sa vie un peu trop chargée. La brune ne s’en rendait pas compte, mais cela faisait longtemps qu’elle ne ressentait plus beaucoup d’émotion, et c’était sûrement cette absence de sentiments qui la rendait si froide aux yeux de la plupart. Avec le chilien, elle essayait de faire des efforts et même si elle doutait d'être dans le même délire que lui, elle estimait faire preuve de suffisament de légèreté pour être de bonne compagnie.

Sans gêne, ce dernier continuait ses propos absolument dénués de valeur féminsite, ce qui donnait un sourire moqueur à la brune. «‌ ‌‌‌‌Te substenter. On aura tout entendu.‌‌ ‌»‌ Elle pourrait s’agacer. Dans un autre contexte, elle l’aurait peut-être fait, mais Léonilde connaissait trop bien le jeune homme pour savoir que cela ne servirait à rien. «‌ ‌‌‌‌Oh vraiment ?! Pourtant il est un peu asymétrique quand on regarde de plus près. ‌‌‌‌ ‌»‌ En prononçant cette remarque, elle adopta un ton plus grave, comme pour donner davantage de force à ses propos. En réalité, elle n’en pensait rien. Mascimiliano était effectivement, très bel homme, mais elle s’amusait à l’attaquer sur sa fierté première.

«‌ ‌‌‌‌J’en conclus que tu ne choisis pas les plus intelligente du panier.‌‌ ‌»‌ Léonilde taclait sans hésitation les fréquentations de son compère. De toute manière, elle n’avait jamais pris de réelles pincettes pour parler des autres, amis, ennemis ou parfaits inconnus. Elle assumait ce qu’elle disait et ce qu’elle pensait. Une force d’esprit qui l’avait mené à sa vie d’aujourd’hui ; mère de famille, présidente de la ligue britannique et irlandaise de quidditch et bras droit d’une société secrète qui ne cessait de grandir. Pour elle, les femmes devraient davantage chercher cette vie plutôt que celle aux côté d’un bel apollon, mais après tout, il fallait de tout pour faire un monde.

«‌ ‌‌‌‌Tu pourrais être surpris que beaucoup de femme ont… un cerveau. Elle pourrait même te divertir sans écarter leurs jambes. incrível n’est ce pas ?!‌‌ ‌»‌ Léonilde se vantait d’être intelligente et même si personne ne pouvait dire le contraire, beaucoup pourraient lui reprocher la tonne de défauts qui accompagnaient son esprit affuté. En grandissant, elle avait rapidement compris qu’elle devait s’adapter pour ne pas se retrouver en marge du groupe, et c’était sûrement pour cette raison qu’elle s’assurait de côtoyer des gens de tous les milieux. «‌ ‌‌‌‌Je rigole hermanito, ta jeunesse t’appartient.‌‌ ‌»‌ Peu importe ce qu’elle pensait du comportement du brun, il était libre de se comporter comme il le souhaitait, du moment que ce n’était pas sous ses yeux.
(@mascimiliano palazuelos)
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MessageSujet: Re: low (mascimiliano)   low (mascimiliano) - Page 2 EmptyJeu 17 Mar - 0:02
low
@Léonilde Oliveira | juillet 2007

cw. objectification des femmes, sexisme ordinaire.

Iris posés sans honte sur les jambes de la serveuse lorsqu'elle repart, il se décida à trinquer quand elle sortit de son champ de vision, une gorgée de son cocktail avalée dans la foulée avant de retourner son attention vers Léonilde qui ne semblait pas ravie ravie. Etonnant, il n'avait encore rien fait de si réprimendable que ça. Mascimiliano qui ne se fit pourtant pas trop prié pour lui assurer que sa compagnie était plus que suffisante pour le distraire. «‌ ‌‌‌‌Hm, je préfère ça. Tout le monde n'a pas la chance de boire un verre avec Léonilde Oliveira.‌‌ ‌»‌ Mili lui flasha son plus beau sourire, verre porté de nouveau à ses lèvres. « C'est vrai. Dommage pour eux alors. » Il rétorqua dans un rire, pas tellement attristé que le reste du monde ne puisse pas passer de soirée avec la brune, après tout ça aurait fait beaucoup trop de personne en plus à table et il était bien en tête à tête avec Leo. «‌ ‌‌‌‌Je vois, c'est donc une démarche totalement contemplative.‌‌ ‌»‌ Sorcier qui acquiesça doucement, rictus au coin des lèvres. « Évidement. Ce n'est pas pour rien que je travaille dans une galerie d'art madame, j'ai appris à observer les œuvres d'arts comme elle le mérite. » Répondu d'un air dramatique. « Après, si elle m'autorise à toucher avec autre choe que les yeux, je ne vais pas faire mon difficile hein. » Il ajouta en lachant du regard sa supérieure pour le poser sur la serveuse qui slalomait entre les tables dans le pub.

«‌ ‌‌‌‌Stop les compliments, je vais commencer à douter de leurs véracités.‌‌ ‌»‌ Han, elle osait douter de lui et de sa sincérité comme ça ? Il en était outré Mascimiliano, ça se voyait à l'air exagérément vexé qu'il venait de prendre. « Comment peux-tu douter de les intentions ainsi ? Jamais je ne me permettrait de te mentir comme ça voyons ! » Il fit mine de s'indigner, le sourire ne quittant pourtant pas ses traits. Mili ne faisait jamais des compliments dans le vide, il n'était pas du genre à complimenter tout le monde pour rien déjà - ça voudrait dire montrer qu'il apprécie des gens et c'était hors de question - puis il n'avait pas non plus besoin d'user de mots doux pour obtenir ce qu'il voulait, son charme naturel (les bouclettes) suffisait pour cela et il n'avait nul besoin d'user de mots. «‌ ‌‌‌‌Te substenter. On aura tout entendu.‌‌ ‌- Non, je pense que je pourrais encore te surprendre » Il lui affirme dans un rire, il n'était pas le dernier pour trouver les meilleures âneries beaufs à sortir au détour de n'importe quelle conversation. «‌ ‌‌‌‌Oh vraiment ?! Pourtant il est un peu asymétrique quand on regarde de plus près. ‌‌‌‌ ‌»‌ Han, la gueuse. « Tu mens ! » Le sorcier s'exclama, à deux doigts de vraiment se vexer cette fois, elle avait de la chance que sa confiance en lui - et surtout dans son physique en fait - soit inébranlable, il savait qu'elle racontait n'importe quoi parce qu'il savait qu'il était magnifique et pas du tout de travers.

«‌ ‌‌‌‌J'en conclus que tu ne choisis pas les plus intelligente du panier.‌‌ ‌»‌ Haussement de sourcil sceptique et rictus amusé au coin des lèvres, il y avait bien Lolly dans ses conquêtes qui ne brillait pas forcément toujours par son intelligence - mais elle avait plein d'autre qualités pour compenser, donc franchement il ne s'en formalisait pas des masses - mais tout de même il n'allait pas pêcher que les plus con.ne.s du lot non plus. « Tu n'as visiblement jamais rencontré ma femme. » Il se permit de lui signaler, il ne l'avait pas vraiment choisi - enfin si, mais les conditions étaient un peu floues - et leur relation tenait plus de l'amitié que quoique ce soit de romantique, mais Arcelia comptait quand même. «‌ ‌‌‌‌Tu pourrais être surpris que beaucoup de femme ont… un cerveau. Elle pourrait même te divertir sans écarter leurs jambes. incrível n'est ce pas ?!‌‌ ‌»‌ Resting bitch face lancée en direction de la brune. « Non ? Dis moi pas que c'est pas vrai ? Je pensais vous serviez juste d'incubateur sur pattes moi. Joder va falloir que j'essaie de tenir une conversation avec Arcelia un de ces jours, peut-être elle a des trucs intéressant à me raconter quand elle parle pas chiffons et rouge à lèvres. » Il répliqua d'un ton un peu sec, appréciant très peu qu'on le prenne pour un idiot mysogine - il aimait les femmes, il avait une façon très peu subtil de le montrer, ça ne signifiait pas qu'il pensait qu'elles n'étaient bonnes qu'à baiser (c'était juste un plus quand elles le désiraient). «‌ ‌‌‌‌Je rigole hermanito, ta jeunesse t'appartient.‌‌ ‌»‌ Regard qui se fit encore un peu suspicieux, il avala une nouvelle gorgée de sa boisson avant de se dérider un peu. « Mouais, c'est pas drôle. » Répondu d'un air boudeur, verre vide reposé sur la table devant lui. « Bon, c'est pas que ta compagnie m'ennuie, bien au contraire hermosa, mais je dois me lever tôt demain matin alors je ferais mieux d'y aller. » Il lui annonça en se levant de son siège. « Je te vois demain à la galerie ? » Demandé avec un sourire, les week-end quand on travaillait dans un commerce devenait soudainement un souvenir lointain, avant d'aller régler leurs consommations au comptoir et de rentrer chez lui.
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Léonilde Oliveira
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MessageSujet: Re: low (mascimiliano)   low (mascimiliano) - Page 2 EmptyLun 28 Mar - 18:19
low » juillet 2007
Mascimiliano était sans aucun doute un drôle de personnage, à l’image de tous les membres de l’angelus. Cette équipe se composait de personnalités fortes et variées, qui rendaient les affaires plutôt fructueuses, même si Léonilde aimait souligner leurs capacités limitées. La brune avait toujours été une personne intolérante et difficile à satisfaire. Un comportement qui s’expliquait sûrement par son intellectuel développé, mais aussi par son éducation loin de la normale. Gamine, personne n’avait jugé utile de lui apprendre la compassion et l’empathie. Heureusement, derrière ce visage froid, se cachait un cœur, qui envers et contre tous continuait de battre. Elle ne laissait presque jamais paraître, mais les personnes qui l’entouraient avaient de l’importance à ses yeux et pas seulement parce qu’ils pouvaient lui être utiles. Elle mentirait en disant qu’elle ne se sentait pas seule, mais avouer ses faiblesses l’effrayait, elle qui s’était trop longtemps battue pour sa liberté.

Le brun était de ceux qui l’acceptait sans jugement, conscient qu’elle était bien plus nuancée qu’elle ne le laissait croire. «‌ ‌‌‌‌Je vois, une histoire d’art alors !‌‌ ‌»‌ Léonilde s’amusait de voir le plus jeune comparer son amour des femmes avec son métier, plus ou moins dans l’art. Elle n’y voyait aucun rapport, mais leurs manières de réfléchir étaient sûrement trop éloignées pour arriver aux mêmes conclusions. Féministe dans l’âme, elle refusait qu’un homme puisse parler avec aussi peu de tacte des femmes, mais trop fatiguée de sa journée, elle laissa couler en levant les yeux au ciel. «‌ ‌‌‌‌Gardes des surprises pour plus tard alors !‌‌ ‌»‌ Léonilde ne doutait pas que le plus jeune puisse avoir plus d’un tour dans son sac, mais pour le coup, elle préférait ne pas entendre trop de remarque sexiste pour la journée.

L’assurance du brun l’amusait, elle lui rappelait celle de sa fille qui, malgré son jeune âge, avait déjà du mordant. Les remarques sur son physique le piquaient au vif, ce qui lui donnait finalement un certain charme. «‌ ‌‌‌‌Je n’ai pas dis que l’asymétrie n’est pas une belle chose.‌‌ ‌»‌ Léonilde mentirait en disant que le brun possédait un visage disgracieux, cependant, l’embêter l’amusait. D’ailleurs, elle ne manqua pas de sourire en voyant l’autre s’agacer face à ses remarques.

Finalement, l’orgueil et la fatigue eurent raison du plus jeune qui annonça son départ. «‌ ‌‌‌‌Oui, je passerais.‌‌ ‌»‌ A défaut d’avoir mieux à faire, Léonilde commanda un autre verre, tout en sortant un dossier de sac à main. Du boulot, elle en avait tout le temps, que cela soit pour le ministère ou pour l’angelus. «‌ ‌‌‌‌A demain.‌‌ ‌»‌ Aussi charismatique que seule, Léonilde dégoupilla une cigarette, tout en saluant le garçon qui partait.
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